No more happy endings...
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

 :: RP Abandonnés
Intrigue chapitre 4 : Quand le soin vire à la protection
Storyteller
Storyteller
I've got the power
Admin TL
PHOTO D'IDENTITE : Intrigue chapitre 4 :  Quand le soin vire à la protection Tumblr_ot5azr7XUZ1w8qokno1_500
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : doom days
MON ARRIVÉE : 05/04/2013
MON VOYAGE : 1505
POINTS : 900
Mar 11 Avr 2017 - 19:43


Quand le soin vi
re à la protection




Lucas relut avec attention ses lettres. Un sourire vint étirer ses lèvres. Satisfait, il se dirigea vers la pièce qui contenait le Livre. Il le feuilleta, sachant quelle page il voulait. Quand il l'eut trouvée, il lut l'incantation. Aussitôt toutes ses lettres disparurent par magie et apparurent dans les boîtes aux lettres, bureaux et derrières les portes d'entrée des destinataires. Lucas sentit l'excitation naître en lui. Une dernière chose restait à faire. Ouvrir un nouveau portail. Il se servit une nouvelle fois du Livre. Puis, il disparut grâce à un des portails nouvellement créé, direction la Transylvanie. Le sauvetage était en marche.

A Londres, Paris et New York, les personnages Disney reçurent chacun une lettre. Leur stupéfaction fut visible lorsqu'ils apprirent que des chasseurs les traquaient, pour le compte d'un mystérieux Louis. Certains d'entre eux prirent peur, en apprenant que leur proches ont été capturés et subissent des expériences. Ils n'ont qu'une idée : les sauver. D'autres répondirent à l'appel, même si aucun de leurs proches n'a été capturé. Quoi qu'il en soit, tous répondirent à l'appel et se rendirent dans le lieu inscrit sur la lettre, pour utiliser le portail les menant en Transylvanie. Une fois arrivés, ils tombèrent sur un homme qui les attendait. Il se présenta sous le nom de Lucas. Il leur expliqua alors que les victimes se trouvaient dans l'immense château, qui se dressait derrière lui. Lucas supervisa le sauvetage. Il répartit les arrivants en trois groupes. Chaque groupe eut pour mission de sauver des victimes, qui ne sont pas toutes au même endroit.

***

Lucas resta devant le château. Il attendit prêt à recevoir les premières victimes et à leur promulguer les premiers soins. C'est alors que les statues de l'entrée se mirent à bouger. Narissa les avait ensorcelées pour protéger le château. Pour une raison inconnue, le sort ne prit effet que maintenant. Lucas prit peur, se demandant comment défendre la place tout en soignant les victimes, une fois ces dernières libérées et sorties du château. C'est alors qu'arrivèrent du portail deux personnes : Elsa et Jafar. Lucas a tout juste le temps de leur expliquer rapidement les derniers événements quand une statue attaqua.


Résumé et explications
communs à tous les rps

• À l'exception des victimes qui ont été capturées, vous avez reçu une lettre de la part de Lucas vous indiquant l'emplacement du château. C'est grâce à un portail que vous parvenez à vous rendre si rapidement en Transylvanie.
• Pour une fluidité de RP et sauf exception mentionnée pendant le tour, vos posts sont limités à 800 mots. Attention, j'ai l'œil et tout dépassement sera pénalisé.  Intrigue chapitre 4 :  Quand le soin vire à la protection 3305157713
• Il y aura de temps en temps des interventions du Storyteller.
• Merci d'ajouter un bref résumé de vos RP en spoiler.



Résumé et explications
communs à ce rp

• Vous venez d'arriver devant Lucas. Il vous explique rapidement que vous devez rester pour accueillir les victimes délivrées et leur donner les premiers soins. Cependant, avant cela, vous devez trouver un moyen de vous débarrasser des statues ensorcelées, qui sont bien décidées à ne laisser personne entrer et sortir du château, à l'exception de Louis et ses chasseurs.
• Avant la prochaine intervention du Storyteller vous aurez deux tâches à accomplir : libérer l'accès du château gardé par une gargouille et défendre Lucas qui se fait pourchasser par une statue d'un cavalier.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
Sam 22 Avr 2017 - 22:56
Quand le soin vire à la protection

feat. Jafar Safi



Cette journée se terminait de la manière la plus normale qu’il soit : en rentrant des cours, je m’arrêtais chez moi pour déposer mes affaires et me changer, ayant prévu de troquer ma soirée de révisions sur la Physique des Pôles pour une soirée fils et série avec Judy, quand cette mystérieuse lettre déposée sur mon bureau a attiré mon attention. Je m’attendais encore à des factures où à des avis d’échéances de loyer… mais en la parcourant en quelques secondes, mon regard détaché laissa vite la place à des yeux glacés de peur. Des enlèvements ? La Transylvanie ? Je connaissais Lucas, je savais qu’il ne pouvait s’agir d’un canular. Et je me doutais que tous les gens qui me sont chers –Judy, Timon, Mal, mais surtout Anna- devaient être impliqués vu qu’ils étaient eux-mêmes des réfugiés.

La suite était allée très vite. C’est à peine si je me suis rendue compte de ce que je faisais. Laissant tout en plan derrière moi (moi qui prends d’habitude énormément de temps pour planifier ma prochaine action), suivant à la lettre les indications laissées dans le mot, j’ai emprunté le portail se trouvant au T&L’s bar pour me retrouver dans un couloir de son et de lumière. Mon esprit embrumé par les évènements récents et cette débauche de sensations nouvelles, je réalise à peine que j’emprunte un portail entre les mondes. Enfin… entre deux zones du même monde en l’occurrence. Etrange que je ne me sois pas souvenue de ça en débarquant à New York pour la première fois.

L’éducation d’une souveraine ne m’ayant guère préparé aux missions d’espionnages, je sors du portail la tête la première et atterris en faisant un roulé-boulé sur le sol qui m’envoie contre le mur. J’en ai le soufflé coupé et je me redresse difficilement. Ce que je vois autour de moi n’est guère encourageant : le couloir dans lequel je me trouve est noir comme la nuit, il fait froid (du moins je m’en doute, car je n’ai jamais ressenti les températures comme le reste des gens), humide, et je suis seule. Enfin, presque : à quelques pas de mois se dressent Lucas, qui a l’air très inquiet, et un autre personnage que je connais ni d’Eve ni d’Adam. Il s’agit d’un adulte, à la peau un peu basané, de noir vêtu, aux moustaches fines et au regard inquiétant. Je n’ai pas l’habitude de me retrouver face à ce genre de personnes, moi qui ait grandie entourée de personnes blanches comme l’albâtre. Mais son apparence m’intrigue moins que ses yeux petits, attentifs et rusés : voilà un personnage dont je sais que je dois me garder. J’ai passé suffisamment de temps dans un Palais pour reconnaître un courtisan quand j’en croise un.

Les autres arrivent bientôt, nous devons nous tenir prêts à soigner les blessés… les instructions de Lucas sortent si vite que mon cerveau fatigué a du mal à les traiter et à les intégrer. Réalisant ce que l’on attend de moi, je parviens à articuler

-Mais… je suis étudiante en météorologie, je… je ne sais pas soigner !

J’ai bien des pouvoirs, mais comment la glace pourrait aider ? Mais je sais que je dois rester. Pour Anna, pour les autres…

C’est alors qu’une armure surgit du plafond et s’en prend à Lucas. Oui, une armure… moi qui pensait vivre dans un monde où la magie s’était éteinte. Elle me fait penser à une version maléfique des bonhommes de neige que ma magie avait spontanément fait apparaître dans mon château de glace. Je ne suis pas une guerrière, mais je n’hésite pas. Tendant les bras en avant, je fais apparaître des stalagmites sur le chemin de la créature. Mais mes pouvoirs sont encore trop faibles dans ce monde, et mes coups sont trop peu assurés : c’est à peine si je ralentis sa course en le forçant à éviter mes attaques. Je change alors de stratégie, et je conjure un vent glacial qui se faufile dans les articulations de l’armure et en gèle les jointures. Cela me demande plus de concentration, je sens des gouttes de sueur froide qui coulent sur mon front, mais l’effort porte ses fruits : l’armure ralentit bientôt, avant de sembler complètement immobilisée. Des stalagmites entourent bientôt ses jambes, complétant l’isolement. D’un geste de la tête j’incite le pauvre Lucas à s’abriter derrière moi tout en hurlant à l’adresse de mon mystérieux compagnon :

-Je ne peux pas en faire plus pour l’instant, aidez-moi à l’abattre, vite ! Ensuite nous pourrons nous occuper de ces gargouilles.

RESUME

Spoiler:

clyde sur epicode
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
Jeu 27 Avr 2017 - 19:15
Depuis la fenêtre de son office, un homme à l'allure arrogante observait la ville qu'il comptait un jour faire sienne. New York s'étendait à perte de vue, étendue sur le sol comme une beauté de béton et d'acier. C'est un verre d'alcool à la main que Jafar réfléchissait, charmé par ce monde, ce fruit mûr qui n'attendait que d'être cueilli. Si la beauté d'Agrabah était sans égale, cette terre était infiniment plus vaste et ses habitants plus faciles encore à berner. Il n'y avait qu'à voir l'aisance avec laquelle il s'était assuré ce poste. Ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne retrouve ses pouvoirs et mette ce monde, ainsi que tous les autres, à ses pieds.
Il laissait ses pensées vagabonder sur ses rêves de domination lorsque son regard fut attiré sur une lettre qui trônait juste sous son nez. Voir le courrier s'amasser sur son bureau n'avait rien d'incongru pour un conseiller municipal. Jafar en recevait bien plus qu'il n'avait le temps d'en lire. A quoi bon ? La majorité ne contenait que jérémiades et édictes dépourvus d'intérêt. C'était donc le plus logiquement du monde que Jafar avait pris pour habitude les ignorer. Pourtant, il aurait pu jurer que cette enveloppe particulière ne se trouvait pas à cet endroit précis il y a de cela quelques secondes. Levant un sourcil circonspect, il se dépêcha de parcourir du regard la missive mystérieuse. Les terribles nouvelles qui y étaient narrées ne parvinrent même pas à altérer son éternelle expression méprisante. Chasseurs, kidnappings, dangers imminents, les informations avaient pourtant de quoi faire frémir.

*Quelle intrigante péripétie...*

Calmement, il reposa le message et se plongea dans une intense réflexion, ses doigts jouant distraitement avec sa moustache. Jafar n'avait que faire du sort des captifs, leur disparition ne lui inspirait ni colère ni chagrin. Malgré leurs origines communes, le vizir n'avait jamais ressenti une quelconque fraternité à l'encontre de ses homologues d'autres mondes. La vérité était pourtant qu'il ne pouvait pas rester sans réagir. Même les pions devaient être maintenus en vie pour pouvoir être utiles. Mais plus important encore, ce désastre sans nom pourrait bien enfanter pour lui de rares opportunités. Il ne doutait pas que nombre de ses "comparses" répondraient à cet appel au secours et chacun d'entre eux était une carte potentielle à ajouter à son jeu. Peut-être même se verrait-il une douce occasion de se venger du vaurien responsable de sa captivité ? C'est avec ses motivations qu'il ramassa ses affaires et se mit en route pour le portail le plus proche, bien décidé à récolter les bénéfices de ce chaos.

Le génie humain s'extirpa du portail avec une grimace déplaisante sur le visage. Ces voyages magiques étaient décidément très inconfortables. Si seulement il était sous sa véritable forme, il n'aurait pas besoin de s'en inquiéter. L'endroit qui se présentait à lui, en plus d'être sombre, froid et humide, profitait d'une décoration maléfique stéréotypée.

-Hmf. Cet endroit manque de subtilité dans sa vilénie. Le travail des amateurs est affligeant.

Un dénommé Lucas l’attendait sur place, aussi fébrile qu’un enfant en pleine panique. Il désirait son soutien pour s’occuper des blessés, Jafar émit un reniflement méprisant. Avait-il vraiment l’air d’une infirmière ? Peu après, c’est une jeune femme qui déboula à son tour, avec un manque de grâce qui aurait attiré les moqueries d’un homme moins élégant. Mais les femmes étaient des entités de flatteries, aussi c’est avec révérence que Jafar fit ses introductions, visiblement peu sensible à la fébrilité générale.

-Enchanté, jeune fille.

Il en était là lorsqu’une imposante armure enchantée tomba du ciel, visiblement décidée à en découdre. Une défense clichée mais cocasse, en accord avec le propriétaire. A la vue de l'armure enchantée, les yeux de Jafar brillèrent d'envie, rougeoyant l'espace d'un instant alors qu'une fenêtre éphémère s'ouvrait sur sa véritable nature. Sa langue humecta ses lèvres avec avidité. Cet endroit était habité par une magie puissante. S'il pouvait s'emparer d'un tel pouvoir pour retrouver les siens...
Vivace, la jeune fille fit usage de ses pouvoirs pour ralentir les mouvements de leur assaillant. Elle semblait capable de générer de la glace dans une certaine mesure.

*Aaah. Je pense commencer à deviner à qui j’ai affaire*

Se renseigner sur ses homologues au travers des contes avait décidemment été une bonne initiative. Cela dit, comment pouvait-il l’aider ? S’il était encore un génie, cette histoire serait déjà pliée. Hélas, dans son état d’homme, Jafar devait se contenter de méthodes plus… primitives. C’est pour cela qu’il avait amené un revolver avec lui. Profitant des mouvements ralentis par la glace de la créature, il pointa l’arme à feu à une distance courte, visant une des articulations qu’il comptait bien faire sauter avec une violente détonation.

-Même si elles manquent d'élégance, les armes de ce monde ne sont pas dépourvues d'atouts. Mais des tâches si manuelles ne me conviennent guère.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
Dim 21 Mai 2017 - 23:09
Quand le soin vire à la protection

feat. Jafar Safi



Il y a quelque-chose… d’étrange chez cet inconnu qui me sert d’acolyte improvisé. Son apparence et l’usage qui fait d’une arme semblent désigner quelqu’un issu d’un milieu populaire, et pourtant… sa façon de parler et sa posture assurée et quelque peu dédaigneux trahit définitivement un aristocrate. Un autre exilé issu d’une famille royale ? Je n’en ai jamais rencontré aucun ici à part Anna… Mais il me faut laisser ces considérations de côté pour plus tard. Il nous reste une bataille à gagner.

L’armure immobilisée par mes soins, le nommé Jafar se fait fort de la dissocier grâce à son pistolet. Le pari est réussi : voilà que les bras et les jambes se dissocient du reste de l’armure, sous le choc de l’impact des balles, et que la chose s’effondre au sol de un bruit sourd brinquebalant. Un instant il semble que les différentes pièces se rapprochent les unes des autres pour reformer une armure, mais pour moi il n’en est pas question : je fais surgir du sol des stalagmites qui clouent les pièces de l’armure. Cependant, nous n’avons pas le temps de crier victoire : je sais qu’il nous reste encore un adversaire à abattre. Je me tourne vers Jafar, adoptant la voix la plus calme que mon caractère et les circonstances me permettent :

-Occupons-nous de ces gargouilles à présent ! Les autres nous attendent… Je vais vous ouvrir la voie, tenez-vous prêt.

J’espère bien que Lucas sera en mesure de nous donner un coup de main, maintenant que nous l’avons débarrassé de son poursuivant…

L’être de pierre se tient à l’entrée du château, fixe, montant une garde menaçante. Mais je sais pertinemment que tout cela n’est qu’une apparence, et que c’est une véritable machine à tuer qui se tient prête face à quiconque s’approcherait trop près. Mais je ne le laisserai pas faire.

J’avance. Un pas, puis un deuxième, puis un troisième. Enfin j’obtiens ce que je souhaitais : la gargouille se lève en grondant, son arme au poing. Animée par la fièvre du combat, je n’hésite pas. Je me doute que cette fois du gel pour immobiliser les articulations ou même un vent glacé seront inutiles face à une statue de pierre. D’un revers de la main, je fais apparaître une solide couche de verglas au sol, juste aux pieds de la gargouille. L’effet sur une masse aussi lourde ne se fait pas attendre : la créature chute et heurte violemment le verglas, qui se fissure à peine : mes pouvoirs sont de plus en plus assurés. C’est ici que des gelures apparaissent au niveau des bras et des jambes de la gargouille, clouant les parties du corps entre elles… mais pour combien de temps. C’est au tour de mon camarade d’intervenir. J’ai noté que le portail du château est cerné par des douves encore pleines d’eau.

-Jafar, je ne le tiendrai pas longtemps. Pouvez-vous le pousser vers les douves pendant qu’il est immobilisé ? Avec sa masse il ne pourra pas remonter et restera coincé.

Des gouttes de sueurs apparaissent sur mon front alors que je me concentre pour maintenir la créature immobile. Il faut faire vite…

TOTAL = 524 mots

RESUME

Spoiler:

clyde sur epicode
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
Ven 16 Juin 2017 - 14:00

Détonation après détonation, Jafar entrepris de démembrer méthodiquement l'abomination animée qui gisait à ses pieds. Une jambe, un bras, le casque et ainsi de suite jusqu'à ce que les morceaux de l'armure gisent sur le sol comme un pantin désarticulé. Hmf. Le fait que la victime ne soit qu'un vulgaire golem gâtait son plaisir. Cette piètre victime n'émettait ni hurlement ni supplique, pourtant le cœur de toute exécution digne de ce nom. Qui plus est, si ces créatures étaient trop nombreuses, il risquait de manquer de munitions. Un clignement d'œil plus tard, les vestiges de l'armure étaient prisonniers des glaces. N'étaient-ils donc là que pour exterminer du menu fretin ?

Ooh mais ne restait-il pas encore le plus gros poisson ? Cette énorme gargouille de pierre représentait déjà un challenge plus motivant. Hélas, il était peu probable que son petit calibre lui soit d'une aide quelconque face à cette carapace de pierre. S'il avait su, il aurait emporté ses jouets plus imposants.
Pourtant la jeune Elsa ne semblait pas guère impressionnée. Au contraire, elle confrontée la créature sans crainte. Une attitude impérieuse et sans peur à la mesure d’une souveraine à n’en pas douter. Jafar était tout à fait satisfait de rester en retrait la regarder faire.
Alors que le monstre s’apprêtait à frapper de toute sa masse, la reine des glaces transforma le sol en patinoire d’un claquement de doigt métaphorique. Déséquilibrée, la créature massive ne put que choir, si lourdement que le sol trembla sous l’impact. Le vizir laissa échapper un sifflement appréciatif de la performance.

-Jafar, je ne le tiendrai pas longtemps. Pouvez-vous le pousser vers les douves pendant qu’il est immobilisé ? Avec sa masse il ne pourra pas remonter et restera coincé.

Cette demoiselle avait décidément des pouvoirs fabuleux. Quelle chance elle avait d'avoir accès à autant de ses pouvoirs. Que ne donnerait-il pas pour quelques miettes de sa toute-puissance originelle... Hélas les règles étaient strictes. Pour que sa magie n'augure il avait besoin d'un.... Et puis soudain, une pensée fugace traversa l'esprit de l'ancien Vizir. Ou plutôt, un plan brillant. Un sourire carnassier fendit son visage l'espace d'un instant alors qu'il observait la demoiselle lentement épuisée par l'effort.

-Oh, veuillez m'excuser, j'ai peur de n'avoir pas bien entendu. Vous voulez que je pousse la créature dans les douves, est-ce bien là votre souhait ?


Résumé:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
Sam 26 Aoû 2017 - 16:36
Quand le soin vire à la protection

feat. Jafar Safi



La bataille touche à sa fin… du moins c’était ce que je pensais avant que Jafar, au lieu d’obtempérer, me demande de reformuler ma requête. A-t-il mal entendu ? L’explication me semble peu crédible, et je fronce les sourcils. Le contexte presse, nous avons nos camarades à aller secourir, et il s’agit d’abattre cette créature une bonne fois pour toutes. Décidément beaucoup de choses m’intriguent à propos de ce compagnon improvisé. Je note aussi qu’il a visiblement apprécié ma performance au combat, mais qu’il ne m’est pas venu en aide. Mon instinct me murmure qu’il a quelque-chose derrière la tête… je suis décidément persuadée qu’il s’agit d’un courtisan.

Mais tout cela doit attendre. La priorité reste de secourir Anna, ma chère Anna. Et Judy ? J’ignore quel rôle elle joue dans cette bataille, mais mon cœur se serre à l’idée que les deux personnes qui comptent le plus pour moi puissent être en danger. Encore un petit effort, et nous serons débarassé de notre dernier adversaire. Du moins du dernier avant le round final. Mais l’urgence de la situation ne m’empêche pas de laisser percer une pointe d’agacement et d’ironie dans ma réponse


-Jafar, je souhaite que vous poussiez cette créature de pierre dans les douves pour la neutraliser une bonne fois pour toutes tant qu’elle est immobilisée, j’en suis moi-même incapable. Pourriez-vous faire cela pour moi ?



TOTAL = 228 mots

RESUME

Spoiler:

clyde sur epicode
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Sauter vers: