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Le vrai est inimitable, le faux intransformable [PV Javotte]
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Anonymous
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Sam 21 Sep 2013 - 1:07



Javotte & Laurence
Le vrai est inimitable,
le faux intransformable

Je pourrais faire comme les autres et commencer à vous raconter ma journée comme dans un journal intime, mais je ne suis pas comme les autres. Je suis anticonventionnel et c'est pour cela que je ne vous dit même pas bonjour. Je m'appelle Laurence. Oui, c'est mon nom et je suis un homme. Je l'affectionne beaucoup, car oui, je ne suis pas comme les autres qui passent leur temps à se planidre de l'héritage que leurs parents leur ont offert comme leur prénom. J'aime inventer des mots comme: hipopochat et nokporte, passer du coq à l'âne et surtout le rose. En fait, c'est plus que aimer et je trouve que les gens n'en porte pas assez. Moi, tout les jours j'en porte et c'est pour cela qu'aujourd'hui je porte un magnifique lainage rose avec un petit collet en v qui va trop bien avec ma sacoche Adidas blanche en cuire que je ne quitte jamais plus de deux minutes quand je suis en publique.

Sinon, je suis un mec qui fait très attention à son physique et je ne peux passer beaucoup de temps dans ma salle de bain qui est en fait plutôt en piteuse état, il faut l'avouer, avec les cafards tout bruns et dégouttant qui ont établis domicile dans la baignoire qui finira par avoir un trou à l'intérieur et... Et.. Et on parle pas de ma salle de bain, mais bien de moi!

Je vis avec Timon, mignon et grand. Un peu maigre, mais j'essaie de le faire grossir un peu avec mes petit-déjeuné que je lui fais à tout les matins. Je crois que je l'aime bien... Enfin, plus que bien, mais il y a aussi Jonathan... Sauf que lui il ne me mérite pas, mais con comme le suis je finis toujours par lui pardonner. ils sont chanceux d,avoir mon amour, car je ne le donne pas à beaucoup de gens. Je ne crois même pas avoir aimé mes parents lorsqu'ils étaient toujours en vie. Pour tout dire, je n'aime que Jonathan et timon sauf qu'eux, ils semblent aimer jouer avec mes sentiments. Voilà, c'est dit.

Ce que je fais dans la vie? Pour l'instant je suis photographe pour des défilés de mode et il faut l'avouer, j'adore ce métier que j'ai réussis à avoir grâce à mon ex qui m'avait payé des cours au début de notre relation. avec ce boulot, j'ai rencontré tout plein de gens plus ou moins intéressants, mais ce que je préfère par-dessus tout c'est que je voyage beaucoup. J'ai vu beaucoup de ce monde en si peux de temps, mais je  n'ai toujours pas retrouver Wonderland. Il m'aurait suffit de suivre le lapin blanc , mais les seuls que j'avais vu ne voulaient pas me montrer le chemin. Ils ne semblaient pas non plus très en retard... Enfin, il faut dire que je n'ai pas eu le temps de leur demander puisqu'une femme qui travaillait à l'animalerie m'a hurlé de sortir après que j'en aille lancé un sur la vitrine. Y'a des gens susceptibles dans ce monde...

Nous étions en après-midi et le soleil commençait à se coucher, car la saison en voulait ainsi. Je me promenais dans les rues, l'appareil photo au cou et avec ma grosse sacoche qui contenait un peu n'importe quoi, mais aussi mes nombreux objectifs. Le couché de soleil était le plus beau moment de la journée et c'était à ce moment que les plus belles photos étaient prises, selon moi. J'entrai dans un par au hasard tout près du courant d'eau que les Londoniens appelaient Tamise si j'avais bien compris puis je photographiai des couples heureux et des enfants qui jouaient dans les feuilles oranges qui commençaient déjà à tomber des arbres.

Après un moment, je ne su plus trop quoi faire et il était beaucoup trop tôt pour aller à ma chambre d'hôtel. il devait à peine être 5 P.M. Je m'installai près sur un quai où une petite barque se trouvait puis décidai de faire une vingtaine de photos et commençai ensuite à faire le tri de celles que j'aimais et celles qui allaient directement à la poubelle. Je finis par m'en lasser puis déposai mon appareil photo sur le quai entre mes jambes qui flottaient dans le vide et je regardai le soleil se coucher derrière la grande horloge de la ville. soudain, j'entendis des craquements derrière moi et me retournai pour voir de mes yeux gris une jeune femme drôlement habillée  s'avancer vers moi. Elle me semblait excentrique... J'aimais presque ça.
Fiche par (c) Miss Amazing.
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Dim 22 Sep 2013 - 17:37


« Le vrai est inimitable. Le faux intransformable » Javotte de Trémaine & Laurence Legay

Il se moquait de moi. Oui, c’est ça, il devait se moquer de moi. C’était quoi ce bout de tissu qu’il m’agitait sous le nez ? Ça avait deux jambes et ça arrêtait au tronc. On aurait dit… des pantalons. IL SE MOQUE DE MOI ? POURQUOI VEUT-IL QUE JE M’HABILLE EN HOMME ? Il me trouvait vraiment si affreuse ? Mais quelle honte ! Si maman savait ça… Elle me tuerait. Et puis, pourquoi voulait-il que je m’habille de la sorte ? Parce qu’il faisait froid et que les robes, sauf pour les sorties, ce n’était pas convenable pour une sortie dans le parc. Non mais il se prenait pour qui ? Mon père peut-être ? Saches que j’en ai eu plusieurs des pères et aucun n’a jamais eu l’affront de me dire de porter une tenue d’homme pour rester au chaud. « C’est bon, donne les moi, je vais les mettre tes trucs… »

Ces yeux, ce regard si envoûtant. Je ne pouvais pas lui dire non. Oh mon dieu, je tombais vraiment sous son charme ! Non mais c’était quoi cette connerie !? Je ne peux pas tomber en amour, je ne veux que son argent. Oui, son argent, sa prospérité, sa popularité, son amour. Oubliez le dernier point, c’est faux ! Rougissant, je partis me changer, puis j’enfilai des bottes pris une veste et sortis en trombe, sans lui dire Au revoir et lui dire où j’allais. Je portais des culottes. C’était là une première. Après quelques minutes de marche, je compris alors pourquoi les hommes ne portaient que ça, sauf les exceptions bien sûr. C’était plutôt confortable et aucun courant d’air n’apportait l’humiliation ou un frisson de trop. Marchant dans les rues de la ville que j’habitais depuis quelques mois, je remarquai qu’à ce moment à quel point le nombre de femmes portant des pantalons était élevé. Étrange. Il faut croire que soit tout le monde a froid dans ce pays, soit elles veulent toutes devenir des hommes. Enfin.

Je m’arrêtai dans un parc. J’aimais prendre l’air une fois de temps en temps, ça me changeait et me permettait de voir des visages inconnus et de repérer ceux qui étaient de belle apparence pour mieux les connaître et savoir s’ils sont riches et célèbres. Assise sur un banc, à fixer les gens sans retenue, j’ai des droits et je les connais !, je remarquai un homme qui avait quelque chose que j’avais récemment vu. Un appareil photo ! Un photographe ! Comme celui que j’avais pourchassé pour avoir une photo avec Jesse ! Ce que je n’ai pas réussi à obtenir parce qu’il a disparu par après, moyennant une certaine somme d’argent. Il voulait même me payer pour être sur une photo avec lui ! Mais il avait été appelé quelque part. Dommage. Ce n’était que partie remise, mais le voir, cet homme, avec son Kodak comme je me plaisais à appeler ces machins, me donna l’envie de me faire photographier. Je le suivis donc jusqu’à ce qu’il s’assied sur le quai, à photographier… le vide ? Il était pas bien ou ce n’était que moi ?

« Vous me faites pitié, assis là, à photographier le vide. Photographiez-moi,  à la place, ça vous fera un meilleur sujet. » À mes mots, je pris la pose.

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Lun 23 Sep 2013 - 18:59



Javotte & Laurence
Le vrai est inimitable,
le faux intransformable

Je fronçai les sourcils puis restai quelques secondes à fixer l'horizon avant de me retourner la tête à nouveau pour fixer la femme qui venait de parler. QUOI?! C'est ce que j'avais voulu dire quand je l'avais entendu dire que je photographiais le vide. Mais elle était conne ma parole! C'était pire que... Pire que Jessie tiens! La conne qui avait pas comprit que j'étais méchant avec elle parce que je l'aimais pas... Je regardai silencieusement un moment la brunette puis finis par ouvrir la bouche en regardant mon appareil photo. Je lui expliquai alors que je ne photographiais pas le vide, mais plutôt la barque qui se trouvait à côté de moi. J'ajoutai ensuite après un bref moment de silence que j'aimais bien photographier les choses inhumains, car je trouvais qu'il n'y avait jamais de défauts contrairement aux humains.

Je haussai un sourcil puis me mordis doucement le coin de ma lèvre inférieur puis je me levai en faisant attention de ne pas tomber à l'eau. J'avançai vers l'inconnue qui était un peu plus petite que moi puis je la regardai de la tête au pied, analysant son physique et sa tenue. Il n'y avait pas de rose... Cela m'irrita un peu, mais je passai par-dessus ce détail et je continuai de la zyeuter. M'ouais... Même si son côté un peu trop sûr d'elle m'agaçais, je pouvais bien faire cela. Il avait sans doute quelque chose à exploiter chez elle... Il fallait juste trouver quoi...

« M'ouais... T'es pas mal... Ça pourrait peut-être se faire... »

Je continuai à l'observer d'une tête peu convaincu, mais je me disais que si j'étais capable de faire de jolis clichés avec elle, c'est que j'étais un super photographe et que ensuite je pourrais ajouter des photos dans mon porte-folio qui commençait déjà à être plutôt bien rempli.

« Vas t'installer près de la barque et mets un pied dessus! Non, que sur le rebord. »

Je pris quelques clichés puis ensuite je lui demandai d'entré dans la barque. Je pris d'autres clichés et ça dans différents angles et différents profils puis lorsque je les regardèrent, je fus terriblement étonner de remarquer que les dernières photos que j'avais pris étaient incroyablement jolis sans même de retouches. J'étais un photographe hors pairs! Je comprenais maintenant pourquoi j'avais eu tant de contrats en un temps record! J'étais capable de mettre des choses laides en une merveille! Dommage que je n'avais pas de maquillage pour cacher certaines imperfections qui paressaient plus que les autres... Et moi qui ne souhaitait rien modifier... Bon, soit j'attendais que le soleil se couche un peu plus ou bien je décidais de changer d'endroit, ce que je fis.

Je me dirigeai vers un Salix babylonica, communément appelé un saule pleureur, puis vérifiai l'éclairage et finis par appeler la jeune femme pour qu'elle vienne me rejoindre. Pendant ce temps, j'ouvris ma sacoche et sortis trois objectifs différents et hésitai quelques instants sur lequel je prenais pour l'éclairage qui était plus ou moins sombre. Alors que finis par choisir, je me rendis compte que je ne m'étais toujours pas présenté à l'inconnue ou plutôt elle ne s'était jamais présenté à moi parce que jamais je ne m'étais présenté à quelqu'un en premier.

« Au fait, c'est quoi ton nom pour que je puisse mieux te diriger..? »

J'attendis patiemment sa réponse en mettant l'objectif sur l'appareil et en me disant que si elle me donnait un nom terrible comme Thérèse ou Anastasie j'allais me mettre à pleurer de rire, en me disant que la pauvre n'avait rien pour plaire aux gens. Bah quoi? C'était pas son physique qui devait attirer les hommes et puis son prénom ne pouvait sans doute pas être aussi merveilleux que le mien, ça c'était un fait!
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Mar 24 Sep 2013 - 2:04


« Le vrai est inimitable. Le faux intransformable » Javotte de Trémaine & Laurence Legay
« M'ouais... T'es pas mal... Ça pourrait peut-être se faire...» Il se moquait de moi. C'était une mode aujourd'hui, ils se sont tous passé le mot ? « Dîtes des trucs à Javotte pour qu'elle se mette en colère ! N'importe quoi, allez-y, gâchez lui sa journée ! » L'un qui me dit que je suis que pas mal, et l'autre qui me met des pantalons de force. Ce devait être les pantalons, voilà, j'étais hideuse dans ce vêtement. Je faillis l'enlever, mais une petite brise s'engouffra sous ma veste pour m'avertir de ce qui m'attendait si j'enlevais mes pantalons ; l'humiliation en hypothermie. Et comme ça ne me plaisait pas vraiment comme idée, je décidai de rester pas mal. Pour aujourd'hui. Ce soir, chez Neal et moi, je redeviendrai fabuleuse.« Si tu le dis. » grommelai-je tout bas.

« Vas t'installer près de la barque et mets un pied dessus! Non, que sur le rebord. » Bien qu'ordinairement je n'aime pas qu'on me donne des ordres, je suivis ses premières instructions sans rechigner. Ça valait le coup, il me prenait en photo ! Je me sentais célèbre. Je me sentais dans mon élément. Belle, populaire, au sommet de ma gloire. Oups, je venais presque de tomber dans l'eau en changeant de pose. Ça aurait été drôle, mais non. Ça n'aurait pas été drôle du tout et c'est la mine légèrement plus fermée que je continuai à bouger devant la caméra braquée sur moi. Douce sensation d'admiration.

Alors que j'essaie différentes moues, il disparut de ma vue. Une nouvelle farce ? Décidément, c'était la journée de l'humour pourri parce que m'abandonner dans une barque, c'était pas gentil, voir sadique. Alors que j'essayai de me tirer de là sans tomber dans l'eau et sans me casser le nez, même un ongle serait un drame, j'entendis sa voix au loin. Comme je levai la main pour lui faire signe que j'avais compris, je trébuchai, dû au mouvement inattendu de l'embarcation sensible aux moindres gestes. Je m'écrasai de tout mon long sur le quai. Grognant et geignant pendant un instant, reprenant mon calme et mon humeur jovial, je me relevai enfin, époussetant mes vêtements couverts d'une légère pellicule de poussière, replaçai mes cheveux et repartis de mon pas confiant vers le photographe.

J'étirai le bras et glissai une branche feuillue Saule entre mes doigts l'écartant légèrement pour qu'on puisse distinguer mon visage et regardai le photographe, les traits tirés légèrement, par la tension que cela me prenait pour maîtriser mon envie de lui dire que c'était moi qui dirigeais dans la vie, et personne d'autre. « Javotte de Trémaine, et vous ? » Comme à mon habitude, je fis une révérence, selon l'étiquette enseignée par Mère.

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Mar 24 Sep 2013 - 18:35



Javotte & Laurence
Le vrai est inimitable,
le faux intransformable

Je l'avais entendu tomber sur le quai quand j'avais partit sous le saule, mais je ne l'avais pas aidé parce que j’aidais personne. Enfin, personne sauf Jonathan et timon... quoique j'aidais davantage Timon qui aurait dû naître avec d'autres doigts que ses 10 pouces. La jeune femme vint finalement me rejoindre et se mit à jouer avec les branches de l'arbre ce qui me fit décrocher un regard désespéré et un roulement de yeux. Elle répondit enfin à ma question en disant qu'elle se nommait de Javotte et de Trémaine en plus! Est-ce que je suis le seul à vouloir éclater de rire face à ce nom de péteux de brou? Je plaquai immédiatement ma main contre ma bouche pour étouffer un rire qui aurait sans doute été bien sonore, puis lorsque je me calmai un peu, j'enlevai ma main pour faire apparaître un large sourire digne de celui du chat de Cheshire.

« Aaaah... Charmant. Moi c'est Laurence. » Lui ai-je dis en tendant ma main vers elle, mais je me ravisai et la remit autour de mon appareil photo. « Au fait, je suis pas centenaire alors y'a pas de vous. »

Je l'avais dévisagé en disant ma dernière phrase, mais je ne sais pas trop si c'était parce que son vouvoiement m'agaçait ou bien parce que sa révérence faisait m'as-tu-vu. Peut-être les deux... Je la regardai un instant en pinçant les lèvres puis je me tapai dans mes mains pour me remettre à l'ordre. Bon fallait essayer de faire un petit truc pour l'embellir quand même, la pauvre.

« Installes toi ici, Javotte, et tombe! Ta chute de tout à l'heure m'a donné une super idée! »

En fait, je n'avais pas vraiment d'idée, mais voir les gens tomber c'était toujours drôle. Me disant qu'elle n'allait sans doute pas m'écouter, c'est avec un effet de surprise que je décidai de la pousser dans un tas de feuilles mortes. Je gloussai et je ne pu m'empêcher de rigoler en la voyant couchée au sol de cette façon. Bien sûr, mon petit côté détestable avait décidé de faire son apparition et je me mis à donner des coups de pieds dans la montage orange pour que la brune s'en retrouve les cheveux remplit. Je continuai mon petit manège en lui lançant des feuilles directement au visage tout en me disant que je devrais bientôt reprendre une dose de mes médicaments, jusqu'à ce qu'une grosse, NON! GIGANTESQUE, araignée décide de me grimper sur le bras. J'hurlai d'une voix sur-aigu puis balançai mon bras de gauche à droite pour qu'elle s'en aille. Lorsqu'elle partit enfin vers un toute autre destination, je fis plusieurs pas vers l'arrière et bégayai un truc du genre :

« Et... Et si on a-arrêtait de jouer et q-qu'on prendrait de vrais clichés? »

Je quittai le coin sans doute rempli d'araignées puis je me dirigeai vers la jolie fontaine d'eau qui était entourée de béton et donc très peu appréciée par les insectes... Enfin, je n'ai jamais été un insecte, mais si j'en avais été un... AH ET PUIS ON S'EN FICHE!

La fontaine qui était en pierre blanche  polie et qui représentait une ange à demie nue laissait couler doucement l'eau dans le bassin à ses pieds malgré la température hivernale de cette soirée. Je demandai alors à Javotte de s'installer tout près et de faire des poses sauf que l'envie de la photographié disparue peu à peu et je finis par me laisser distraire par un petit écureuil qui me regardait avec sa noisette dans ses pattes. Hypnotisé par la beauté du rongeur, je déplaçai mon objectif vers lui et pressai à plusieurs reprises le petit bouton avec mon index gelé et en lui disant que c'était le plus beau. M'enfin, le plus beau d'entre Javotte et lui, parce que ma beauté est indiscutable.
Fiche par (c) Miss Amazing.
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