La prise de conscience se révèle à la vision d'un futur bonheur ▬ Iago ♥
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Mar 19 Aoû 2014 - 19:24
La prise de conscience se révèle à la vision d'un futur bonheur
Helga était avec Iago dans la salle d'attente. Elle attendait pour passer une échographie. La mercenaire aurait préféré que ça soit le médecin de son équipe, qui s'en charge plutôt qu'un inconnu qui lui recommanderait plein de conseils qu'elle ne suivrait probablement pas. Seulement, c'était encore impensable pour Helga d'emmener Iago à son QG. C'était bien trop risqué. Elle ne tenait pas à perdre Iago par quelqu'un qui voulait l'atteindre ou se servir d'elle. Ainsi, la mercenaire n'avait parlé de sa vie privée à personne, il n'y avait que Randy qui était au courant pour Iago. Quant à Théana, son équipe savait qui elle était. Tout le monde savait qu'elle était la fille de la patronne, mais personne ne savait qui était son père, ni s'il vivait encore ni s'il était toujours avec Helga. Ainsi, ils étaient tous les deux en train d'attendre dans un hôpital civil, remplissant de bonheur l'un et agaçant l'autre.
Helga en était à trois mois. C'était ainsi la première échographie pour le couple. Ils n'avaient pas pu venir plus tôt à cause de l'emploi du temps chargé d'Helga. En effet, la mercenaire continuait ses activités tout en entraînant leur fille aînée Théana. Cela ne laissait pas beaucoup de temps pour le reste. Ainsi, ce jour était également un jour pour le couple. Théana était d'ailleurs en permission. La mercenaire ignorait ce que faisait sa fille, mais elle lui faisait confiance et elle savait qu'elle était en mesure de se défendre. Il n'y avait donc aucune raison de s'inquiéter. La seule inquiétude d'Helga était le temps qu'elle perdait en restant là. Elle aurait très bien pu aller voir son médecin au QG, mais Iago lui en aurait certainement voulu de l'avoir fait seule. Et puis, sans Iago, elle n'en aurait probablement pas pris la peine de passer l'échographie. De plus, elle savait que c'était un moment unique auquel tenait son fiancé. C'était donc avant tout pour lui, qu'Helga avait pris la peine de se déplacer en ce lieu et d'attendre non sans impatience. La patience n'était pas son fort, comme son croisement de jambes incessant le laissait remarquer.
Bien qu'elle est pris la décision de la garder, grâce à sa petite aventure avec Jessie, elle avait encore du mal à se faire à l'idée qu'elle serait mère. Elle l'était déjà, mais ce n'était pas la même chose d'être mère d'un enfant porté que d'une jeune adolescente adoptée à l'âge de seize ans. Helga appréhendait encore. Elle se demandait ce qu'éprouvait son compagnon. La mercenaire le savait heureux, mais était-il aussi angoissé dans le sens où il avait peur de pas être à la hauteur ? Helga sentait qu'il serait un père merveilleux. Elle le regarda pour voir son émotion et le réconforter si besoin est. Cependant, elle n'en eut pas la possibilité. Aussitôt qu'elle observait son homme, une vieille dame assise à côté d'eux entama la discussion, sûrement pour passer le temps ou pour être poli ou pour une toute autre raison qu'Helga ne comprendrait sans doute jamais.
« C'est parce que vous êtes enceinte que vous êtes ici ? -J'ai l'air enceinte ? Non, on est là parce que je porte une bombe ! »
Helga sentit la main d'Iago. Elle se tourna vers lui et le regarda, l'air de dire : « quoi, qu'est-ce que j'ai encore dit ? Et de quoi elle se mêle ? » La pauvre vieille dame, qui ne supportait apparemment pas l'humour noire d'Helga, n'avait par tort de s'interroger. Les échographies ne servaient pas qu'à voir les futurs bébés, d'ailleurs elle était sûrement là pour une de ces raisons. Ils n'eurent pas le temps d'en débattre. Ils furent appeler. Helga se leva en soupirant : « enfin ! »
La mercenaire était d'une humeur massacrante et ça n'avait rien à voir avec sa grossesse...quoique si elle n'était pas enceinte, elle serait sans doute en mission et pas en train de pester et perdre son temps pour voir un bébé qu'elle n'avait pas désiré et qu'elle avait voulu supprimer.
La prise de conscience se révèle à la vision d'un futur bonheur
Avoir un seul enfant de toi, ça fait longtemps que j'attendais
Iago avait du mal à cacher son anxiété à se tenir ici, assis dans la salle d'attente avec sa compagne. Ce moment, s'il avait osé en rêver jamais il ne l'aurait cru possible. Tout avait mal commencé dans cette histoire. La réaction de sa belle son depart précipité de l'appartement, les larmes de leur fille adoptive et la séparation. Des semaines l'un sans l'autre à se morfondre dans son coin. Iago souffrait en silence mais refusait de céder, pour une fois il avait refusé de perdre la face devant elle. Elle portait plus souvent la culotte que lui mais cette fois il avait décidé de ne pas se laisser faire. Cela avait été très dur mais finalement c'est elle qui avait finit par comprendre l'importance d'une famille et tout ce que cela pouvait apporter à son homme au quotidien. Elle avait finit par prendre en compte les désirs de on on partenaire, les siens aussi et finalement ils étaient ici attendant la première échographie de ce bébé tant attendu mais qui avait réussit à créer tant de discorde.
Iago pouvait sentir le trouble de sa compagne visiblement fort mal à l'aise en cet instant. Entourés de couples ou de jeunes femmes toutes sourires aux lèvres, Helga semblait d'étonner dans le paysage. Une vieille dame d'ailleurs se posait la question et demanda à Helga si elle était enceinte et sa compagne fut plutôt sèche et désagréable avec la dame. Iago lui fit un regard qui en disait long alors qu'elle faisait semblant de ne pas comprendre. Il s'excusant auprès de la vieille dame et posa sa main sur la cuisse de sa compagne pour tenter de l'apaiser. Enfin, ońleśappela et le couple se leva pour gagner la salle d'examen. Iago était impatient de savoir si le bébé allait bien et pourquoi pas connaître le sexe de ce bébé tant attendu par le jeune homme. Il ne cessait de passer la main dans ses cheveux, signe de nervosité chez lui. Il serrait fort la main de sa femme aussi par intermittence pour lui faire passer tout ses sentiments et son soutien. Enfin le gynécologue entra dans la pièce et demanda à la jolie blonde de s'installer. Iago continuait de tenir la main d'Helga une fois installée dans le siège et ils attendirent que l'homme déclenche le moniteur et passe le gel sur le ventre de sa femme.
- gynécologue : alors voyons voir....le bébé semble en pleine forme. Son cœur bat normalement et il ne semble pas y avoir d'anomalie physique sur le moniteur. Regarder son visage ici.Dit-il en pointant du doigt le moniteur. Vous en êtes à 14 semaines ainsi nous pouvons commencer à voir le sexe de l'enfant. Voulez savoir s'il s'agit d'un petit garçon ou d'une petite fille ?
Iago ne savait que dire. Il avait très envie de savoir mais peut être que sa femme n'était pas prête elle à l'entendre. Aussi serra t-il fort sa main avant de lui demander
- C'est toi qui choisit. Si tu ne veux pas savoir je respecterais ton choix et si tu veux connaître le sexe de notre bébé et bien la aussi je respecterai ton choix. A toi de décider mon amour...
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Mer 27 Aoû 2014 - 19:49
La prise de conscience se révèle à la vision d'un futur bonheur
Helga fut soulagée lorsqu'ils furent appelés. Elle comptait en finir le plus vite possible. La mercenaire avait dû prendre son après-midi, ce qui ne l'enchantait guère. Cela ne l'arrangeait pas du tout. N'ayant pas de jours de congés et surtout parce que c'était elle la patronne, elle avait chargé Randy de partir à sa place en mission, pour pouvoir se libérer. La mercenaire perdait donc patience. Maintenant que c'était à leur tour, ils pourraient rapidement en finir. C'était la seule chose que désirait Helga. Ce n'avait pas l'air d'être le cas de son homme. Lorsqu'en entrant, la mercenaire se retourna pour voir si Iago suivait, elle remarqua qu'il passait sa main dans ses cheveux. Elle le connaissait. Lorsqu'il faisait ça, c'est qu'il était nerveux. Helga laissa son impatience de côté et prit la main de son homme. La mercenaire tenta par ce geste de l'apaiser. Elle devait essayer de prendre sur elle, pour son homme. C'était lui plus qu'elle, qui était heureux et anxieux pour le bébé, qui désirait savoir si tout se passait bien. Ainsi, lorsque leurs mains se saisirent Helga put le faire ressentir à son homme. Elle sentit par la même occasion que lui aussi voulait l'apaiser et la rassurer. Il était son soutien comme elle était le sien. Cela la fit sourire et lui fit perdre son impatience une fraction de seconde.
Le gynécologue entra et Helga s'installa sur le fauteuil prévu à cet effet. Leurs mains restèrent liées. C'était une sorte d'épreuve pour tous les deux. Aucun des deux ne pensait pareil quant à la situation, néanmoins, ils la vivaient ensemble et devaient la traverser côte à côte. C'était un accomplissement, un désir pour l'un et un refus, un déni pour l'autre. Cependant, cela leur apporterait beaucoup à tous les deux. Helga ne le savait pas encore à ce moment-là, mais elle sera heureuse de s'être inclinée devant son homme pour ce nouveau bonheur. Son déni se transformera peu à peu, avec le temps, en acceptation puis en épanouissement.
Lorsqu'Helga souleva son haut, le gynécologue voulut le soulever davantage pour étaler correctement le gel. Helga le fusilla du regard, puis obtempéra, mais en essayant de garder le maximum de sa peau sous le débardeur. La mercenaire voulait cacher ses marques laissées par ses missions. Quelqu'un ne la connaissant pas aurait pu penser qu'elle se faisait battre. Ensuite, lorsque les explications seraient venues, elle aurait eu comme recommandation, si ce n'est comme ordre, de stopper ses activités. Voilà pourquoi Helga aurait également voulu passer par le médecin de son équipe. Le gynécologue ne pipa mot et d'une main professionnelle lui appliqua le gel après avoir déclenché le moniteur. Une image apparut à l'écran et le gynécologue la commenta. Helga ne quittait plus l'image des yeux. Alors c'était ça, un bébé ! Enfin, la mercenaire savait ce que c'était, ainsi que ce qu'était une échographie, bref rien de nouveau sous le soleil, ni de bien exceptionnel. Ce qui la sidéra, c'est l'émotion qu'elle ne s'était pas attendue à éprouver face à cette image. La mercenaire au cœur de glace ne pensait pas s'émerveiller devant l'image de ce petit être qu'elle portait, ni être sidérée par les battements rapides du cœur de son enfant. C'était fascinant. C'était ce qu'elle éprouvait. De la fascination. La mercenaire ne comprenait pas comment elle pouvait être fascinée devant un être qu'elle avait voulu à tout prix supprimer définitivement de sa vie.
Helga fut coupée dans sa contemplation par la voix de son homme. Le gynécologue venait de demander s'ils voulaient savoir le sexe de leur enfant. Iago voulait solliciter et prendre en compte son avis, auquel il se rangerait. La mercenaire doutait de la dernière formulation. Elle sentait la main de son homme qui serra la sienne. Il voulait la savoir, elle le sentait. Ainsi, il lui laissait le choix, mais elle sentait qu'il risquerait d'être frustré si elle refusait de connaître le sexe de leur futur enfant. Helga regarda son homme plus attentivement. La mercenaire n'était pas sûre de le vouloir, celui reviendrait à réaliser pleinement la situation, à la rendre réelle. Elle venait déjà de trouver fascinant cet être qui grandissait dans son abdomen. Helga n'était pas certaine de vouloir en ressentir davantage pour cet être qu'elle n'acceptait pas encore totalement. Elle soupira puis finalement, comme dans sa profession, le savoir était la clef..
« Bien, au point où on en est, pourquoi pas... »
Ce fut tout ce qu'Helga réussit à dire pour essayer de se détacher au maximum de la situation. Le gynécologue ne dit rien et commenta l'image, pour finalement pointer une zone de l'écran et annoncer :
« …ce qui atteste que vous attendez un petit garçon... »
Un garçon. Ça y est, elle était fixée. Cela ne changeait rien pour la mercenaire. Quelle importance que ça soit un garçon ou une fille ? Elle se demandait ce que désirait Iago, s'il était ravie ou déçu. Elle se tourna alors immédiatement vers lui, après la réponse du docteur. Pas de doute possible, il était ravie. Finalement, Helga songea que ce n'était pas plus mal. C'était lui qui avait absolument voulu un enfant à eux deux, un enfant biologique. Maintenant, il avait son mini Iago. Helga se savait plus proche de Théana qu'Iago. Peut-être dû au fait qu'elle l'entraînait, qu'elle la formait, qu'elle passait beaucoup de temps avec elle. Iago risquerait sûrement d'être plus proche de leur fils qu'elle. Helga sourit alors à Iago et l'attira à elle. Elle lui chuchota au creux de l'oreille.
« Un mini-Iago, mein Papagei, pour agrandir notre famille. »
***
Lorsqu'ils sortirent de l'hôpital, Helga embrassa son homme en signe d'au revoir et partit comme convenu pour retourner au travail. Ce n'était qu'une parenthèse dans l'après-midi. Tous les deux le savaient. Cependant, lorsqu'Helga eut tournée à l'angle de la rue, disparaissant de la vue d'Iago, elle s'arrêta net. Et s'ils changeaient leur plan ? Helga savait qu'Iago ne travaillait pas au restaurant aujourd'hui. Quant à elle, elle pouvait finalement prolonger sa pause. Randy était à sa place en mission. Elle songea qu'elle pourrait exceptionnellement déléguer ses autres missions de prévues de l'après-midi. La mercenaire ne l'avait jamais fait. Après tout, le client se fichait de qui partait, il voulait le résultat. Ainsi, Helga songea à cette possibilité, car elle passait de moins en moins de temps avec Iago, à cause de son travail. Il était de temps de remédier à ça, du moins pour cette après-midi. La mercenaire ne pourrait jamais abandonner sa profession, même par amour. C'était une partie d'elle, Iago le savait. Ainsi, elle, qui avait tellement souhaité en finir pour repartir en mission, ne le voulait plus. Helga voulait profiter de l'après-midi avec son homme. La mercenaire avait d'ailleurs une idée pour prolonger le bonheur de son perroquet. Maintenant qu'ils connaissaient le sexe, ils pourraient chercher un prénom. Helga appela ainsi Sam, en composant le numéro de mémoire, il était hors de question de rentrer le numéro dans son portable, par mesure de sécurité. Sam, qui gérait les missions, lui assura qu'ils avaient des hommes à envoyer à la place d'Helga. La mercenaire le remercia, puis après avoir raccroché, partit retrouver son homme. Elle avait son après-midi et sa soirée de libre.
Le temps de changer son programme, Iago avait disparu de sa vue, lorsqu'elle se retrouva dans la rue de l'hôpital. Elle se mit à marcher plus vite, connaissant vaguement où il était susceptible d'aller et finit par l'apercevoir. La rue, qu'il avait empruntée, était déserte. Elle sourit et cria son prénom. Lorsqu'il se retourna, elle sourit et courut dans sa direction. Helga lui sauta dans les bras et l'embrassa avec passion. Elle lui chuchota alors à l'oreille, « J'ai finalement pris mon après-midi, je suis tout à toi. »
Ils marchèrent ensuite main dans la main. Helga tout en marchant, lui exposa son idée d'un ton innocent.
« Maintenant qu'on est fixé sur le sexe, ce sera plus facile pour chercher un prénom... »
La prise de conscience se révèle à la vision d'un futur bonheur
Avoir un seul enfant de toi, ça fait longtemps que j'attendais
Le moins que l'on puisse dire c'est que Iago était tendu et impatient. Cela faisait des semaines qu'il attendait ce rendez-vous avec sa moitié et le médecin. Il voulait savoir que leur enfant allait bien, qu'il était en bonne santé et prêt à venir au monde dans les meilleurs conditions. Il savait que sa femme n'était pas aussi heureuse que lui a l'idée de cette naissance non attendue et il espérait qu'elle appréciait quand même l'idée. Il ne parvenait pas à oublier que cet enfant avait faillit les séparer et qu'elle avait conduit le couple à se séparer quelques temps. Iago n'avait pas supporté qu'elle ne veuille pas le garder à la base et qu'elle préférait ne pas avoir d'enfant biologique avec lui. Alors cette il avait déjà une fille adoptive merveilleuse mais Iago avait un besoin viscérale d'avoir un enfant qui soit réellement une part de lui et de elle comme pour ne jamais oublier et croire que c'est bien vrai mais cela ne remettait nullement en question ses sentiments pour sa fille. Elle était la sienne et rien ne changerait ça mais la ils auraient un bébé à s'occuper petit et le voir grandir, faire ses premiers pas, dire ses premiers mots. Il s'extasiait déjà devant ce bonheur en se rappelant qu'il n etait pourtant pas humain encore quelques longs mois en arriere et que maintenant il lui serait impossible de redevenir un perroquet. Il avait une vie ici, une femme et deux enfants et il riait rien qu en imaginant ce que pourrait penser Jafar à le voir ainsi sachant qu'il était en plus en lien avec Aladdin qui était le mieux placer pour lui parler d'enfant en ayant lui même un. Ainsi devant le gynécologue il attendait sagement le verdict remarquant l'anxiété importante d'Helga. Quand on leur proposa de connaître le sexe du bébé, Iago laissa la décision à sa femme bien que lui souhaitait le savoir. Il ne savait pas s'il préférait un garçon ayant déjà une fille ou une mini Helga qui serait un parfait mélange de son père et de sa mère. Il fut ravi de la réponse de sa jolie blonde qui ne tarda pas.
« Bien, au point où on en est, pourquoi pas... »
Docteur : « …ce qui atteste que vous attendez un petit garçon... »
Un garçon ! Un merveilleux et fantastique petit garçon ! Il n'en revenait pas. Un mini mélange de sa merveilleuse Helga et de lui-même. Un petit blond avec ses yeux comme dans le rêve au far west voilà ce qu'il imaginait, un parfait mélange. Il allait avoir un fils, son propre fils et il était prêt à le crier sous les toits. Avoir une fille de seize ans comme Théa était fantastique mais un nouveau né c'etait encore une expérience nouvelle pour eux. Il sentit une larme couler sur sa joue et fit son plus beau sourir à sa femme alors qu'elle lui chuchotait.
"Un mini-Iago, mein Papagei, pour agrandir notre famille. »
Il sourit encore à cette image, c'était tellement ça. Il remerciait le ciel pour cette vie, pour avoir rencontré une femme comme elle et l'avoir mise sur son chemin pour l'aider à avancer. qui sait ce qu'il serait advenu de lui s'il avait continuer à filer un mauvais coton et si elle n'était pas entrée dans sa vie. Il serra la main du médecin content comme pas deux et entraîna sa femme à l'extérieur. Elle devait repartir travailler, il avait envie de lui crier de faire attention, la supplier de lever le pied mais il savait que jamais elle n'accepterait et que se serait source de conflit. Elle avait fait des efforts pour lui alors il devait accepter et serrer les dents même si cela etait horrible pour lui. Il la vit donc s'éloigner et concentra ses pensées sur son fils à venir. Il fallait acheter un berceau, un siège auto, une chaise haute, un parc à bébé, des biberons, des jouets et des peluches. Sans compter des vêtements. Oh oui il avait hâte de faire ses achats avec Hega et d'être de vrais futurs parents d'un nouveau né. Soudain il sentit un bras sur le sien avant de sentir de douces lèvres sur les siennes. Aucun doute sur l'identité de son admiratrice, il la reconnaissait entre mille. Il la serra contre lui alors qu'elle lui disait.
« J'ai finalement pris mon après-midi, je suis tout à toi...Maintenant qu'on est fixé sur le sexe, ce sera plus facile pour chercher un prénom... »
-je suis tellement content que tu restes...j'avais déjà la tête dans la liste de toutes les choses qu'il nous faudra avoir pour accueillir notre merveilleux fils. Tu te rends compte, notre fils, à toi et à moi...Est ce que tu aurai déjà une idée de prénom ? Je sais pas tu as peut-être quelque chose qui pourrait te tenir à cœur. Moi je n'aurai jamais cru possible d'en avoir alors jamais je n'y avais réfléchit. Avoir une famille me paraissait encore irréel il y a quelques mois et maintenant....je suis l'homme le plus heureux du monde et c'est grâce à toi...Je t'aime...dit-il en scellant une nouvelle fois ses lèvres sur les siennes et en marchant dans les rues main dans la main avec elle. Ils avançaient en regardant les vitrines, s'arrêtant quelques fois devant des magasins pour enfant quand le regard de Iago s'arrêta sur une petite boutique somme toute traditionnelle de jouet en bois. Il venait de voir un petit train et cela illuminait son regard. Un jour, il jouerait avec ça avec son fils il en était certains. Bien sur c'était trop tôt pour l'acheter mais cela lui faisait réellement envie. Il était la à le regarder par la vitrine et le points du doigt à sa moitié
- Je suis sur que notre fils adorera jouer avec ce genre de chose et j'ai hâte de le découvrir avec lui. Il fixa son regard sur le nom qui apparaissait sur l'étiquette de prix du jouet "le petit train de Logan". Comme le super héros qu'il adorait Wolverine. Oui c'était le prénom parfait - que penses tu de Logan ? Il adorait déjà ce prénom de tout son être.
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Jeu 25 Déc 2014 - 17:27
La prise de conscience se révèle à la vision d'un futur bonheur
Helga était heureuse d'avoir pris son après-midi pour être avec son homme. Enfin, elle l'était jusqu'à ce qu'il commence à parler de leur enfant à naître. Elle aurait voulu lui dire « Stop, on se calme ! » mais elle se retint. Elle ne voulait pas entâcher le bonheur de son homme. En effet, l'énumération de toutes les choses nécessaires à acheter pour leur futur bébé n'étaient en rien une source de joie pour Helga, bien au contraire. Cela l'angoissait même. Bien qu'elle ait pris la décision de le garder, la mercenaire avait encore du mal à réaliser qu'elle allait être mère pour la seconde fois. La maternité n'avait jamais été un désir pour Helga, cela n'était pas envisageable avec sa vie d'avant, ni même avec ses envies. Sa vie actuelle n'offrait pas plus de place pour qu'elle soit mère, et pourtant elle l'était. Enfin, c'était compatible avec sa vie de mercenaire, puisque sa fille suivait ses traces et faisait partie de son équipe. A la base, Helga devait simplement aider cette orpheline esseulée à s'assumer pleinement. La mercenaire s'était vue à travers Théana, comme un miroir. Les deux blondes se ressemblaient, et pas que physiquement. Elles avaient toutes les deux des origines allemandes et possédaient un fort potentiel pour le mercenariat. Ainsi, Helga avait accepté d'aider une gamine sans contre-partie. Avec le temps, elle avait fini par s'y attacher, tout comme Iago. Le couple avait finalement adopté Théana. Pour Helga, leur famille était complète. Pas pour son perroquet, qui rêvait d'avoir un enfant à eux. Il voulait un bébé, qu'il voulait voir grandir. Maintenant, qu'ils allaient en avoir un, rien ne semblait pouvoir lui enlever sa joie. Helga ne mentionna donc pas sa réticence à faire les magasins pour bébé. Elle préféra plutôt changer de sujet, tout en restant dans le domaine. La mercenaire lança alors d'un ton se voulant le plus innocent possible qu'ils pourraient maintenant chercher un prénom. Cela ravit Iago, qui s'envola davantage sur son nuage.
« Tu en es aussi responsable, mon perroquet. Tu es autant responsable que moi pour ton bonheur. Je t'aime aussi, mon perroquet. Je ne sais pas. Je n'y ai jamais réfléchi. Je n'ai jamais vraiment voulu avoir d'enfants. Dans mon monde, c'était inconcevable, enfin dans celui-ci aussi...comme quoi, rien n'est réellement inconcevable. Pas avec toi. »
Les deux tourtereaux marchèrent main dans la main et passèrent devant des boutiques pour enfant. Helga n'était pas vraiment à l'aise avec l'engouement d'Iago. Les boutiques pour bébé ou pour les enfants lui donnaient la chaire de poule. Elle n'aimait pas ces endroits, elle ne s'y sentait pas à l'aise. Ce n'était pas le cas d'Iago. Helga prit donc sur elle et le laissa la guider. Il s'arrêta devant une vitrine d'un magasin vendant des jouets en bois. Helga se demanda ce qu'Iago dirait si elle entraînait leur fils comme elle le faisait avec Théana. Enfin, pour Helga, elle avait déjà fait son choix pour l'héritier de son empire : Théana. Elle était l'aînée et elle serait la première à avoir l'âge requis pour prendre la relève lorsqu'Helga prendra sa retraite. Et puis, la mercenaire l'entraînait pour ça et c'était aussi le souhait de Théana. La mercenaire ne prit pas la peine d'en discuter avec Iago, le chemin était déjà tracé et puis, il avait d'autres préoccupations pour l'heure. En effet, il venait de lui désigner un train. Helga lui sourit, ne trouvant rien à ajouter. Qu'est-ce qu'elle en savait ? Il n'était même pas né ! En tout cas, elle sentait qu'Iago serait un papa gâteau avec leur futur fils. Ce dernier regarda avec plus d'attention le train. Helga se demanda si c'était pour voir dans le détail ou s'il s'imagianit déjà en train d'y jouer avec leur fils. La mercenaire s'en détourna, ne préférant pas savoir et regarda les passants. Iago lui posa alors une question.
« Pourquoi pas. »
Pour Helga, c'était à Iago de choisir. Elle s'en fichait, elle avait encore du mal à accepter la situation. Pour montrer qu'elle ne s'en désintéressait pas complètement, elle proposa le second prénom.
« Et Ludwig en second prénom, ça te conviendrait ? »
Helga regarda son homme, quand une femme bien enceinte passa devant eux. Elle semblait avoir des difficultés à se mouvoir. La mercenaire la regarda durant tout son passage. Si elle ressemblait à ça vers la fin de sa grossesse, comment allait-elle pouvoir effectuer ses missions ? Elle s'était gardée de le dire à voix haute. Ce n'était pas censé, surtout pas avec Iago à côté. Et puis, Helga ne ressemblerait peut-être pas à cette femme. Elle sentit qu'Iago avait surpris son regard. Il faut dire qu'elle était restée silencieuse tout en fixant cette femme. Elle le regarda alors. Il avait dû surprendre ses inquiétudes. Même si elle les cachait, il le savait, il la connaissait. Il savait que sa carrière était importante pour elle, il savait que les missions étaient sa vie. Il connaissait son passé et son présent et dans les deux cas, le terrain n'y était pas absent. Il allait devoir user de beaucoup de patience et d'arguments pour la convaincre le temps de la grossesse, surtout pour la fin, de renoncer à certains types de missions. Il ne pourrait jamais la priver d'y aller, mais il pouvait avoir un poids non négligeable dans le ralentissement de celles périlleuses.
Le couple quitta la boutique de jouets en bois et continuèrent à marcher dans les rues. Helga chercha du regard une échappatoire. Elle ne voulait plus se focaliser sur leur fils. L'échographie, le choix du prénom, elle estimait avoir fait beaucoup concernant leur fils pour aujourd'hui. Elle n'était pas sûre de pouvoir en supporter davantage pour la journée. C'est ainsi que son regard tomba sur une fête foraine. Parfait ! Surtout qu'elle pourrait faire du tir ! Rien de mieux pour se changer les esprits et chasser leur fils de ses pensées.
Le couple fit le tour des stands et lorsque la mercenaire vit un stand de tir, elle s'y dirigea. Elle prit la carabine que le forain lui tendit et se mit en joue. Elle se concentra et toucha toutes les cibles, même les plus difficiles. Le forain en fut impressionné. S'il la voyait sur le terrain, il comprendrait que ce n'était rien pour la mercenaire. Helga rendit l'arme et récolta une énorme peluche jaune en lot.
« Je crois qu'on a déjà une peluche pour notre fils. »
Et voilà, Iago la contaminait. Elle avait voulu éloigner leur futur Logan de ses pensées et voilà qu'elle pensait déjà à lui.
La prise de conscience se révèle à la vision d'un futur bonheur
Avoir un seul enfant de toi, ça fait longtemps que j'attendais
iago pouvait dire qu'il passait une merveilleuse journée, sa femme est lui venaient d'apprendre qu'ils attendaient un petit garçon et elle n'avait pas fuit en courant pire elle avait même sourit ce qui enchantait Iago bien qu'il n'avait qu'elle le faisait pour lui. Cet enfant avait été source de dispute, ils s'étaient même séparés un temps parce qu'elle préférait avorter et puis finalement ils en étaient la. Ce bébé c'était un nouveau départ dans leur vie, le début d'une famille à quatre avec leur fille adoptive de seize ans déjà et ce bébé tant attendu par Iago. Jamais il n'aurait cru cela possible avoir un enfant qui soit un mélange entre lui et la femme de sa vie qu'il n'aurait jamais pensé pouvoir avoir non plus. Aussi si Helga préférait penser à autre chose et passer sa journée en amoureux, Iago lui voulait penser à son fils et lui trouver un prénom et tout ce qui allait avec, comme des jouets ou des vêtements. Il avait d'ailleurs posé la question à sa moitié de savoir comment elle souhaitait appeler leur enfant mais elle semblait preferer laisser le choix à son homme qui venait d'ailleurs dans l'euphorie du moment de lui dire une nouvelle fois combien il l'aimait.
« Tu en es aussi responsable, mon perroquet. Tu es autant responsable que moi pour ton bonheur. Je t'aime aussi, mon perroquet. Je ne sais pas. Je n'y ai jamais réfléchi. Je n'ai jamais vraiment voulu avoir d'enfants. Dans mon monde, c'était inconcevable, enfin dans celui-ci aussi...comme quoi, rien n'est réellement inconcevable. Pas avec toi. »
Il n'avait pu que lui sourire alors qu'ils marchaient dans les rues en regardant les vitrines des magasins des jouets. Helga n'était visiblement pas ravie mais Iago pour une fois n'avait pas semblé le remarquer trop excité à l'idée et fixait les jouets d'un œil nouveau. Le petit train en bois dans la vaurien lui sembla fait pour eux et le prénom inscrit dessus lui rappelait qu'il aimait ce prénom. Très américain, très de ce monde et en même temps représentant de son héros favori, oui il l'adorait aussi le proposa t-il à sa femme. Il avait envie d'appeler leur fils Logan aussi espera t-il qu'elle dirait oui. C'était peut être trop tot, à peine sortit de l'hôpital mais se fut comme une révélation et il fut plus que ravi de la réponse de sa bien-aimée.
" Pourquoi pas...Et Ludwig en second prénom, ça te conviendrait ? "
- bien sur ma chéri, c'est un très beau prénom. Logan Ludwig c'est....merveilleux...dit-il avec son plus beau sourire. Puis ils quittèrent le magasin et Iago remarquait la gêne d'Helga. Il réalisa alors qu'elle venait de passer des heures à parler du bébé alors qu'elle ne n'avait sûrement pas très envie et cela le toucha aussi décida t-il à son tour de passer à autre chose pour que sa femme puisse se détendre et apprécié ce moment après tout elle était resté avec lui au lieu de travailler. Puis Helga vit son regard attiré par une fête foraine et tous les deux s'y dirigèrent. Elle voulait aller au stand de tir et c'est avec une aisance incroyable qu'elle tirait sur les cibles sous les regards impressionnés des autres joueurs. Iago riait intérieurement, sa femme était une experte en tir comment pouvait-il en être autrement. Elle remporta une jolie et grosse peluche jaune qu'elle présenta fièrement à son oiseau en disant.
" Je crois qu'on a déjà une peluche pour notre fils. "
- elle est très jolie et trônera fièrement dans son lit, après tout c'est sa maman qui la gagné.
Il était content en effet venait-elle seulement de remarqué qu'elle avait abordé le sujet la première. Que c'etait elle qui venait de parler en évoquent leur fils ? Il était des plus heureux en cet instant et proposa alors un tour de grande roue pour finir l'après midi en beauté. Il paya deux tickets et se blottissant contre elle laissa la machine démarrer. Ils surplombaient la ville et pouvaient en admirer toutes les décorations. Il la serrait contre lui et lui murmura
- je ne voudrais échanger ma place pour rien au monde...et pour terminer la journée en beauté je t'invite à dîner en tête à tête enfin plutôt à trois...dit-il en passant doucement sa main sur le ventre de sa femme. Puis ils descendirent du manège pour gagner un petit restaurant de quartier très romantique ou ils s'installèrent pour manger tranquillement. Ils n'avaient pas eu de moment comme ça à eux depuis longtemps et il tenait à en profiter au maximum.
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Mer 21 Jan 2015 - 23:06
La prise de conscience se révèle à la vision d'un futur bonheur
Lorsque le choix des prénoms pour leur fils fut décidé, Helga en fut ravie. Une bonne chose de faite ! En réalité, bien qu'elle ait pris la décision de le garder, la mercenaire avait encore du mal à réaliser qu'elle allait être mère pour la seconde fois. Surtout d'un bébé, qui dépendrait entièrement d'elle, enfin d'elle et Iago. Elle ne se sentait pas réellement prête. Gérer une équipe de militaires ou de mercenaires pour des missions périlleuses, voir mortelles, ça, elle savait faire. Prendre des décisions en cas d'imprévu, en pleine attaque, elle savait faire. S'occuper de sa fille, adolescente, elle gérait. Cependant, elle n'était pas sûre de réussir avec un bébé. Elle ne pourrait décemment pas l'emmener avec elle en mission, elle ne pouvait pas non plus l'emmener au QG. Pourtant, elle ne pouvait pas ne pas y aller. Le QG, c'était sa vie. Bien qu'Iago l'était également, ainsi que Théana. Ainsi, Helga ne savait toujours pas comment elle allait gérer ce nouvel Être dans sa vie. Elle sentait bien qu'Iago s'en occuperait et qu'il en serait ravi, mais son rôle à elle, elle ne savait pas encore comment l'endosser.
Le couple, après avoir quitté les abords du magasin de jouets, se balada dans les rues. Helga chercha un moyen de chasser ses inquiétudes, donc son futur fils de ses pensées. C'est alors qu'une fête foraine se présenta. Les tourtereaux y allèrent et Helga rafla un lot au stand de tir. C'est en l'obtenant qu'elle eut une réaction qui la surprit. Elle venait d'annoncer à Iago qu'elle envisageait de donner cette peluche à leur fils. Elle qui avait tout fait pour essayer de le chasser de son esprit, voilà qu'elle avait une attention envers lui. Cela ravi Iago. Il proposa même de finir cette après-midi par un tour de grande roue. La blonde accepta avec un sourire et ils prirent place dans le manège. Iago vint se blottir contre elle. Cela lui réchauffa le cœur et l'apaisa. Ses inquiétudes sur sa future maternité s'étaient envolées pour un temps. Cependant, elles revinrent lorsqu'Iago prit la parole. D'abord, Helga fut ravie qu'il parla d'un dîner en amoureux. Puis, lorsqu'il mentionna leur fils et qu'il posa une main sur son ventre, la peur la reprit. Helga n'était pas sûre d'assurer une maternité en étant la mercenaire qu'elle était. Elle ne voulait pas changer ce qu'elle était, mais elle ne voyait pas comment inclure ce bébé dans sa vie actuelle. Elle sourit à Iago. Elle posa sa main sur la sienne, pour ne pas l'inquiéter, le rassurer, cacher ses peurs, bien qu'elle ne se faisait pas d'illusion. Il était rare qu'elle arrive à cacher quelque chose à celui qu'elle aimait. Helga soupira et se lova dans les bras de son homme. La mercenaire si froide, si forte, quasi invincible, semblait bien fragile en cet instant, blottie dans les bras de son homme. C'était fou comme un petit être à peine né pouvait bouleverser la mercenaire.
Lorsqu'ils descendirent du manège, ils se rendirent dans un restaurant de quartier. Helga trouva le lieu un peu trop romantique à son goût, à part ça, le cadre lui convenait. Elle espérait que le repas serait bon. En effet, elle avait effectué une mission bien remplie ce matin, puis elle avait mangé rapidement, afin d'être à l'heure pour l'échographie. Elle avait donc faim. La mercenaire faisait confiance au choix de son compagnon quant au restaurant. Et puis avant d'entrer, ils avaient regardé rapidement la carte exposée à l'extérieur. Les plats semblaient appétissants.
Lorsque leur commande arriva, Helga se délecta de son plat. Elle trinqua avec son homme, qu'elle regarda en lui souriant, heureuse. Après avoir savouré son plat, elle posa une question à son homme. Elle n'avait plus vraiment eu l'occasion de s'intéresser à sa vie professionnelle. Helga voulait rattraper ça. Après tout, elle s'intéressait au bonheur de son homme, qui passait par la vie privée et professionnelle.
« Au fait, ça se passe bien au restaurant ? »
La mercenaire écouta son homme, tout en savourant son plat et surtout cette merveilleuse soirée. Helga était ravie de ce moment à deux...ou à trois, comme l'avait spécifié Iago dans la grande roue, bien qu'elle ne pensait pas à leur fils en cet instant. La mercenaire était plutôt dans l'optique de profiter de cette soirée avec son homme. Cela faisait longtemps qu'ils n'avaient plus eu un moment juste tous les deux. La mercenaire était donc enchantée de cette soirée. Cela se voyait dans sa façon de regarder son homme, dans sa façon de lui sourire, de l'écouter et surtout dans sa façon de lui faire du pied sous la table avec un sourire, qui ne lui était pas inconnu. La soirée était loin d'être terminée pour les deux tourtereaux.
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