No more happy endings...
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La rose a l’épine comme amie [Solo]
Invité
Anonymous
Invité
Dim 28 Juil 2013 - 7:47



Solo
La rose a l’épine comme amie.

Depuis mon arrivé dans ce monde, ma vie me semblait bizarre. Enfin bizarre c'était une façon de voir les choses, car en fait ma vie était monotone et routinière. Il ne se passait plus rien dans ma vie depuis la mort de Snail. Qui est Snail? Comment osez-vous poser cette question alors que je suis en deuil?! Bon d'accord je vous explique... Snail était mon vendeur de drogue, vous savez, le dealer. Je le rencontrai la journée même de mon arrivé à New-York et c'est lui qui m'a initié à toutes les drogues dures que l'ont pouvait trouver dans les rues. Je ne sais pas s'il a fait cela volontairement ou bien parce qu'il me croyait déjà consommateur, car il faut l'avouer, j'étais excentrique avec mes cheveux roses. Je le voyais à tout les jours pour lui acheter quelque chose puis nous avons finit par discuter d'autre chose que marchandise. J'avais enfin l'impression d'avoir un ami dans ce monde. Ce fut le premier à qui je parlai de la présence d'un autre univers et il ne rigola pas. Je ne sais pas par contre si c'était parce qu'il me croyait ou bien parce qu'il était trop high pour comprendre que ce que je disais était vrai.

Donc comme je disais, ma vie était bizarre depuis la mort de Snail, surtout que depuis sa mort je ne prenais plus de drogue. J'avais arrêté même un peu avant, mais l'envie m'étais revenue quelques jours plus tard surtout qu'il ne me restait plus de pilules pour m'aider à arrêter. Heureusement, Dug, un homme pas très gâté par la vie physiquement ni même mentalement quand on y pense, avait passé par-là et m'avait fait cadeau d,un très grand service et peut-être que je ne serais plus là aujourd'hui pour vous raconter mon histoire. En effet, cette soirée-là fut ma plus belle, mais aussi ma plus terrible soirée. J'avais enfin décidé de ne plus jamais  toucher aux drogues, mais javais vu Snail mourir d'un overdose juste en face de moi. Ensuite il y a eu Dug qui a paniqué, car je l'ai embrassé pour le remercier, mais c'est pas un truc très intéressant.

Ce matin-là, je venais de sortir du bar où je travaillais comme trip teaseur puis j'allai au petit café du coin pour m'acheter un grand café latté, car je devais rester éveiller pendant encore une bonne partie de la journée pour remplir des papiers pas trop clair à propos de ma citoyenneté américaine ou je ne sais pas trop quoi. Pour dire vrai, j'avais l'impression que tout ses papiers étaient écrit en chinois tellement que c'était incompréhensible. Heureusement qu'une rouquine nommée Jessie m'avait aidé à me trouver un âge et un nom de famille...Sinon je n'en aurais jamais sorti. Alors que sortais à peine de la boutique, je me sentis violemment bousculer et je renversai tout mon café au sol. Enfin, au sol c'est vite dit. En réalité un homme qui ne devait sans doute pas regarder où il allait m'avait foncer dessus ce qui me fit tomber au sol en l'apportant avec moi. Pour ce qui est du café, il n'était pas au sol, mais bien sur sa chemise blanche et en partie sur son costard. L'homme hurlait de douleur en disant que c'était très très chaud, mais moi dépassé par les événements, je me contentai de le regarder se tortiller dans tout les sens sous mon poids, car oui, j'étais tombé sur lui.

Je finis par me lever et je m'excusai maladroitement à l'homme qui m'envoya clairement balader. Je fus offusqué, mais je ne lâchai pas le morceau. Je voulais à tout prix me faire pardonner surtout qu'il semblait plutôt très pressé. Je regardai ma montre: 6h26. Il était très probable qu'il soit homme d'affaire et qu'il doive bientôt arriver à son travail ou bien prendre le métro pour y aller. Je lui tendis les quelques serviettes blanches que la caissière du café m'avait donné puis il s'essuya le mieux qu'il pouvait. Je le regardai sans dire un mot, en me mordant la lèvre inférieur en espérant que la grosse tâche disparaisse comme par magie. Évidement, ce ne fut pas le cas et l'homme poussa un long soupire exaspéré. Je lui pris alors une serviette de ses mains et je me mis alors a frotter fortement sur sa chemise. Il me repoussa presque instantanément à ma grande surprise.

« J-Je suis vraiment désolé... Je n'ai pas fait exprès, j'aimerais vraiment me faire pardonner! Je vais vous laisser mon numéro et puis on pourrait ...»

Il me coupa presque aussitôt en disant qu'il n'avait pas de temps à perdre avec des gens du peuple, mais son attitude changea d'un coup lorsque nos regards se croisèrent. Lui avais-je tapé dans l'oeil? Il me sourit puis je ne pu faire autrement que de lui répondre à mon tour. Il était mignon et à ce moment-là, Timon mon colocataire sur qui j'avais un fort béguin n'existait plus. Il y avait que lui et rien d'autre. Tout ce qui nous entourait était d'un noir profond, tout comme ses cheveux... Et ses yeux ... Ses magnifiques yeux bleus... J'étais presque sur le bord de saliver, j'en suis presque sûr!

« Ah c'est pas grave! C'est une vieille chemise et ma cravate à déjà une semaine, ah! »

Je ris bêtement, hahaha. Vraiment il fallait être con pour ne pas remarquer qu'il y avait une petite pointe de sarcasme dans ce qu'il disait, mais je ne dis rien. De toute façon je n'aurais pas su quoi dire. j'étais déjà assez embarrassé ainsi, je n'avais pas besoin de m'enfoncer davantage. Malgré son air agacé, il prit tout de même le temps de se présenter sur le prénom de Jonathan Mayer et il me donna son numéro de portable plus un bout de papier. Je souriais en regardant la papier puis il partit sans même demander mon nom que de toute façon j'avais oublié à ce moment précis.

Ce fut 2 jours plus tard que je le rappelai, car ma patronne m'avait dit qu'il fallait se laisser désirer. J'ai pas compris, mais bon les autres gars avec qui le travaille étaient d'accord avec elle. Je lui proposai une soirée pour me faire pardonner et étonnement il me répondit presque immédiatement oui. Je ne sais pas pourquoi, mais j'avais eu l'impression qu'il m'avait dit oui que pour me faire plaisir. Enfin, la soirée sembla bien se dérouler et à la fin de la soirée, il me proposa lui-même un deuxième rendez-vous puis ce fut mon tour de lui proposer un troisième puis il y eu un quatrième et au sixième rencard j'eus le droit à un baiser. Juste à y penser j'ai le cœur tout chaud et les jambes molles! Aaaah c'était tellement bien comme baiser! Je m'en rappellerai pour tout le restant de ma vie, c'est moi qui vous le dit!
Fiche par (c) Miss Amazing.
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