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 :: RP Abandonnés
Retrouvailles d'Halloween - Moïra
Poppy MacSilwood
Poppy MacSilwood
Faith, trust and pixie dust
TALE STRANGERS
PHOTO D'IDENTITE : Retrouvailles d'Halloween - Moïra Thecrew
Retrouvailles d'Halloween - Moïra B6j3
Retrouvailles d'Halloween - Moïra Imageedit_11_8305631003
DESSIN ANIME D'ORIGINE : None
ÂGE DU PERSONNAGE : 22 ans
COTE COEUR : Un merveilleux cauchemar
OCCUPATION : Violoncelliste - Elève à la Royal Academy of Music de Londres
LOCALISATION : Londres
OBJETS ACQUIS : Boussole ensorcelée; Lunettes magiques
HUMEUR : Musicalement joyeuse
COULEUR PAROLE : #C83E19
PRESENCE/ABSENCE : I'm there
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Chrissy Costanza | Gaekey (avatar), Evee (crackship Strampy couleur), Zero (crackship Strampy noir et blanc), Sun (badge Crew), Langston Hughes, The Collected Poems (citation signature)
MON ARRIVÉE : 13/01/2018
MON VOYAGE : 405
POINTS : 234
Dim 8 Nov 2020 - 1:26
Retrouvailles d'Halloween
En cette journée d'automne, l'écossaise faisait son grand retour à Londres. Un an s'était écoulé depuis qu'elle avait quitté la ville de Big Ben. Son année sabbatique lui avait permis de voyager. Elle était d'abord retournée chez ses grands-parents dans son Ecosse natale. Sa route l'avait ensuite guidée en Irelande puis en France, avant de finir aux Etats-Unis. Elle avait pu rencontrer différentes personnes et pratiquer sa musique dans toutes sortes d'endroits. Certaines fois, elle dormait dans des auberges de jeunesse et jouait dans des bars ou dans la rue, d'autres fois, elle dormait à l'hôtel et jouait dans des grands concerts. Tout dépendait des opportunités et des auditions qu'elle réussissait. Sa mère l'avait soutenue et avait foi dans les capacités d'adaptation et d'autonomie de sa fille. Et puis, c'était une sorte de thérapie, un moyen pour Poppy de passer son deuil pour Rox. Durant ses voyages, elle avait pu s'aérer l'esprit et découvrir un panel foisonnant de gens et de mode de vie. Chose importante et non des moindres, elle avait pu se donner corps et âme à sa passion, à ce qui la faisait vibrer, la transcendait : sa musique. Son violoncelle était sa seule amie de voyage.

Ainsi, la musicienne revenait pour Halloween. Cette journée promettait des rebondissements. L'année dernière, elle avait eu un pouvoir le temps d'une soirée et s'était téléportée sur le toit. Malgré tous ses efforts, elle n'avait jamais réussi à reproduire cet exploit. Elle n'arrivait toujours pas à expliquer pourquoi elle avait dû batailler avec des Gremlins. Elle avait également découvert que sa mère semblait connaître Ian, mais elle n'avait pas eu le temps de lui en parler davantage. C'était comme s'ils avaient été d'anciens amants. Après tout, avant son beau-père, Moïra avait bien eu des anciennes relations, dont son père. Sur ce dernier point, Poppy n'avait pas vraiment eu l'occasion d'en savoir plus que ce qu'elle ne savait déjà. Après Halloween, Poppy était partie pour son année sabbatique et ce n'était pas un sujet à évoquer à distance. Malgré tout, il y avait des sujets qui avaient pu être évoqué, comme l'avenir de Poppy. Sa mère lui avait conseillé d'intégrer la Royal Academy of Music de Londres. Chose que la jeune brunette aux cheveux maintenant roses avait fini par faire.

Toute heureuse de revoir sa mère, Poppy trépignait d'impatience sur le perron, son violoncelle dans sa housse de protection d'un côté, ses valises de l'autre et son énorme sac sur le dos rempli de souvenirs et de son linge sale. Ses longs cheveux roses et son visage maquillé d'un squelette pour l'occasion d'Halloween, Poppy était prête pour les retrouvailles et pour fêter Halloween en compagnie de sa mère. Elle sonna à la porte, un sourire aux lèvres. La porte s'ouvrit et sa mère apparut dans l'entrée. Le sourire de Poppy s'agrandit et se visage s'illumina. Elle sauta dans les bras de sa mère et la serra fort contre elle. « Tu m'as manqué Maman, j'suis contente de revoir ! »
Codage par Libella sur Graphiorum
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Invité
Anonymous
Invité
Lun 16 Nov 2020 - 13:19
Voilà un petit moment que la maison fut préparée pour la fête de l’horreur. Moïra avait hésité à célébrer ou non celle-ci. Depuis celle où elle fut obligée d’affronter des gremlins, elle ne savait plus trop quoi penser. Il n’y avait pas eu d’explications officielles et tout le monde allait à sa théorie. Drogue, boisson, farce… La psychologue voulait garder un esprit rationnel, cependant ses propres explications courbaient l’échine devant la conception de magie. Non ! Elle refusait d’y croire. Tiraillée entre le possible et l’impossible, elle eut du mal à en faire fit et avait peur de finir folle à la longue.

Ce soir cependant, le médecin se força à préparer la maison. Même si cela lui rappelait quelques souvenirs dérangeants, sa fille chérie revenait à la maison. Elle était toute excitée de retrouver sa progéniture, et comme elle était une adepte des fêtes populaires, Moïra voulu faire plaisir en se donnant cette peine. Tout semblait prêt, la femme terminait d’ajuster quelques fausses toiles d’araignées sur des photos et vases quand on sonna à la porte. Son cœur bondit devinant déjà de qui, il s’agissait. Abandonnant sa petite besogne, elle alla ouvrir.

Tel un diable à ressort, Poppy déjà prête pour l’occasion, bondit au coup de sa mère pour la serrer contre elle. La mère MacSilwood, quelque peu désarçonner par la surprise, redevint en un claquement de doigt maîtresse d’elle-même et serra cette enfant qu’elle n’avait plus vu depuis près d’un an si ce n’était plus.

"Je suis heureuse de te revoir également ma chérie. Tu ma manquée aussi."

Moïra pouvait être une véritable mère poule qui avait du mal à avoir sa progéniture loin d’elle. Elle avait eu l’impression que cette séparation durait dix ans au moins. Elle dût se forcer pour libérer sa fille de son étreinte. Mais sur les épaules, elle regarda Poppy avec ce regard qui s’harmonisait avec ce sentiment évoqué.

"J’ai l’impression que tu as beaucoup grandit depuis." Taquina de suite la psychologue. "ntre donc, tu dois être fatiguée. Tu me raconteras ton odyssée."

Attrapant une des valises, Moïra fit entrée sa fille. Si savoir son enfant loin d’elle n’était pas facile, cela ne l’avait pas empêché de soutenir sa grande expédition. Pour la mère, ce long voyage n’était en rien une futilité au contraire. Sa fille avait besoin d’explorer, de découvrir, d’expérimenté. Et vue, malgré la fatigue, le visage rayonnant sous ce maquillage cadavérique, cela avait portée ses fruits. On lui rendait une enfant épanouie.

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Poppy MacSilwood
Poppy MacSilwood
Faith, trust and pixie dust
TALE STRANGERS
PHOTO D'IDENTITE : Retrouvailles d'Halloween - Moïra Thecrew
Retrouvailles d'Halloween - Moïra B6j3
Retrouvailles d'Halloween - Moïra Imageedit_11_8305631003
DESSIN ANIME D'ORIGINE : None
ÂGE DU PERSONNAGE : 22 ans
COTE COEUR : Un merveilleux cauchemar
OCCUPATION : Violoncelliste - Elève à la Royal Academy of Music de Londres
LOCALISATION : Londres
OBJETS ACQUIS : Boussole ensorcelée; Lunettes magiques
HUMEUR : Musicalement joyeuse
COULEUR PAROLE : #C83E19
PRESENCE/ABSENCE : I'm there
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Chrissy Costanza | Gaekey (avatar), Evee (crackship Strampy couleur), Zero (crackship Strampy noir et blanc), Sun (badge Crew), Langston Hughes, The Collected Poems (citation signature)
MON ARRIVÉE : 13/01/2018
MON VOYAGE : 405
POINTS : 234
Mar 22 Déc 2020 - 15:39
Retrouvailles d'Halloween
« Oui, un peu », rigola Poppy. La jeune écossaise avait grandi tant sur le plan physique qu'émotionnel. Son année sabbatique lui avait permis de s'aérer l'esprit et de changer d'air, ainsi que de découvrir de nouveaux horizons. Poppy était maintenant une jeune adulte, du haut de ses dix-neuf ans, même si elle n'en avait pas tout à fait l'âge requis au regard de la société. Partir seule et faire ses propres expériences l'avaient irrémédiablement fait quitter le doux cocon de l'enfance, la faisant basculer pour un temps très court vers l'adolescence et son insouciance, avant de l'y extirper et de la plonger dans les méandres de l'âge adulte, portant un regard neuf sur le monde. Elle rentrait sur l'île britannique changée et mûrie. La Poppy naïve et immature n'existait plus. Certes ses côtés rebelle, rêveuse et imaginative étaient toujours là. Son voyage l'avait métamorphosée et n'avait pas effacé ce qui faisait que Poppy était Poppy. Cependant, certains traits de Poppy avaient irrémédiablement disparu. Elle n'était plus aussi naïve qu'à son départ et acceptait mieux, voire gérait mieux, ses émotions. Un deuil, un obstacle, un coup dur ne pouvaient plus la vaincre. Elle naviguait à travers ces points clefs dans sa vie. Ils existaient. Elle n'allait plus vouloir les renier, mais les accepter et les intégrer dans son chemin de vie. Elle avait appris à accepter son chagrin pour la mort de Rox. De ceci, un impact positif était apparu : son amitié avec Oliver s'était renforcé. Il était d'ailleurs le seul avec qui Poppy avait gardé contact depuis son départ du lycée. La jeune écossaise s'était faite de nouvelles relations aux Etats-Unis. Elle gardait de bons souvenirs, mais ce n'était que des relations éphémères, qui durent le temps du contact, parce qu'ils sont ensemble dans un même contexte au même endroit. Une fois l'éloignement fait, il n'en reste que de bons moments. Comme disait Jules Renard, "Il n’y a pas d’ami, il n’y a que des moments d’amitié". D'ailleurs, autre point positif de son voyage. La brunette s'était mise à lire énormément. Il faut dire que dans les transports, c'était une activité indispensable pour passer le temps. Elle avait ainsi retenu différents textes et s'était forgée des nouvelles opinions. Elle avait étoffé son esprit critique. Elle était d'accord avec cette citation de manière générale, mais la réfutait quand il s'agissait de son roux préféré. Oliver était bel et bien devenu son ami, son exception à elle. Jamais la distance ni le temps ne pourrait entacher leur amitié.

Une fois à l'intérieur de la maison familiale, Poppy déposa ses affaires et son sac dans l'entrée, à côté de valise que lui avait prise sa mère. Son violoncelle avait été déposé avec douceur et délicatesse. Il était la prunelle de ses yeux et gare à celui qui l'abîmerait, ne serait-ce que d'une égratignure. Elle s'exclama avec entrain "Je meurs de faim". Poppy se demandait si sa mère avait tout préparé en avance ou si elle souhait qu'elles cuisinent ensemble. Poppy était certes fatiguée de son voyage, mais retrouver sa mère la rendait toute guillerette. « Oui, j'en ai choses à te raconter ! Mais d'abord, la bouffe ! »

C'est ainsi qu'ensemble elles se préparèrent un dîner digne d'Halloween. Poppy lui conta alors diverses aventures qui lui étaient arrivées. Puis, elles s'installèrent ensemble devant un film d'horreur. La brunette aux cheveux roses étaient ravies de retrouver cette habitude : regarder un film avec sa mère. Elles s'étaient lancé le film The Thing, la version de 1982. Quand le film débuta avec la course poursuite entre l'hélicoptère et le chien, une anecdote revint à Poppy. « Oh ça me fait penser ! Il a neigé à New York en février et on a fait une de ces courses poursuites devant la Statue de la liberté. Et on s'était donné des noms, on a fait une sorte de sprint en fait, et le nom de mon équipe, c'était les Husky, comme la race du chien! C'était drôle. Il y a Fred qui a glissé, il a fait une super chute, on était mort de rire ! C'était un bon moment. Faut dire qu'il y avait presque personne devant les lieux touristiques, tellement il faisait froid ! Ça nous a réchauffés et c'était fun ! On a finalement fini ex aequo alors on a fini ça en bataille de boule de neige et on a fait un bonhomme de neige. Je crois que je t'avais envoyé la photo ou je l'avais mise sur Insta, je sais plus. Attends, je te montre.  » Poppy mit le film sur pause et sortit son téléphone portable de sa poche et montra lesdites photos à sa mère. « T'en avais fait des batailles de boules de neige dans la rue quand t'étais plus jeune ?  » Poppy réalisa qu'elle ne connaissait pas tout de l'enfance ni de l'adolescence de sa mère. Ce qu'elle en savait, c'était raconté par ses parents et si sa mère était comme Poppy, elle ne racontait pas toutes ses mésaventures à ses parents. Poppy n'avait d'ailleurs jamais mentionné les monstres de ses premières vacances avec Rox, ni ses marchés passés avec ses baby-sitter. Concernant ces derniers, sa mère avait fini par comprendre et Poppy avait finalement avoué. Tandis que pour le premier, Poppy commençait à se demander si ce n'était pas son imagination d'enfant qui modifiait ses souvenirs. Pourtant, elle n'avait pas imaginé les Gremlins de l'année dernière. Sa mère les avait aussi vus. Peut-être qu'en cette soirée d'Halloween, le moment était venu d'en parler.
Codage par Libella sur Graphiorum
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Invité
Anonymous
Invité
Ven 25 Déc 2020 - 9:58
Moïra jeta un regard nostalgique à sa fille pendant qu’elle montait à sa chambre. Elle l’avait vue grandir, mais cette absence d’un an lui fit prendre conscience de quelque chose, que sa petit Poppy n’était plus petite. Elle se rappelait de cette enfant si mignonne, si joyeuse, si naïve. C’était son petit trésor. Aujourd’hui c’était une femme, débutant l’âge adulte. Poppy restait joyeuse, mais ce n’était pas la même chose, elle était motivée par ce qui donnait la flamme à son âge. Même si l’enfant lui manquait, la mère était heureuse et fière de ce qu’était devenue le fruit de ses entrailles. Cette période de fête cependant, fera revivre ces belles années, avant de laisser place à un nouvel air.

Mère et fille s’attelaient au repas avant de regarder un film. C’était comme si leur complicité n’était jamais morte, ni amenuiser. Au contraire, elle paraissait bien plus forte. Moïra en fut rassurée. Toutes deux regardèrent un film d’horreur. Cela changeait un peu des films d’enfants qu’elles regardaient, c’était d’un autre niveau. Au moins Moïra n’avait plus besoin de dire à sa fille que ce ne serait pas bon pour son âge et de changer. Là, c’était comme si elles pouvaient partager davantage. Et d’ailleurs Poppy narra une de ses anecdotes.

"Je suis heureuse que tu te sois bien amusée et fais des amis de l’autre côté du monde. Mais ce n’était pas dangereux de jouer dans la neige à New-York ?" Le côté maman poule était toujours présent, mais Moïra savait rationnalisée, en constatant juste que sa fille était toujours entière.

Elle aurait bien aimé la questionner sur ses nouveaux amis. Pas pour savoir s’ils étaient de bonnes personnes ou non, la mère accordait une grande confiance en sa fille, sinon elle ne l’aurait pas laisser partir. Juste pour en apprendre plus. Mais elle n’en eut le temps quand Poppy la questionna sur son passé.

"Il y a fort longtemps sans doute. Je me souviens comme si je regardais un vieux film... Qu’une fois petite, sans doute entre cinq ou sept ans, je m’amusais à en faire et les lancer sur tout le monde et n’importe quoi." Quelques vieux souvenirs lui revinrent de ses anciens hivers. Des pensées heureuses, où elle se revoyait dans un vieux et joli chalet, une tasse chaude aux mains, des pantoufles fantaisistes aux pieds. Une mère si jeune qui chantonnait et apportait des biscuits chauds à sa famille… "Par contre, vers le lycée, j’étais plus souvent la victime. Quand la cours était recouverte de neige, c’était la reconstitution de Verdun. Je passais plus mon temps à courir et me cacher que me défendre."

Comme quand elle voulait s’abriter derrière un arbre et reçu malgré tout une belle boule de neige sur la tête. Elle devint toute blanche. Elle avait crié sur son agresseur, lui a fait de beau reproche. Moïra s’apprêtait en réalité à répliquée, mais elle fut mitraillée de toute part. Les joies de la jeunesse.
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