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 :: RP Abandonnés
Une rencontre à Paris [pv Marie]
Invité
Anonymous
Invité
Jeu 18 Avr 2013 - 23:13
"Une rencontre à Paris"






&
© Never-Utopia


    John Smith avait passé la nuit dans une taverne, solitaire, essayant de repasser son plan dans sa tête. Il avait mis de côté tout l'argent dont il avait besoin, réglé ses affaires tout était prêt pour son voyage. Il n'avait aucun regret, aucun remord, il n'avait plus envie de cette vie, plus depuis elle. Il se saisit de son verre, le termina cul sec avant de faire signe au tavernier de lui resservir de son alcool le plus fort. John attendit qu'on le serve et une nouvelle fois, il fit descendre le liquide le long de sa gorge. Il ne reviendrait pas ici, ni nulle part dans cette ville, plus après demain. Il déposa quelques pièces sur le comptoir avant de se lever et de s'emparer de sa cape. Il se glissa en dehors de la taverne dans la nuit glacée pour regagner sa chambre. Il traversa à pied les rues s'attardant sur les maisons, les fenêtres et les lumières. La Tamise lui tendait les bras, dans la nuit sombre et brillante comme un dernier hommage de sa beauté. Il ne la reverrait plus, qu'il arrive une nouvelle fois à bon port ou qu'il se perde en chemin. Il regarda son reflet dans l'eau brillante avant de continuer son chemin en direction de la chambre qu'il avait dans une maison habitée par une dame. Une auberge mais en plus petit, là où il restait quand il n'était pas en mer. Cependant, il n'en aurait plus besoin. C'était sa dernière nuit ici avant de prendre la mer et de regagner celle qui faisait battre son coeur. Remis de sa blessure, il allait enfin rejoindre sa douce princesse indienne.

    John se coucha tout habillé sur le lit sans prendre la peine de tirer les droits. Il n'était pas tout à fait bien, l'alcool lui montant un peu à la tête bien qu'il le tolère bien. Il devait se lever dans quelques heures alors pas la peine de prendre le temps de refaire le lit demain. Son baluchon était prêt au pied du lit, ne restait plus qu'à tenter de trouver le sommeil. Il ferma les yeux, laissant les images de sa belle envahir ses pensées. Il la voyait au bord de la rivière avec Meeko, Percy et Flint à l'attendre. Puis dans la forêt, courant, laissant ses doux cheveux au vent. Comme il avait hâte de la voir, de la prendre dans ses bras, de sentir son odeur. Il s'imaginait déjà descendre du bateau, sa douce cachée derrière les buissons, sortant en courant pour l'accueillir et sceller leur amour dans un baiser passionné. Officiellement, ils s'étaient fait leur adieu au cas où il ne se reverrait pas, ne s'étant rien promis mais il voulait la retrouver, vivre sans elle lui était insupportable. Il s'endormit bien vite, les douces pensées de la future Virginie bien présente dans son esprit. Cependant, son rêve ne fut pas comme les autres. Une sensation de réalité, de froid et aussi de malheur regnait. Il avançait dans le noir, à tâton vers un lieu inconnu quand il traversa une sorte de passerelle aux couleurs bleutées. Il tentait de se réveiller mais rien n'y faisait. Il lui semblait lutter.

    Enfin, John finit par ouvrir les yeux en se redressant vivement. Il n'était plus dans son lit. Avait-il fait du somnanbulisme ? Mais enfin non, pas aujourd'hui, il devait prendre le bateau aux premières heures. Mme Dawson devait le réveiller pour partir, avait-elle oublié ? Non, impossible. Il avait changé d'endroit et ne pourrait partir. Il se redressa pour remarquer qu'il était dans une ruelle, contre un étrange contenaire dans une matière inconnue contentant des sacs d'une odeur abjecte. Mais où était-il ? Avait-il cru rentrer de la taverne mais en fait il n'était pas arrivé jusqu'au bout ? Non, il était sûr du contraire. Il s'était passé quelque chose en rapport avec ce rêve étrange. Le beau blond tenta de sortir de la ruelle, prêt à explorer cet endroit inconnu et trouver une façon de gagner le port en espérant avoir le bateau à temps. Il déboucha sur une place, devant une immense cathédrale. Il ne savait pas où il était ni comment il avait attérit là bien que le monument face à lui lui rappelle vaguement quelque chose. L'avait-il déjà vu ? Il remarqua ensuite les passants. Beaucoup de gens, avec de curieux appareils et des tenues qu'on ne porterait jamais à Londres. Il crut défaillir en observant une robe microscopique sur une jeune femme aux cheveux bleus avec un étrange anneau dans le nez.
    John s'approcha d'un petit homme à moustache qui tenait un étrange appareil dans les mains. Il demanda

    - Excusez moi monsieur, je vais vous paraitre sans doute étrange mais où sommes nous ?

    - Ou tu veux qu'on soit petit, à Paris pardi !

    Paris...Paris comme Paris en France ? Mais, hier soir il était dans son lit à Londres comment avait-il pu attérir à Paris. De plus ce Paris était bien étrange, il n'avait rien vu de pareil dans les livres. Il doutait d'être dans le monde réel. Rêvait-il encore ? Il tenta de se pincer mais rien n'y fit. Que se passait-il à la fin ? Un coup monté pour l'empêcher de gagner Pocahontas ? Mais qui ? Radcliffe ? Non, il n'aurait pu monter en une nuit un coup pareil à moins qu'il est dormit plusieurs jours. Oui, c'était la seule hypothèse valable, on l'avait assomé et mené à Paris illégalement. L'autre homme à moustache, toujours face à lui sembla comprendre que quelque chose ne tournait pas rond

    - Et bah ça n'a pas l'air d'aller. Mon gars faut pas se laisser aller. Si c'est une fille ça passera. En 2013 on trouve des belles femmes à tout les coins de rues quand on a ta belle gueule.

    John avait arrêté de penser à 2013. L'année ? Mais hier on était en 1607, comment ? Il avait voyagé dans le temps ? Mais c'était impossible, inconcevable. Ca ne pouvait être vrai. Il regarda de nouveau l'homme face à lui

    - Nous sommes en 2013 ?

    - Bah oui tu veux qu'on soit en quoi d'autre, ca va vraiment pas fort mon gars

    - Excusez moi, je...Je dois m'en aller, merci pour tout monsieur...

    John recula, se demandant comment il avait pu arriver dans une galère pareil quand il bouscula quelqu'un qui faillit finir face contre terre. John eut tout juste le temps de lui tendre la main pour la rattraper. Une jeune femme d'une quinzaine d'année se tenait devant lui.

    - Excusez moi je...Je ne regardais pas où j'allais, je...Je ne suis pas d'ici

    John était perdu, déboussolé. Lui qui n'avait peur de rien, qui bravait avec courage toutes les situations venait d'en trouver une qui dépassait l'entendement et qui promettait de nombreuses surprises en perspective.


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Anonymous
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Sam 20 Avr 2013 - 1:04



John Smith & Marie
Une rencontre à Paris


Tout le monde voudrait devenir un cat, tout le monde.. Tout le monde... Les paroles s'éloignèrent lentement dans l'esprit de la petite Marie qui avait vécu une aventure peu reposante. Celle-ci se laissa guider par le rythme de la chanson et il finit par tomba profondément endormie sur le petit coussin que Madame avait acheté pour ses frères et elle.

Soudainement, des lumières multicolores vint déranger son sommeil et se réveilla étendue sur de la pelouse. Encore endormie, la chatte regarda autour d'elle et prit un certain temps avant de comprendre qu'elle ne se trouvait plus dans la manoir d'Adélaïde. Paniquée, elle cherchait un point de repère pour l'aider à se situer, mais une seule chose occupait sa pensée, nuisant à sa recherche malgré le fait qu'elle pouvait facilement voir la Tour Eiffel d'où elle se trouvait. Edgar venait hanté son esprit encore endormi. Et s'il l'avait catnapper? S'il l'avait laisser seule cette fois-ci, séparé de sa mère et de ses frères? Elle n'était qu'un chaton, comment allait-elle faire pour retrouver le manoir? Et puis tout semblait différent... Peut-être qu'Edgar l'avait déposé dans une toute autre ville... Ou même pays...Les larmes lui montaient aux yeux et elle les refoulait car elle se devait forte car une dame ne montre pas ses sentiments. Pas en publique du moins.... Elle essaya de marcher, mais elle manqua d'équilibre et elle se cogna la tête directement sur le sol. Elle massa vivement son crâne en glissant ses doigts dans sa longue chevelure blonde. Attendez... Une quoi?! Les yeux de l'adolescente devinrent ronds puis elle poussa un cris sur-aiguë qui dû percer les tympans de quelques passants puis se mit d'un bon sur ses pieds.

« Mes poils!!! Où sont mes poiiiiiiils!??? »

Paniquée, elle se regarda de la tête aux pieds et ne su aucunement quoi faire quand elle se rendit compte qu'elle était devenue humaine. Elle s'écroula violemment au sol et elle se mit à à cogner le sol de ses poings. Elle se refusait d'admettre que cela était vrai. elle était incapable d'expliquer son changement de forme et cela la terrorisait. Si seulement Duchesse aurait été là pour la consoler et pour lui dire que tout allait s'arranger. Elle au moins savait dire les mots juste. Marie s'arrêta de frapper la pelouse puis se mit à courir dans les rues en espérant trouver quelqu'un qui pourrait l'aider à retourner chez elle et par la même occasion de retrouver sa forme initiale.

« Au secours, aidez moi! Je suis perdue! » Disait-elle aux gens qu'elle pouvait croiser.

Personne ne fut assez aimable pour s'arrêter et pour lui donner des indications. Cela finit par donner l'impression à l'ancien chaton qu'elle allait être prise dans cet étrange monde qui semblait être Paris, mais qui ne l'était pas par la même occasion. Elle courra alors plus rapidement, sans même regarder où elle allait, en reversant 2 ou 3 passants par la même occasion. Ses yeux saphir s'embuaient de plus en plus au point qu'elle s'enfargea dans un trou et qu'elle bascula vers l'avant. Un cris de désespoir sortit de sa bouche, pensant qu'elle allait s'écraser et déchirer la robe fleurit qu'elle portait, mais elle sentit quelqu'un lui prendre les mains pour l'en empêcher. La jeune fille fut au départ très étonné, mais elle se sentit rapidement en sécurité et sa vue finit par redevenir claire. Un homme vers la trentaine d'année se trouvait là, en face d'elle et qui semblait tout comme elle perturbé et déboussolé.

« Merci beaucoup de m'avoir empêché de tomber et veuillez m'excuser pour cette bousculade... Je ne viens pas d'ici... Enfin si je crois... Je ne sais plus... »

Elle se leva et épousseta rapidement sa robe d'été et fit une génuflexion en se penchant en l'avant, tout en maintenant sa robe.

« Je me présente, Marie De Bonnefamille. »

Suite à ces paroles, Marie détourna légèrement le regard et elle reconnue alors immédiatement l'église qui se trouvait à quelques mètres d'eux. Elle ne put retenir un gloussement de joie en réalisant qu'elle était réellement à Paris et donc qu'elle était à quelques heures de marche de chez Adélaïde. L'esprit un peu perdue, elle se mit à gambader pour traverser la rue, mais une voiture passa au même moment et klaxonna ce qui la fit sursauter et tomber au sol. Elle resta là sans bouger, complètement terroriser par le danger qu'il y avait de travers la route, mais aussi paralyser par la douleur qu'elle ressentait à cause de la chute.
Fiche par (c) Miss Amazing.
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Dim 21 Avr 2013 - 16:01
"Une rencontre à Paris"






&
© Never-Utopia


    De grands immeubles, des charettes colorées, des robes d'une autre époque, des femme sen pantalon, mais c'était donc ça le futur ? John n'aimait pas ça du tout. Il se retrouvait dans une grande ville à une autre époque et sans pouvoir réagir. Comment était-ce possible ? Ca n'arrivait que dans les livres et encore, pas qu'il en ait lu beaucoup, ce n'était pas trop son truc. Il ne savait pas ce qu'il devait faire ni comment il pourrait faire. Il était perdu dans un autre pays et à une autre époque. La bonne nouvelle ? Il semblait se faire comprendre en français lui qui était pourtant anglais. Tant mieux, s'il avait fallut avoir à faire à la barrière de la langue, ça n'aurait pas été possible de gérer. Il avait envie de courir, d'hurler mais il n'y avait rien à faire, il n'aurait pas de voix. Il voulait se réveiller dans son lit prêt à prendre la mer et gagner le Nouveau Monde. Il n'était pas possible de se retrouver à Paris, quatre siècles après. Un sortilège peut-être ? Mais comment ? Qui ? Il était seul dans un monde inconnu. C'était perdu dans ses réflexions qu'il heurta de plein fouet une jeune femme. Il s'excusa avant qu'elle ne prenne à son tour la parole

    « Merci beaucoup de m'avoir empêché de tomber et veuillez m'excuser pour cette bousculade... Je ne viens pas d'ici... Enfin si je crois... Je ne sais plus... »

    Elle ne venait pas d'ici ? Elle aussi ? Il voulait lui demander ce qu'elle entendait par ne pas venir d'ici enfin si mais non...Bref, il voulait des réponses plus convainquantes, des fois qu'elle était comme lui. Etait-il le seul d'ailleurs ? Elle se présenta à lui ensuite, du haut de ses quelques années.

    « Je me présente, Marie De Bonnefamille. »

    - John Smith. Enchanté

    Il n'eut pas le temps d'aller plus loin dans la conversation qu'elle s'en alla en gambadant joyeusement. Il ne voulait pas la perdre de vue et si tout comme lui elle venait d'ailleurs. Il se raccrochait à sa phrase comme à une corde. Il ne voulait pas la perdre des yeux. Il se mit donc à la suivre quand il l'a vit traverser la rue alors qu'une charette de fer arrivait à tout allure. La chose fit un drôle de bruit qui effraya la demoiselle qui tomba en arrière. Visiblement, elle ne connaissait pas plus que lui ces choses étranges. Il se dirigea vers elle, tout comme d'autres passants mais fut le premier à lui tendre la main

    - Marie...Est-ce que ça va ? Vous ne devriez pas vous promener seule...C'est dangereux si vous ne connaissez pas...Tout comme moi...

    Il l'aida à se relever, avec un sourire charmeur qui tentait de la rassurer. Il ne pouvait pas la laisser là toute seule si elle ne savait pas où aller. Pas qu'il sache mieux qu'elle mais ils seraient mieux à deux. Et si par chance en fait elle connaissait la ville et bien tant mieux, elle pourrait l'aider et le conduire voir quelqu'un qui pourrait peut-être le ramener à Londres.
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Lun 29 Avr 2013 - 5:03



John Smith & Marie
Une rencontre à Paris


L'adolescente regardait le rebord de sa robe déchirée et ses genoux légèrement écorchés sans trop comprendre ce qu'il s'était passé. Tout c'était passé très vite. Les voitures passaient à toute vitesse dans la rue à quelques mètres d'elle en poussant de forts ronronnement qui agressait ses oreilles qui n'avaient pas l’habitude d'entendre ce genre de bruit. Oui, Bien sûr elle savait ce qu'était une automobile, mais ceux-là étaient différents et beaucoup plus nombreux qu'en 1900. L'homme qu'elle venait tout juste de rencontré vint l'aider à se lever du sol et lui demanda gentiment et avec son plus beau sourire si elle allait bien. Elle fut embarrassée d'être dans une telle situation et ses joues devinrent légèrement plus rosées puis elle glissa un petit «Oui.» entre ses lèvres pulpeuses et regarda John avec ses grands yeux bleus cyan.

« Je .. Quoi? Mais je sais très bien où nous sommes! Nous sommes à Paris mon cher tout juste à côté de l'église Notre-dame. »

Ses sourcils s'étaient froncés et ses mains s'étaient posées sur ses hanches. La jeune fille semblait en fait plutôt insultée de la façon de parler de John malgré qu'il essayait d'être aimable avec elle. Tout de même, c'était une insulte pour elle de se faire dire qu'elle ne connaissait pas cette ville, elle qui y avait vécu pendant ... 6 mois... Finalement il n'avait peut-être si tord que cela. Elle se ravisa et s'excusa un peu maladroitement à l'homme.

« Vous avez peut-être raison, je ne sais pas où nous sommes... Puis-je vous demander d'où vous venez? »

Malgré son air distingué, Marie restait tout de même un chaton qui adorait entendre les aventures des gens autour du monde. C'était tellement passionnant et elle voulait bien voir le monde qui l'entourait... Avec Duchesse, ses frères et Madame évidement car malgré le fait qu'elle voulait voir le monde, Marie avait peur quand elle était seule.

« Je me disais, juste comme ça... Étant donné que nous sommes tout les deux perdus... Ne croyez-vous pas qu'il serait bien de retrouver notre chemin ensemble? »

Elle avait dit cela en se dandinant légèrement et papillonnant des yeux tout en lui faisant son plus beau sourire pour être sûr d'avoir la réponse qu'elle souhaitait avoir. Elle n'avait pas encore vu son visage, mais elle tentait tout de même d'utiliser son charme surtout que l'homme qui se trouvait en face d'elle semblait à un vrai gentleman et qu'il n'allait sans doute pas de toute façon abandonner une jeune femme dans les rues de Paris.
Fiche par (c) Miss Amazing.
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