Petit balai, deviendra grand Ft. Dayhun [Flashback]
Balais Poussière
Dada says I'm special
PHOTO D'IDENTITE :
DESSIN ANIME D'ORIGINE : Fantasia !
ÂGE DU PERSONNAGE : Bientôt 2 ans, mais Dada veux que je réponde 30 ans.
COTE COEUR : Son visage maternelle favorie, Dayhun Kang <3
OCCUPATION : Être un Balais. Je fais le ménage chez Moira maintenant ! Je brise parfois des trucs, mais elle dit que ça va.
LOCALISATION : Londres. Anciennement à l'institut, elle vie désormais chez Dayhun.
HUMEUR : Souriante, charmante, enjouée.
COULEUR PAROLE : Orange, comme les petites chatons mignons
PRESENCE/ABSENCE : 4 on 4 off, pas disponible pour rp
DOUBLES COMPTES : Stram / Noëlle / Kaa
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Kang Seul-Gi
MON ARRIVÉE : 25/12/2017
MON VOYAGE : 343
POINTS : 474
Ven 5 Avr 2019 - 18:14
Petit balai, deviendra grandDada + Balais De la laves••• ( et des bobos ) Balais était très contente ce matin. Elle avait eu droit à un café ! Certes, madame la méchante ne le savait pas. Elle était toujours là avec son filet dans les cheveux, ses grosses loupes sur le nez et son regard méchant au visage chaque fois qu’elle lui disait « Miss Poussière, vous n’êtes pas autorisé à la consommation de café. » ce qui parfois faisait pleurer Balais, car elle lui disait toujours avec sa grosse voix de sorcière. Ce qui fait très peur a Balais ! C’est un sorcier qui la découpée à la hache ! Elle n’est pas folle elle s’en souvient. Bien que monsieur le concierge la traitait souvent de folle. Il lui disait aussi qu’il n’était pas concierge mais lui aussi client de l’institue.
Mais elle savait qu’il était concierge, car il à un œil qui louche et un chat qui ne bouge jamais sur la tête. Elle à vue Hairry Spotter, elle sait reconnaître Rusard. Bref ! Elle avait eu un café ! Ce qui li avait mis rapidement le sourire aux lèvres et l’énergie de courir partout. Elle était soudainement un balai plein de vie. Il faut savoir du café, que c’est un peu comme une potion magique qui donne plein de bonheur et d’envie de tout faire. Cependant ça peu enlever l’envie de faire la sieste du midi… ça c’est dommage. Bref ! Aujourd’hui elle avait contournée le troll au filet de cheveux et était parvenu à se procurer du café par l’aide de madame Auberdeen qui lui avait tout doucement donné son café après qu’elle lui ait demandée toute douce et souriante.
Elle se retrouvait donc présentement à courir partout autour sur les chaises avec Donald, un autre pensionnaire qui souffrait de démence. Les deux avaient décidé de jouer à « le sol est de la lave », c’est Donald qui lui a apprise se jeux. Balais riait beaucoup en sautant d’une chaise à l’autre, s’était une autre belle journée à l’institut. Jusqu’à ce qu’elle saute sur la chaise en bois et sente la perte d’équilibre éminente. La chaise partie vers l’arrière, alors que son poids, lui partait vers l’avant. Elle balança ses bras pour essayer de retenir son équilibre, mais en vain.
Elle se retrouva donc à partir vers le sol, tirer par la gravité. Le coup fatal fut lorsque la table qui se trouvais dans le chemin de sa chute ne se déplaça pas pour la laissé passer. Elle se prit donc le front directement sur le coin de la table, puis finalement, alors que ses mains tentait de la tenir à la table, elle se prise également le née contre le sol, qui se trouvais en étape suivant après la table dans sa chute. Puis, étant concentrer sur les coups que son visage se prenait, elle avait manqué le lourd craquement que son bras avant produit, lorsqu’elle avait tentée, ensuite, de le mettre au sol pour soutenir son tronc de toucher le sol. Ce qui avait donc mit la totalité de son poids sur son pauvre petit poignet.
« GARDIENS ! BALAIS EN SANG ! »
S’était écrié Donald en allait chercher de l’aide. Elle resta couchée au sol ensuite. Elle avait si mal. Elle avait sentie au moment même ou le premier impact était arrivé les larmes montées à ses yeux. Elle savait ce que cela voulait dire, elle perdait l’eau dans sa tête, car le coup avait été trop fort et elle le perdait par les yeux. Un gardien vint vite à sa rencontre pour la faire coucher sur le côté en position latéral de sécurité son petit poignet brisé replier contre son torse alors qu’elle pleurait à chaude larmes. Celui-ci resta devant elle à effectuer les premiers soins. Il lui demanda comment elle allait, elle ne répondit pas, elle avait mal à la tête et le monde tournait. Il lui mit de quoi sur la tête, Balais essayer de lenlever, mais un autre gardien vint lui tenir sa main qui bougeait pour l’empêcher de faire.
« Tourne… »
Avait dit Balais, en essayant de lever la tête, la gardienne qui tenait sa main, eu le reflexe de mettre sa main sous sa tête avant que celle-ci ne se cogne contre le sol en retombant. Elle avait l’impression qu’on venait de la remettre sous la hache… peut-être qu’elle aurait un autre balais tantôt ? Une mini elle ? On lui avait mis des papiers ou je ne sais quoi au front, une main le tenait en place. Son poignet était toujours ramener contre sa poitrine. L’autre main le tenant doucement, afin d’enlever le mal. Elle avait cessé de vouloir enlever le papier de son visage lorsqu’elle avait comprise que la gardienne ne la laisserait pas faire, mais qu’elle pouvait se tenir le poignet blessé sans soucis. Puis s’Était dur essayer d’enlever le papier avec la main sur le bras dons on l’avait tourné dessus pour cette drôle de position coucher.
Finalement, après un bon moment au sol à pleurer, morver et se demander pourquoi on l’avait encore attaquer pour faire plus de balais, une autre personne arriva sur place. Une belle voix ordonna aux gens de se déplacer et de laissé de l’espace. Alors le garder devant Balais bougea, bien que celle derrière attende qu’une autre main prenne sa place sous la tête du balai. Soudainement, la voix fut accompagnée d’un visage. Balais compris vite qu’elle n’avait pas été découpée par la table pour créer de petits balais, non. Cette fois elle était en voyage vers cet endroit où sœur Mary lui avait dit qu’on allait quand on ne revenait pas de balais à humain. Elle le savait, car devant elle se trouvait un ange. C’est ce qui aida un peu sa respiration à ce ralentir enfin, et ses pleures se calmer lentement. Ce qui lui permit donc de dire quelques mots à nouveau à travers des soubresauts…
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Ellen Degeneres & image sur google recadrée par moi
MON ARRIVÉE : 20/04/2013
MON VOYAGE : 1390
POINTS : 1175
Ven 26 Avr 2019 - 21:20
petit balai, deviendra grand
Le fil d’actualité facebook défilait devant mes yeux sans que je ne regarde vraiment. C’était toujours les mêmes choses bien ennuyantes… Une anecdote sur des gamins par ici, une photo d’un repas par là, et quelqu’un mentionnant aller au Gym et des tonnes de partages d’infos douteuses et non vérifiées. Et on en parle des fautes? Je me demandais souvent pourquoi je ne fermais pas mon compte. Surement parce que ça permettait d’avoir des nouvelles des gens et de passer le temps… lassée, je décidais de jouer à un trop célèbre jeu à propos de friandises. On fait comme on peut pour passer le temps! Pas que j’étais seule, mais la conversation de mon collègue me semblait si insignifiante, sans doute parce que nous avions épuisé tous les sujets intéressants? Nous étions donc là, à attendre dans l’ambulance que quelque chose se passe.
Je ne savais jamais si je devais être heureuse ou pas lorsqu’il ne se passait rien… d’un côté, aucun blessé ou malade, donc les gens allaient bien, mais d’un autre, je m’ennuyais comme un rat mort. Une formule plutôt amusante, mais un peu dégoutante. Je n’aimais pas trop ce genre de créature et je ne pouvais m’empêcher de penser que cette expression puait au nez! C’était donc une longue journée et j’avais un peu trop de temps pour penser.
Soudain, alors que tout espoir semblait perdu, la radio grésilla, annonçant que nous devions nous rendre dans un institut psychiatrique ou une jeune femme avait fait une chute. Je rangeais mon téléphone alors que mon collègue démarrait. Nous n’étions pas très loin, donc le trajet fut rapide. C’était le genre d’endroit où nous devions fréquemment intervenir, trop souvent pour des tentatives de suicide… J’avais donc eu un peu peur lorsque l’adresse avait retentie. Je commençais tout de même à me préparer mentalement, c’était toujours spécial d’intervenir dans un institut psychiatrique, on ne savait jamais quand un patient allait faire une crise!
On nous montra le chemin jusqu’à la blessée, qui avait fait une vilaine chute en jouant. Je demandais aux gens de se bouger afin que je puisse avoir accès à la patiente. J’immobilisais doucement la tête de la jeune femme en commençant à lui parler :
-Bonjour, je suis Dayhun, je vais m’occuper de toi, ne bouge pas. Dis-moi comment tu t’appelle? Non je ne crois pas que tu sois brûlée. Tout va bien aller, ne t’inquiète pas.
Je ne comprenais pas trop pourquoi elle me parlait de brûlure. Un jeu? Une hallucination? Difficile de savoir sans plus d’explications. Ça n’avait pas d’importance pour l’instant. Il fallait surtout que je maintienne sa tête, au cas où il y aurait des dégâts aux cervicales. Mon collègue appliqua une compresse sur le nez, la fixant grâce à du ruban adhésif médical. Nous lui passâmes un collier cervical avant de la glisser sur la civière.
Je ne pouvais m’empêcher de me dire que derrière le sang, les larmes et la morve, elle devait être mignonne. C’était plutôt rare que je me laisse distraire, il fallait que je me ressaisisse! Comme elle avait arrêté de pleurer, je commençais à l’interroger :
-Tu peux me dire ce qui s’est passé?
Certes, le personnel nous avait résumé la situation, mais je voulais savoir ce que la patiente avait à dire à propos de l’accident. Il fallait savoir si c’était du à une perte d’équilibre du à un problème de santé ou si ce n’était que de la malchance. Toute information était bonne à prendre pour ensuite la donner au médecin pour l’examen.
ÂGE DU PERSONNAGE : Bientôt 2 ans, mais Dada veux que je réponde 30 ans.
COTE COEUR : Son visage maternelle favorie, Dayhun Kang <3
OCCUPATION : Être un Balais. Je fais le ménage chez Moira maintenant ! Je brise parfois des trucs, mais elle dit que ça va.
LOCALISATION : Londres. Anciennement à l'institut, elle vie désormais chez Dayhun.
HUMEUR : Souriante, charmante, enjouée.
COULEUR PAROLE : Orange, comme les petites chatons mignons
PRESENCE/ABSENCE : 4 on 4 off, pas disponible pour rp
DOUBLES COMPTES : Stram / Noëlle / Kaa
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Kang Seul-Gi
MON ARRIVÉE : 25/12/2017
MON VOYAGE : 343
POINTS : 474
Mar 16 Juil 2019 - 8:57
Petit balai, deviendra grandDada + Balais De la laves••• ( et des bobos ) A ce moment de la journée, ce que Balais resentait était des gros bobos. Pas juste à la tête comme quand l’infirmière lui disait qu’elle manquait de sommeil. Non ! Des gros bobos partout ! C’est pour ça qu’elle saignait d’ailleurs. Elle savait qu’elle saignait car elle avait vue du rouge. Ce qui l’avait immédiatement fait pleurer, ça et les bobos, bien sûre. Pour elle, s’était comme un sentiment de brulure partout dans son corps. Ce qui faisait beaucoup de sens, puisque le sol était de la lave. Elle avait la tête qui tournais beaucoup, mais cela devait être normal, la fumée de la lave devait faire cet effet, non ?
Bon, s’était surement aussi dû au fait qu’elle s’était gravement cognée la tête dans sa chute vers la lave, étant le sol, mais ça, Balais Poussière était trop simple d’esprit pour faire les liens. Elle pleurait, morvait et faisait des siennes pensant que sa fin était encore une fois arrivée. Effectivement, la douleur à sa tête pouvait se comparer à la douleur faite par la hache de la sourie a chapeau. S’était la première fois où elle avait ressuscité dans ce petit corps de bois mou. Peut-être que cette fois elle serait un balai de roche a son retour?
Balais s’avait qu’elle devait être proche de mourir, car elle avait vue et entendu la voix d’un ange. Une belle femme, aux airs rassurant, doux et maternelle lui parlait. Si elle écoutait vraiment, elle aurait pu entendre ; « Bonjour, je suis Dayhun, je vais m’occuper de toi, ne bouge pas. Dis-moi comment tu t’appelle? Non je ne crois pas que tu sois brûlée. Tout va bien aller, ne t’inquiète pas. ». Or, étant déconcentrer par tant de beauté, elle n’écoutait pas vraiment et parlait de lave. La bonne nouvelle étant que ses larmes avaient cessé. Balais fut silencieuse un moment la bouche ouverte a juste admirer l’ange. Elle réalisa que l’ange lui avait dit son nom, ce qui lui fit marmonnée d’une fois encore un peu pleurnicharde…
« Dadahuni. »
Toujours coucher sur le côté, Balais décida d’apporter sa main couverture de sa au visage de l’ange pour vérifier qu’elle était bien là, mais sa main cessa son mouvement rapidement, puisque cela créer une vive douleur pour la pauvre qui rapporta sa main dans l’autre, ayant retrouvé mémoire que son poignet la faisait souffrir. Elle fut finalement coucher sur le dos sur une grande plaquette rouge. Ensuite, un gros collier lui fit placer autour du gout. Il était jaune et bleu et vraiment pas jolie, l’ange n’avait pas de goût en bijou. Puis, elle fut mise sur un lit. Elle entendit encore la voix maternelle lui dire ; « -Tu peux me dire ce qui s’est passé? ». Balais se remise à pleurer le visage bien crisper pour dire en sanglot et parlant du nez ayant une compresse sur le nez…
« Je… hip… suis… hip… morte dans la lave. La table, hip, est méchante et m’a hip, jeter au sol. »
Puis, elle regarda autour d'elle. Elle était dans un petit lit a roulette dans une piece très très petite soudainement. Elle retourna alors son attention sur Dada et lui dit, sans larme, toujours la voix nasal mais un air très sérieux cette fois. « Il va falloir la punir cette table. »
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Ellen Degeneres & image sur google recadrée par moi
MON ARRIVÉE : 20/04/2013
MON VOYAGE : 1390
POINTS : 1175
Ven 16 Aoû 2019 - 22:52
petit balai, deviendra grand
Je ne pu m’empêcher de froncer les sourcils. « Dadahuni »? Je ne comprenais pas, était-ce son prénom? Ça ressemblait plus à une sorte de surnom qu’elle me donnait… Normalement, on ne donne pas un surnom à quelqu’un qu’on vient de rencontrer? Je ne dis rien, après tout, elle semblait plutôt sonnée par sa chute. Quelqu’un me glissa qu’elle s’appelait Balais… Cette fois, je dévisageai l’infirmier en charge avec un magnifique regard du genre « te fou pas de moi, j’essais de faire mon travail », mais il semblait qu’il ne me faisait pas une mauvaise blague bien nulle. C’était vraiment bizarre, mais il ne fallait pas oublier que nous nous trouvions dans le service psychiatrique. D’habitude, je n’aurais pas poussé mes questionnements, les choses sont se qu’elles sont et c’est tout! Mais cette jeune femme m’intriguait. À ce moment là, je ne savais pas trop ce qui se passait dans ma tête et je me concentrai sur mon travail. Après tout, c’était pour cette raison que je me trouvais là!
La jeune femme répondit à ma question malgré ses sanglots. J’en déduisis qu’elle devait jouer au jeu « le sol est de la lave », les enfants aiment bien ce jeu qui consiste à éviter de toucher le sol. Je crois y avoir joué moi-même lorsque j’étais petite. Sauf que dans mon cas, il y avait quelque chose de plus plausible comme nous habitions près d’un volcan. En grandissant je compris que ce n’était pas une simple chaise en bois ou un lit qui me sauverait de la lave s’il y avait une éruption, mais le volcan ne s’est pas réveillé, donc tout allait pour le mieux.
-Ce n’est pas grave, tu feras mieux la prochaine fois.
Je lui souris tout en tentant de la rassurer afin qu’elle reste calme pendant que nous la transportions. Une fois dans une pièce à l’écart, un genre de sas, elle me surprit par ses paroles, et surtout par le ton qu’elle employa. Elle me demandait vraiment de punir une table? Je ne savais pas trop quoi répondre à cela. Ce n’était qu’une table, un objet inanimé qui ne ressentait rien. Et puis, sinon, comment on puni une table? En l’envoyant au coin? Parce que je ne me voyais pas la frapper, je risquais d’avoir plus mal qu’elle! Je me secouai afin de revenir à ma patiente.
-Quelle punition serait plus approprié pour ce que cette vilaine table t’as fait? La mettre au coin serait suffisant? On verra ça plus tard, là on doit s’occuper de toi.
Mon collègue et moi dirigeâmes la civière jusqu’à l’extérieur. J’ouvris les portes pour mettre la jeune femme à l’intérieur de l’ambulance et je grimpai avec elle. Je fixai la civière, même si le trajet ne faisait qu’à peine deux minutes. C’était la procédure et je voulais absolument éviter tout risque. Je m’assis en parlant à la jeune femme :
-Nous allons t’amener voir un médecin dans un pavillon voisin. Il va s’assurer que tu va bien et que tu n’as pas de commotion cérébrale. Tout va bien aller.
Elle n’avait sans doute rien de grave, mais mieux valait être prudent. Bien vite mon collègue recula au quai de débarquement des ambulances et vint me rejoindre pour descendre la civière et faire son admission. En temps normal, j’aurais ensuite quitté en la laissant entre les mains du personnel hospitalier, mais ça me rendait triste de la laisser toute seule. J’avais presque finit mon quart de travail, donc je décidais d’appeler mon superviseur afin de terminer un peu plus tôt. Il accepta à contrecœur en me mentionnant que je lui en devrais une. Je pu donc retourner auprès de la jeune femme.
-Je vais rester avec toi. Donc, tu t’appelle Balais si j’ai bien compris? C’est… rare comme prénom.
Je voulais essayer d’en apprendre plus sur elle pendant que nous attendions un médecin.
ÂGE DU PERSONNAGE : Bientôt 2 ans, mais Dada veux que je réponde 30 ans.
COTE COEUR : Son visage maternelle favorie, Dayhun Kang <3
OCCUPATION : Être un Balais. Je fais le ménage chez Moira maintenant ! Je brise parfois des trucs, mais elle dit que ça va.
LOCALISATION : Londres. Anciennement à l'institut, elle vie désormais chez Dayhun.
HUMEUR : Souriante, charmante, enjouée.
COULEUR PAROLE : Orange, comme les petites chatons mignons
PRESENCE/ABSENCE : 4 on 4 off, pas disponible pour rp
DOUBLES COMPTES : Stram / Noëlle / Kaa
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Kang Seul-Gi
MON ARRIVÉE : 25/12/2017
MON VOYAGE : 343
POINTS : 474
Mar 10 Sep 2019 - 20:18
Petit balai, deviendra grandDada + Balais De la laves••• ( et des bobos ) Balais avait un peu la tête qui tournais ce n’étais pas très plaisant comme sentiment. Elle avait aussi le mal de cœur, mais la présence de l’ange a ses côtés lui avaient oublier ses maux. Soudainement, elle savait que quelqu’un serait là pour prendre sa défense contre la vilaine chaise. « -Ce n’est pas grave, tu feras mieux la prochaine fois. » Balais savait déjà qu’elle adorait cette belle inconnue. Elle était très gentille et elle avait confiance en elle dans le jeux de la lave. Après avoir demandé a ce que la table soit punie, la belle Dada lui demanda « -Quelle punition serait plus approprié pour ce que cette vilaine table t’as fait? La mettre au coin serait suffisant? On verra ça plus tard, là on doit s’occuper de toi. » Balais ne pleurait plus, elle devait se concentrer sur la question désormais. Elle prit un bon moment pour réfléchir, sur le chemin vers la grande boite jaune ou ils l’amenaient avant de dire…
« Il faut la prive de dessert ! Une chaise, c’est un peu comme moi balai et moi j’aime pas qu’on me prive de dessert. »
Si Balais faisait une faute dans son nom, il ne fallait pas s’attendre non plus à un anglais parfait lorsqu’elle parlait. Cependant, il fallait avouer que depuis son arrivée dans le monde humain, elle s’était grandement améliorée, même s’il était rare qu’elle ne réponde pas des phrases aussi complètes que celle-ci. Après avoir décidée de la punition, elle fit un grand sourire a la dame. Elle avait confiance que celle-ci le ferait ! Une fois mise dans la boite jaune, la plus âgée lui dit après avoir joué sur le banc a roulette un moment « -Nous allons t’amener voir un médecin dans un pavillon voisin. Il va s’assurer que tu va bien et que tu n’as pas de commotion cérébrale. Tout va bien aller. » Pourquoi il ne voulait pas qu’elle ait une collation céréale ?! Balais voulais sa collation ! Elle s’empressa donc de le dire a la demoiselle en lui prenant la main pour lui faire comprendre que s’était important.
« Je veux collation céréale. » Elle ajouta en la regardant avec les yeux grands ouvert, ou du moins du plus que ses yeux monolide pouvait l’être « Il faudra leur dire que je la veux. »
La jeune femme sortie alors de la boite jaune pour aller parler avec un monsieur… Oh il était la depuis le début lui ?? Balais n’avais plus souvenir de lui. Une fois de nouveau seule, sa tête recommença à lui faire mal et a tournée. Peut-être était-ce la boite jaune en fait qui tournais ? Ouais… ça semblait logique. Soudainement, la sortant de ses grandes réflexions, l’Ange fit son retour et lui annonça « -Je vais rester avec toi. Donc, tu t’appelle Balais si j’ai bien compris? C’est… rare comme prénom. »
« Oui, moi Balais. » Elle prit le ton sérieux des infirmières de l’Institut et ajouta « Madame. Balais. Poussière. » et elle tendit la main a l’ange, car on lui avait dit que s’était polie de faire ainsi. Puis elle ajouta ce qu’elle pensait honnêtement, sans réaliser que s’était très directe « Aussi rare que votre beauté j’imagine. »
Elle le pensait vraiment, dans toute sa courte vie de Balais, elle n’avait jamais vue une si belle femme s’était comme si elle avait été sculpter a la perfection par Mickey Mouse avec sa hache. Il avait dû prendre bien plus de temps a la découper qu’il ne l’avait fait avec Balais et sa famille. Elle décida d’ailleurs de le lui demander…
« Du faire mal les coups de haches pour faire ça? »
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MON ARRIVÉE : 20/04/2013
MON VOYAGE : 1390
POINTS : 1175
Mer 25 Sep 2019 - 1:45
petit balai, deviendra grand
J’étais intriguée par cette jeune femme. Je n’avais jamais rencontré personne comme elle. Elle semblait vraiment se prendre pour un balai? Si l’infirmier ne m’avait pas dit qu’elle était dans son état normal, j’aurai cru que le coup qu’elle avait pris l’avait bien sonnée. J’avais d’ailleurs préféré ne rien répondre à sa demande pour priver la chaise de désert… Déjà, penser à punir un meuble était assez surréaliste, mais en plus y aller avec une punition qui n’avait d’effet que sur les jeunes enfants? Pas que j’étais une spécialiste des enfants, mais il me semblait que les adolescents s’en foutaient un peu, du moins, moi ça ne m’aurait pas trop affecté, si j’avais été du genre à faire des problèmes.
Je ne comprenais pas trop pourquoi elle parlait d’une collation de céréales, elle avait faim? Quoiqu’il en soit, elle ne pouvait pas manger tant que les examens n’étaient pas complets et qu’il était certain qu’elle n’avait rien de grave. Lui permettre de manger maintenant pouvait être une mauvaise idée si elle avait une commotion, personne n’avait envi de ramasser une belle flaque de vomissure… certes ça faisait partie parfois du métier, mais pas besoin de faire exprès! Comme elle insistait et je ne savais pas trop d’où elle tenait cette idée de collation, je lui avait répondu de la façon la plus rassurante possible :
-Oui, je leur parlerai de cette collation, mais avant il faut être certain que tu vas bien, que tu n’as pas de commotion à la tête, c’est quand le cerveau bouge à cause d’un choc violent.
Une fois seule avec Balais, nous commençâmes à discuter. Elle n’avait pas un langage très développé, mais c’était tout à fait compréhensible. Je lui serrai donc la main lorsqu’elle me la tendit, ne pouvant m’empêcher de sourire en entendant son nom complet… Balais Poussière?! Ça pouvait donner l’impression que ce n’était pas la première fois qu’elle tombait sur la tête. Beaucoup de gens auraient passé leur chemin, mais je ne pouvais m’empêcher d’être intriguée. D’où venait-elle? Était-ce son nom de naissance, donné par des parents à l’humour douteux? Avait-elle décidé cette nouvelle identité? Toutes ces questions me brûlaient les lèvres, mais je les repoussai un peu, il fallait faire preuve de patience et puis ces paroles suivantes me laissèrent sans mots. Je ne m’attendais pas à être complimenté de la sorte! Je ne pu répondre qu’un merci bafouillé. Je voulais lui retourner le compliment, car j’étais certaine que sans le sang et le pansement sur son nez, elle devait être très mignonne, mais ce n’était pas très professionnel alors je n’ajoutai rien.
Ensuite, il fut question de coups de hache, ce qui accentua davantage ma confusion. Était-ce une façon peu subtile de me demander si j’avais subi une chirurgie? Je sais que les coréens sont reconnu pour aimer changer leur physique, mais je n’étais pas fan de passer sous le bistouri pour quelque chose de non vital. Peut-être que si j’avais vécu en Corée plus longtemps je n’aurais pas cet avis, malgré que sur notre île la mode était moins importante qu’à Séoul.
-Il n’y a rien eu pour me modeler… Je suis née comme ça. Tu sais que cette question pourrait être très insultante? Les gens n’aiment pas tous parler de chirurgie esthétique.
Ça ne me dérangeait pas d’en parler, mais je ne trouvais pas que c’était quelque chose à aborder lors d’une première rencontre. Je préférai donc changer de sujet. Ça me pris un petit instant avant de trouver comment réorienter la conversation, peut-être qu’il était temps de le questionner un peu sur elle :
-Alors Balais, est-ce que tu as de la famille? Et d’où viens-tu? De Londres?
Peut-être qu’elle ne parlait pas bien cette langue parce qu’elle n’était pas originaire de ce pays? Je ne pouvais que faire des suppositions en attendant d’avoir des réponses. J’y allais avec ce qui me semblait le plus logique.
Puis après un moment qui ne me parut pas si long, on vint la chercher pour des tests, je décidai de rester avec elle afin qu’elle ne soit pas seule. Je trouvais toujours triste quand quelqu’un se retrouvait tout seul à l’hôpital. C’était bien d’avoir quelqu’un, au cas où une mauvaise nouvelle vous tombait dessus. Parfois on pouvait penser bien aller et finalement quelque chose clochait. Finalement les nouvelles étaient bonnes, il n’y avait rien de grave, je fus vite de nouveau seule avec Balais pendant que le médecin remplissait les papiers. Ce qui me permit de lui poser encore quelques questions :
-Je sais que c’est pas le genre de choses qu’on demande, mais est-ce que je peux connaitre ton âge et ta date d’anniversaire? Si tu n’as personne, je pourrais te visiter? C’est plus amusant de fêter en bonne compagnie. Et puis, est-ce que tu as des sorties parfois? Une balade au parc ça serait amusant un jour.
Je ne savais pas trop d’où venaient ses idées… mais qu’est-ce qui m’arrivait?
ÂGE DU PERSONNAGE : Bientôt 2 ans, mais Dada veux que je réponde 30 ans.
COTE COEUR : Son visage maternelle favorie, Dayhun Kang <3
OCCUPATION : Être un Balais. Je fais le ménage chez Moira maintenant ! Je brise parfois des trucs, mais elle dit que ça va.
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HUMEUR : Souriante, charmante, enjouée.
COULEUR PAROLE : Orange, comme les petites chatons mignons
PRESENCE/ABSENCE : 4 on 4 off, pas disponible pour rp
DOUBLES COMPTES : Stram / Noëlle / Kaa
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Kang Seul-Gi
MON ARRIVÉE : 25/12/2017
MON VOYAGE : 343
POINTS : 474
Jeu 10 Oct 2019 - 8:54
Petit balai, deviendra grandDada + Balais De la laves••• ( et des bobos ) Balais Poussière était toute souriante, puisqu’en plus d’accepter de punis la table, l’ange qui l’avait secouru de la lave venait également de lui promettre qu’elle aurait la collation de céréale qu’elle lui avait refuser juste avant. Elle lui mentionna aussi qu’elle ne devait pas avoir la collation en tête, donc Balais tenta de se changer rapidement les idées, sinon se cerveau pourrait bouger. Ce ne semblait pas plaisant du tout ! La conversation suivit son cours jusqu’à ce que Balais souligne à la jeune femme qu’elle était belle et lui demanda si les coups de haches avaient été douloureux. Pour sa part, elle se souvenais que ça n’avait pas été une partie de plaisir. -Il n’y a rien eu pour me modeler… Je suis née comme ça. Tu sais que cette question pourrait être très insultante? Les gens n’aiment pas tous parler de chirurgie esthétique.
Les yeux de Balais se remplir d’eau et elle marmonna un petit « Désoler Dadahyunnie. » en descendant son regard vers ses mains pour lesquelles elle semblait avoir un soudain intérêt. Elle ne voulait pas insulter la dame qui lui avait sauver la vie. Elle ne parlerait plus de la hache si cela l’insultait! Balais la comprenait un peu, elle aussi elle avait peur de la hache. Alors qu’elle regardait ses mains, Balais commença a bouger ses pieds sous le draps, ce qui fit déplacer ce dernier avec des bruits de froissement de tissue, ce qui lui fit échapper un rire et voilà qu’elle avait oublié sa tristesse précédente. Alors qu’elle jouait avec la couverture, elle entendit Dada lui demander « Alors Balais, est-ce que tu as de la famille? Et d’où viens-tu? De Londres? » Balais la regarda et répondit...
« Oui, beaucoup famille. Quand la hac… tu sais quoi, nous couper, nous devenu beaucoup beaucoup »
OUF ! Elle avait presque fait l’erreur de parler de la hache encore, qu’elle maladresse. Elle était heureuse de s’être bien reprise, ce qui lui fit naitre un grand sourire sur les lèvres. Pour accentuer le beaucoup, Balais leva ses deux mains et montrait tous ses doigts a la belle asiatique. Ensuite, elle reposa une main sur le lit et parlant de sa famille, elle mise son index sur le visage de l'ange et tira un peu le coin de son œil avant de lui dire...
« Moi aussi fait en chine » puis elle se rappela la soeur qu'elle avait vue le jour de son arriver dans la ruelle avant d'ajouter avec un air un peu perdu « pas ma soeur »
Puis, un monsieur en blanc vint la chercher et elle dit quitter la belle demoiselle pour le suivre. Il lui pointa une lumière dans les yeux, ce qui fit fermer les yeux à Balais, malgré le fait qu’il lui répéta à cinq reprises de ne pas fermer les yeux. La sixième fois, fut la bonne, la jeune femme comprise enfin qu’elle devait garder les yeux ouverts et les ouvrit au plus rond que son regard monolide le permettant, ce qui fit rire le docteur. Il y eu une série d’autres test. Le médecin rit encore quand il cogna sur son genou avec un triangle rouge et qu’elle le regarda avec les lèvres pincées et les sourcils froncé comme un enfant offusqué. Ce qui lui fit croiser les bras, elle n’aimait pas qu’il rit d’elle après l’avoir tapé. Puis elle fut rapporter a la belle brune qui lui avait sauvée la vie, et elle repris place sur le lit sans que personne ne lui demande étant sous l’impression que s’était ce qu’elle devait faire. « Je sais que c’est pas le genre de choses qu’on demande, mais est-ce que je peux connaitre ton âge et ta date d’anniversaire? Si tu n’as personne, je pourrais te visiter? C’est plus amusant de fêter en bonne compagnie. Et puis, est-ce que tu as des sorties parfois? Une balade au parc ça serait amusant un jour. » Une balade ! Balais se leva donc du lit ou elle s’était replacée lorsqu’on l’avait rapporter dans la chambre.
« oui! Balade » Puis elle prise la main de sa sauveuse prête pour la suivre dehors, un grand sourire aux lèvres. Avant de lui dire, comme si cela semblait une explication logique à prendre la main d’une inconnue.
« Moi pas connaitre chemin. »
Puis elle se rappela qu’il y avait eu d’autres questions. Balais savait qu’elle était a l’institut depuis un peu plus qu’un an, puisque son anniversaire d’un an la bas avait été célébrer. Elle mis donc l’index de sa main libre sur son torse avant de dire fièrement…
« 1 an ! » puis elle tenta de se rappeler de la date de cette fête… « 11 juvier. »
Puis elle fit une pression sur la main qu’elle tenais avant de dire.
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Ellen Degeneres & image sur google recadrée par moi
MON ARRIVÉE : 20/04/2013
MON VOYAGE : 1390
POINTS : 1175
Jeu 17 Oct 2019 - 2:51
petit balai, deviendra grand
Je me sentis vite mal lorsque je compris qu’elle pensait que je la grondais. Mais ce n’était pas le cas! Je voulais seulement qu’elle ne parle pas de chirurgie plastique à n’importe qui. Je prenais plutôt comme un compliment qu’on pense que mon apparence était jolie au point de croire que ce n’était pas d’origine. Certaines personnes pouvaient s’en offusquer, mais je pensais qu’il était mieux de voir le bon côté des choses. Être que négatif et croire que tout le monde veut nous insulter n’était certainement pas très sain pour le moral. Je tentais donc de garder le sourire, ce que je faisais d’ailleurs avec la jeune femme, bien que mon expression se ternie un peu malgré moi pour faire place à l’incompréhension lorsqu’elle répondit à mes questions. Est-ce qu’elle venait de dire que sa famille avait été coupée à la hache?! Et puis pourquoi elle censurait ce mot? Je n’avais peut-être pas été claire plus tôt sur ce qu’il fallait éviter de dire? J’étais fort confuse, cherchant un sens logique à ce qu’elle me racontait. Tout ce que j’arrivais à comprendre, c’était que quelque chose de très violent leur était arrivé. Ensuite elle me pointa en disant qu’elle aussi venait de chine, mais pas sa sœur?! Oh, une histoire d’adoption ou de foyer d’accueil sans doute? Il n’était pas rare que dans ce genre d’endroit, de enfants de plusieurs ethnies se retrouvent ensemble et les conditions n’étaient pas toujours très joyeuses. Je préférais ne pas trop continuer sur cette voie, ne voulant pas trop lui faire ressasser des souvenirs douloureux. Par contre je devais la détromper sur mes origines :
-Je ne suis pas née en chine, je suis d’origine coréenne. La Corée est un très beau pays, je te montrerai des photos un jour si tu veux.
Puis on vint la chercher pour les tests, me laissant du temps pour tenter de démêler toutes ces informations. Je n’y parvins évidement pas! J’attendis tranquillement qu’elle revienne en lisant un magasine pas très intéressant. Je bondis presque de la chaise quand ils la ramenèrent pour m’approcher. Elle réagit positivement à ma proposition, ce qui me prit un peu de court.
-Oh mais je disais ça pour une autre fois la balade, je ne sais pas si le médecin te laissera sortir aujourd’hui…
Je ne voulais pas la décevoir, mais il fallait que je sois réaliste. Je n’étais pas enregistré comme visiteuse et je n’avais aucun lien de famille… C’est alors qu’une idée commença à germer. Et si je disais qu’elle était de ma famille? Les gens devaient trouver qu’on se ressemblait, nous étions toute les deux asiatiques, c’était surement suffisant pour la plupart des caucasiens! Je pesais le pour et le contre de cette idée. Elle n’avait personne pour venir contredire cette histoire. J’étais convaincue qu’elle s’épanouirait mieux ailleurs que dans cet institut. Balais interrompit mes pensés en répondant à mes autres questions. 1 an? Elle devait se tromper! Déjà, elle n’avait pas bien prononcé le mois, donc ce devait être la même chose pur son âge?
-Le 11 janvier, c’est une belle date. J’aime l’hiver, on peut s’emmitoufler au coin du feu et regarder des films.
Elle insista à nouveau pour une balade, ce qui me donna des papillons dans le ventre. Il était clair que je devais absolument la faire sortir.
-Je vais parler au médecin et s’il est d’accord, on ira se promener toute les deux, d’accord?
Je du retirer ma main de la sienne, ce qui me rendit un peu triste, mais il le fallait bien. Je trouvai un responsable à qui parler afin de faire passer la jeune femme pour ma cousine. J’inventai rapidement une histoire de coup sur la tête, disant qu’elle était amnésique et qu’elle s’était perdue. Je du développer en racontant que sa mère ne pouvait pas s’occuper d’elle, mais que j’étais prête à prendre la jeune femme en charge. Étonnamment, ça finit par être accepté. Je pense qu’ils cherchaient surtout à se débarrasser d’elle, ce qui me rendit un peu triste… comment pouvait-on abandonner quelqu’un de si gentil? Balais méritait que quelqu’un prenne soin d’elle! Je remplis quelques papiers, devant promettre de revenir avec la jeune femme pour des évaluations de routine. Quoi, c’était aussi facile? Bon peut-être que le fais que je sois ambulancière et que je pris le temps de donner beaucoup de renseignements les convainquirent que je ne faisais pas cela pour une pure inconnue ou avec de mauvaises intentions. D’ailleurs, même moi je n’arrivais pas à croire ce que j’étais en train de faire!
Toutes ces formalités remplies, ils signèrent le congé d’hôpital. Comme elle n’avait pas de commotion cérébrale, aucune raison de la garder. Je retournai la voir pour lui annoncer.
-Balais, tu veux bien venir habiter avec moi? On va aller dans ta chambre chercher tes affaires, puis on va se balader un peu pour aller chez moi. Comme ça, je pourrai te protéger des vilaines tables.
J’espérai qu’elle soit d’accord, mais d’un côté, il aurait été normal qu’elle ne veule pas suivre quelqu’un qu’elle venait de rencontrer.
ÂGE DU PERSONNAGE : Bientôt 2 ans, mais Dada veux que je réponde 30 ans.
COTE COEUR : Son visage maternelle favorie, Dayhun Kang <3
OCCUPATION : Être un Balais. Je fais le ménage chez Moira maintenant ! Je brise parfois des trucs, mais elle dit que ça va.
LOCALISATION : Londres. Anciennement à l'institut, elle vie désormais chez Dayhun.
HUMEUR : Souriante, charmante, enjouée.
COULEUR PAROLE : Orange, comme les petites chatons mignons
PRESENCE/ABSENCE : 4 on 4 off, pas disponible pour rp
DOUBLES COMPTES : Stram / Noëlle / Kaa
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Kang Seul-Gi
MON ARRIVÉE : 25/12/2017
MON VOYAGE : 343
POINTS : 474
Lun 4 Nov 2019 - 14:46
Petit balai, deviendra grandDada + Balais De la laves••• ( et des bobos ) Plein d’émotion aujourd’hui ! Elle était tombée dans la lave, elle s’était faite mal à la tête à cause de la table, elle avait rencontré un ange et elle s’était retrouvée dans un endroit qui pue ou on lui avait promis une collation et une balade. S’était toute qu’une aventure ! Ensuite elle avait raconté brièvement son histoire à Dada, sa nouvelle amie, mais celle-ci n’avait pas sembler apprécier entendre parler de la hache. Balais la comprenait un peu, elle-même n’aimait plus les haches depuis ce jour. Ensuite, la jeune asiatique lui avait souligner être elle aussi « made in China », mais Dada lui répondit… « -Je ne suis pas née en chine, je suis d’origine coréenne. La Corée est un très beau pays, je te montrerai des photos un jour si tu veux. » Ce a quoi le Balais ne compris pas grand-chose en fait…
« Fait en chine. En Corée. » Dit-elle avec assurance en hochant de la tête. « Je veux poteau. »
Puis Dada lui parla de faire la balade une autre fois et lui demanda sa date de naissance, qu’elle dit apprécier puisque s’était en hivers, Balais aimait l’hivers aussi, elle hocha donc vivement la tête toute souriante au pareil de l’autre demoiselle. Puis, elle quitta la pièce en disant qu’elle allait parler au médecin. Puis, Dada revint dans la pièce et lui demanda… « -Balais, tu veux bien venir habiter avec moi? On va aller dans ta chambre chercher tes affaires, puis on va se balader un peu pour aller chez moi. Comme ça, je pourrai te protéger des vilaines tables. »
« Oui! Balade. » Balais était contente, elle voulait suivre cet ange. Elle ajouta aussi. « Oui méchante table ! »
Puis le reste de la journée fut simplement de prendre ce que Balais avait a l’institue et découvrir sa nouvelle maison.
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Petit balai le plus mignon que vous croiserez.
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