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S.O.S : Sévèrement obsédé sexuellement [PV Alice Lidell]
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Dim 3 Nov 2013 - 17:36

S.O.S : Sévèrement obsédé sexuellement.
Alice Lidell & Laurence Legay



Depuis mon arrivé dans le monde des humains cinglés, j'avais fais beaucoup de chemin. J'étais atterri à New-York où je trouvai du boulot comme strip-teaseur dans un bar gay. J'avais fait mes premières rencontre peu recommandé la première journée et j'avais rapidement commencé à dépenser tout mon argent en drogue au lieu de me payer de la nourriture, des vêtements et un logement. Je ne suis pas très fier de ce moment de ma vie... Mais heureusement durant une soirée j'avais croisé l'homme de ma vie, mon âme-sœur. Il s'appelait Timon et aaaaah! Comme il était beau et gentil. Je fus tout de suite attiré par lui. Un vrai coup de foudre! Moi et mes crises de folie nous nous installâmes chez lui puis je décidai de prendre des médicaments pour me contrôler sous les recommandations de ma patronne qui avait peur que je fasse fuir la clientèle. Ensuite je fis ma demande de citoyenneté américaine et je dû m'inventer une vie pour remplir le formulaire et je vous jure que ce n'avait pas été évident.  Cette journée-là, je fis ma première rencontre avec Jonathan et les rendez-vous s’enchaînèrent et nous avons formé un couple pendant quelques mois... Jusqu'à ce qu'il me rende qu'il me trompait. Je l'avais largué au restaurant et j'avais pleuré dans les bras de Timon... Et puis mes sentiments pour lui avaient remonté et je ne savais plus quoi penser de tout cela... Et mon contrat photo à Londres avait bien tombé, car je pouvais désormais être à l'écart d'eux et de faire le point sur ma vie. Sauf que c'était loin d'être facile, car il ne se passait pas un instant sans que je pense à un des deux.

Je zigzaguais dans les rues de Londres. Je ne savais pas où j'étais, mais les appartements étaient très jolis et même très moderne. Je devais me trouver dans les beaux quartiers de la ville. Tout était flou dans ma tête, mais pourtant il y avait à peine quelques heures tout était si clair. Je m'étais retrouver seul dans un quartier quasiment vide et j'avais rencontré un jeune homme qui mangeait de la crème glacé malgré la température froide de l'automne. Nous avons eu du mal à se parler sans nous envoyer promener, mais nous n'avions clairement pas envie de nous retrouver seuls. Il m'avait expliqué que sa journée avait été mauvaise et qu'il avait été ignorer par tout le monde, même par son meilleur ami. C'est un appel de celui-ci qui nous fit se retrouver chez lui pour une fête d'anniversaire surprise où l'alcool coulait à flot.

J'avais vraiment trop bu et je sentais mon estomac se tordre dans tout les sens et j'avais étrangement envie de dévorer un buffet complet. Ou aller dans un fast food pour manger un truc bien gras. Je tentais de retrouver mon chemin vers mon hôtel, mais ma vue était tellement flou que j'étais incapable de lire les pancartes qui habituellement nous donnait les indications. Je me trouvais donc au beau milieu d'un endroit inconnu. Les rues étaient désertes et il m'était donc impossible de demander de l'aide à quelqu'un. Je décidai de m'asseoir en plein centre de la route en espérant apercevoir une voiture, mais je vu plutôt quelqu'un. Une jeune femme qui marchait. Je me levai d'un bon, tombant presque sur la tête puis je m'avançai vers elle et sans même réfléchir des convenances, je agrippai par ses vêtements et la fixai de mes yeux émeraudes et vitreux.

« Toi! Aide moi! Je sais pas où je suis! »

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Dim 3 Nov 2013 - 19:01

S.O.S : Sévèrement obsédé sexuellement.
Alice s'était couchée comme à son habitude dans les alentours de vingt heures. Il lui était cependant impossible de dormir. La jeune fille était bien trop préoccupée par les étranges disparitions qui se faisaient de plus en plus nombreuses à Westminster. En effet, de plus en plus d'habitants manquaient à l'appel, personne ne comprenait pourquoi toutes ces disparitions survenaient et chacun avait peur d'être le prochain. Elle avait réussi à s'endormir sur les coups de minuit. Cependant, son sommeil en demeurait troublé. D'horrible cauchemars l'assaillaient. À chaque fois, elle disparaissait dans des circonstances toutes plus étranges les unes que les autres. Et si c'était son tour ?

Alice s'était réveillée dans un endroit totalement inconnu. Il faisait toujours nuit, là n'était pas le problème, cependant, elle n'aurait jamais dû être là où elle se trouvait dès à présent. La ruelle dans laquelle elle était allongée était déserte, mais pas pour autant silencieuse. En effet, elle s'ouvrait sur une longue avenue extrêmement fréquentée et donc particulièrement bruyante. La jeune fille s'étonna et se releva. Elle marcha jusqu'à l'entrée du boulevard et s'interrogea.
« Tiens, tiens... C'est étrange... »
Tout semblait si différent de Westminster. Des femmes portaient des pantalons, les gens se déplaçaient en machine qui avançaient toutes seules au lieu d'utiliser des fiacres, de grands tableaux lumineux arborant des images en mouvement étaient disposés çà et là dans la longue rue et bien d'autres phénomènes tous plus étrange les uns les autres. N'importe qui de Westminster auraient fuit en courant mais il n'en était rien pour Alice. Cela l'étonnait, mais ne l'effrayait point. Cela la rendait même plutôt curieuse. Elle avait envie d'en savoir plus sur l'étrange endroit où elle avait atterri.
La jeune fille mit peu de temps à comprendre que le destin l'avait en effet choisi en tant que victime de la nouvelle disparition. Elle savait que dans sa contrée natale cela ferait beaucoup de bruit. La fille chérie d'un des hommes les plus puissants de Westminster avait disparu et donc tout le monde s'empresserait d'en parler. La jolie blonde se rendit compte qu'elle s'était vraiment inquiétée pour rien. Les lieux où elle se trouvait était bien différent de son foyer mais il n'en était pas pour autant inintéressant, bien au contraire.

Elle se mit à explorer. Elle circulait sur les pavés, un sourire naïf à la bouche comme pour montrer qu'elle était heureuse d'avoir disparue pour se trouver ici. Elle observait avec attention chacun des détails qui captaient son esprit et ne tarda pas à en tirer une conclusion pour le moins banale venant d'Alice.
« Décidément... Tout est étrange ici... Cela me plaît ! »
Alors qu'elle continuait d'étudier les lieux un homme s'approchait d'elle, armé d'une attitude plutôt singulière. Ses cheveux aux reflets roses plaisaient à Alice, elle adorait ce qui sortait de l'ordinaire mais la jeune fille n'appréciait guerre l'attitude dont le monsieur faisait preuve. Il s'accrochait à ses vêtements en implorant son aide. Selon lui, il était perdu. Il ne semblait pas se douter qu'il en était de même pour la blondinette et qu'elle ne pourrait, par conséquent, pas lui venir en aide. Elle se contenta de le sermonner.
« Ne paniquez pas ainsi, vous effrayez les pigeons. Vous semblez avoir abusé de ces bons breuvages que mon père aime tant. Votre nourrice ne vous a jamais appris qu'il ne fallait pas abuser des bonnes choses ? Il est peu convenable de tirer sur le jupon d'une demoiselle dans cet état. Je ne suis point une femme de joie ! »
Sur ces mots elle le repoussa et l'examina. Il n'était pas non plus bienséant de laisser ce pauvre homme ivre seul dans la rue. Alice resta donc plantée comme un piquet près de l'ivrogne, jugeant cette attitude davantage civile et convenable. Par courtoisie, elle interrogea l'individu, après tout, les effets de l'alcool finiraient bien par se dissiper et à ce moment-là, l'homme pourrait l'aider à savoir où elle se trouve précisément.
« Où deviez-vous aller ? »
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Dim 3 Nov 2013 - 19:47

S.O.S : Sévèrement obsédé sexuellement.
Alice Lidell & Laurence Legay



Je m'agrippais à sa robe aux allures particuliers même si elle me disait de la lâcher. Elle finit par se reculer, ce qui me fit tomber au sol. Je tombai à plat ventre et je me retiens de ne pas tomber tête première grâce à mes mains. Heureusement que mes réflexes étaient encore plus ou moins présent. Je finis par me mettre à quatre pattes et à ramper jusqu'à une boite à malle qui se trouvait à quelques pas de moi. Je la prit comme appuie puis je me levai pour me retrouver face à la blondinette qui n'avait pas perdu une seule seconde pour me sermonner. Enfin, c'est ce que je cru qu'elle faisait et me me contentai de faire la sourde oreille en faisant un « Pffft » quand elle me demande ce que ma nourrice avait fait comme boulot. Elle se croyait où pour dire ça? En 1800 je-sais-pas-quoi? De toute façon, il n'y avait pas de nourrice à Wonderland et je ne m'aurais pas vu avec une s'il en aurait eu. J'avais eu mes parents pour m'éduquer et puis ils ont été décapités sous l'ordre de la reine rouge. Voilà que les convenances, je ne connaissais pas. J'avais créé les miennes et c'était tout.

« Je … Je... Attends... Je dois aller à mon hôtel! » finis-je par articuler « Et au fait je veux pas de vous! Tu penses que j'ai quel âge que j'ai 150 ans peut-être?! Pourquoi tout le monde me vouvoie! C'est tellement impoli! »

Je la dévisageai et pendant un bref instant j'avais l'impression d'être lucide. Je regardai mon pull rose couvert de poussière puis je l'essuyai avec mes mains pour ôter la couche grisâtre qui se trouvait dessus. Je portai a nouveau mon regard sur l'inconnue que je venais à peine de rencontrer et je la regardai silencieusement en pensant à tout plein de choses qui n'avait pas particulièrement rapport avec elle. Je me demandais surtout comment un T-Rex pouvait attacher ses souliers et faire son lit avec ses petites mains... Oui, je sais, j'avais clairement un problème avec les T-Rex.

« Toi qui as l'air siiiiii intelligente, tu dois savoir lire non? Tu peux me dire sur quel rue on est? J'ai.. Je … Vois pas bien. »

Ouais, ne pas voir bien c'était très faible pour dire l'état dans lequel je me trouvais... En fait, je ne voyais pas du tout malgré que la rue me semblait bien éclairée. Je voyais double, sinon triple et j'avais l'impression que tout autour de moi tournait et je me sentis rapidement pas très bien. Non, pas du tout. Je pris de grandes respiration en fixant la demoiselle, mais mon malaise fut beaucoup trop fort et j'eus juste le temps de tourner ma tête pour vomir dans la boite à malle. Après, je me sentis terriblement mieux et beaucoup plus léger, sauf que j'avais toujours énormément de mal à me tenir droit et c'est pour cela que je décidai de prendre l'épaule de la femme pour me retenir de tomber.

« Toi... C'est quoi ton nom..? Non en fait laisse tomber... Ramènes moi au Dukes Hotel.. »

Ouais... Un lit mou et chaud où je pourrais tomber dans le coma pour 3 jours... C'est ce que j'avais besoin maintenant... Et peut-être de cinq litre d'eau...

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Sam 9 Nov 2013 - 18:36

S.O.S : Sévèrement obsédé sexuellement.
L'individu paraissait plus étrange que jamais. Alice le regardait avec attention, s'attardant sur le moindre de ses faits et gestes. Elle avait déjà décelé chez l'homme une certaine ivresse, néanmoins il semblait que son attitude soit d'un naturel marginal. En d'autres termes, la blondinette attendait avec impatience que cet étrange personnage décuve afin de faire plus ample connaissance avec lui. Il avait l'air d'être quelqu'un de sarcastique et bien qu'Alice n'appréciait pas particulièrement ce genre de personne qu'elle jugeait très insolente, elle aimait l'idée de pouvoir dialoguer avec une personne différente des gens qu'elle avait pour habitude de fréquenter à Westminster. Cependant, l'homme ne semblait pas encore apte à pouvoir parler sérieusement, le bonhomme avait l'air malade  et la jeune fille ne tarda pas à en avoir la confirmation. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle le vit vider son estomac à côté d'elle. Spontanément, elle fit deux pas en arrière et porta sa main à sa bouche afin de ne pas vomir à son tour. Une fois de plus, elle le sermonna.

« Vous auriez pu faire cela loin de moi ! Quelle impolitesse que voilà ! »

L'homme avait réclamé, l'espace d'une seconde, l'identité d'Alice mais c'était finalement résigné à n'indiquer que le lieu où il devait se rendre. Après tout, qu'Alice s'appelle Alice ou Gertrude, elle savait lire, comme il l'avait si bien dit et pourrait donc l'aider. Et puis cela ne plaisait guerre à Alice de se présenter alors que l'ivrogne ne se rappellerait certainement pas d'elle le lendemain matin. Elle se contenta donc de chercher un plan. Cela lui paraissait logique, elle était dans un lieu où elle n'était jamais allée, complètement perdue et un inconnu demandait de l'aide pour le conduire à un certain Dukes Hotel. En jeune fille bien élevée, elle ne pouvait refuser, cependant cela incluait de se repérer.

« Il faut que nous cherchions un plan. Je suis mystérieusement arrivée ici il y a de cela à peine cinq minutes. Dans quel endroit sommes-nous ? Cela m'aiderait sans doute à pouvoir me repérer. »
codage par Junnie sur apple-spring
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Sam 9 Nov 2013 - 21:54

S.O.S : Sévèrement obsédé sexuellement.
Alice Lidell & Laurence Legay



J'avais décidé de ne pas écouter sa présentation parce que honnêtement, elle allait m'endormir à parler comme elle le faisait. Non, mais sérieusement, la voix monotone, sans vie et toujours là à faire des reproches sur tout ce que je faisais! J'avais l'impression d'entendre ma mère! Mère qui en passant ne me disait pas de vomir plus loin si je devais vomir! Sérieusement! Elle croyait qu'on pouvait revenir notre envie de vomir peut-être? Elle venait de quelle planète celle-là? Franchement elle était bien chanceuse que je n'aille pas décidé d'être malade sur elle alors qu'elle se taise une petite seconde! Elle m'étourdissait à parler autant. Elle était pire que moi-même et je vous jure que ça, c'est difficile à battre! Elle se mit à parler d'un plan. Qu'est-ce qu'elle pouvait raconter comme stupidité celle là... Le plan était d'aller me porter à mon hôtel et qu'elle retourne chez elle ensuite! Voilà!

« Nous sommes à Londres et je sais pas où! HELLOOOO? Si je savais je ne serais pas là à te demander de l'aide pour retrouver mon hôtel! T'es aussi stupide qu'Alice, y'a pas à dire! »

Je m'éloignai de la boîte à malle qui désormais sentait terriblement mauvaise puis je fis quelques pas avant de me décider de faire l'étoile en plein milieu de la rue qui était tranquille. Je faisait l'étoile et regardant le ciel noir de la ville et je commençai à faire des vas et viens avec mes bras et mes jambes comme pour faire un ange de neige, malgré qu'il était impossible de le faire à cause de la saison. Je me roulai ensuite dans tout les sens possible puis je m'arrêtai et levai les yeux vers la blonde.

« Hey Alice! T'attend quoi pour me porter à mon hôtel espèce de feignasse?! Jte paie pas pour me regarder faire des conneries! … Ouais j'ai décidé de te payer, mais pour ça faut que tu viennes à mon hôtel alors dépêche toi à m'aider à me lever! »

Est-ce qu'il fallait vraiment tout lui expliquer à cette cloche?! Non sérieusement, ce n'était les années qui lui avaient donner de l'intelligence à cette gamine! Lorsque je fis enfin mis sur pied, je pris l'épaule de la jeune femme comme support et je regardai autour de moi avec mon regard flou en espérant trouver un point de repère dont je me souvenais et à mon grand étonnement, je me rendis compte que nous nous trouvions face à la crèmerie où j'avais rencontrer Ryan il y avait quelques heures de cela. Je pouvais donc retrouver mon chemin! Mais j'allais avoir besoin d'aide pour retourner dans ma chambre...

« Je sais où nous sommes! J'étais ici tout à l'heure! Je sais ou est mon hôtel, mais j'ai besoin de toi pour m'y rendre. »

Je détestais dire que j'avais besoin de quelqu'un pour faire quelque chose, mais là, je n'avais pas trop le choix. Je ne pouvais pas quand même pas ramper jusqu'à là-bas! J'allais être sobre avant même d'y être arrivé et mes vêtements seraient complètement déchirés. Je marchai donc en zigzagant avec l'aide d'une connaissance de longue date puis après un long moment de silence, je décidai de lui parler de quelque chose... De quelqu'un... D'un truc clairement déplacé pour une petite bourgeoise.

« Heeey c'est comique, mais moi je suis ici depuis 5 mois! Enfin pas ici, ici, mais dans ce monde! Moi je viens de New-York! Et j'ai un super colocataire qui a des fesses d'acier et un corps de dieu! J'aimerais tellement me le faire! Et s'il voudrait pas, je le violerais! Je te jure! Tu sais avec les menottes et un tissu pour l'empêcher de hurler parce que tu sais, j'irais pas de main morte! Depuis le temps que je rêve de le prendre dans un coin et de l'empêcher de partir et de lui faire tellement mal qu'il aimerait ça! »

Quand je terminai ma phrase, je me rendis compte que ce que je venais te dire était loin d'être très convenable, même pour moi-même. Je ne compris pas immédiatement pourquoi j'avais partit sur un délire du genre, mais alors qu'un malaise s'installait entre nous deux, je me rendis compte que l'alcool et mes médicaments pour ma folie ne devaient pas faire très bon ménage...

« Haha, mais non je déconne! »

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