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Quand un squelette retrouve une cliente (Clém)
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Lun 15 Mai 2017 - 13:01
QUAND UN SQUELETTE RETROUVE UNE CLIENTE

Clémence et Jack
Le roi des citrouilles se tourne et se retourne dans son lit sans parvenir à refermé les yeux. Il jette un rapide coup d’œil à son réveil, il est deux heures du matin. Il à remarqué au fil du temps qu'il n'a pas besoin de beaucoup d'heures de sommeil comparé aux gens d'ici il lui arrive donc de faire souvent des promenades nocturnes dans la ville lumière. Il décide donc de se levé, en pyjama blanc avec des chauves-souris et un bonnet de nuit avec un pompon blanc, des chaussons citrouilles. Il ouvre l'armoire pour prendre une robe de chambre longue et pourpre qu'il revêt et, après avoir pris un cahier de vacances pour adultes, un cahier vierge et un crayon à papier descend sans faire de bruit pour ne pas éveillé sa colocataire dans la chambre d'à coté.

C'est donc une bien étrange silhouette vêtue d'une robe de chambre pourpre et marchant en chaussons citrouilles qui erre dans les rues désertes de Paris vu qu'à deux heures du matin il n'y a pas âme qui vive et les magasins sont fermés. Les gens craignent la nuit depuis des millénaires, ce qui n'est pas le cas de Jack qui adore la nuit. Et il aimais Paris, il songe d'ailleurs que, s'il rentrais chez lui, il ne pourrais y allé qu'une fois par an le 31 Octobre.  On aurais pu facilement le prendre pour un somnambule avec son bonnet et ses chaussons mais ce n'est pas le cas.  Le roi des citrouilles se dirige vers l'immense place de la république et s'installe les marches là où il y a la statue. Il ouvre son cahier de vacances et commence à s'attaqué a un problème de mathématique.

Pour ce spectacle,400 adultes et 200 enfants sont venus.Le prix d'un ticket pour adulte est 2 fois celui d'un enfant.Quel est le prix d'un ticket adulte sachant que la somme récoltée est 15 000 €?

-Intéressant, oui très intéressant !

Jack calcula sur son cahier et ne remarqua pas la silhouette qui s'approcha de lui, il leva la tête et salua la demoiselle en face de lui d'un gracieux geste de la main.

-Bonsoir à vous jeune fille, vous avez besoin de quelque chose ?

Il se leva et pencha la tête en avant.

-Vous n’êtes pas la cliente qui s'est enfuie en me traitant de fou dingue par hasard ? 


☆☆☆ Beerus
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Ven 19 Mai 2017 - 17:17

Quand un squelette retrouve une cliente
Je voulais juste passer une soirée à m'amuser pas à étudier
Clémence avait définitivement terminé de se morfondre à cause d'Hadès. Cela faisait quand même quatre mois que cet homme lui avait brisé le cœur. L'entourage de la jeune Brown lui avait dit qu'elle valait mieux que ça. Et c'était vrai. Elle n'allait pas passer le reste de sa vie à déprimer. C'était aussi ça être un humain. L'ancien canidé comprenait maintenant ce qu'était une déception amoureuse, et que l'amour n'était pas aussi simple que son monde le laissait croire. La déception faisait partie de la vie. Clémence le savait maintenant. Elle en sortait plus forte de cette expérience, voir même mûrie et avec de nouvelles convictions, chassant ses clichés d'antan. Elle trouverait quelqu'un de mieux qu'Hadès. Tout ce qu'elle comprenait, c'est que le mythe du gentleman s'effondrait. Le prince charmant n'existait pas, pas ici en tout cas. Ou alors, elle avait peut-être confondu l'image de son père avec celui du Caïd. Oui, Hadès était ce Caïd décrit par son père, Scamp et Ange. Ou alors, si Hadès était le prince charmant de ce monde, c'est-à-dire un coureur de jupons, menteur et beau parleur, la brune n'en voulait pas. Elle n'avait pas besoin de ça pour être heureuse et exister. Elle allait vivre sa vie et en profiter. Ainsi, à minuit, elle quitta l'hôtel avec ses collègues et amis, direction leur boîte de nuit préférée de la capitale.

La fêtarde Clémence enchaîna les cocktails et les danses, avec ses amis ou des inconnus. La brune s'amusait, à danser et discuter. Elle était partie pour faire la fermeture. Après deux heures à profiter de l'instant présent, la jeune femme remarqua que Louise avait trop abusé de la boisson. L'ancien canidé proposa de la raccompagner chez elle.

Une fois que son amie fut couchée, Clémence quitta son appartement pour retrouver sa bande d'amis. Elle emprunta la place de République. Là, elle se figea. Son pire cauchemar était assis sur des escaliers, étrangement vêtu, devant une immense statue. Cela la fit rire. Non mais c'était quoi cette robe de chambre ? Et ces chaussons citrouilles ? Savait-il qu'il était ridicule ? Surtout avec la statue ? Devant cette scène grotesque, le rire dissipa la peur. Ce n'était pas tous les jours qu'on voyait ce qui nous effrayait, habillé de la sorte, à cette heure avancée de la nuit. Clémence songea au professeur Rogue vêtu avec les habits de la grand-mère de Neville. Il n'avait plus peur du professeur, lorsqu'il était vêtu ainsi. Un excellent moment cette scène ! Clémence songea qu'elle devrait revoir le film avec Marie. Oui, demain soir, ce serait ce film qu'elles regarderaient ! Enfin, elle devrait plutôt le revoir avec Clochette. C'était avec son amie de Londres que Clémence pouvait partager sa passion pour Harry Potter.

Clémence n'avait aucune envie d'aller le voir. Il lui devait toujours un appareil photo d'ailleurs. Elle poursuivit son chemin. Les talons de Clémence résonnèrent sur le pavé, si bien que Jack redressa la tête. Il la salua. La brune n'était pas impolie. Elle alla donc à sa rencontre et le salua également. « Bonsoir, Monsieur Skellington. » Jack se leva et lui posa une question. Offusquée, Clémence lui rentra dedans verbalement parlant. « Vous l'êtes ! En plus d'être excentrique ! Vous savez que vous êtes en pyjama, là. Et puis, quel genre d'individu effraye ses clients et a des objets disséqués dans sa boutique ? Et vous me devez toujours un appareil photo ! » Toujours remontée contre Jack, Clémence remarqua son cahier de vacances. Clémence rigola, légèrement hautaine. « Vous savez que c'est pour les enfants ces trucs-là. Et ça se fait pendant les vacances d'été. Mais je ne savais pas que vous alliez encore à l'école. » La jeune Brown avait bien des qualités dont la clémence et la sociabilié, mais comme tout être humain, elle avait aussi ses défauts, dont le fait d'être hautaine. Cela lui arrivait rarement, mais Jack venait de faire ressortir ce trait de sa personnalité.
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Ven 19 Mai 2017 - 19:04
QUAND UN SQUELETTE RETROUVE UNE CLIENTE

Clémence et Jack
Le roi des citrouilles avait en effet reconnu le visage de la jeune femme mais sa phrase offusquée confirma que c'était bien elle.

« Vous l'êtes ! En plus d'être excentrique ! Vous savez que vous êtes en pyjama, là. Et puis, quel genre d'individu effraye ses clients et a des objets disséqués dans sa boutique ? Et vous me devez toujours un appareil photo ! »

En effet la jeune femme avait laissé son appareil photo et Jack n'avait pas su le remonté, il l'avais donc laissé languir quelque part dans un coin. Le roi des citrouilles plaça ses cahiers sous son aisselle, son crayon à papier dans une poche de sa robe de chambre et alla se placée devant la demoiselle. Avec délicatesse, ses longs doigts fins s'emparèrent de la petite main de Clémence, Jack se pencha et frôla du bord de ses lèvres le dos de la main.

-Votre robe vous sied parfaitement ma chère, elle met en valeur vos yeux, n'ayez crainte demoiselle, ce soir je suis d'humeur estudiantine et non d'humeur taquine ! .

Là dessus il recula avec lenteur tandis qu'elle lui montre du doigt son cahier de vacances d'un rire hautain.  

- N’êtes vous pas censée dormir alors que la nuit recouvre de son manteau Paris ? Je vais anticipé votre question, j'ai besoin de peu d'heures de sommeil contrairement à vous ! Quant à ceci c'est un cahier de vacances pour adultes, comme je vous l'aie dit je suis ce soir d'humeur estudiantine, vous ne risquez donc rien, je ne vous ferais point peur car j'ai d'autres chauves-souris à fouetté !

Jack n'avais pas été vexé par le rire moqueur et le comportement hautain de la jeune fille. Cela lui donna même une idée, l'idée de lui donné une bonne leçon. Un large sourire étira les lèvres de l'esprit patron d'Halloween, si bien que ses dents blanches luisirent sous la lumière de la lune. Un sourire un peu effrayant, mais en réalité le roi des citrouilles était passablement amusé, et il avait la sensation ainsi que le pressentiment que cette nuit allait vraiment être des plus amusantes. Une lueur amusée germa également dans ses yeux.

- Puisque cela est un cahier de vacances pour enfants, je vous défie de tenté de résoudre un des problèmes de ce cahier ! Voyons, c'est pour les enfants alors je suis certain que votre grande intelligence saura vous sortir sans encombre de tels problèmes !

Là dessus il lui tendit le cahier de vacances, le cahier de brouillon et le crayon à papier qu'il sorti de la poche de sa robe de chambre.

- Allons je suis pressé de voir ce grand cerveau se confronté a des exercices pour les petits d'hommes ! Cela sera un moment des plus historiques, à n'en point douté !  


☆☆☆ Beerus
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Lun 22 Mai 2017 - 19:28

Quand un squelette retrouve une cliente
Je voulais juste passer une soirée à m'amuser pas à étudier
Clémence retira rapidement sa main de l'emprise de Jack. Elle l'essuya contre sa robe, enlevant les traces d'humidité de la bouche de Jack. Comme si des compliments et de la galanterie, avec la bave avec, allaient réparer son appareil photo et lui faire oublier le tour qu'il lui avait joué ? La suite de ses paroles ne lui plurent pas davantage. Pour qui se prenait-il en prétextant savoir ou non ses habitudes ? « Je fais ce que je veux ! Et qu'est-ce qui vous dit que vous avez besoin de moins dormir que moi ? » Clémence se prépara à tourner les talons et le laisser en plan. Elle n'allait pas rester avec un homme qui croyait tout savoir d'elle, alors qu'il ne le connaissait pas, surtout qu'ils s'étaient vus qu'une fois et rapidement. En plus, il détruisait ses affaires et il lui faisait des tours douteux. Elle avait mieux à faire, que de se faire une nouvelle fois avoir de la sorte, comme retrouver ses amis dans leur boîte de nuit favorite.

Jack l'interpella à nouveau. En l'entendant, la brune le regarda, dubitative. Etait-il sérieux ? Voulait-il vraiment qu'elle fasse des maths à cette heure-ci ? Vraiment, ce Monsieur Skellington était un homme bien particulier. « Il est deux heures du mat' là. Et oui, c'est pour enfant, vous êtes débiles ou quoi ? Tout le monde sait ça. Ça ne veut pas dire que les adultes savent répondre à tout, mais c'est fait pour les enfants, c'est dans le nom. C'est des cahiers de vacances pour leurs vacances d'été, tout le monde sait ça ! Vous vivez dans une grotte ou quoi pour ignorer ça ?! Et puis, pour votre problème, il suffit d'aller sur le site du spectacle et vous avez votre réponse. » Non mais vraiment. Il débarquait ou quoi ? Et comment pourrait-il croire que Clémence voudrait faire des mathématiques alors qu'elle pouvait aller s'amuser. « Et comme vous vous croyez supérieur et que vous voulez faire de ce moment, un moment historique, allez-y vous, résolvez-le vous, le problème ! » Clémence le regarda. Allait-il se défiler ou non ? De toute façon, la jeune Brown ignorait si elle était capable de résoudre ou non le problème. Elle n'avait pas chercher à le résoudre. Elle savait les mathématiques de base, comme les additions, les soustractions, les multiplications et les divisions. Elle avait même aidé Oliver pour son coloriage magique. Néanmoins, l'ancien canidé restait une littéraire dans l'âme. La jeune femme préférait écrire ou lire que de se prendre la tête sur un problème de maths. Chacun avait son domaine de prédilection. D'ailleurs, sur la page d'à côté, elle vit un exercice de français. Elle repéra immédiatement les fautes dans les deux phrases à corriger. « Et si vous voulez des chiffres, sachez qu'il y a sept fautes à corriger dans le premier exercice de français. »
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Jeu 25 Mai 2017 - 0:17
QUAND UN SQUELETTE RETROUVE UNE CLIENTE

Clémence et Jack

Le ton de Clémence ne plaisais pas du tout à Jack qui cessa son rire bienveillant et amusé aussitôt pour répondre d'un ton froid et aussi glacial et couant que le vent d'automne afin de la remettre à sa place, oui le roi des citrouilles est d'une grande gentillesse, d'une grande naïveté aussi, mais il ne se laisse pas marché sur les pieds non plus :

-Vu comment vous me parlez depuis tout à l'heure, je me demande qui de nous deux se croit le plus supérieur à l'autre, ma chère ! Je ne vous aie vu qu'une fois, et nous n'avons pas élevé les chauves-souris ensemble, alors je vous prierais de me parlé sur un autre ton, ma jeune demoiselle ! Vous n’êtes guère supérieure à moi et je ne suis guère supérieur à vous, peut-être en années vous suis-je supérieur, mais cela est tout la supériorité est une idée de mortel,  de plus vous êtes impolie, sachez que les gens ne sont pas des domestiques prêts à satisfaire vos caprices, et que quand vous allez trépassé vous finirez comme la mortelle que vous êtes dans un cimetière, et je doute fort que votre cercueil sera fait d'or et d'argent.    

C'est vrai, il ne comprenait pas vraiment pourquoi elle lui parlais ainsi mais certains Parisiens étaient comme ça, heureusement pour le roi des citrouilles, pas tous. Il se souvenait par exemple d'Alexis, un psychologue rencontré au parc, et qui était de fort bonne compagnie où encore de Clawd... tous n'étaient pas hautains !

Quant au sommeil, je ne faisais qu'énoncé des faits car j'ignorais que les humains vivaient la nuit, ici ! Mais vous faites ce que vous voulez, et ce que vous faites en pleine nuit à deux heures du matin dans les rues désertes ne me regarde absolument pas, ce n'est guère mon problème, vous menez votre vie et je mène la mienne...par contre faite attention, méfiez vous des rues désertes, on ne sais jamais ce qui s'y cache, surtout le soir d'Halloween...

Elle lui remis ses affaires en prétextant qu'il fallait regardé sur le site du spectacle pour savoir. Aussitôt, Jack éclata d'un gros rire qui lui fis venir les larmes aux yeux. Il avait complètement oublié le ton froid et glacé qu'il avait pris tout à l'heure. Oui, une vraie girouette !

-Le spectacle est imaginaire, il n'existe pas voyons ! Du moins il n'existe que pour le problème ! Il n'y a pas de "sites" où quoi que ce soit qui indique une trace de lui. Allons donc, où est passée votre intelligence ? Ce n'est pourtant pas sorcier !

Là dessus Jack, les yeux brillants animés par la passion lui fit tout un cour de mathématiques et enchaîna sur les calculs adéquats pour arrivé à trouvé la solution qu'il consigna sur le cahier.

-Vous travaillez dans un hôtel vous me l'avez dit l'autre jour quand vous êtes venue me voir, vous devez être sans doute à l’accueil de temps en temps je présume, je ne fais que présumé, et j'imagine que vous encaissez la monnaie, si vous ne savez pas un tantinet faire des comptes, comment faites vous pour encaissé la monnaie et rendre celle-ci avec justesse ?

Car pour Jack c'était clair, si Clémence avait essayé d'évité le défi, à savoir résoudre le problème de mathématiques, c'est qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. Après il se trompé peut-être, il est un esprit, pas un voyant après tout !  


☆☆☆ Beerus
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Jeu 8 Juin 2017 - 16:26

Quand un squelette retrouve une cliente
Je voulais juste passer une soirée à m'amuser pas à étudier
Vraiment Clémence ne l'aimait pas. Et son ton froid n'arrangeait rien. De quoi lui parlait-il ? De domestique ? Savait-il qu'elle l'était en quelque sorte dans ce monde ! Comment pouvait-il lui ramener sa condition à la face de cette façon ! Mais de quoi il lui parlait ? De cercueil ? La voulait-il morte ? Quel méchant personnage que de vouloir la mort d'autrui ! « Je vous parle sur le ton que je veux ! Et je sais que j'ai pas de domestique puisque c'est moi qui le suis ! Comment osez-vous me traiter de la sorte ! C'est vous qui vous êtes mal comportés en premier ! Je vous rends la monnaie de votre pièce ! Et comment osez-vous souhaiter ma mort ! Vous n'êtes qu'un odieux personnage, M. Skellington ! » Clémence s'arrêta et eut la présence d'esprit de lire entre les lignes. Finalement, en plus d'être odieux, cet homme était inconscient. « Non, ça ne vous regarde en rien ! Et je n'ai pas peur de la nuit ! Vous ne me connaissez pas, alors gardez vos conseils inutiles. Par contre, moi j'en ai un bien utile à vous donner, parce que je suis gentille et je ne terrifie pas mes clients pour mon plaisir, qui est une marque d'irrespect au passage. Arrêtez de dire les humains et les mortels à tout va, ça trahit votre ancienne condition. »

L'homme se moqua ensuite une nouvelle fois d'elle. Comment pouvait-elle savoir que c'était imaginaire ? Elle n'en avait jamais fait de sa vie ! Non mais comment osait-il se moquer des ignorants ! Une chose est sûre, avec ce comportement, il ne pouvait pas être professeur. Clémence s'interrogea. Vraiment, pourquoi restait-elle là à se faire insulter de la sorte ? Elle avait mieux à faire. Elle termina ainsi par une dernière répartie. « Je ne vous ai jamais dit mon emploi alors au lieu de deviner et dire des bêtises en faisant le malin, vous auriez dû me demander. Chacun a son emploi à l'hôtel. Je suis danseuse ! Figurez-vous, je ne m'occupe pas des chiffres ni de la monnaie des clients ! Et vous semblez vous obstiner dans cet exercice de maths, parce que vous savez que vous êtes le meilleur. Vous ne m'avez même pas approuvé pour celui de français, alors que vous saviez que j'ai raison. » Tolérante, elle lui laissa une dernière chance. S'il la traitait encore ou se moquai d'elle sans vergogne, elle s'en irait sans aucune autre forme de cérémonie.
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Jeu 8 Juin 2017 - 18:20
QUAND UN SQUELETTE RETROUVE UNE CLIENTE

Clémence et Jack

Le roi des citrouilles poussa un soupir, non vraiment elle n'est pas sur la même longueur d'ondes que lui visiblement ! Jamais il n'avait parlé de la voir morte où de la vouloir morte, c'était juste le parler de sa ville qu'il utilisait.

-Je n'aie jamais dit que je voulais vous voir morte, votre colère ne vous aide pas à la compréhension. C'est une manière de dire que vous allez finir au même endroit que les autres, tout comme moi ici, peu importe votre rang social...

Il eue un nouveau soupir en entendant qu'il était un grand méchant au point de prendre un plaisir "sadique" à terrorisé les gens. Elle le confondait avec Oogie ? Il eue envie de répliqué  mais un autre terme lui mit la puce à l'oreille, le mot "ancienne condition", venait t'elle d'ailleurs elle aussi ? Pour savoir il posa la question.

-Venez vous d'ailleurs vous aussi ? D'ailleurs je ne suis point un sadique, c'est mon travail et ce depuis très longtemps, c'est un amusement, je m'amuse, mais cela reste innocent, la peur innocente chaque année le 31 Octobre oui j'y prends plaisir, j'aime ce que je fais et je ne changerais plus ma condition pour rien au monde, du moins je ne tenterais plus de le faire. A moins que vous ne vouliez mon rival pour esprit patron d'Halloween ? Je vous préviens il est bien pire que ma personne, heureusement il n'est plus là ! Mais je doute que vous en seriez ressortie vivante si vous l'aurez rencontré étant donné que lui il désirais un Halloween dangereux, a savoir de la torture sur humains et autre choses bien peu ragoutante... nos visions d'Halloween sont bien différentes !  

Jack eue un frisson de dégoût en se remémorant l'horrible Oogie et en s'imaginant qu'il avait déjà failli posé ses horribles pieds sur la ville d'Halloween. Rien que d'imaginé des gens se faire torturé et tourmenté par lui et ses horribles garnement lui donnait envie de vomir. Voilà pourquoi il ne serais jamais l'esprit patron de la fête d'Halloween. Oogie n'avait pas la sagesse de Jack, mais le coeur noir. S'il croyait que mentir, dupé, trompé, torturé allait faire de lui un roi il se trompait.

- Je ne suis pas odieux, je ne vous aie pas insulté et si je me moque de vous c'est d'aimable façon, je vous taquine... et j'ai émis une hypothèse, je suis l'esprit patron d'Halloween, non un devin ni un voyant ! Et je vous approuve pour l'exercice de français si vous le voulez ! Mais...vous aussi vous venez d'ailleurs alors ? Qu'est ce que vous étiez ? Moi j'étais l'esprit patron d'Halloween comme vous pouvez vous en doutez...


☆☆☆ Beerus
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Jeu 22 Juin 2017 - 13:17

Quand un squelette retrouve une cliente
Je voulais juste passer une soirée à m'amuser pas à étudier
« Et qui êtes-vous pour me taquiner ! Vous n'êtes certainement pas un ami et je vous ai vu qu'une seule fois de toute ma vie et ça m'a bien suffit, merci ! En plus de me terroriser, vous cassez mes affaires ! Et là, vous vous permettez d'encore me tourmenter ! Vous n'êtes qu'un inconnu qui prend plaisir à effrayer les gens ! » Clémence se calma quand il avoua ce qu'il était. Son sentiment de répugnance face à cet être méprisable ne désemplit pas, mais au moins, elle n'était plus en colère. Elle venait de comprendre son comportement. Sa façon d'être et de tourmenter autrui sans aucune raison particulière venait tout simplement du fait qu'il était l'esprit d'Halloween. C'était logique finalement. L'ancien canidé se félicita d'avoir eu le flair de comprendre qu'il ne venait pas de ce monde. Ça avait étouffé dans l'oeuf l'animosité. Clémence comprit mieux Jack et sa boutique. Néanmoins, ce n'était pas une raison pour se moquer d'elle, détruire son appareil photo et lui dire quoi faire. Enfin, peut-être que l'esprit d'Halloween ne raisonnait pas de façon humaine. Après tout, c'était un esprit. Il existait et faisait ce pourquoi il était, non ? Il ne regardait pas les conséquences, c'était sa nature d'effrayer les gens, non ?

En y pensant, Clémence se demanda ce qu'aurait fait sa mère dans ce cas-là. Le souvenir du film La Belle et le Clochard, sur la vie de ses parents, avant sa naissance et celles de ses sœurs et de son frère, lui revint en mémoire. Elle revit Oncle Jock s'offusquer des paroles de son père. Peut-être qu'un malentendu s'était installé entre elle et ce M. Skellington ? Oui, c'était possible. La jeune femme s'assit à côté de Jack, déposant les armes. « J'étais une chienne, un cocker anglais précisément. » Elle le regarda, la tête pleine de questions. « Vous viviez dans quel monde ? Je veux dire avant d'être arrivé ici ? Et il y a un film sur votre histoire ? Je l'ai peut-être vu. J'ai vu presque tous les Disney avec ma meilleure amie. » Et c'était vrai. Régulièrement, Marie et Clémence regardaient les films Disney.

Ses yeux tombèrent sur le carnet de vacances. « Et je ne tenais pas à ce que vous m'approuviez pour l'exercice. Je sais que j'ai raison. Je voulais simplement vous faire remarquer que vous ne faisiez qu'insister sur un exercice pour lequel je n'étais peut-être pas aussi douée que vous, alors que vous n'avez même pas mentionné une seule que fois que j'avais eu bon pour cet exercice, comme si votre seul but n'était que de montrer par nullité. Et pour info, cher esprit d'Halloween, ce n'est pas sympa de faire ça au gens. »
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Jeu 22 Juin 2017 - 23:43
QUAND UN SQUELETTE RETROUVE UNE CLIENTE

Clémence et Jack

Une chienne ? Jack eue un sourire amusé alors qu'elle s'asseyais à coté de lui et qu'il se poussais un peu pour lui faire de la place. Lui qui croyais et été persuadé qu'elle venait d'ici à cause de son prénom, après tout il avait bien connu une Clémence autrefois, il venait de découvrir qu'elle venait d'ailleurs elle aussi.  

- Alors vous êtes passé par le même ressenti que moi ? Vous devez voir les humains autrement non ? Avec une vision animale, sans vouloir vous vexé ? Vous comprendrez donc que, étant à la base un être ni vivant ni mort qui vis depuis des siècles j'ai du mal à cessé d'usé des mots "humains" et "mortels" ! Au fond, vous et moi nous sommes semblable, plus que vous ne le pensez, à la différence que vous vous avez une mortalité à la base et moi...non...du moins tant qu'Halloween sera toujours fêté et qu'il ne sombre pas dans l'oubli !  

Un film ? Jack ne comprenait pas les étranges paroles de Clémence, avait t'on fait un film sur lui ? Si oui comment et pourquoi ? Il ne voulait pas le croire, refusa de le croire et décida de faire comme s'il n'avais rien entendu, préférant répondre aux questions de la petite demoiselle.

- Je viens d'Halloween Town, situé dans le monde des fêtes. Je suis l'esprit patron d'Halloween, où autrement dit le leader de la fête d'Halloween si vous préférez, miss Clémence... mon univers est fait d'une nuit perpétuelle, froide, noire et sinistre, la brume envahit Halloween Town tous les jours et le vent hurle entre les branches des arbres, les feuilles volent dans les airs. Les autres esprits qui habitent la ville sont des sorcières, des vampires, une famille de zombies, un loup-garou, un monstre aquatique, un clown qui est le gardien des clés de la ville, le maire au visage changeant...Tous aime faire peur mais ne sont point méchants, c'est notre travail. Les animaux qui peuplent la ville sont des chats noirs, des chauves-souris, des araignées, et bien entendu mon cher Zéro, mon chien fantôme ! Quant à un film...je ne veux point croire que je viens d'un film, c'est impossible étant donné que nous sommes des esprits des fêtes !    

Jack essayais de faire ressentir à sa petite compagne d'une nuit son affection pour Halloween Town à travers sa voix, pour les habitants qui peuplé la ville. Combien son ancienne vie lui manquais, comme Halloween Town lui manquais !

-Je côtoie tout ce petit monde depuis des siècles et des liens étroits se sont tissés entre nous depuis le temps que nous sommes ensemble, ils sont ma famille, ma seule et unique famille... Quand je pense que j'ai voulu m'emparé de la fête de Noël, comme je fus sot...

Il eue un instant de silence pour reprendre son souffle puis repris d'un ton enthousiaste :

-Oh... oui je vous félicite pour avoir trouvé les fautes, vous deviendrez une excellente professeur de français j'en suis certain, eh bien miss Clémence, je suis ici depuis peu et sachez que je connais point toutes les subtilités de la vie d’être de chair et de sang. J'imagine que vous savez ce que c'est, vous qui n’êtes point non plus d'origine humaine comme je le croyais, j'étais persuadé que vous veniez d'ici et en faites...que nenni !  Et sinon pour me décrire rapidement j'étais un esprit qui prenais la forme d'un très grand squelette, d'un très très grand squelette ! Mes jambes étaient si longues que j'atteignais facilement les deux mètres...

Son age se répercutais sur son physique de temps en temps il lui faisais comprendre que le poids d'une aussi longue existence se faisais sentir sur son corps.  

-Malheureusement le poids d'une aussi longue existence que la mienne se répercute sur mon physique ici...le poids du temps se fait sentir...et dites-moi, quand vous étiez une chienne, quel genre de repas aviez-vous mangé ? Il me semble que les animaux ici mangent des choses comme de la pâté où des croquettes...


☆☆☆ Beerus
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Lun 3 Juil 2017 - 17:20

Quand un squelette retrouve une cliente
Je voulais juste passer une soirée à m'amuser pas à étudier
« Ce n'est pas une excuse. Je n'étais pas une humaine et je parle comme telle. Je ne dis pas humain, pour les désigner. » Clémence était assise à côté de Jack et elle l'écoutait parler. Jack répondit à ses questions, notamment sur ses origines. Il venait d'Halloween Town. Clémence comprit mieux le nom de son magasin. Il l'avait nommé avec le nom de son monde ! L'ancien canidé se fit la réflexion que l'homme en face d'elle n'était pas le plus prudent des hommes. A la suite de ses paroles, la brune comprit qui il était ! Il était Jack Skellington ! Le Jack de l'Etrange Noël de Monsieur Jack. Elle n'avait vu qu'une fois ce dessin animé et elle n'avait pas retenu tous les noms. A vrai dire, elle n'en gardait pas un grand souvenir. Cela expliquait qu'elle n'avait pas fait le lien plus tôt entre son nom et le nom de son magasin. Là, encore pour les connaisseurs, ce n'était pas discret, puisque ce n'était pas courant qu'un homme et son magasin aient les mêmes origines. Clémence s'abstint de tout commentaire. Jack était en train de faire un monologue. La jeune femme ne pensait pas non plus venir d'un dessin animé. Elle était réelle, elle existait. Ce qu'elle avait voulu dire à cette heure avancée de la nuit, c'était qu'il existait un film sur chaque personne ne venant pas de ce monde. Le film pouvait parler entièrement de la personne, ou juste la mentionner ou en faire une apparition. Clémence savait qu'elle n'était considérée que comme un personnage secondaire. C'était ses parents les héros dans le premier film qui existait sur elle et sa famille. Quant au second, c'était son frère, qui était mis en avant. Elle ignorait pourquoi ce choix avait été fait. Peut-être parce que rester chez soi ne permettait pas de vivre des aventures dignes d'être racontées dans un film ? Clémence l'ignorait. Elle n'était pas jalouse de ses parents ou de son frère. Au contraire, les films lui avaient permis de vivre avec eux leurs aventures. Avant, elle n'en connaissait que les grandes lignes. Maintenant, elle savait tout, jusqu'aux moindres détails. Ce qu'elle avait hâte d'en débattre avec eux. Si seulement elle pouvait retrouver sa famille. La jeune Brown pensa à sa famille, lorsque Jack termina son monologue.

Clémence le regarda, surprise. Pourquoi lui disait-il qu'elle deviendrait un bon professeur de français ? Elle n'avait jamais fait ce souhait, ni à lui ni à personne. Elle n'y avait même jamais pensé. Elle ne désirait pas changer de profession. Pourquoi lui disait-il ça ? Ce n'est pas parce qu'on était bon à quelque chose qu'il fallait forcément en faire son métier, non ? Clémence était excellente en photographie, ce n'était pas pour ça qu'elle était photographe. Elle était également très douée avec les enfants, pourtant elle ne travaillait pas avec eux. Clémence n'eut pas le loisir d'y penser davantage. Jack avait avancé dans sa tirade. Il venait de terminer par une question. Il voulait savoir si Clémence, en tant que chien, mangeait comme les chiens de ce monde-ci : des croquettes et de la pâté. « Nous avions de la pâté, oui, du sucre en récompense, quand on réussissait un tour. Oh et on avait le droit à des beignets et des os de temps en temps aussi. On avait aussi de temps en temps des restes et du poulet ! Je sais que mes parents et mon frère et Ange ont déjà mangé des pâtes bolognaises. Je n'ai pas eu le chance d'en manger quand j'étais une chienne. Humaine, oui, j'adore ça. Sinon, en boisson, en plus de l'eau, Jim Chéri nous donnait du café de temps en temps. Oh et Junior son biberon aussi. » Quand elle eut terminé de lui répondre, elle voulut lui poser la même question. Curieuse du mode alimentaire d'un squelette, Clémence l'interrogea à ce sujet. « Et vous, que mangiez vous dans votre ancienne vie ? Un squelette, ça doit manger du calcium, non ? » La jeune femme avait appris ça dans une leçon rapide d'anatomie d'Archimède. Quand elle eut sa réponse, ses yeux retombèrent sur le cahier de vacances. Elle ne parvenait pas à comprendre pourquoi il faisait ça. Peut-être pour se mettre à la page. Il venait de dire qu'il n'était pas là depuis longtemps. Peut-être avait-il des lacunes à combler, comme elle à son arrivée. Après tout, elle avait dû apprendre à lire et écrire en arrivant ici, et en français, alors qu'elle était américaine. La pauvre Clémence ne parlait qu'anglais à son arrivée à Paris et elle ne savait pas écrire la moindre ligne. « Pourquoi faites-vous ce cahier de vacances ? C'est parce que en tant que squelette vous ne savez pas certaines choses qu'un humain de votre âge devrait savoir ? »
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Mar 4 Juil 2017 - 2:07
QUAND UN SQUELETTE RETROUVE UNE CLIENTE

Clémence et Jack

Jack écouta attentivement les paroles de l'ancienne chienne quant à son régime alimentaire...de la pâté pour chien et des croquettes ? Il avait déjà eue l’occasion d'en sentir une fois et çà avait une odeur délicieuse...

-Mon dieu, tout cela me semble exquis, mais le meilleur semble etre la pâté pour chien et les croquettes !

Le vieux squelette ne se moquais pas d'elle, il était on ne peut plus sérieux, même si ce n'était pas la nourriture des habitants de la ville.Il se mit à l'énumération de la nourriture ingérée par les monstres qui logeaient à Halloween Town. Un inventaire des plus dégoûtants...

- Je ne me nourris point de calcium mais de déchets et autres détritus, comme tous les habitants, sauf les vampires qui eux ne boivent que du sang artificiel fabriqué par notre bon docteur. Sinon nous mangeons des déchets, des détritus, des déjections, de la moisissure, des aliments moisis et d'autres choses que vous jugez écœurants mais que nous trouvons délicieusement bons. Je prends en exemple le pâté en croûte de tarentules, mon dieu que c'est exquis, je m'en saliverais les babines si je n'étais pas aussi bien élevé. Les arêtes de poissons cuisinées par Sally j'adore cela c'est mon plat préféré ! Avec des punaises écrasées...quel régal ! Nous avons aussi des bonbons fabriquées par les sœurs sorcières, à base de poils de chats noirs, un rire mauvais, un peu de sang artificiel, des piments hautement et fortement élevés, des épines de cactus qui rajoute encore plus de gout aux bonbons. Pour les boissons nous buvons sois l'eau croupie de la fontaine, sois le docteur nous en fabrique ! Des sandwichs aux garnitures diverses et variées... j'aime bien ceux aux œufs passés... la purée de citrouilles et de cafards est aussi succulente !

En disant cela il se frotta le ventre et se lécha les lèvres, quel dommage de ne plus pouvoir mangé la délicieuse cuisine d'Halloween Town ! D'ailleurs c'est en voyant la cuisine de la ville qu'on se rendais nettement compte de la différence entre Christmas Town et Halloween Town. La ville de noël possédait une cuisine sucrée, douce, acidulée avec des bonbons et des gâteaux tandis que la cuisine de la ville d'Halloween était plus...infecte, du moins au yeux d'une personne normale. Parce que les esprits de la ville adorait leur cuisine et Jack aussi !

- Je ne suis pas tout jeune mais je ne sais pas tout en effet, beaucoup de choses me sont encore inconnues et je veux les apprendre, je veux voir et savoir ! Je sais que vous n’êtes pas humaine mais moi j'ai passé plusieurs siècles sous forme d'esprit, tout comme la ville, nous ne descendions que le 31 Octobre afin de terrifié les gens le jour d'Halloween, alors c'est ordinaire pour moi de voir les choses de plus..."haut" on va dire ! Mais peut-être que si un jour je reviens chez moi je pourrais inclure la pâté pour chien et les croquettes dans la cuisine de la ville...évidemment si tout est rance ça sera parfait !


☆☆☆ Beerus
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Mer 19 Juil 2017 - 11:15

Quand un squelette retrouve une cliente
Je voulais juste passer une soirée à m'amuser pas à étudier
Clémence fut ravie que Jack ne se moque pas d'elle et qu'il aime la pâté et les croquettes. C'était une petite preuve qui montrait l'exubérance de Jack. L'ancien canidé de connaissait pas beaucoup d'humain qui aimait ce genre de nourriture. Elle en connaissait aucune parmi tous ses amis et connaissances. D'ailleurs, la nourriture, ça faisait oublier les tensions. La jeune femme lui demanda ainsi ce qu'il consommait dans son monde, en étant un squelette. La curiosité en la matière la titillait. Une moue de dégoût se mua sur le visage de Clémence, au fur et à mesure des énumérations de Jack. Mais c'était dégoûtant ! Comment on pouvait manger ça ! Beurk ! Par politesse, elle ne dit rien et se contenta simplement d'écouter, mais elle n'en pensait pas moins. Jamais elle ne pourrait manger ça. Outre le fait que ça retournait l'estomac et rendait malade, ce n'était tout simplement pas bon ! Et puis, si son flair lui disait que ça puait, c'était pour dire à son corps que ce n'était pas comestible. Ses parents le lui avaient bien appris. Malgré qu'elle soit un chien d'intérieur, elle savait se servir de son flair. La jeune femme s'interrogea d'ailleurs sur le flair de Jack. Peut-être que le flair des esprits étaient différents ? D'ailleurs, un esprit, ça a dû flair ? Clémence avait du mal à se l'imaginer, mais comme Jack venait de spécifier qu'un esprit d'Halloween mangeait, il devait bien avoir un odorat, non ? En tout cas, ça semblait logique pour l'ancien canidé. Elle supposa qu'ils ne devaient pas être constitués de la même manière. Ils ne devaient pas trouver que ça puait et devaient adorer le goût. Elle avait du mal à s'imaginer qu'un squelette puisse renifler sa nourriture, mais pourquoi pas. En essayant de s'imaginer Jack avec une truffe, l'image de Jack dans le film L'étrange Noël de Monsieur Jack lui revint en mémoire. En fait, il n'avait pas de flair, mais il avait l'air de se comporter comme un humain. Clémence avait en effet rarement vu un squelette habillé en smoking. Remarque, elle voyait bien des chiens avec des costumes ici, alors que dans son monde, les chiens ne portaient pas de costume ni de vêtements, à l'exception de quelques petits chiens pour les protéger du froid comme Oncle Jock.

Jack répondit ensuite à sa dernière question, n'ajoutant rien de plus, si bien qu'un silence s'installa. Clémence en profita pour regarder la place. C'était beau et grand et surtout, c'était lumineux. Paris, c'était beau la nuit. Sa Nouvelle Angleterre natale lui manquait, mais elle avait adopté la ville lumière. Elle ne se voyait pas déménager, ou alors, il lui faudrait une bonne raison. Sa famille pourrait être cette raison. Tout en y pensant, elle vit les quelques personnes présentes passaient de leur démarche bien à eux, vêtues chacun dans leur propre style. Le genre humain était vraiment quelque chose de complexe et de mystérieux, enfin au premier abord. Maintenant, Clémence y était parfaitement à l'aise. Elle s'y complaisait même. Son regard continua de balayer le lieu, pour revenir se poser sur le carnet de vacances de Jack. Elle voulait bien savoir la réponse au problème sur le prix de la place du spectacle. Après tout, Jack n'avait toujours pas donné la réponse. Il s'était contenté de poser le problème à Clémence à froid. Elle était en pleine soirée et sur son chemin pour revenir, après avoir ramené son amie chez elle, elle se faisait attaquer avec un problème de maths. C'était normal que la pauvre Clémence n'avait pas su. Elle questionna Jack sur le sujet. « En fait, c'est quoi la réponse à votre problème ? »
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Ven 21 Juil 2017 - 15:01
Jack Skellington a écrit:
QUAND UN SQUELETTE RETROUVE UNE CLIENTE

Clémence et Jack

Jack se doute bien que Clémence allait faire une grimace à l'énumération du régime alimentaire des gens de Halloween Town. Le roi des citrouilles n'avait jamais posséder de flair et encore moins d'odorat. C'était la aussi une faculté humaine découverte dans ce corps de chair et de sang. Les mauvaises odeurs ne le déranger pas le moins du monde ici enfin du moins quand ce n'est pas les odeurs de ces traîneaux sans Rennes qu'ils appellent voiture.

-Croyez moi ma jeune amie la nourriture de Halloween Town est délicieuse !  Enfin cela dépend pour qui car ici j'ai l'impression que ils n'aiment pas le goût exquis du moisi  ! Et l'eau croupie de notre fontaine à très bon goût !  Vous mangiez bien des croquettes et les gens n'ont pas l'air d'aimer cela non plus ici !

Passer de la nourriture d'halloween à de la nourriture humaine avais été difficile pour le prince des cauchemars qui maintenant appréciait plutôt bien les gâteaux qui lui rappeler son expédition à Christmas Town même si la dites expédition avait mené à une catastrophe. Quand Halloween veux s'emparer de Noël cela ne mène qu'à un gâchis. Pourtant le prince des cauchemars été parfois persuadé que les gens aimaient ses cadeaux, les enfants d'Halloween Town aimaient les jouets quet les habitants fabriquaient alors pourquoi un enfant mortel n'aimerais pas les dits jouets ?

- J'ai voulu m'emparé de  Noël et cà n'a point été un succès !  Désormais je reste à ma place d'ailleurs je ne comprends point ce qui m'à  pris vu que Halloween recèle de trésor. Il faut parfois rester à sa place pour que tout aille pour le mieux on ne peut point changer sa nature et je ne changerai jamais la mienne !  Hi hi hi hi !

Il parti dans un grand éclat de rire plutôt effrayant adéquat à la nuit .

Esprit d'halloween je suis et esprit d'Halloween je resterai de toute manière cela me plaît bien je suis fier de ce que je suis ! Ainsi va le destin tout comme vous vous êtes une canide et vous le resterez peu importe votre corps

Le sujet revint sur le problème et Jack lui expliquant la solution.


☆☆☆ Beerus
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Sam 12 Aoû 2017 - 0:13

Quand un squelette retrouve une cliente
Je voulais juste passer une soirée à m'amuser pas à étudier
Après avoir admiré la vue et l’agitation nocturne, Clémence questionna Jack sur le fameux problème. Il était temps qu’elle sache de quoi il en retournait. L’ancienne chienne n’allait pas rester dans l’ignorance, non mais ! De toute façon, les mathématiques n’étaient vraiment pas sa tasse de thé. Elle ne perdrait rien en demandant comment ça pouvait bien fonctionner. Jack, de sa façon toute à lui, s’improvisa professeur d’un soir. Il lui expliqua comment trouver la réponse. La brune ne comprit pas tout de suite. Ce n’était pas intuitif, du moins pas pour elle. Elle finit néanmoins par comprendre. Elle parvint au résultat attendu. C’était une bien étrange manière de passer du temps en cette heure avancée de la nuit. C’était aussi un bien étrange professeur que ce monsieur Skellington. Clémence se demanda si ses amis comprendraient. D’ailleurs, ces derniers l’appelèrent. Ils s’inquiétaient de ne pas la voir revenir. Elle ne devait que déposer Louise chez elle et revenir. Elle aurait déjà dû revenir auprès de ses amis. Clémence s’excusa et s’éloigna un peu, puis prit l’appel. « Pardon, oui, je suis tombée sur l’effrayant homme de la boutique d’Halloween Town. Oui, c’est bien lui. Oui, c’était pour Halloween. Bref. Non, attends, je t’explique. Alors, en fait, je suis tombée sur lui et après une discussion, comme dire, un peu, mouvementée, on parlé nourriture et il a fini par m’expliquer un truc de maths. Non, je ne suis pas bourrée. Enfin, pas plus que toi. Oui, j’arrive. A tout de suite. » Clémence raccrocha et rangea son téléphone portable. Elle retourna auprès de Jack et lui expliqua la situation. Elle n’oublia pas la politesse. Sa mère en serait en fière. Clémence était bien la chienne de salon que sa mère avait élevé. « Je vais aller retrouver mes amis. Merci pour la leçon. Peut-être à bientôt. Au revoir, monsieur Skellington. » Clémence descendit les marches et alla rejoindre ses amis.
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