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 :: RP Abandonnés
Quand une princesse indienne et une princesse des mers se retrouvent face au Louvre, palais des rois français [PV : Ariel]
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Mer 17 Avr 2013 - 18:45
Pocahontas était pésiblement en train de dormir dans sa tente en pleine forêt de Virginie quand tout bascula... Elle ne se rendit compte de rien physiquement, pronfondément dans ses rêves où elle voyait John son cher amour dont elle avait été séparé... Quant tout à coup elle se reveilla en sursaut !

Elle se reveilla en sursaut par des bruits fort à reveiller les morts mais qu'elle n'avait jamais entendu auparavant. C'etait des bruits d'automobiles mais évidemment l'indienne ingnorait ce que c'était. Ceci n'existait pas dans les forêts où elle a vécu... Mais qu'est-ce dont que tous ce vacarne se disait-elle dans un premier temps en ce levant. Puis encore plus troublée, elle se rendit compte qu'elle n'était pas sous sa tente mais sur un banc qui se trouvait au bord d'une route. Mais qu'est-ce donc que tout cela ? Il y avait des especes de machines roulantes sur la route... Et des maisons visiblement plus grandes que des arbres. Et oui c'est ça le coeur de Paris mais évidemment Pocahontas ignorait comment était une grande ville... Et tout ses bruits mais quelle horreur ! La belle connaissait le calme des forêts, pas un tel vacarne, surtout dès le réveil.

Etait-elle en plein cauchemar ? Pour l'instant c'est ce qu'elle pense. Les rêves peuvent être si étranges parfois et peuvent ressembler à tout et n'importe quoi... Mais non la belle indienne était bien reveillée et elle se trouvait en face du Louvre à Paris...

Le Louvre ? Un nom evidemment inconnu pour Pocahontas ? Tout comme Paris ou la France d'ailleurs. Pourtant c'est bien là qu'elle se trouvait. Elle voyait de l'autre coté de la chaussé au loin cet ancien palais de roi, si enorme. Mais qu'est-ce donc ? Les indiens n'avaient pas de si grandes constructions. Ils se contentaient du strick minimum, la nature était la chose la plus importante dans leur vie. Pour rien au monde, il ne fallait l'abîmer ou la modifier... La jeune femme n'allait pas tarder à découvrir que dans ce monde là, la nature ne tient pas une grande place...
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Mer 17 Avr 2013 - 22:05


Même les rencontres de hasard sont dues à des liens noués dans des vies antérieures.



« Eric, attends-moi ! » Je courais après mon mari mais il s’éloignait toujours plus loin. Ses cheveux bruns volaient dans le vent tandis que je percevais par à coup la musique qui venait s’échapper de la flûte de l’homme qui s’éloignait toujours plus vers l’horizon. « Eric, je t’en supplie ! » Le brouillard descendait sur la plage, réduisant mon champ de vision. Les vagues venaient se fracasser sur la berge, noyant mes mots aussitôt qu’ils s’étaient évaporés dans l’air. Tout devint opaque et je me suis bientôt retrouvée seule sur cette plage. Je sentais mes vêtements devenir humides et de l’eau commençait à monter le long de mes jambes comme un serpent ravi d’avoir trouvé sa proie. Il avait la morsure du froid, celle qui nous fait devenir bleus lorsque le corps ne peut le supporter et suffoquer par sa température extrême. « Eri …. » L’eau s’engouffre dans ses poumons, sa gorge et sa cage thoracique. Elle dévaste tout sur son passage, brûlant l’œsophage de la jeune Princesse. Son corps se glaça, son esprit se vida et elle s’effondra dans le néant.

« Mademoiselle, réveillez-vous, je vous en prie, ce n’est pas un endroit pour dormir ! » On me secouait, fort, bien plus que cela même. Pourquoi les domestiques me parlaient-ils de la sorte ? J’ouvris doucement les yeux avant d’être aveuglée par des lumières qui ne brûlaient pas. Mais où sont donc passées les bougies ? Je me suis redressée, si vite que la tête a commencé à me tourner. Et lorsque j’ai dirigé mon regard vers le domestique, je me suis retrouvée nez à nez avec un homme habillée d’un costume assez étrange. Tout de noir vêtu, un ruban de la même couleur autour du cou. « Mais … Mais qui êtes-vous ? » Lui demandais-je en le détaillant de la tête aux pieds. « Je suis un employé du magasin Madame. Vous vous êtes endormie sur nos lits et sachez que c’est … » Je lui intimai le silence d’un geste de la main. Un magasin, mais quel magasin ? J’étais déjà debout en train de courir partout pour me repérer que le vendeur était resté à sa place, un air de profonde anxiété sur le visage. Je chassai son image de ma tête et sorti dehors. « Eric, où es-tu ? » Hurlais-je tandis que des gens passaient sans réellement me voir. Mais depuis quand les femmes portaient des pantalons d’hommes à la place des robes ? Et pourquoi tout était si … Bruyant ? Contrariée, je me suis longuement mordue la lèvre inférieure avant de me retourner vers la vitrine et de pousser un cri. Ma chevelure n’était plus aussi flamboyante et j’étais si peu vêtue … Un pantalon couleur bleu coupé au-dessus du genou et un haut qui laissait entrevoir la naissance de ma poitrine et mon nombril. Je tentai tant bien que mal de cacher cela avec mes mains mais ce fut peine perdue. L’on me saisit alors par le bras sans ménagement. « Mais lâchez-moi espèce de … » Je ne trouvai pas le mot pour qualifier cet homme qui avait dû abuser de la musculation. Mes cris n’y changèrent rien. « Je vous emmène à la sécurité du Louvre, vous faites peur aux touristes et troublez la voie publique. » Louvre, voie publique, hein ? Je regardai cet énergumène sans vraiment comprendre ce qu’il disait. Il me portait presque dans ses bras pour éviter que je ne m’échappe. Toutes griffes dehors, je tachai de faire en sorte qu’il me lâche, Eric ayant le seul à avoir ce droit ci. Il me jeta alors en travers de son épaule et resta sourd à mes protestations. Nous avons traversé une route recouverte d’une drôle de matière grise où passaient des calèches montées sur roue et non tirées par des chevaux. Cette étrangeté me coupa la chique et je ne la retrouvai que lorsque l’on me déposa sur un banc dans un drôle de bâtiment allongé recouvert de peintures. « Restez-là et ne bouger pas ! » Je levai les yeux au ciel avant de me retenir afin de ne pas tirer la langue à cet étrange homme. Je n’ai plus seize ans ! « Comme si j’avais le choix … » Bougonnais-je pour moi-même.


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Jeu 18 Avr 2013 - 13:27
Comme la belle indienne crut d'abord qu'elle rêvait, elle retourna s'asseoir sur le banc et se pincint un doigt dans l'espoir de se réveiller. Mais comme elle se fit très mal au bout de trois essaies, elle commença à se dire que tout ceci n'était peut-être pas un rêve... Cela lui paraissait impossible mais comment alors expliquer qu'elle ne se reveillait pas ? Et puis quel est donc cet endroit ? Pocahontas n'avait jamais connu quelque chose d'autres que les forêts de Virginie. Et ceci ne ressemblait rien à une forêt. Il y avait à peine quelques arbres par si et par là mais ils avaient l'air bien malheureux au milieu de cette grande ville.

Pocahontas traversa la route à pleine vitesse. Une voiture faillit d'ailleurs l'ecrasée. L'automobiliste se mit d'ailleurs à lui gueuler dessus en lui disant qu'elle devait faire attention et attendre que le feu soit vert pour traverser. Mais l'indienne ignorait même ce qu'un feu vert voulait dire. Tout se monde lui était totalement inconnu. Aussi elle ne compris rien du charabia du monsieur et continua son chemin de l'autre coté de la chaussée.

Tout d'un coup elle se rendit compte de quelque chose : Il y avait bien des passants à coté d'elle mais pas un seul indien ! Comment est possible ? Où est passé sa tribu ? Et qui sont ses gens là ? Ils la regardaient d'ailleurs de façon bien étrange et était habiller de façon bien différentes.

Son attention se tourna vers un homme bien musclé qui avait l'air de trainé de force une jeune fille à le suivre. Comme elle detestait la violence, presque impulsivement, Pocahontas se rapprocha d'eux et se mis à crier.

- Hééé vous ? Que faites-vous ? Lachez cette jeune fille, je crois que vous lui faites mal !
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Jeu 18 Avr 2013 - 20:46


Même les rencontres de hasard sont dues à des liens noués dans des vies antérieures.



Je ne savais pas où j’étais ni ce que je faisais réellement là. Pourquoi m’avoir envoyée ici ? De qui cela venait-il ? Je n’en sais rien et ne le saurai sûrement jamais. Mes mains se croisèrent et se décroisèrent par à-coups sur mes genoux. Je sentais la panique commencer à envahir mon être. Une peur indescriptible capable de t’amener dans les pires états de la folie. Il fallait que je me ressaisisse avant de perdre complètement le contrôle de mon corps. Inspire, expire, inspire … Voilà, c’est cela qu’il fallait faire. Ne surtout pas se laisser submerger. Compter le nombre de battements que pouvait faire le cœur en une minute, ressasser les meilleurs souvenirs, fredonner une chanson … Tant de choses pour éviter de sombrer, tout était bon à prendre. « Hééé vous ? Que faites-vous ? » Quelqu’un semblait apostropher assez hautainement l’homme qui m’avait si brusquement emmenée ici. Intriguée, je me suis levée pour voir ce qu’il passait. Une jeune femme à la peau mate se tenait devant mon bourreau. L'homme, les bras croisés, la toisait doucement, un sourire amusé au coin des lèvres. « Hé bien ma jolie, vous semblez être aussi perdue que cette femme que j’ai trouvé. Vous croyez que se comporter de la sorte vous sauvera la mise ? » Un son rauque s’échappa de sa gorge et je compris qu’il … Riait. Je l’ai longuement regardé avant de lâcher un énième soupir. Comment avais-je pu tomber aussi bas ?
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Ven 19 Avr 2013 - 11:59
Pocahontas ne connaissait pas cette jeune fille. Pourtant, il lui semblait que c'était son devoir de lui venir en aide. La pauvre avait l'air dans une mauvaise situation. Le type qui l'a retenait avait l'air vraiment d'un grossier personnage. Il n'avait pas tort quand il disait que l'indienne était aussi perdu que la rouquine mais Pocahontas n'aimait pas le ton qu'il employait.

- Oui je vous avoue je suis perdu mais vous n'avez pas à me parler sur ce ton ! De plus vous semblez effrayer cette jeune fille, lachez là !

Puis Pocahontas s'adressa à la jeune fille qui faisait visiblement la tête...

- Que vous veut cet homme ? Vous a t-il fait du mal ?
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Lun 29 Avr 2013 - 14:21


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Je voyais au dehors le soleil darder ses rayons sur la ville qui venait de m’abriter. Tellement plus chaleureux que cet endroit austère avec une seule vitre. Un frisson me parcourut l’échine. Cela ressemblait fortement à la grotte qu’occupait Ursula. D’ailleurs, était-elle vraiment morte ? Car même si le charme avait été rompu, rien n’indiquait qu’elle s’était transformée en écume comme lorsque qu’une Sirène ou un quelconque habitant de la mer advenait à mourir. Le molosse qui me servait de garde m’empêchait de réellement voir la jeune femme qui se tenait devant lui. Je ne discernai d’elle qu’une peau mate et des cheveux de jais. « Oui je vous avoue je suis perdu mais vous n'avez pas à me parler sur ce ton ! De plus vous semblez effrayer cette jeune fille, lachez là ! » L’homme se mit une nouvelle fois à rire avec un son qui pouvait vous glacer le sang. Je laissai échapper une grimace de dégoût sans vraiment réussir à me contrôler. Cet homme me sortait par le nez, je ne pouvais pas m’empêcher ce genre de réaction. « La lâcher ? Mais vous êtes bien sotte ! Elle dérangeait la tranquillité des passants. Vous n’êtes pas dans une jungle ici mais à Paris. La plus belle capitale du monde ! » Paris ? Je n’avais jamais entendu parler de cette ville à moins que … Si, dans des contes que Maman me lisait lorsque j’étais petite. On disait que cette dernière était la Capitale des amoureux. J’étais complètement sonnée par cette révélation. Je savais à présent où je me trouvais. « Que vous veut cet homme ? Vous a t-il fait du mal ? » Je relevai la tête, apparemment, la femme qui se trouvait là s’adressait à moi. « Pardon ? Je … Heu non non, Monsieur a raison, je dérangeai. Je vous prie de m’excuser, sûrement un coup de chaud ! Le soleil tape fort aujourd’hui ! » Capitulai-je en adressant mon plus beau sourire au chien de garde. Ce dernier se mit alors à rougir et s’écarta de l’ouverture. J’en profitai pour me faufiler dehors en empoignant fortement la main de celle qui était venue à mon secours. « Courez sans vous retourner ! » Lui ordonnai-je, ignorant superbement les vociférations de l’homme en noir qui se trouvait déjà quelques mètres plus loin.
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Jeu 2 Mai 2013 - 17:03
Et vous monsieur vous ne derangez pas les passants en vous adressant à cette demoiselle et à moi sur ce ton ?

Cet agent commençait vraiment à enerver Pocahontas. Elle voyait rouge vu comment ils s'adressait à elle et à la rouquine d'un ton non seulement méprisant mais aussi superieur. Qu'avaient-ils de plus qu'elles deux ? Et pourquoi retenait-il ainsi cette jeune fille ? La jeune indienne ne le comprenait pas. Evidemment elle ne savait pas non plus ce qu'est un agent de police. Dans les tribu indienne seul le chef donne des ordres et encore jamais son père ne forcerait une jeune fille à lui suivre ainsi, même si elle avait commis une faute grave.

- Cet homme n'a pas à vous trainez ainsi !

Ce qui frappa le plus Pocahontas c'est quand l'agent lui annonça qu'elle était à Paris, la plus belle capitale du monde. L'indienne n'avait jamais entendu ce nom là auparavant.

- Paris ? Mais qu'est-donc que ce lieu ? Je ne le connais pas ! Où sont donc les forêts de la terre des Indiens.

Pocahontas n'eu pas le temps d'avoir une reponse de l'agent. Ariel reussi à lui echapper et dit à son interlocutrice de s'enfuir aussi. Pocahontas courut alors à toute vitesse. Il faut dire qu'elle était très entrainée de ce coté là. Jamais ce policier ne pourra la rattraper.
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