No more happy endings...
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 :: RP Abandonnés
Au fond d'un cachot...( pv libre )
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Mer 17 Avr 2013 - 11:29
Robin bougea légèrement. Son front le brûlait et c'est en le frôlant qu'il découvrit la plaie qui s'y trouvait. Gémissant le hors-la-loi se tourna mais malheureusement pour lui il tomba de la paillasse qui lui servait de lit.

- Aie...aoutch....

Robin ouvrit les yeux et regarda autour de lui. Il se trouvait dans une pièce ronde, sans fenêtres et avec une grille en fer comme unique porte.Tout les souvenirs se bousculaient dans ses tête et il du faire un effort surhumain pour se rappeler ce qui l'avait mener dans cette pièce. Il se mit a ramper sur le sol en direction de la grille, se sentant encore trop faible pour tenir sur ses jambes. C'est en tendant une de ses mains en direction de la grille qu'il remarqua un détail troublant. Cette main qui était couverte d'une douce fourrure rousse ne l'était plus. A la place des griffes se trouvait des ongles. Une peau blanche, légèrement bronzée avait remplacée la fourrure du renard. Robin regarda son autre main d'un air étrange. Que lui était-il donc arrivé en une nuit ? Etait-il victime d'un sortilège ? ou encore avait-il seulement la berlue ou une hallucination. Il avait toujours dis que le ragout de Petit Jean était trop corsé niveau épices mais son bras lui défendait vivement le contraire. Passé sa surprise et prenant appui sur la porte en fer il pu se mettre debout et commença à analyser la situation dans laquelle il se trouvait.

* Alors...la tour de Londres...la prison la mieux garder d'Angleterre...dans la capitale du royaume et au porte du château du Prince Jean....autant dire que la situation est très très très complexe mon vieux et que tu va devoir te creuser les méninges pour t'en sortir vivant...*

Robin regarda autour de lui dans la pièce pour trouver des éléments pouvant l'aider a fuir mais malheureusement pour le hors-la-loi rien dans sa cellule ne pouvait l'aider. Désespéré il s'appuya sur la porte. A sa grande surprise et au risque de perdre l'équilibre celle ci s'ouvrit. Il s'avança alors prudemment dans le couloir où se trouvait les différentes cellules. Les autres prisons étaient vides ce qui l'étonna.

* Pour la plus grande prison du pays, je la trouve bien vide moi.*

Toujours aussi prudent le jeune archer monta l'escalier en colimaçon qui se trouvait au bout du couloir. Au fur et a mesure qu'il remontait la lumière se faisait de plus en plus présente. Il déboucha sur un hall immense, inondé par la lumière du jour ce qui le gêna un peu. S'habituant a la forte lumière il regarda autour de lui. Le sol était couvert de dalles mais elles n'étaient plus en pierres mais en marbres. Perdu dans ses pensées, le jeune homme fut soudain tirer de ses rêves par une voix venant d'un autre couloir.

- Si vous voulez bien me suivre Mesdames et Messieurs nous allons maintenant accéder au vestibule menant aux cachots.

Voulant éviter d'être repérer, Robin poussa une porte se trouvant sur sa droite, porte qui se menait dans des toilettes. C'est en se retournant que Robin eut le choc de sa vie. Dans le miroir qui se trouvait en face de lui, il voyait un jeune homme, brun, avec une barbe? Ce jeune homme était habillé d'un haut vert et d'un pantalon gris. Robin s'avança vers le miroir. Il n'osait pas croire qu'il était la personne qu'il voyait dans la glace.

* Hé bé...que de changement en une nuit c'est fou *

Remit de sa surprise, il sortit de la pièce pour retourner dans le hall qui était redevenu silencieux. Avisant une porte de sortie il sortit de la prison. Détails troublants pour lui, aucuns des gardes, qui n'étaient plus des rhinocéros et qui se trouvaient là ne se lancèrent à sa poursuite. Au contraire la plupart d'entre eux le saluaient d'un rapide signe de tête. Lui, un des hors-la-loi les plus recherchés de son royaume se faisait saluer par les gardes. S'avançant dans la rue il marcha tranquillement, croisant des Londoniens qui étaient sous forme humaine tout comme lui. Il n'était donc pas le seul victime de cet étrange phénomène. Même les charrettes avaient changées. Plus de chevaux qui les faisaient avancer, elles avançaient sur les roues.

* Dans quel monde suis-je arrivé...*
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Jeu 18 Avr 2013 - 13:41


« L’amour est avant tout un événement reposant sur une rencontre qui ne peut se décider à l’avance. »

La cohue règne à paris, ça se bouscule, ça crie et surtout, ça donne la migraine. Je peste contre l’idée qu’il m’est venu à l’esprit de porter des chaussures à talons et une robe légère. Cette tenue n’est vraiment pas accommodante pour se frayer un passage parmi les voyageurs pressés. De plus, la valise que je traîne derrière moi est assez lourde et vient à perturber mes gestes et ma concentration. En effet, lorsque j’étais Princesse, je n’avais pas l’habitude de porter mes affaires moi-même ou de m’occuper de ma tenue car tous les domestiques se trouvaient faire leur travail admirablement bien. Mais ici, dans la capitale des amoureux, je devais tout faire moi-même. Voilà déjà un bon mois que j’étais arrivée sur Terre et je m’étais vite adaptée à la situation. J’avais trouvé un travail à mi-temps en tant que serveuse et m’étais faite aux mœurs des Françaises. A Paris, il fallait être chic en toutes circonstances. Mais cette ville ne me plaisait pas plus que cela. Je ne savais pas pourquoi j’avais atterri ici. Il n’y avait pas d’océan à proximité, pas de châteaux qui se tienne encore debout comme il se doit et, surtout, aucun lien avec mes origines.
C’est donc un soir que j’avais décidé de me renseigner sur l’origine des personnes rousses et des Sirènes. J’avais appris alors que l’on en trouvait beaucoup au Danemark ou en Suède mais mon maigre revenu ne me permettait pas de voyager si loin. Puis m’étais apparu l’Écosse qui y recelait quelques traces. Bien sûr, là aussi je ne pouvais me permettre de dépenser autant mais je pouvais néanmoins prendre une place dans l’Eurostar et me rendre à Londres. Là-bas, je trouverai sûrement de quoi me refaire de l’argent et partir plus tard pour une de mes terres d’origine. Je cliquai sur le confirmer et me voilà en partance pour l’Angleterre dans moins d’une semaine.

Je me sentais terriblement oppressée dans ces sièges et cette longue voiture appelée train qui passerait sous la mer. La mer, mon ancien monde … Un soupir s’échappa de mes lèvres entrouvertes et mon voisin me lança un regard compatissant. N’avait-on pas le droit à une tranquillité ? Lui lançant n regard noir, je me suis confortablement callée dans mon fauteuil avant de mettre de la musique dans les oreilles. Oui j’ai énormément de chose pour une femme qui est arrivée il y a peu. Mais j’ai eu de la chance de découvrir un coffre à mon nom rempli de pas mal d’argent. Je ne sais pas d’où il vient mais c’est toujours bon à prendre.
« Mesdames et messieurs, nous sommes arrivés à Londres. » La voix du conducteur me tira de mes rêves colorés emplis d’amour et de futures promesses. Je me suis étirée longuement en attendant que mon voisin daigne bien se lever et sortir de la voiture. Après quoi, j’ai accueilli le soleil d’Angleterre avec un grand sourire. Immédiatement, je me mis à la recherche d’un taxi et trouva un hôtel non loin du centre de la ville qui me permettrait d’y passer quelques nuits le temps que je retrouve un emploi et un petit chez moi à louer. D’accord la chambre était vétuste et comportait quelques toiles d’araignées mais l’on s’y sentait bien. Je regardai alors ma montre qui affichait quinze heures passées de quelques minutes. Je pouvais encore tenter de dénicher un emploi. Tout sourire, je sortis précipitamment de l’immeuble qui m’hébergeait et alla me présenter à divers cafés et bars mais mes recherches ne donnaient aucun résultats jusqu’à ce que je tombe sur un homme qui venait de licencier son ancienne serveuse pour faute professionnelle. Ni plus ni moins, il me prit en essai immédiatement et me pria de sortir les tables et chaises sur la terrasse afin de profiter du beau temps. Il n’avait pas eu le temps de s’en charger. Cependant, un homme qui semblait perdu se trouvait devant la porte et m’empêchait de poser mes objets sur le trottoir. « Excusez-moi Monsieur, pourriez-vous vous décaler afin que je puisse faire mon travail ? » Mon ton légèrement autoritaire ne laissait aucun doute sur mon envie d’avoir ce travail et de faire au mieux.
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Anonymous
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Jeu 2 Mai 2013 - 10:58
Robin ne cessait de regarder autour de lui, l'air légèrement perdu. Il aurait bien voulu demander pourquoi il se trouvait soudainement sous cette forme étrange mais après réflexion, le hors-la-loi comprit bien qu'il aurait été prit pour un fou que d'affirmer qu'il était un ancien renard, pourchassé par la haine du Prince Jean qui avait vécut au Moyen-Âge.

* Bon il faut pourtant bien que je me renseigne sur l'époque dans laquelle je me trouve. Au moins avoir un repère temporel pourrait m'aider à comprendre la situation. *

Plaçant ses mains dans ses poches il s'avança dans la rue, cherchant le moyen de connaitre la date du jour. Il gardait la tête basse, évitant de dévisager les passants.

* Il n'y a pas un moyen de connaitre la date où nous sommes ? *

C'est alors qu'une voix se fit entendre.

-VOUS ! OUI C'EST A VOUS QUE JE PARLE !

Surprit Robin tourna la tête en direction de la personne qui l'interpellait. Mais il ne vit personne. Enfin il ne vit personne se trouvant en face de lui. Il faisait face à une vitre dans laquelle se trouvait une boite. Mais cette boite n'était pas ordinaire a ce qu'il pu voir. En effet à l'intérieur de cette boite se trouvait un homme. Cet homme était jeune, bien habillé et ne faisait que sourire.

- OUI VOUS QUI ME REGARDEZ ! ÉCOUTEZ MOI BIEN !

Robin s'approcha de la vitre.

- ex...excusez moi mais c'est a moi que vous parlez ? dit-il d'une voix timide.

- LAISSEZ MOI VOUS DIRE QU'EN CE JEUDI 15 FÉVRIER 2013 VOUS ALLEZ POUVOIR AVOIR LA CHANCE DE GAGNER UN VOYAGE DANS L'ÎLE D'IBIZA !! POUR CELA APPELEZ LE NUMÉRO QUI S'AFFICHERA EN BAS DE L’ÉCRAN !!

- Où se trouve Ibiza ? je ne comprend rien du tout a ce que vous me dîtes.

En tournant la tête, Robin pu voir que des habitants le regardait d'un air étrange. Pourtant il ne faisait que répondre à une personne qui l'avait interpelé. Pour éviter d'être encore plus ridicule, le hors-la-loi s'éloigna de la vitre et de la boite. Il se retourna et vit que l'homme dans la boite continuait de parler tout seul, a répéter les mêmes phrases qu'il lui avait dit.

- Cet homme est complétement fou, il parle tout seul et dans le vide en plus.

Il reprit sa marche et sa réflexion.

* Bon alors...j'ai appris que nous sommes en 2013... QUOI !!! EN 2013 !!! *

Sous le choc, Robin s'arrêta au beau milieu de la rue, sans faire attention sur le fait qu'il puisse gêner la circulation des piétons qui l'entourait. C'est alors qu'une voix résonna à nouveau à ses oreilles. Mais cette fois ci la voix était féminine même si elle était légèrement autoritaire.

« Excusez-moi Monsieur, pourriez-vous vous décaler afin que je puisse faire mon travail ? »

Robin fut tirer de ses pensées.

- Hein ? quoi ?

Il regarda d'où venait la voix qui venait de parler, s'apprêtant a voir une autre personne dans une autre boite. Mais cette fois il se retrouva nez a nez avec une jeune demoiselle. Robin s'était planté au beau milieu d'une terrasse d'un café et gênait la jeune femme qui semblait vouloir sortir de la salle. Le héros recula d'un pas dégageant l'accès à la terrasse.

- Excusez moi je n'avais pas vue que je me trouvais devant votre café.


Voyant que la jeune femme devait sortir des tables qui semblaient assez lourdes, il s'approcha.

- Excusez moi mais vous avez besoin d'aide ?
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Ven 3 Mai 2013 - 15:41


« L’amour est avant tout un événement reposant sur une rencontre qui ne peut se décider à l’avance. »

Une petite brise vint délicatement me caresser le visage et faire voler mes cheveux devenus plus roux que rouges. Je regardai le ciel Londonien, ma table dans les mains, cherchant dans les nuages un signe qui me permettrait de me dire que je n’étais pas la seule dans ce pétrin-là. Que, quelque part, d’autres personnes se retrouveraient aussi projetées dans ce monde étrange où nous n’étions que de pures inventions pour satisfaire les douces rêveries des enfants. Un sourire s’afficha furtivement sur mes lèvres colorées d’un petit gloss cerise. J’allais continuer à avancer lorsque je remarquai un homme à peine plus âgé que moi – du moins je le pensais – qui semblait totalement perdu et qui, de plus, m’empêchait de faire mon travail. C’est ainsi que je me mis à l’apostropher peut-être un peu trop sévèrement mais mon futur emploi était en jeu et je ne voulais surtout pas le laisser passer. Gentiment, ce dernier se décala et je m’empressai de le remercier d’un large sourire, soulagée que ce ne soit pas un homme ayant forcé sur la boisson. Il faut dire qu’à Paris, ces hommes-là étaient nombreux et, soit ils se permettaient de faire des compliments assez dérangeants, sot ils s’énervaient et valait mieux battre en retraite. Combien de faits divers avaient noirci les pages des hebdomadaires, affichant qu’une quelconque personne – dont la plupart avaient déjà oublié le nom – s’était fait poignardé au sortir d’un bar. Je secouai la tête histoire de sortir de mes pensées et me dépêchai de poser l’objet sur le trottoir car ça commençait à devenir lourd. « Merci de vous être dérangé » Lui dis-je avant de repartir illico vers l’entrée du lieu qui devenait débauche lorsque la nuit tombait. « Excusez-moi mais vous avez besoin d'aide ? » Je m’arrêtai bien vite sur le seuil de la porte, intriguée que quelqu’un puisse demander son aide. Je me suis retournée, croisant les bras et penchant la tête sur le côté, faisant mine de réfléchir. « Hé bien ça ne serait pas de refus mais je doute que mon patron soit d’accord. » J’agrémentai mes paroles d’un petit clin d’œil puis posa un doigt sur mes lèvres, réfléchissant. « Mais, si vous voulez, je vous amène une chaise et vous pourriez profiter d’un bon café. Vous m’avez l’air perdu ? » Je lui adressai mon sourire le plus bienveillant lorsque je sentis une présence dans mon do ce qui m’arracha un frisson et me fit me mordre la lèvre inférieure par réflexe. « Vous voulez peut-être une tasse de thé Mademoiselle … ? » Le rouge aux joues, je me suis retournée vers mon chef et ai baissé le regard. « Excusez-moi, je demandai à Monsieur s’il voulait s’installer pour prendre une boisson. Et je m’appelle Arie … » Je me mordis l’intérieur de la joue avant de commettre l’irréparable. Il ne fallait pas que je découvre mon identité car je ne pense pas que mon vrai prénom soit si rependu que cela. Alors, je pris un nom que j’avais trouvé afin de me faire des papiers en règles. « Keith. Keith Rochester ! » Il hocha la tête et s’effaça pour me laisser passer. Je revins quelques minutes plus tard, portant une chaise et la posant devant la table. « Et voilà ! »
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Ven 5 Juil 2013 - 3:59
Robin fit un pas en avant pour aider la jeune serveuse à installer les autres tables lorsqu'une voix se fit entendre derrière eux. En se retournant il vit que ce n'était rien d'autre que le directeur de l'établissement qui leur proposait ironiquement une tasse de thé. Une discussion commença alors entre le directeur et la jeune demoiselle qui semblait légèrement gênée de la situation. Robin avait reculer pour éviter d'envenimer les choses encore plus et observait la scène en silence. C'est alors qu'il entendit la jeune femme dire un prénom.

* Keith...c'est drôlement joli comme prénom =) *

Perdu dans ses pensées, il ne vit même pas que la discussion qui avait lieux de lui s'était terminée et que la jeune femme était revenue pour poser une chaise devant la table qu'elle avait installé quelques minutes auparavant.

« Et voilà ! »

Le jeune secoua légèrement la tête pour sortir de ses rêves, s'installa sur la chaise et regarda la demoiselle d'un sourire franc et sincère.

- Merci Mademoiselle et excusez moi pour tout à l'heure je ne voulais pas vous causez d'ennui avec votre chef. J'espère qu'il ne vous en tiendra pas rigueur. Et comme vous me le proposiez si gentiment je prendrais bien de cette boisson que vous appelez du...café ? c'est comme ça que l'on dit ?

Il faut bien se rappeler que Robin venait du Moyen-Âge et que ce breuvage qu'on lui proposait lui était totalement inconnu. Mais la serveuse lui semblait honnête et sans mauvaise intention à son égard ce qui le rassura sur les questions qu'il pouvait se poser au sujet de cette boisson. Il attendit alors tranquillement qu'on lui apporte sa commande. Il se mit alors à observer la rue et les habitations qui l'entourait. Il fallait bien qu'il se l'avoue, Londres avait vraiment changé. Ce n'était plus la petite ville entourée de remparts afin de prévenir les invasions de la capitale du royaume anglais. Non à ce qu'il pouvait voir, elle ressemblait plus maintenant à une ville ouverte sur les alentours et n'ayant plus aucunes méfiance envers les gens comme cela pouvait être le cas à son époque. Les gens sortaient dans la rue qui commençait à s'animer à mesure que le soleil continuait sa course dans le ciel. Certains venaient s'installer sur la même terrasse où il se trouvait. En regardant la position de l'astre solaire, Robin pu facilement deviner qu'il était environs 10 heures du matin.

* bon hé bien c'est une bonne journée qui commence *

Il étendit ses jambes sous la table et attendit en silence qu'on lui amène sa boisson.
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