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 :: RP Abandonnés
FLASHBACK - Sur les traces de la petite sirène. | Ft. Calliopée
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Anonymous
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Jeu 29 Oct 2020 - 19:45


Sur les traces de la petite sirène
Calliopée & James

« Peu importe où tu te caches, je te retrouverai toujours. »



Juillet 2019



Mon plan est en marche. Néanmoins il s'annonce bien plus compliqué que prévu puisque mes informateurs n'ont aucune idée de où peut se trouver Peter Pan. Quelle bande d'incapables! Bon, en y réfléchissant, comment pourrais-je véritablement leur en vouloir? Ce monde grouille tout autant de gamins morveux et ingrats que le pays imaginaire ; bien que le collant vert ne soit pas à la mode, dieu merci. Fort heureusement, l'un d'entre eux a récemment trouvé un infime indice ; la présence d'une sirène au cœur de New York même. Laquelle? Je l'ignore. Quoi qu'il en soit je ne compte ni rater cette chance, ni la laisser échapper à mes filets.

Ainsi me voilà, déposé par mon chauffeur conduisant une Audi A8 noire dans une rue adjacente à Central Park. Vêtu de l'un de mes plus élégant costume d'homme d'affaire, taillé sur mesure, et paré de mon superbe crochet - agrémenté bien entendu d'une montre à 10 000 dollars (j'en fais trop?) - je remets le col de ma chemise en place avant de me diriger vers ce ridicule petit café. Bon sang jamais de ma vie je ne me serais rendu dans un endroit pareil, hormis pour les beaux yeux d'une sirène ; et bien entendu surtout pour les informations qu'elle peut m'apporter. J'entre donc et observe un instant les lieux, l'endroit est plutôt cosy et convivial ; il faut dire que je fais "tâche" au milieu de tout ça - une énorme tâche noire au centre d'un tableau blanc, mais avec charisme bien sur! Je passe alors prêt du bar afin de commander un café ainsi qu'un morceau de brownie, le chocolat étant l'un de mes péché mignon, et vais m'installer à une petite table sous les yeux étonnés du propriétaire.
Croisant alors élégamment les jambes en attrapant le journal, je l'ouvre en grand pour lire les informations. Bien entendu ce n'est qu'une façon de mimer une action pour en faire une autre. En effet, en se faisant j'observe discrètement mon environnement à la recherche de ma petite sardine qui, enfin, parvient à attirer mon attention. Par Barbe Noire! Ce monde lui a bien réussi, du moins physiquement, et je reste même un instant captivé par sa beauté avant de me reprendre ; tout le monde connaît mon attirance pour les jolies créatures. La jeune femme s'approche alors avec un plateau comprenant ma commande, ou du moins une partie. En effet, alors que je ne prends même pas la peine d'abaisser mon journal, la rouquine dépose seulement mon café et s'apprête à s'éloigner.
Mon geste est alors rapide mais aucunement violent, voir même plutôt adroit. J'attrape en effet la lanière du tablier qu'elle porte autour de la taille avec mon crochet, tel un hameçon, et lui dis d'une voix suave « Vous avez oublié ma petite gâterie, très chère mademoiselle. ». Je daigne alors enfin baisser le papier afin de dévoiler mon visage, qui a incontestablement changé depuis notre dernière rencontre ; le sourire qui s'étire au coin de mes lèvres est également plus taquin que carnassier qu'autrefois. Néanmoins les yeux ténébreux que je plonge dans les siens eux ne mentent pas, jamais, ni mon crochet d'ailleurs.
(c) DΛNDELION
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Anonymous
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Jeu 29 Oct 2020 - 19:49


SUR LES TRACES DE LA PETITE SIRÈNE
I can be kind, I can be nice carry me once, I'll carry you twice I can be tolerant of your advice but be warned, I grip like a vice Stitch by stitch You made a monster
Calliopée & James

Est-ce que bosser dans un petit café miteux faisait partie des aspirations de Calliopée dans ce nouveau monde ? Non pas vraiment ; pas du tout même. Elle aurait sans doute dû y penser avant de se mettre à danser sur le bar, en plein milieu de son service, alors qu’elle travaillait dans une petite boite de nuit de New-York. Cela n’avait pas évidemment pas plu à son patron, et bien que la danse endiablée de la jeune femme ait séduit plus d’un client, elle avait été mise à la porte le soir même. Voilà pourquoi elle s’était ensuite retrouvé serveuse dans un café, où la rouquine passait son temps a apporter des cafés à des habitués qui la draguaient avec des jeux de mots salaces et des blagues limites. Parfois, elle servait des groupes d’étudiants, venus là pour passer un bon moment après leurs cours ou pour réviser au calme tout simplement. Car oui, ce café était tout de même très calme et apaisant ! C’était bien différent des autres jobs de la jeune femme, car elle avait jusqu’alors toujours été embauchée dans des bars ou des boites de nuit. Oui, ce café était la définition même de l’endroit tranquille où il ne se passait jamais rien…

Les journées sont alors longues et ennuyantes pour la naïade qui n’attend qu’une seule chose : que son service se termine et qu’elle puisse rejoindre ses amis pour faire la fête. Elle n’est donc pas toujours très aimable avec les clients, oublie de les saluer quand il rentre et se trompe parfois dans les commandes… Calliopée n’est pas très appliquée et elle se demande souvent pourquoi elle n’a pas déjà été renvoyée ? Pour ses beaux yeux sans doute ? Ce ne serait pas la première fois…

Aujourd’hui ne fait donc pas exception à la règle ; Calliopée est songeuse, distraite et ne fait pas vraiment attention à qui entre ou sort du café. Si certains clients décidaient de partir sans même payer, elle ne s’en rendrait pas compte. Accoudée au bar, tournant le dos à la salle et en train de farfouiller dans son téléphone, la naïade ne remarque ainsi pas l’homme en costume qui vient d’entrée dans la salle. Bon sang, elle aurait dû lever les yeux ; elle aurait dû le regarder entrer et prendre aussitôt ses jambes à son cou ! À la place, la rouquine attend sagement que les boissons soient prêtes avant de les apporter à chacune des tables. Encore une fois, si elle avait été plus attentive, elle aurait sans doute remarqué que le client de la table numéro 8 avait également commandé un gâteau. Déposant ainsi seulement le café, elle semble surprise lorsqu’il l’interpelle.
Il faut dire aussi, que sentant quelque chose s’approcher dangereusement du bas de son dos, la jeune femme a vraiment crue qu’on allait lui mettre une main aux fesses. Elle se retourne en sursaut, préparant une de ses meilleures répliques suites aux allusions plus que douteuse de l’inconnu. « Aller vous fai… » Ses yeux azur, perçants, qui s’apprêtaient à fusiller l’étranger, se figent soudainement en se posant sur l’objet du délit. Non pas une main baladeuse, mais un crochet… 

Un horrible crochet brillant et rutilant que la sirène n’avait que trop vue au cours de sa vie. Un terriblement frisson lui parcours alors tout le corps et doucement, tandis qu’elle retient toujours son souffle, le regard de la jeune femme se relève vers le visage du pirate. Il a terriblement changé, mais c’est bien lui.. Même sans perruque ridicule et sans moustaches risibles, la naïade est capable de reconnaître cet homme, qui avait autrefois été si cruel envers elle et ses sœurs. Reprenant doucement ses esprits, elle parvient donc à articuler « Cro… Crochet ?… Mais qu’est-ce que vous faites là ? » Cependant, la rouquine n’attend pas sa réponse, bien trop apeurée par ce qu’il pourrait dire et lui envoie son plateau en pleine figure. Le pirate se retrouve ainsi avec deux jus de fruit et un cappuccino sur la chemise et Calliopée, elle, en profite pour enfin prendre ses jambes à son cou ! Défaisant rapidement le nœud de son tablier qui pend à présent au crochet, elle fuit le café en courant. Courir en talon n’est pas évident, la naïade n’est donc pas très rapide ; elle décide de rapidement tourner dans une petite ruelle pour ne plus être dans le champ de vision du pirate. Avec un peu de chance, il n’aura pas eut le temps de voir de quel côté elle est partie… 
Mais en voulant s’assurer qu’elle avait bel et bien semé le capitaine, la rouquine ne remarque pas un homme qui se poste au milieu de la ruelle et lui fonce littéralement dessus. La retenant contre lui, ils évitent heureusement la chute et il lance amusé « Homme - Alors ma jolie ? Où est-ce que tu cours comme ça ? » La peur de la naïade peut se lire sur son visage, alors qu’elle relève ses grands yeux azur vers ce nouvel inconnu. Bon sang, il arbore un sourire à faire froid dans le dos… Apeurée Calliopée commence alors à se débattre pour qu’il la relâche et qu’elle puisse s’enfuir, le plus loin possible. Mais voyant qu’il la tient fermement elle commence à comprendre. « Vous.. Vous êtes avec lui ? J’vous en supplie laissé moi partir ! J’vous paierais, j’vous dédommagerais ! » La naïade n’aurait sans doute jamais dû dire cela. Bien qu’elle se trompe complètement au sujet de cet étranger - il n’est absolument pas de mèche avec le pirate - cela semble lui donner des idées malvenues. Plaquant la naïade dos contre le mur, il approche dangereusement son visage de celui de la jeune sirène avant de murmurer sournoisement. « Homme - Et si tu payais ta dette dès maintenant ma jolie ? » Sans prévenir, il vient déposer ses lèvres contre celles de la rouquine qui affiche une mine de dégoût alors qu’elle tente encore de le repousser. Dans d’autres circonstances, elle aurait été ravie de passer un bon moment avec cet homme, qui semblait même plutôt bien foutu, mais ce n’était clairement pas le moment… 


CODAGE PAR AMATIS

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Mar 3 Nov 2020 - 12:34


Sur les traces de la petite sirène
Calliopée & James

« Peu importe où tu te caches, je te retrouverai toujours. »



Juillet 2019



Qu'est ce que je fais là? Je pourrai répondre tout un tas de mensonge ; je suis là pour affaire, j’attends quelqu'un ou j'avais envie d'un café ; ou bien je pourrai tout simplement lui dire la vérité. Je suis là pour elle. Néanmoins je n'ai guère le temps de répliquer quoi que ce soit qu'elle m'attaque avec cette tasse au contenu qui, en une fraction de seconde, parvient à traverser ma chemise pour m’ébouillanter la peau. C'est donc par réflexe que je me lève subitement en faisant grincer et basculer ma chaise en arrière, ainsi qu'en grondant douloureusement. Bon sang je remercie à cet instant celles ou ceux qui ont commandé ces jus de fruit frais qui me permettent de ne pas trop douiller. Ainsi, alors que j'observe cette énorme tâche sur ma chemise, le gérant se précipite vers moi pour l'éponger et me couvrir d'excuses. En se faisant, je relève les yeux vers la sortie que Calliopée vient de prendre et glisse une main dans ma poche avant d'en sortir un billet que je lance vulgairement sur le barman tout en le bousculant. « Gardez la monnaie. ».

Je me précipite alors à l’extérieur en balançant le tissu encore accroché à mon crochet avant de laisser mon regard scruter la grande rue. C'est ainsi que je vois une chevelure rousse disparaître à l'intersection d'une ruelle. Mon sourire s'étire alors de manière un peu carnassière ; mon instinct de méchant refait en effet souvent surface dans ce genre de moment ; tandis que je me lance à sa poursuite sans pour autant me précipiter. J'aime prendre les gens en chasse de cette manière, c'est un jeu dont je dicte les règles selon moi. Néanmoins un petit malin vient interférer dans notre échange et je n'apprécie clairement pas.
En effet, tandis que j'arrive à mon tour dans la ruelle, j'assiste à l'altercation entre un jeune homme assez trapue et ma petite sirène. Ainsi je fronce les sourcils, au même titre que ma mâchoire se crispe. C'est donc lorsqu'il la plaque contre le mur et qu'il l'embrasse que je m'approche d'eux sans attendre. Arrivant de ce fait dans son dos, j'attrape l'arrière de son col avec mon crochet avant de le tirer violemment en arrière afin de le séparer d’elle tout en pivotant. Ainsi je me retrouve entre lui et la jeune femme, imposant ma prestance et ma menace, tel un mur infranchissable et... étrangement protecteur. Je lance donc à l'encontre du voyou « Je vous conseille de foutre le camp. » de manière tout à fait hostile mais poli. Puis je me retourne vers la rouquine et, avec une étrange bienveillance et compassion ; car bon sang j’exècre les hommes qui s'en prennent aux femmes de cette manière ; je demande « Vous allez bien? ». Néanmoins et bien entendu, le jeune homme ne compte pas en rester là. En effet, il sort de sa poche un petit couteau et fonce dans mon dos en hurlant « Elle est à moi enculé! ». J'ignore si c'est purement instinctif ou si c'est le reflet du poignard dans le regard captivant de la sirène qui me pousse à me retourner subitement, mais quoi qu'il en soit je soulève aussitôt mon crochet pour parer le coup. Oh il fait toujours cet effet là, la première fois qu'on le voit ; ce crochet qui luis des âmes qu'il a déjà volés et torturés. Ainsi, étonné, le garçon reste un instant fixé sur lui tandis que je lance « Surveillez votre langage jeune homme. » avant de le désarmer soudainement et de lui envoyer le coté plat de mon crochet en pleine figure en ajoutant « Et navré, je l'ai vu en premier. ». Le jeune homme s'effondre alors aussitôt au sol, le nez en sang et quasi-inconscient ; il se contente en effet de se tenir le visage et de gémir en se tortillant doucement.
Puis, après avoir remis le col de ma chemise tachée comme il faut, je me retourne à nouveau vers Calliopée afin de lui tendre la main avant de souffler « Venez. Allons nous en d’ici avant d’avoir d’autres problèmes. ». Evidemment qu'elle hésite, évidement qu'elle a peur. Néanmoins mon comportement semble lui indiquer qu'elle ne devrait pas ; après tout elle me connait, si j'avais voulu lui faire du mal je l'aurai déjà fait. Ainsi j'ajoute en souriant doucement, un peu amusé et contre toute attente amicalement, « Je vous en prie trésor, ne m'obligez pas à utiliser des méthodes moins gentleman. Je veux seulement discuter. ».
(c) DΛNDELION

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Mar 3 Nov 2020 - 19:56


SUR LES TRACES DE LA PETITE SIRÈNE
I can be kind, I can be nice carry me once, I'll carry you twice I can be tolerant of your advice but be warned, I grip like a vice Stitch by stitch You made a monster
Calliopée & James

Repoussant de toutes ses forces sont assaillant, qui bien évidemment ne la relâche pas, Calliopée imagine déjà le pire à venir…
Mais contre toute attente, quelqu’un vient au secours de la naïade et son cœur manque un rebond en découvrant le visage de son sauveur. Merde ?! Pourquoi lui ?! Il faut dire qu’elle n’avait pas eu le temps de fuir bien loin et qu’il avait ainsi pu aisément la rattraper. Pourtant, la jeune femme semble soulagée que le pirate prenne sa défense, qui sait ce qu’il aurait pu se passer s’il n’était pas intervenu… Le Capitaine surprend même une seconde fois la rouquine en faisant preuve de bienveillance ; en lui demandant si elle va bien. Le souffle encore coupé à cause de la peur, elle se contente donc de hocher la tête, de bas en haut, en remettant en place ses cheveux derrière ses oreilles. 

La scène qui s’en suit est bien trop rapide pour que Calliopée ne comprenne quoi que ce soit. Son cœur, lui, bat la chamade alors que ses yeux azur se posent sur le couteau de son agresseur et le crochet du pirate. Elle ne saurait pas dire lequel lui fait le plus froid dans le dos. La naïade en frissonne, avant de laisser échapper un petit cri tandis que l’un des deux hommes se prend un coup et tombe sur le sol. La sirène n’a jamais été très friande de violence et se rappelle soudainement pourquoi le grand brun lui fait tant peur : il est dangereux ! C’est un pirate ! Pourtant, elle semble soulagée de voir que ce n’est pas lui qui gît au sol le nez ensanglanté.

Alors quand il se retourne vers elle et lui tend la main, elle regarde cette dernière durant de longues secondes, étonnée et farouche. Est-ce vraiment une bonne idée d’accepter l’aide de ce pirate ? Est-ce une bonne idée de faire confiance à celui qui s’est amusé pendant si longtemps à pourchasser ses sœurs ? Non… Mais s’il est là, cela signifie qu’elle n’est pas seule… Qu’il y a une petite chance pour que les autres sirènes de la lagoon soient dans ce monde elles aussi ! Une petite lueur d’espoir traverse alors le regard de la naïade tandis qu’elle relève les yeux vers ceux du pirate. Ses prunelles à lui sont toujours aussi sombres, mais il est peut-être sincère… Il a peut-être changé… Calliopée décide de lui accorder le bénéfice du doute.
Elle finit donc par accepter sa main, après tout, il souhaite seulement discuter d’après ses dires. C’est alors sans se retourner une seule fois, et s’agrippant même fermement à cette main qui l’a secouru qu’ils quittent la ruelle, laissant l’homme gémir au sol. Le cœur de sirène quant à lui, bat toujours la chamade et ne semble pas s’être remis de tous ses événements. Il semblerait même qu’elle tremble un peu. Calliopée reprend toi. Tu es face au Capitaine Crochet ! Tu dois montrer que tu es forte ; que tu n’as pas peur de lui, ni de personne.
S’étant éloigné de son agresseur et ne se sentant à présent menacer que par l’homme a qui elle tient la main, la naïade écarte doucement ses doigts. Moins elle aura de contact avec cet homme, mieux elle se portera ! Cependant, elle lui jette des regards en coin, discrets et l’observe. Il a quelque chose de changer… C’est peut-être l’effet du costume, malgré ses tâches ? Des cheveux cours ? Elle n’en sait rien, mais son physique, son attitude réveillent quelques élans de curiosité chez la jeune demoiselle qui ne peut plus s’empêcher de le scruter.

Ils arrivent ensuite au niveau d’une grosse berline noire et voyant le chauffeur saluer l’ancien pirate, la sirène comprend rapidement que cette voiture est la sienne. Décidément, ce monde réussi mieux au capitaine qu’à la sirène. Pourtant, elle s’arrête subitement au milieu du trottoir et demande « Où est-ce que vous voulez m’emmener ? » Le regard de la rouquine n’est plus vraiment apeuré, mais froid, austère, et même suspicieux. Elle n’a aucune envie de monter dans cette voiture, aucune envie de se retrouver seule avec ce mécréant sur la banquette arrière et fait même un pas en arrière. Le chauffeur lui ouvre pourtant la porte, invitant poliment la jeune femme à prendre place dans l’Audi. « Ah non, non.. Je ne monte pas là-dedans avec vous ! » Se redressant, croisant les bras devant son torse, elle fait alors comprendre au pirate qu’elle ne changera pas d’avis. Calliopée n’a jamais laissé la peur dicter ses actes et elle est bien décidé à tenir tête au pirate « Si vous souhaitez qu’on parle, je veux bien, mais on retourne au café. » Lance-t-elle en pointant du doigt la petite enseigne avant de se raviser. La sirène n’allait sans doute plus y être la bienvenue après avoir renversé tout un plateau sur un client. « Ou dans celui que vous voulez aux alentours, mais je ne monterais pas dans cette voiture. » 

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