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 :: RP Abandonnés
Le casse dalle. [PV Cello]
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Jeu 20 Aoû 2015 - 18:19


Ca ne faisait pourtant que peu de tmeps que Ryan était dans cette ville qui lui semblait bien réelle à présent, et il avait déjà rencontré quelques personnes, il se débrouillait plutôt pas mal, il avait trouvé un moyen de gagner un peu d'argent et cernait petit à petit le fonctionnement de l'endroit. Du monde se pressait pour rentrer dans un petit commerce pour en ressortir aussi vite, il devait voir ce qu'il y avait alors il s'y faufila. C'était un marchant de tabac.
Après avoir compté les quelques dollars dans sa poche, il s'offrit un paquet de cigarettes et alors qu'il en déballait une, se demandant comment l'allumer, se fit offrir du feu par un homme qui partait pour faire la même geste. Ryan lui adressa un hochement de tête et reprit sa route, à la recherche d'un repas gratuit vu qu'il n'avait plus rien.

La foule se pressait à un autre endroit, en sortant les bras chargés d'aliments, l'endroit parfait dans lequel il s’engouffra. En effet, il y avait de la nourriture jusqu'au plafond, des liquides de toutes les couleurs dans des récipients de toutes les tailles, des choses indescriptibles aux utilisations inconnues. Alors qu'il arpentait les rayons, sa cigarette se consommait toute seule, il en lâcha le mégot qu'il écrasa sur le carrelage avec le talon, saisissant tout ce qui passait pour le reposer plus loin après l'avoir observé. Tout ceci coûtait bien cher, se dit-il en arrivant devant un frigo ouvert plein de snacks qui lui faisaient envie.

Il attrapa un emballage à l'allure appétissante et se dirigea vers la sortie d'un pas décidé, attrapant une bouteille au hasard au passage, un soda au cola en l’occurrence, les lumières et la foule l'oppressait, il se ne sentait pas à son aise dans cet endroit. Il espérait sortir sans qu'on ne le remarque. Arrivé aux caisses où tout le monde posait ses articles pour les régler, il se dirigea vers une où seul un client s'y trouvait, entrain de faire vérifier ses achats. Il le bouscula en passant et fut immédiatement stoppé par les antivols qui hurlèrent. Sursautant de tout son être, il eut le réflexe de frapper un grand coup dans un des panneaux en plastique clignotant. Le bruit résonna et la caissière fit un bond.

"Monsieur, arrêtez ! Steph ! Steph !"

Ryan la dévisagea, se demandant qui elle pouvait bien appeler. Il la pointa du doigt, le bras plié.

"Toi, ferme ta gueule."

Il ne cachait même pas ce qu'il voulait s'offrir, le tout le long de sa jambe, dans sa main gauche. Le portique continuait de sonner, ce qui avait le don de l'énerver encore un peu plus alors qu'il donna un coup de genou dedans.

"Toi aussi putain !"


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Ven 21 Aoû 2015 - 17:51

Le casse dalle


[Ton code rp bugue je crois, parce que j'ai essayé d'enlever le mien et le sujet plante quand même o_o]

Ce matin-là, je savais que j’allais devoir faire des courses aujourd’hui. Je sortais plus tôt du cabinet, donc j’en profitais toujours pour faire quelques achats. Je regardais Liffol qui dévorait son petit déjeuner plus vite que son ombre, pressé d’en finir pour aller à l’école – j’ignorais pourquoi, ce gamin adorait aller en cours -, et décidais de lui demander ce qu’il voulait manger :

- Liffol, je vais faire les courses aujourd’hui. Tu veux manger quelque chose de spécial, cette semaine ?

J’observais mon enfant se mettre à réfléchir. Dans ces moments là, ses yeux étincelaient, jusqu’à ce qu’ils se tournent vers moi.

- Je saaais ! Je veux manger ce que papa…Frédéric…papa…
- On en a déjà parlé, tu peux l’appeler papa, Liffol.
- D’accord…Ce que papa y faisatait touuuut le temps !
- Faisait, Liffol, pas faisatait, le repris je avant de poursuivre : Du riz ?
- Nooon ! Des ravi…Raviolinis ?

J’eus un vague sourire, caressait lentement sa tête, et retournait à mon propre petit déjeuner :

- Va pour les raviolis alors.
- Ouaaaaais ! Merci papa Cello !

C’est comme ça que je me retrouvais à la supérette ce jour là, après être sorti du travail. J’avais d’autres choses à acheter, mais je pris en priorité des raviolis en boîte. Je ne savais pas trop quoi prendre exactement, et j’en prenais ainsi un à la sauce tomate, un autre à un autre goût… Bref, je me retrouvais avec un tiers de mes achats couverts de boite de ravioli.
Je savais que j’avais encore du mal à me faire à mon statut de père.

J’arrivais à la caisse, et passais mes affaires nonchalamment, sur le tapis roulant, songeant aux patients dont je m’étais occupé le jour même, et à la tête que tirait Liffol en voyant son assiette remplie de raviolis.
Perdu dans mes divagations, je sursautai, quand quelqu’un me frappa brusquement pour pouvoir passer.
Je fronçais les sourcils, je détestais les gens comme ça. Alors que j’allais le lui faire remarquer, j’entendis les portillons de la caisse se mettre à sonner. Moi qui détestais les bruits stridents, j’étais aux anges.

J’aurais du m’en douter. Cette journée était trop belle pour être vraie, ou juste se terminer aussi bien.

Le type qui m’avait fait bousculé, et avait fait sonné la caisse – le voleur quoi – se mit à râler, et à frapper contre le portillon. Je devais bien admettre qu’il paraissait avoir de la force. Je songeais au fait qu’il paraissait agressif et peut-être dangereux, et restais sur mes gardes. J’allais devoir éviter de dire n’importe quoi devant lui.
Je voyais la caissière paniquer, et je restais immobile.
Vu l’agressivité et la froideur des paroles de ce type, j’avais en effet intérêt à être prudent. Ce qui n’allait pas m’empêcher de vouloir le remettre à sa place. Mince quoi ! Je devais rentrer vite pour ranger les courses et récupérer Liffol ! Je n’avais pas le temps d’appeler sa nounou !

- Et toi, tu ferais mieux de te calmer.

Je sentais que ce n’était pas très bien de dire cela, mais je rentrais dans son jeu, bien que je restais plutôt calme, les mains posées sur le tapis déroulant où j’avais terminé d’entreposer mes achats.

- Parce que c’est pas en t’énervant sur tout ce qui bouge ou ne bouge pas, que tu vas régler ton problème.

Je songeais au fait que lui faire la causette pendant que la sécurité s’occupait d’arriver et de le chopper, était une plutôt bonne idée, même si je n’avais pas très envie de subir ce que le portillon avait subi avant.

- Surtout juste pour un pauvre sandwich et un soda.

Ma voix était glaciale autant que l’homme était bouillonnant de colère.

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Invité
Anonymous
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Ven 21 Aoû 2015 - 21:13
Désolé, j'avais un /table en trop, mais c'est bon maintenant :).



Une voix d'homme se fit entendre juste derrière lui et Ryan jeta un oeil par dessus son épaule et constata que c'était celui qu'il avait bousculé pour passer qui avait le cran de lui tenir tête.
Arrivèrent rapidement deux hommes en uniformes qui n'étaient pas sans lui rappeler ceux que portaient les hommes qui l'avaient enfermé avec l'homme sauvage. Ceux-ci lui barrèrent la route, se voulant impressionnant alors que seul l'un d'eux pouvait rivaliser avec la carrure de Ryan, ce fut justement lui qui tendit une main vers l'épaule du brun qui pencha la tête sur le côté en lui adressa un regard froid et provoquant.

"Monsieur, suivez-nous sans faire d'histoire."

Le second, plus petit et bien moins imposant, fit signe  à l'homme qui s'était interposé de ne pas le provoquer, de rester calme.
Ryan le regarda faire, haussa un sourcil et se retourna vers ce type et fit un pas vers lui, ce qui le dégagea du portillon qui arrêta d'hurler, ce qui ne fut pas le cas de la caissière qui lui demandait de s'éloigner avec crainte. Il se tenait bien droit, plus grand que lui, il le fixait dans les yeux, le défiant presque du regard, froidement.

"Si c'est ça le problème."

Il plaqua avec force le contenu de sa main contre le torse du jeune homme pour les lui refiler et tourna les talons pour repasser le portillon qui ne broncha pas. Il se planta devant les vigiles, les toisa un instant avant de les bousculer pour sortir du magasin. Surement pour ne pas faire plus d'esclandre, ils le laissèrent passer, mais ils ne le remarquèrent pas se saisir d'un article sur le tapis de la caisse, l'un essayant déjà de rassurer la caissière et l'autre ayant regardé la scène un court instant.
Un fois dehors, il constata qu'il avait récupéré un paquet de gâteaux, maigre gibier mais il avait échappé à une nouvelle nuit en cellule.

Sans scrupules, il se posa sur une marches, quelques mètres plus haut dans la même rue et ouvrit le sachet. L'odeur de sucre était prenante alors qu'il reniflait le cookie qu'il en sortit, le goût était encore plus prenant, comment pouvez t'on mettre tant de sucre dans un si petit aliment. Ce genre de goûts lui étaient encore inhabituels mais il le mangea, en grimaçant un peu certes.

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Anonymous
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Jeu 27 Aoû 2015 - 13:09

Le casse dalle


[Pas de problème :D Désolé du temps d’attente, j’ai été submergé de rps, et j’étais en stage donc il m’était difficile de faire beaucoup de rp dans la journée]

Je faisais face à l’homme, mais de toute façon, je n’avais pas à attendre longtemps avant que ce type se fasse arrêter, puisque déjà les vigiles se précipitaient sur lui, pour s’occuper de son cas. J’observai la scène, avec ce qu’on pourrait appeler de la nonchalance. Pas que ce genre d’évènement m’était quotidien, mais juste que j’avais l’habitude des excès de zèle de certains de mes patients. Je me rappelais de l’un d’eux avec qui j’avais par mégarde abordé un sujet fâcheux, qui s’était mis à courir dans le couloir en hurlant.
Il fallait dire, que j’avais rencontré cet homme dans un hôpital psychiatrique, quand je n’étais même pas encore tout à fait diplômé. J’avouerais qu’à ce moment là j’avais plutôt réagi différemment que maintenant.
Mais à présent, je pensais m’être un peu habitué aux crises de colère ou d’impulsivité des hommes.
J’observais donc ce qu’il se passait devant moi, maugréant après la caissière qui de fait était elle, terrorisée.
Le voleur me parla puisque je lui avais parlé, et il paru comprendre qu’en s’enlevant du portillon celui-ci se taisait enfin. Cela fit du bien à mes oreilles, avant qu’il me confie avec brutalité ce qu’il tenait dans ses mains.
Bien. Il n’était pas aussi violent que cela alors ? Parce que s’il l’avait vraiment été, je doutais m’en être sorti indemne. Je le vis s’en aller, et observait ce qu’il m’avait laissé. Agacé, je n’avais pas envie de poser des problèmes plus qu’il n’y en avait déjà, et posait le tout sur le tapis de la caisse, avant d’observer celle qui s’en occupait.

- C’est bon il est parti, je peux passer maintenant ?

J’avouais ne pas être très patient avec elle, mais j’avais encore dans l’idée que Liffol m’attendrait bientôt, donc je ne pouvais pas m’arrêter sur le fait qu’un type venait de foutre le bazar pendant quelques instants. En plus, si j’arrivais en retard, il finirait à l’étude, et je savais combien il détestait aller en études. Même si je n’avais jamais bien compris pourquoi.
Je la vit bégayer, hésiter, jeter un coup d’œil aux vigiles qui commençaient à repartir à leur poste, puis, je pus enfin voir mes articles passé à la caisse. Je mis tout dans deux sacs, avant de comprendre qu’il me manquait quelque chose.
Les cookies préférés de Liffol avaient disparu, et j’étais sûr de les avoir pris, puisque lorsque j’étais allé les chercher au rayon, j’avais remarqué qu’il en existait d’autres sortes et cela m’avait marqué. Je grinçais des dents, soupçonnant la cause de leur disparition, et payait avant de prendre mes deux sacs de courses – lourd – et de m’en aller sans même dire merci ou au revoir. J’avais fait attention de mettre le sandwich et le soda au dessus de la pile d’un des sacs, pour les donner à un pauvre si j’en croisais un – après tout, je n’en avais pas besoin -.
Sauf que quand je sortis, je vis au loin le même homme, qui avait fait sonner tout le magasin, assis, avec la boite de cookie de Liffol.
Immédiatement, j’avançais très vite vers lui, puis, me mettant face à lui, debout, lui tendit les deux objets qu’il avait voulu se procurer par le vol.

- On procède à un échange ? Tu me rends les cookies qui ne sont pas à toi, je te donne les deux trucs que j’ai pris.

J’espérais pouvoir récupérer les gâteaux de Liffol, sinon, je l’imaginais déjà ne pas comprendre pourquoi je ne lui avais pas acheté, et je me voyais mal lui expliquer toute la scène qu’il m’était arrivé.
J’avais posé mes deux sac des deux côtés de mon corps, et attendait que l’échange se fasse, tendant d’ailleurs ma main pour obtenir les cookies.

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