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Lorsque le fantastique prend la place du réel ~ Jack
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Mar 4 Avr 2017 - 18:41
Lorsque le fantastique prend la place du réel
La petite pièce était éclairée que d’une simple lampe d’appui. Clawd était installé à son bureau qui était couvert de papiers et de crayons. Frénétiquement, le jeune homme passait d’une feuille à l’autre à répétition. Il soupira et se recula brusquement dans le dossier de sa chaise; il manquait un article pour la page 3 du journal. Le journaliste chargé de la tâche était malade depuis plusieurs jours et il lui avait été impossible de l’écrire. L’adolescent avait été très compréhensif, mais à ce moment, il regrettait d’avoir un vide dans le journal qui devait sortir dans deux jours. Connaissant les gens avec qui il travaillait au journal, Clawd avait de sérieux doutes à ce que quelqu’un veuille bien écrire un second article. Il soupira à l’idée qu’il allait devoir jongler entre son travail à temps-partiel et la rédaction d’un second article.

On frappa à la porte et Clawd sursauta violement en regardant en sa direction. La porte s’ouvrit lentement, créant par la même occasion un long grincement et une femme dans la cinquantaine apparut. L’adolescent soupira de soulagement et un léger sourire se dessina lorsqu’il replaça sa longue mèche bouclée qui lui était tombée sur le visage. « Mathilde, ne me fais plus peur comme ça. » Ria-t-il légèrement. « Le couvre-feu est passé depuis longtemps. J’allais me coucher, mais j’ai vu de la lumière sous ta porte. » Clawd se frotta les yeux et regarda sa montre : 12h15. Il était tard, il était vrai. Il se leva et marcha lourdement pour se diriger à son lit. Mathilde se trouvant toujours là s’avança et regarda le bureau de travail en désordre. « Oh, c’est les papiers pour le journal de l‘école. J’essayais de les agencer, mais il en manque un et je ne sais pas sur quoi il pourrait porter.  » Glissa Clawd lorsqu’il vit Mathilde en se retournant pour s’installer dans son lit. La femme prit un papier dans ses mains et le lu rapidement avant de lever son regard en direction de son protéger. « Tu m’as bien parlé d’une boutique d’Halloween y’a quelques temps, pourquoi ne pas faire un article sur ça? » Il détourna légèrement le regard et fronça les sourcils comme si cette action l’aidait à mieux réfléchir. Faire un article sur une boutique d’Halloween alors que l’été arrivait ? ? Il n’était pas certain que l’idée soit pertinente, mais d’un autre côté, son lycée avait parlé d’un bal masqué pour souligner l’arrivé du printemps…  Et puis, Clawd ne pouvait s’empêcher de se demander comment une boutique de ce genre pouvait survivre durant toute l’année. Il haussa les épaules « Ouais pourquoi pas. » Il se glissa sous les couvertures et demanda à Mathilde de fermer la lumière avant de quitter.

Le lendemain, une tartine à la confiture d’une main, Clawd appela la dite boutique dans l’espoir d’avoir une entrevue avec le propriétaire au cours de la journée. Étant particulièrement pressé, il ne réalisa pas l’heure à laquelle il téléphona et il eu le malheur de tomber sur la boîte vocale. Il laissa un message avec ses coordonnés et il se dirigea à son arrêt de bus au pas de course. Ce fut à l’heure du midi, sous la pluie, que Clawd décida de se rendre, sans confirmation, à la boutique avec son appareil photo et son bloc note. Il y entra hâtivement et déposa son sac sur le comptoir caisse où il vérifia rapidement que son appareil n’est pas prit l’eau. Un grincement derrière lui se fit entendre et attira son attention. Il scruta attentivement les alentours, mais il n’y avait pas d’âme qui vive. Il retourna à son inspection, mais fut encore distrait par un bruit étrange. Il se sentait étrangement observer et c’est avec les mains légèrement tremblantes qu’il referma son sac après y avoir remit son matériel de journaliste.
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Jeu 6 Avr 2017 - 11:54
Lorsque le fantastique se mêle au réel
Jack & Clawd
Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

Il était midi en ce jeudi fin de matinée, les coups de midi venaient de sonnés. Les employés cessèrent donc de s'activés pour se préparé afin de partir prendre leur repas. Jack, lui, avait amené son repas, un sandwich jambon rouge-cornichon accompagné d'un moelleux au chocolat. Car il comptait resté dans la boutique, s'enfermé à clé et passé jusqu'à deux heures l'ouverture à étudié la géographie assis au comptoir. En effet, Jack comptait voyagé pour retrouvé sa bien-aimée, sa Sally, l'amour de sa vie. Mélancolique, le roi des citrouilles tritura la bague de fiançailles à son doigt, Sally devait certainement avoir la même. Lorsque tous les employés furent partis, le souverain de la ville d'Halloween s’apprête à fermé la boutique à clé et à changé le panneau d'ouvert à fermé lorsqu'il voit au loin un jeune homme qui marche en direction du magasin. Tient tient, un client de dernière minute ? Un petit rire s'échappe de la bouche de Jack, il allait lui joué un bon tour. Rapidement, le maître de la peur renonce à fermé boutique, du moins pour le moment, il se fond dans la noirceur du magasin, il s'y fond si bien que l'on ne voit plus que ses yeux, qui dégage une lueur inquiétante. Jack a vraiment sorti le grand jeu pour que le client frissonne.

Le jeune homme pénètre dans Halloween Town et pose ses affaires sur le comptoir. Jack remarque qu'il a un appareil photo, comme la jeune Clémence qui était venu le voir il y a quelque temps. Était t'il un ami de la jeune fille ? Le roi des citrouilles ne le savais pas mais il continuait de l'observé, amusé de constaté que ses mains commençaient déjà à tremblées. Le jeune homme range ses affaires dans son sac, finalement.

-Bouuuuuuuuuuuuuuuh fit Jack en sortant tel un diable de sa boite des ténèbres de la boutique.
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Jeu 6 Avr 2017 - 20:26
Lorsque le fantastique prend la place du réel
La pièce était vide et seule la pluie percutant la vitrine du magasin faisait office de bruit sonore. Alors que Clawd finissait de fermer son sac, un mouvement brusque derrière lui le fit faire volteface et il lâcha prise, terrifié par la surprise qu’il venait d’avoir. Il prit quelques secondes pour réaliser que ce n’était qu’un grand homme qui avait prit un malin plaisir à l’effrayer. Son cœur battait la chamade et il déposa la paume d’une main contre sa poitrine dans l’espoir de le calmer. Il observa nerveusement l’homme, sans dire un mot, puis lorsqu’il se sentit apte à bouger, il redressa ses genoux qui avaient légèrement flanchés par la surprise. Il prit comme appuie le comptoir caisse et fit quelques pas vers l’arrière en gardant le contact visuel sur les iris clairs de l’inconnu. « Je recherche un certain … Monsieur Skellington. » finit-il par dire légèrement hésitant. « Je l’ai appelé ce matin pour une entrevue pour le journal de mon lycée, mais je n’ai pas eu de réponse. » Il était vrai que le garçon aurait pu attendre plus longtemps, mais craignant de ne pas avoir d’article pour le lendemain, il se devait d'être persuasif.

À peine avait-il terminé sa phrase que son regard commença à examiner chaque détail de l’homme. Il portait un grand chapeau noir, laissant présager qu’il était quelqu’un de théâtrale. Les larmes peintes sous les yeux pouvaient souligner une tristesse et c’est en glissant son regard sur l’annulaire gauche de l’homme qu’il comprit que celui-ci n’était pas heureux en ménage. Il détourna le regard un bref instant et vit des cartes étalés sur le coin du comptoir contenant de fausses toiles d’araignées. Il était donc à la recherche de sa bien-aimée. Il retourna à l’alliance et leva le regard à son poignet qui était légèrement tâché d’encre. La déduction fut inévitable. « En fait, vous êtes Monsieur Skellington. Enchanté. » Il s’approcha le tronc et tendit la main à l’homme qui portait des mitaines couvertes des même fausses toiles d’araignées qui s’étaient collé aux cartes. « Clawd Delatour. Je constate que vous souhaitez voyager prochainement. »

Voyager. C'était bien une chose que Clawd souhaitait faire lui aussi. Aller à Londres. L'adolescent en était dingue pour son côté historique et pour les contes de Sherlock Holmes, un grand détective qu'il souhaitait un jour pouvoir égaler. Évidemment, quel homme serait-il si cette ville ne l'attirait pas d'un point de vue plus personnel. Il avait commencé une correspondance avec une jeune anglaise dans le cadre de ses études et, contre tout attentes, ils avaient des points communs et complémentaires l'un à l'autre. Après quelques semaines, ils s'étaient envoyer une photo et rapidement, les pensées de Clawd avaient été envahi par le joli visage de la brune.

Clawd écouta attentivement le propriétaire qui avait accroché à ce mot. Bien que ses déductions n'avaient pas été fausses, il était toutefois très intéressé de connaître davantage l'événement malheureux de ce couple. Étant très fleur bleue, Clawd trouvait adorable les élans romantiques des gens. Puis, réalisant que ce sujet s'éternisait, il dû le couper brusquement. « Je n'ai pas beaucoup de temps... » finit-il par dire à contrecœur en détournant légèrement le regard. « Y a-t-il un endroit où l'on pourrait s'installer pour discuter de votre boutique ? »
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Ven 7 Avr 2017 - 16:05
Lorsque le fantastique se mêle au réel
Jack & Clawd
Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

Jack était vêtu d'un chapeau haut de forme noir doté d'une plume violette, de longues mitaines recouvertes volontairement de toiles d'araignées d'où sortaient des doigts tachés d'encre. Des larmes noires étaient peintes sous ses yeux. Un tee shirt à manche ras, un jean avec une ceinture orange et des chaussures de la même couleur venait complété cette tenue. Jack avait vraiment son style vestimentaire bien à lui, un mélange d'époque victorienne, de fantasque et de macabre. Ça n'était pas pour rien qu'il était le macabre maître de cérémonie de la ville d'Halloween Town. En attendant le maître de l'horreur se réjouissais de la peur qu'il venait de faire à ce gamin, il devait avoir quoi ? 15 ans...16 ans tout au plus ! Un enfant !

Jack écouta le petit se présenté, il s’appelait Clawd et lui serra la main. Le roi des citrouilles la lui serra avec énergie. Il fut surpris de constaté que Clawd avait deviné qu'il allait partir en voyage.

-Oh oui, je voyage mon cher, du moins je compte voyagé, pour retrouvé ma tendre amie, ma fiancée, Sally, malheureusement le destin nous à séparé... Mais je compte voyagé durant les jours de fermeture de la boutique, c'est à dire le dimanche et le lundi, oui ma boutique est ouverte le samedi, mais il faut bien que mes employés se reposent un peu !

Il avait eue un peu le temps, ces derniers jours, d'entouré sur les différentes cartes du monde les villes qui l'intéressais, Londres et New-York, il ne savais pas pourquoi mais son coeur l'attirait là-bas. La force de l'amour, l'amour est une bien grande force, même à Halloween Town.

♪ ♪♫ Ma tendre amie, si tu veux bien
J’aimerais te prendre par la main
Et t’entraîner vers les étoiles
Les yeux dans les yeux brillant de mille feux
Car la lumière d’un amour éternel
Est vraiment la plus belle ! ♪ ♪♫


Pris de mélancolie, la voix de Jack s'éleva dans le magasin, claire, pure, un peu roque cependant. C'était la chanson qu'ils avaient chantés ensemble pour se déclaré leur flamme, alors qu'ils se regardaient dans le blanc des yeux, leur chanson a eux deux. En quelque seconde il oublia Clawd qui le rappela à l'ordre. Il n'avait guère beaucoup de temps mais Jack lui, il en avait. Le magasin ouvrait ses portes de nouveau a 14 heures.

-Oh pardonnez-moi petit être mortel, hum...un endroit tranquille ? L'arrière boutique vous conviendrais ? Je vous propose un chocolat, un café ?

Avant même que Clawd n'aie eue le temps d'accepté, la haute et inquiétante silhouette du roi des citrouilles disparu afin de préparé le café. Il passa prendre des bonbons dans le rayon des bonbons, afin de faire un café de l'horreur. Elle marchait toujours cette plaisanterie, son employée, Mally avait recraché son chocolat, et Clémence, elle, s'est enfuie en courant, non sans laissé tombé sa tasse avec le contenu à l'intérieur, ce qui avait bien fait râlé Ernest. Mais elle n'avait pas marché que sur eux, elle marchait sur d'autres clients aussi. Une vieille recette qui fonctionnait toujours...

Il prépara donc le café de l'horreur où le chocolat de la terreur qui était devenu sa marque de fabrique, il n'avait jamais pensé à donné un nom à cette blague macabre mais il avait fini par en trouvé deux : le café de l'horreur et le chocolat de la terreur.

Lorsque le café de l'horreur fut prêt, Jack alla le porté à son invité.

-Voilà très cher un délicieux petit café, régalez-vous surtout ! Je vous laisse petit mortel, je reviens dans un instant, le temps de prendre mon repas !

Il alla ensuite cherché son sandwich et son moelleux au chocolat acheté à Intermarché.
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Mer 12 Avr 2017 - 19:28
Lorsque le fantastique prend la place du réel
L’adolescent n’aimait pas particulièrement couper les gens dans leurs beaux discours et surtout lorsqu’il était question d’une histoire d’amour adorable comme celle que le propriétaire des lieux était en train de raconter, mais il était nécessaire pour lui de terminer cette entrevue avant la réouverture. Les gens n’y pensaient pas toujours, mais Clawd allait devoir courir jusqu’au local du journal, puis allait devoir écrire l’article, le corriger, pour ensuite l’ajouter aux articles déjà écrit et l’imprimer en plusieurs exemplaires pour qu’il puisse être disponible le lendemain à l’ouverture du lycée. Cette histoire allait être une course contre la montre, surtout qu’il avait promis une séance de tutorat avec une fillette de l’orphelinat qui avait beaucoup de mal avec les mathématiques. Voilà les désagréments d’être incapable de dire non aux gens.

Le grand homme ne sembla pas particulièrement choqué par la remarque un peu brusque de Clawd – Mais Clawd lui, repensa aux désirs de voyager de l’homme. Où comptait-il aller avec seulement deux jours de congé ? Dans la ville voisine ? –. Jack proposa d’aller dans l’arrière-boutique pour faire l’entrevue.  Parfait! Il prit son sac qu’il déposa sur l’une de ses épaules et commença à se diriger vers l’arrière, mais il s’arrêta en entendant la question posée. « Euh … » avait-il eu le temps de dire avant que l’homme ne disparaisse. Il regarda un moment en la direction de l’homme qui s’était déjà lancé dans la préparation d’un café. De l’eau aurait amplement suffit en réalité, mais il semblait tellement heureux que Clawd n’ajouta rien et recommença à marcher. Le brun vit rapidement une table et des chaises installés dans un coin de l’arrière-boutique; c’était probablement là que les employés mangeaient à l'heure du déjeuner. Il y déposa son sac, puis il s’y assit d’une façon décontracté en posant l’un de ses pieds sur sa cuisse et il sortit son carnet et un stylo à encre bleu qu’il prit avec sa main gauche. Il marqua la date en haut de la feuille, puis mit quelques mots-clefs décrivant l’endroit tel que : sombre, lugubre, inquiétant. Évidemment, il annota aussi l’impression que le propriétaire lui avait faite : personnage. Que ce soit son costume, ses manières ou sa façon de parler, M. Skellington ne semblait pas vouloir décrocher du personnage qu’il avait mis au point pour animer sa boutique.

Lorsque le grand homme arriva avec le café, Clawd le prit sans y faire plus attention et il le déposa en face de lui, sur la table. Il continua à écrire quelques petits mots comme : accueillant et agréable en-dessous du nom complet du propriétaire, en commençant à siffler la mélodie que le géant avait chanté un peu plus tôt, comme s’il la connaissait lui aussi. Il attendit que l’homme s’installe, puis il débuta son questionnaire par la question qui lui semblait la plus logique. « Pourquoi avez-vous eu l’envie d’ouvrir une boutique consacrée aux déguisements d’Halloween ? » Le brun écrit rapidement des phrases remplis d’abréviations qu’il était le seul à comprendre. Il se pencha rapidement vers son sac pour en sortir un marqueur jaune et frôla la catastrophe en donnant un coup de coude sur le café dont il n’avait pas encore pris une seule gorgée. Il retourna à son carnet. « Bien qu’Halloween soit une passion pour vous, certains temps de l’année doivent être plus difficile que d’autres pour vous… Comment faites-vous pour attirer les clients chaque jour de l’année ? » L’orphelin avait bien vu les friandises que la boutique vendait et peut-être que c’était là la plus grande source de revenu de la boutique puisque leurs prix étaient moins élevé que ce qu’on pouvait retrouver dans les confiseries… Il continua à écrire et à surligner certains éléments, mais il s’arrêta d’écouter au moment où il réalisa que les mots qu’il avait souligné avaient un drôle de sens. Il repensa à la chanson que l’homme avait chantée plus tôt et jeta un rapide coup d’œil au nom qu’il avait écrit sur le haut de la première page : Jack Skellington. Pourquoi ce nom lui disait quelque chose ? Il leva ses iris bleus et dévisagea un moment son hôte. Non, à première vue, il ne le connaissait pas. « Pardonnez-moi, mais … » Il le regarda quelques instants silencieusement, les sourcils légèrement froncés, hésitant à continuer sa phrase. Il déposa son carnet sur la table toujours en gardant le contact visuel. Ce que vous faites, c’est bien jouer un personnage ? Qu’il eut envie de dire, mais malgré son désir qui le démangeait, il accepta par lui-même le fait qu’il était épuisé mentalement et qu’il se racontait n’importe quoi. « Où sont les  W.-C. ? » Finit-il par enchaîné, le regard un peu perdu.

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Lun 17 Avr 2017 - 12:26
Lorsque le fantastique se mêle au réel
Jack & Clawd
Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

On lui disais souvent qu'il jouais un rôle, Jack était toujours un peu outré qu'on lui dise cela et rectifiais en disant qu'il était LE vrai roi des citrouilles d'Halloween Town, non un personnage crée pour l’occasion de l'ouverture de sa boutique. De ce fait, il passais pour encore plus fantasque qu'il n'est déjà (si l'on puis faire plus fantasque que sa très humble personne !) et un excentrique notoire. Mais les clients bien qu'ils aimaient son magasin, se méfiaient aussi de lui car ses farces des plus macabres en faisaient frissonné plus d'un et plus d'une et ses tendances à faire peur faisais qu'ils rentraient au garde à vous dans le magasin, mais ils aimaient ça. En vrai maître de cérémonie macabre de la ville d'Halloween Town, l'esprit patron d'Halloween adorais connaitre les phobies de ses employés et de ses clients. Il s'active à répondre aux questions de Clawd mais son torse est bombé, il est très fier des paroles qu'il compte prononcée.

-J'ai ouvert cette boutique pour pouvoir continué mon travail, faire peur, et ma passion c'est l'Halloween. Ce n'est pas vraiment difficile, beaucoup de gens aiment l'Halloween et aiment offrir des cadeaux sur ce thème, ils recherchent la peur tout le long de l'année, et en tant que maître de cérémonie de ce magasin, j'aime à connaitre les phobies des autres, d'ailleurs quelle est la votre, mon délicieux ami ?

Soudain, Jack s'aperçu que Clawd n'avais pas l'air dans son assiette, était-ce le café de l'horreur qui le mettais dans un état pareil où était-t'il malade, couvait t'il une mauvaise gastro ? Il espérait secrètement que ça ne sois pas le café, auquel il avait à peine touché par ailleurs, le but étant que Clawd frisonne, non qu'il vomisse son petit déjeuner.

-Oh...les toilettes, elles sont à droite mais si vous êtes malade, on peut reporté l'interview à plus tard, vous savez !

Le squelette ne pouvais s’empêcher d’être inquiet et il se leva pour escorté son client jusqu'au toilette.
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Mer 19 Avr 2017 - 18:05
Lorsque le fantastique prend la place du réel
Jack semblait soucieux de l’état du jeune homme qui cherchait désespérément un endroit où il pouvait réfléchir sans paraître bizarre. Il avait opté pour les toilettes et il s’y fit escorter. L’endroit ne comportait qu’une toilette et un petit lavabo au-dessus duquel était fixée une glace. Le brun ouvrit le robinet et laissa couler l’eau froide pendant quelques secondes. Il s’observait dans le miroir et pendant un bref instant il compara son propre teint à celui d’un fantôme; pas étonnant que le propriétaire des lieux s’était inquiété en le voyant demander la salle d’eau.

Tout le monde dans ce  bas monde avait une phobie ou une peur. Pour Clawd, cette peur avait toujours été en lui, sans même qu’il ne le sache. Les années s’étaient enchaînées sans qu’il n’y songe sérieusement, mais chaque fois qu’il voyait un enfant avec l’un de ses parents, il ne pouvait s’empêcher de se demander si l’adulte n’avait pas un quelconque lien de parenté avec lui. Il avait bien sûr comprit qu’il se trouvait dans un foyer parce que personne ne pouvait s’occuper de lui et on lui avait fait sous-entendre que ses parents étaient morts, mais pourtant, chaque fois qu’il évoquait l’héritage qu’il allait avoir à ses 18 ans, les éducateurs changeaient immédiatement de sujet de conversation, comme s’ils ne voulaient pas qu’il comprenne. Malgré que son envie de connaître la vérité le démangeait, il ne poussait jamais plus loin ses questions qui finissaient, de toute façon, avec des réponses toutes similaires.  

Pour le moment, le teint blême de l’adolescent ne faisait que certifier qu’il était effrayé à l’idée que l’homme avec qui il avait discuté était bien celui auquel il pensait. Les mains tremblantes, il prit son portable et chercha dans le moteur de recherche internet Jack Skellington. Cela ne prit que quelques secondes avant qu’il n’échappe l’appareil électronique, choqué par le premier lien que Google lui offrait. La chanson qu’il avait fredonné comme s’il la connaissait, le personnage si théâtrale, le prénom de Sally évoqué durant leur courte conversation au sujet de voyage … Non, ce n’était qu’un rôle. Qu’un mensonge pour amuser les clients, rien de plus ! Clawd prit de l’eau dans le creux de ses mains et il s’humidifia le visage pour tenter de reprendre ses esprits. Était-il devenu fou ? Et si Oliver avait dit toutes ces choses, non pas par pure imagination, mais bien parce qu’elles étaient vraies ? Trop de coïncidences… Mais c’était trop étrange pour être vrai. Il était à Paris, une vile réelle. Il existait réellement, il ne venait pas de l’imagination de quelqu’un. Pourquoi des êtres imaginaires avaient soudainement décidés de venir dans le monde des humains, c’était absurde ! Il s’arracha, sans s’en rendre compte, un peu de peau de sa lèvre inférieur en réfléchissant vivement à toutes les possibilités qui s’offraient. Après un court moment de réflexion qui lui parut d’interminables secondes contradictoires, il coupa l’eau et il ramassa son téléphone qui était resté au sol après sa chute.

« Monsieur Skellington » Souffla le brun en fermant la lumière de la pièce de laquelle il quittait « Vous êtes … Vous avez parlé de ''mortel'' tout à l’heure … Est-ce que… Qu’est-ce que vous êtes… En réalité ? » Il tenait toujours la poignée de la porte, comme si elle pouvait l’empêcher de tomber en entendant la réponse de l’étrange homme. « Un personnage … Sorti d’une histoire pour enfants… ? » Supposa-t-il en se trouvant totalement absurde avec cette déduction faite à la vas-vite « O-Ou p’t-être juste un homme aimant ce personnage… » Se rattrapa-t-il rapidement en s’enfargeant dans ses mots en espérant ne pas paraître trop bizarre à cause de sa première hypothèse.

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Mer 19 Avr 2017 - 23:02
Lorsque le fantastique se mêle au réel
Jack & Clawd
Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

Les toilettes d'Halloween Town n'était composée que d'une toilette et d'un lavabo doté d'un miroir entrelacés de citrouilles, de cranes et de chauve-souris. Jack s'accouda contre la porte des toilettes et attendit patiemment que son client en sorte. Cela prendra le temps qu'il faudra. Sans le vouloir, Jack écouta les bruits qui venaient de la toilette. L'eau qui coule du lavabo, et un bruit lourd qui tombe sur le sol. Jack se demandais, inquiet, si son client n'avait pas fait un malaise, quand il est rentré dans les toilettes il était aussi blanc que son fidèle Zéro. Le roi des citrouilles se demandait encore si c'était le café qui l'avais mis dans un état pareil où s'il était tout simplement malade quand il est arrivé à Halloween Town.

Finalement il ressort des toilettes et lui pose des questions sur sa nature. S'il était imaginaire, sorti d'un conte pour enfant, où bien quelqu'un qui joue un rôle. Il avait l'habitude de raconté la vérité sur son passé, pourquoi caché ses origines, il en été si fier ! Mais comme je le disais tout à l'heure, il passais pour encore plus excentrique et fantasque qu'il n'était et, même s'il en été un peu outré, il avait fini par s'habitué. Au final, tout au fond de son vieux coeur il se fichais pas mal qu'on le crois où non, le principal c'était qu'il était fier de ce qu'il était. Seul Margaux l'avait cru, et Mally vu qu'elle venait d'un autre monde elle aussi.

-Selon vous, aie-je vraiment l'air imaginaire ? Sinon a la question qui je suis exactement...disons que je suis Jack Skellington l'esprit patron d'Halloween enfermé dans le corps d'un homme de 36 ans et séparé de sa bien-aimée, Sally. Croyez-moi où non je m'en fiche totalement, cela m'est parfaitement égal ! Mais je suis né bien avant vous, oh oui bien avant vous, il y a des siècles plus exactement, autant dire que je suis très vieux, si vieux que mon enveloppe charnelle s'en ressent !

Là dessus il recule lentement jusqu'à la table, tout en ne quittant pas du regard le jeune homme il se penche pour attrapé la tasse.

-Si vous voulez, nous pouvons reporté l'interview a un autre jour si vous ne vous sentez pas très bien, et si vous ne pouvez pas boire votre café je le ferais réchauffé, c'est bien dommage vous y avez a peine touché, en faites vous ne l'avez pratiquement pas touché, croyez-moi, le café que j'achète est des plus exquis, pareillement pour le chocolat !

Là dessus c'est avec un sourire effrayant qui étire les lèvres du maître de la peur que celui-ci relève sa haute silhouette et se dirige d'un pas assuré vers le micro-onde pour faire réchauffé la tasse de café piégée qui avais bien eue le temps de refroidir pendant que Clawd était aux toilettes.
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Ven 21 Avr 2017 - 21:12
Lorsque le fantastique prend la place du réel
« Selon vous, aie-je vraiment l’air imaginaire ? » Clawd voulu se confondre en excuses, mais le grand homme enchaîna rapidement, causant par la même occasion une certaine confusion mentale pour lui. Il senti son corps tanguer en entendant la confirmation de ses doutes… Jack venait tout juste de valider ses soupçons et ce, sans aucune gêne. Était-il inconscient des risques de cela..? Clawd avait fait le lien entre le personnage et l’humain parce qu’il y avait des évidences… Mais combien d’humain allaient penser comme lui ? Très peu sans aucun doute. Si Jack ne voulait pas terminer chez les fous, il devait arrêter de crier ses origines à tout va. « C’est fou … » chuchota-t-il après quelques secondes en fixant le plancher, les yeux ronds. Il finit par lever le regard lorsque l’homme lui proposa une seconde fois de reporter leur interview. Oh ça non! Il avait trouvé quelque chose de bien mieux que cette boutique d’Halloween, il était impossible pour lui de quitter cet endroit sans avoir des réponses aux questions qui germaient dans son esprit. « Non, non! » s’exclama-t-il en tendant un bras en sa direction, comme un enfant demandant à quelqu’un de rester auprès de lui. « Je vais prendre le café et je veux qu’on en discute ! » Jack se dirigea alors vers le micro-onde et l’adolescent lâcha finalement la poignée de porte des toilettes.

D’un pas plus sûr, il retourna à la table à laquelle ils avaient discuté quelques minutes plus tôt. Il s’y installa et rangea sans hésitation le petit carnet qu’il utilisait pour écrire les informations sur la boutique; cette interview était terminée, maintenant il était temps d’aborder quelque chose de plus intéressant.  Lorsque Jack revint avec le café, le brun lui prit doucement des mains pour ne pas se bruler. « Merci » Il souffla sur le liquide pour tenter de le refroidir, puis il déposa ses lèvres sur le rebord de la tasse en fermant les yeux pour gouter les arômes du café qualifié comme étant exquis. Il était effectivement excellent, mais la surprise lorsqu’il eut en ouvrant les yeux ne l’était pas… Enfin pas pour lui.

Un œil humain flottait sur le liquide fumant noir. Par réflexe, Clawd échappa la tasse à ses pieds et elle se brisa en plusieurs morceaux au contact avec le sol dur. Le contenu se retrouva répandu rapidement dans tous les sens, sous la table et les chaises sur lesquels ils étaient installés. « Putain! » Le choc avait été tellement important qu’il avait hurlé en se levant d’un bon de sa chaise. « C’est quoi cette merde ?! » Il regarda l’œil rouler jusqu’au cadre de la porte de l‘arrière-boutique et d’un pas hésitant il s’y dirigea pour le prendre minutieusement avec deux de ses doigts. La texture était spongieuse, l’iris était plate… C’était un faux. Un petit sourire se dessina sur le visage de l’orphelin. « Alors, vous aimez plaisanter à ce que je vois… » Il retourna à la table pour y déposer l’œil en son centre pour l’empêcher de tomber et il commença à ramasser les morceaux de porcelaine éparpillés. « Je suis désolé pour votre tasse. » Il leva son regard et il s’arrêta de nettoyer un bref instant « Vous devriez penser à prendre des tasses en plastique si vous faites ce genre de blagues aux gens »
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Lun 24 Avr 2017 - 16:32
Lorsque le fantastique se mêle au réel
Jack & Clawd
Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

Il fit un pas vers le micro-onde et il entendit Clawd lui certifié que; finalement, il le voulait bien ce café. Jack le mit donc à chauffé, pas trop chaud pour ne pas que les bonbons dedans puisse fondre et l'apporta au jeune homme. Celui-ci le remercia et commença à boire, jusqu'au moment où la petite blague du roi des citrouilles fit son effet. De frayeur, le jeune homme laissa échappé la tasse sur le sol, répandant le contenu partout. Décidément, cette petite plaisanterie faisais toujours son petit effet.

Alors, vous aimez plaisanter à ce que je vois… »

-Oh oui, c'est ma plaisanterie favorite mais j'en aie bien d'autre sous le coude, hihihi !

Pendant que Clawd ramassais les débris de porcelaine, Jack s'éclipse pour allé prendre une serpillière et un balais. Il s'active également à nettoyé le café avant que celui-ci ne sèche et ne devienne par la suite difficile à faire partir. Heureusement il avait été renversé frais et donc il ne collais pas au carrelage de l'arrière boutique.

-J'y penserais, demain je ferais l'achat de gobelets en plastique !

Oui c'était en effet une décision beaucoup plus sage, Jack n'y avais pas pensé mais l'on ne pouvais pas pensé à tout, après tout ! Le roi des citrouilles continuait à frotté le sol avec énergie jusqu'à ce qu'il ne reste plus une seule trace de café. Il mis également les coussins de coté afin de les amenés se faire lavé a l'appartement, puis il demanda à Clawd :

-Voulez-vous une aspirine ? Un doliprane ? J'ai une petite trousse au cas où mes employés seraient malade où bien blessés, une entorse est si vite arrivé ! Quand on ouvre une boutique, il faut pensé à tout ! Et comme vous semblez malade...j'insiste, vraiment !  

Là dessus le roi des citrouilles attrapa le jeune homme par les épaules et le força a s'asseoir sur une chaise, désormais dénuée de coussins vu que ceux-ci étaient trempe du liquide marron qui s'était répandu sur eux

-D'ailleurs laissez donc ceci, je vais continué de les ramassés, ne vous fatiguez pas ainsi, vous avez déjà une triste figure de fantôme !

Le squelette joignit le geste à la parole, il baissa sa longue silhouette et continua le travail de Clawd, ramassant les morceaux de porcelaine cassés qu'il alla ensuite jeté à la poubelle du magasin.

Que voulez-vous savoir sur moi et sur Halloween ? Il me semble que, tout à l'heure, vous vouliez qu'on discute de mes origines ?
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Mar 25 Avr 2017 - 15:46
Lorsque le fantastique prend la place du réel
Jack semblait adorer faire des blagues macabres…. Ce que le jeune homme ne pouvait pas ignorer puisque cela n’était aucunement son cas. Les cadavres, les membres arrachés et désormais en putréfaction… rien n’était amusant. Clawd détestait avoir peur et cela pouvait clairement s’expliquer par toutes ces petites frayeurs quotidiennes qu’il vivait. Il ne savait pas pourquoi, mais il était un garçon nerveux de nature… Peut-être que cela était parce qu’il n’avait jamais eu l’amour protectrice et réconfortante d’une mère. « Je n’aime pas vraiment ce genre de blagues… » Chuchota-t-il en déposant quelques morceaux de porcelaine dans la poubelle alors que le propriétaire s’était éclipsé pour chercher les outils d’entretien ménager.

De retour, celui-ci lui proposa de l’aspirine, puis changea d’idée et le força à s’asseoir en donnant comme raison qu’il avait un teint sans vie. Le brun voulu protester, mais il capitula avant même d’ouvrir la bouche. D’accord, il était vrai qu’il ne s’était pas senti très bien… Mais qui aurait bien prit la nouvelle ? Il avait l’impression d’être devenu fou. Peut-être qu’il était en train de rêver ? C’était la seule raison logique pour expliquer les événements. Il dirigea sa main vers l’une de ses cuisses et il voulut se la pincer discrètement, mais la douleur fut si surprenante qu’il sursauta et la frotta vigoureusement pour endormir le pincement aigu qu’il ressentait. « Eh bien … Je ne crois pas que de l’aspirine ait un quelconque effet pour ce que j’ai … » débuta-t-il doucement en fixant son membre endolori « Pour dire vrai… Apprendre que vous existez réellement et en plus sous forme humaine… » Il détourna finalement le regard en la direction du personnage. « C’est ouf... » Il s’était remis à la tâche et légèrement mal à l’aise de le laisser terminer seul, Clawd suivait attentivement chacun de ses mouvements.

L’homme était si réel… Comment cela pouvait-il être vrai ? Cette question revenait sans arrêt dans son esprit sans qu’il ne puisse avoir de réponse. « Que voulez-vous savoir sur moi et sur Halloween ? Il me semble que, tout à l’heure, vous vouliez qu’on discute de mes origines ? » Le brun se redressa sur son siège et d’un regard lumineux il fixa son interlocuteur. « Oui j’ai des questions ! Premièrement, depuis quand êtes-vous ici ? Comment êtes-vous arrivé dans notre monde ?  Avez-vous volé le chariot du Père Noël ? » Il s’arrêta brusquement. Si Jack existait, lui, symbole de l’Halloween selon le dessin animé, cela voulait donc dire que le Père Noël, le lapin de pâques et tout autre personnage de conte d’enfant existaient vraiment..? Si hypothétiquement chaque personnage était humain comme Jack, cela voulait donc dire qu’il en avait peut-être déjà croisé… « Il y en a d’autres comme vous ici..? Euh…. Je veux dire d’autres que les symboles des fêtes… »

Avançant son buste en direction de la table, Clawd reprit entre ses doigts l’œil humain en bonbon qu’il y avait déposé. Il s’amusa à appuyer à répétition dessus tout en observant avec attention ses réactions. « Être humain et vivre parmi eux ça doit être ennuyant pour vous, non ? Les gens d’Halloween Town semblent bien mieux que la race humaine. » En vérité, Clawd avait toujours adoré le dessin animé de Jack, bien qu’il en avait été effrayé au départ. « C’est parce que vous êtes arrivé dans ce monde, en fait, que vous avez perdu Sally… » Réalisa-t-il en leva ses prunelles pour observer Jack silencieusement. C’était un sort bien terrible. Perdre un être cher et ne pas savoir où il se trouve. Chercher avec ardeur, mais finalement chercher en vain.

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Mar 25 Avr 2017 - 17:44
Lorsque le fantastique se mêle au réel
Jack & Clawd
Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

Le squelette continua de nettoyé tranquillement et s'amusa du regard ahuri de Clawd. Il n'aimais pas ce genre de plaisanterie mais le roi des citrouilles adorait cela. Il écouta ensuite, tout en continuant de nettoyé les dégâts, la kyrielle de questions de Clawd.

-Alors je suis ici depuis deux ans maintenant, je ne sais pas vraiment comment je me suis retrouvé ici, je discutais d'une idée pour le prochain Halloween avec Sally quand je me suis senti tout engourdi, un étrange engourdissement à pris possession de tout mon corps, c'était très étrange comme sensation et désagréable aussi, puis je me suis retrouvé ici, dans la peau d'un humain !

Il s'en souvenait comme si c'était hier, de la scène, il discutait avec elle d'une idée pour le prochain Halloween assis tous les deux sur la fontaine de la place centrale. Le plus difficile pour lui avait été d'avoir perdu quelques unes de ses habilités, ses dons. Sa faculté de détaché les membres de son corps de squelette et de les commandés à distance par le pouvoir de la pensée, son insensibilité à toute forme de douleur et au feu qui faisais qu'il pouvait prendre celui-ci dans les mains et même l'avalé sans risque. Il avait gardé dans ce monde uniquement son habilité, sa et le pouvoir d'effrayé les gens et de se nourrir de leur peur.

-J'ai perdu bien de mes facultés, je ne puis plus détaché les membres de mon corps pour les commandés à distance, je ressens la douleur comme vous autre, humains, je suis sensible au feu et je ne puis plus le prendre dans ma main et joué avec, ni faire de somptueux et terrifiants spectacles comme autrefois. Il est devenu un ennemi mortel, alors qu'il était mon allié ! L'humanité me prive de bien des dons que j'avais autrefois, mais j'en aie gardé quelques-uns, et un brin de magie noire !

Après avoir terminé de nettoyé, il rangea les affaires ménagères et alla cherché la petite trousse dont il avait parlé tout à l'heure, il l'apporta avec une tasse qu'il alla remplir de l'eau du robinet qu'il déposa ensuite sur la table devant Clawd qui jouais avec l’œil en bonbon. Il fouilla dans la trousse pour en sortir un tube de doliprane effervescent.

-Vous voulez dire que j'ai volé le rôle du Perce-oreille; n'ayez crainte, je sais désormais où est ma place !

Si les humains étaient moins intéressants que les esprits qui habitent Halloween Town ? Jack lui donna la réponse en s'asseyant en face de lui.

-Je ne méprise pas les mortels, du moins je ne méprise pas ceux qui se montre aimable, gentil et courtois, je vous trouve d'ailleurs très curieux, comme personnes. Vous êtes fascinant et j'aime à étudié vos comportements, ils sont si...si...différents alors que vous vous ressemblez tous et que le même sang coule dans vos veines ! A Halloween Town, aucuns esprits ne se ressemble, alors que vous vous avez les mêmes oreilles, les mêmes nez de la même couleur où presque ! Malheureusement, certains font parfois preuve d'une vulgarité et d'une méchanceté puérile et rejette leur prochain pour des broutilles ! Et oui, il y en a d'autres mais je ne sais pas si le Perce-Oreille et les autres esprits des fêtes ont atterri ici, mais je l'espère et j'ai l'espoir !

Lorsqu'il évoqua Sally, le roi des citrouilles baissa piteusement la tête  et tapota de ses doigts le bord de la table. Une immense tristesse envahissais tout ses vieux os à l'évocation du visage de la poupée de chiffon qui était et restera toujours sa fiancée.

- Oui c'est parce que je suis arrivé ici que j'ai perdu Sally... fit t'il d'une voix grave, il ravala sa salive et on pouvais voir sa paume d’Adam descendre et remonté le long de son cou.
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Dim 7 Mai 2017 - 18:53
Lorsque le fantastique prend la place du réel
Deux ans… Deux ans c’est loin… Songea Clawd en entendant la première réponse de l’homme. Il y avait deux ans, Clawd n’était qu’âgé de 15 ans et débutait son année en première. Tout c’était accéléré à ce moment dans sa vie. Au lycée, on lui parlait déjà de son futur emploi et des choix qu’il allait devoir faire pour atteindre son objectif. Au foyer, on lui offrait des séances chez le psychologue qui tentait tant bien que mal de lui faire comprendre que son séjour parmi eux allait bientôt prendre fin. Chaque séance finissait par une frustration grandissante du jeune homme qui devenait impoli envers M. Dupuis… Les séances étaient devenues tellement incontrôlables qu’il avait ordonné aux employés du foyer d’annuler les rencontres fortes peu productives. Par la suite, il eut M. Sorel… Ils ne discutaient pas particulièrement et Clawd passait son temps à l’analyser silencieusement dans le fond de son fauteuil, comme s’il était lui-même psychologue. Cela faisait un moment qu’ils ne s’étaient pas vu, mais maintenant Clawd était enfin prêt à écouter son discours sur la vie d’adulte. « Pouf, comme ça ? » demanda-t-il surprit par l’illogisme de l’événement. Alors les pauvres personnes ne comprenaient pas ce qu’il leur arrivait et ils devaient vivre parmi les humains comme si rien était ? C’était à en devenir fou. S’il avait été dans le même cas que Jack, Clawd aurait sans doute devenu inconsolable de tout perdre de la sorte. Bien sûr, l’orphelin avait très peu de choses, mais chaque objet qu’il possédait étaient importants pour lui. « Alors vous n’êtes … Qu’un vulgaire humain désormais… » La preuve que Clawd aurait voulu avoir pour certifier qu’il ne parlait tout simplement pas à un évadé de l’asile était donc réduit à néant. C’était bien embêtant, mais il allait le croire jusqu’à ce que quelque chose le compromettre.

Jack fini de nettoyer et il déposa une tasse d’eau en face de Clawd. Puisqu’elle était déposée en face de lui, l’adolescent ne se posa pas trop de questions et il déposa l’œil en gélatine pour prendre quelques gorgées en continuant de l’écouter et sans se soucier des dolipranes que Jack semblait tant vouloir lui refiler… Il aimait donc bien les humains … D’un autre côté, il n’en avait pas réellement le choix. Que pouvait-il faire sinon ? Rester enfermer chez lui ? Vivre dans les égouts pour ne pas avoir de contact avec eux ? Parfois, lui qui était un être humain depuis sa naissance avait envie de rester cloîtrer dans sa chambre. Les gens étaient si désagréables par moment. Que ce soit les employés du foyer qui lui privait de liberté, du psychologue qui voulait lire dans sa tête, de Valentin qui prenait les choses sérieuses trop à la légère ou même de Emmy qui lui plantait un poignard dans le cœur chaque fois qu’elle lui écrivait au sujet de son ex… Chacun d’eux rendait la vie du brun un peu plus pathétique. Déposant sa tasse, il l’observa en réfléchissant, puis il détourna le regard vers son interlocuteur en réalisant l’importance de l’information que celui-ci venait de donner : Il y avait d’autres gens comme lui dans ce monde. « D’autres ? » L’interrompu-t-il en se redressant sur son siège, sans se rendre compte que la dernière phrase évoquant Sally l’avait particulièrement rendu triste. « Qui donc ?! » D’autres réalisations de Tim Burton ? Des Disney ? Des dessins animé en général ? Cette histoire était-elle plus importante encore ? Et si les Schtroumpfs existaient réellement ? Les questions se bousculaient dans son esprit et ses pensées s’arrêtèrent finalement sur le visage du petit Oliver.« Oliver… » Souffla-t-il pour lui. Il revenait encore à cette idée… Peut-être que les stupidités qu’Oliver avait pu dire et qui l’avait fait s’énervé contre son petit protéger étaient vraies…


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Mar 9 Mai 2017 - 11:49
Lorsque le fantastique se mêle au réel
Jack & Clawd
Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

Le squelette tiqua sur le "vulgaire humain", oui c'est vrai qu'il avait perdu bon nombre de ses capacités et son immortalité mais au moins quelque chose qu'on ne lui avais pas retiré : la faculté de faire peur, même si cette faculté était aussi un savoir faire vieux de plusieurs siècles, avec un brin de magie noire, bon elle est infime, minuscule, mais elle y est.

-Pouf comme ça comme vous le dites si bien, et ne considérez pas que je sois un homme vulgaire, je suis toujours poli et bien élevé avec tous et avec toutes !

Il continue de snobé son doliprane et Jack émet un soupir, il était aussi têtu que lui ce jeune homme. Il laissa tout de même le médicament sur la table au cas ou il le voudrais même s'il commençais à reprendre des couleurs.

-Il y en a d'autres, une travaille dans ma boutique, une autre à été invitée à ma soirée d'Halloween et vient de San Frantokyo, une ville de ce genre, une autre est une fée de Pixie, je n'en connais que trois pour le moment !

Il ignore évidemment qu'il en connait rapidement une quatrième et c'est Clémence, qui est venue le visité qu'une fois, était une ancienne cocker anglaise mais ça il ne le sais pas.

-Oliver ? A cela je ne sais pas très cher ! Mais une chose est certaine, tirez une leçon de mon histoire, de mon arrivée : prenez soin de ceux que vous aimez, protégez-les, ils pourraient disparaître un jour et vous aurez comme moi à devoir les cherchés partout car ils vous manqueront !

La vie ici continuait mais il faut avoué que sans sa fiancée, son chien et les autres esprits d'Halloween ce n'est pas la même chose. C'était pour cela qu'il allait voyagé et s'il devait allé jusqu'au pole nord pour les retrouvés, il irait !

-Nous discutons et l'heure passe, je ne vais pas tardé à rouvrir ma boutique, j'ouvre à deux heures si vous voulez tout savoir ! Je vous invite à y faire un tour !

Il eue un geste gracieux de la main, une autre chose aussi qu'il n'avais pas perdu ici c'était sa grâce alliée a sa discrétion physique, gracieux et aérien en tant que squelette il pouvait voltigé sur les tombes, sur les toits de Christmastown sans qu'on ne le remarque. Ici il pouvait se faufilé derrière des gens pour les faire sursauté sans que ceux-ci ne le remarque où se glissé dans l'ombre et faire en sorte que l'on ne vois que ses yeux. On n'entends pas ses pas jusqu'à ce qu'il surgisse derrière le dos des gens.

-Vous pouvez resté un peu cela ne me dérange pas
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Mer 7 Juin 2017 - 18:33
Lorsque le fantastique prend la place du réel
Que ce soit deux, trois ou bien dix, cela n’avait aucune importance. Il y avait plusieurs personnes dans le même cas que Jack et c’était tout ce qui comptait. Peut-être que Clawd en avait déjà croisé… Peut-être en côtoyait-il chaque jour ? Qui était aussi étrange que Jack dans son entourage ? Oliver. Tout revenait à lui. Chaque idée. Les propos si étranges qu’il avait dit deux ans avant, c’était ça. Son arrivée mystérieuse… Et son désir si puissant d’aller à New-York… Clawd avait cru à l’époque que cela venait de son imagination d’enfant et qu’il avait fugué par simple refus de la réalité.., mais si au final, il était vraiment de New-York ? « Prenez soin de ceux que vous aimez, protégez-les, ils pourraient disparaître un jour et vous aurez comme moi à devoir les cherchés partout car ils vous manqueront ! » Ah! S’il savait… Le cœur de l’orphelin se serra en entendant ces mots. Les gens qu’il aimait… Il en avait si peu. Il hocha la tête, le regard vide. Il regrettait d’avoir été si méchant avec Oliver.  

Une seconde fois, Jack lui fit réaliser quelque chose. La boutique allait bien rouvrir, ce qui voulait donc dire qu’il était le temps pour lui de quitter et d’aller écrire l’article de journal avant l’heure d’impression. Il hocha à tête de gauche à droite. « Non, merci. J’ai très apprécié, mais je n’ai pas particulièrement le temps de rester. Je suis malheureusement un peu pressé par le temps. » Il se leva et prit son sac. « Merci infiniment pour le temps que vous m’avez accordé malgré le fait que je suis venu un peu à l’improviste. » Il s’avança et lui tendit la main pour la lui serrer chaleureusement. Il fit quelques pas en direction de la sortie, mais il s’arrêta brusquement en réalisant qu’il avait oublié quelque chose de capital.  « Est-ce que je pourrais vous photographier pour l’article ? Je crois qu’avoir une photo susciterait davantage l’intérêt des lecteurs. » Pour ça, il était vrai que l’apparence très peu coutumière de Jack n’allait pas laisser indifférent les adolescents toujours là à juger les apparences. Peut-être que quelques-uns d’entre eux allaient se montrer attiré par ce drôle de personne qu’il était.

Lorsque la photographie fut prise, Clawd le remercia une seconde fois en lui serrant la main. « N’ayez craintes, mon article ne concernera que votre boutique et non votre histoire personnelle. » Si l’adolescent avait bien accepté l’idée des Disney, ce n’était évidemment pas le cas de tous les humains. « … En fait... » Arrêta-t-il en lâchant la main du propriétaire des lieux « Vous devriez être plus discret. Soyez-vous-même si vous le souhaitez ici, mais vous ne devriez pas crier haut et fort que vous êtes étrangers. Dans ce monde… Les gens ne sont pas … Comment dire..? » Agréables ? Respectueux ? Tolérants ? « Ils n’apprécient pas la différence des gens… Si vous le désirez, je pourrais revenir à l’occasion pour vous aider à vous familiariser avec ce monde. »

Après avoir échangé ces quelques mots, Clawd lui fit un au revoir de la main et il courut en direction de son lycée où il écrit son article qui put paraître dans le journal sortant cette même journée. Le garçon avait appris deux choses : il ne devait jamais accepter quelque chose sans penser aux conséquences que cela pourrait avoir et surtout, qu’il ne fallait jamais croire que l’on connait le monde dans lequel on vit.

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Jeu 8 Juin 2017 - 11:47
Lorsque le fantastique se mêle au réel
Jack & Clawd
Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

Jack serra chaleureusement et amicalement la main de Clawd.

-Ce fut un plaisir, ce n'est rien ne vous inquiétez pas ! Même si tout le plaisir pour ma personne fut de vous avoir fait peur !

Le jeune garçon lui demanda ensuite s'il pouvait le prendre en photo. Jack regarda avec curiosité l'appareil qu'il tenait entre les mains, pour ainsi dire on ne l'avais jamais pris en photo et c'était la première fois qu'on le lui proposais. Il avait bien disséqué un appareil et commençait à en comprendre le fonctionnement. Il avait aussi entendu dire que des esprits se matérialisais sur des photos, peut-être que sur la pellicule le sien se manifesterais sous la forme d'une grande ombre noire en forme de squelette derrière son dos ? Il hocha donc la tête :

-Bien entendu que vous pouvez me prendre en photo mais je ne sais point si je suis très photogénique ?

Il pris donc une pause devant l'objectif et sourit. Le flash sorti, ensuite Clawd le prévint sur l'intolérance des gens d'ici. Jack était déjà au courant pour avoir subi une mise à l'écart dans son ancien travail de la part de ses collègues, aussi s'exclama t'il :

- Ne vous inquiétez pas je sais déjà comment sont les gens d'ici, j'y mène mon existence depuis deux ans et je sais qu'ils se comportent comme des malotrus et des goujats en face d'une personne différente et qui l'assume pleinement...où non ! Il faut savoir assumé sa différence dans la vie, la cultivée, parfois elle peut être une véritable force ! Sur ces douces paroles, je vous dis au revoir, n'oubliez pas de revenir me montré l'article et me parlé de la réaction des petits d'hommes qui sont scolarisés dans votre école...

Le jeune garçon le salua de la main, Jack lui répondit d'un hochement de la tête et il vit le petit courir jusqu'à son lycée. Le squelette avait vraiment envie de lire cet article, de voir la photo, en espérant que celle-ci aie pu capté son essence d'esprit patron d'Halloween. Il ouvrit boutique à l'heure pile, ses employés arrivèrent et ils vaquèrent à leur occupation.
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