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Un froid qui dégénère [PV Mally]
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Mer 5 Fév 2014 - 3:27

Un froid qui dégénère
Laurence Legay & Mallymkun Deloir



J'étais à Paris depuis quelques semaines déjà et j'allais de mieux en mieux, car il faut dire que tomber par hasard sur une personne venant du même univers que moi m'avais grandement permit de passer par-dessus le fait que l'homme que je croyais être celui de ma vie m'avait rejeté comme une vulgaire paire de chaussettes. Non en fait, je n'étais qu'une de ces chaussettes et voilà que j'attendais la seconde pour former une paire, un couple. J'avais jeté mon dévolu sur Mallymkun, le loir dont j'étais tombé amoureux à Wonderland il y avait quelques années de cela. Voilà que je vivais avec elle et que pour une raison que j'ignorais, j'étais terriblement attentionné avec elle. Enfin... quand l'envie me prenait, car il faut l'avouer, ma bipolarité n'aidait en rien ma prise de décision. Je vivais dans un modeste appartement, pas très grand, mais il était en bon état et le loyer était presque égal à celui que j'avais pris l'habitude de payer avec mon ancien colocataire; Timon. Le pauvre se faisait complètement arnaquer pour ce qu'il avait, il faudrait le lui dire... Sauf que je ne lui parlais plus. Je n'étais pas capable de m'imaginer lui parler. Juste à y penser, aucun mot ne voulaient sortir de ma bouche. Le voir pour dire quoi? Il ne m'aimait pas et moi de mon côté, je réussissais peu à peu à l'oublier, ou du moins c'est ce que je tentais de me persuader chaque jour un peu plus. J'avais Mally avec moi, je n'étais plus seul et c'était tout ce qui comptait.

Ce matin-là, je me réveillai comme à mon habitude dans mon lit, dans ma chambre qui était étrangement décoré, remplie de bibelots de dauphins et peinturée turquoise, une couleur que je détestait à mourir, mais elle était comme cela depuis je ne sais combien de temps puisqu'elle avait déjà cet aspect à mon arrivée et je ne me sentais pas à l'aise de modifier quoique ce soir, car j'avais l'impression d'être en visite chez quelqu'un et non réellement chez moi comme c'était le cas à New-York. Je me levai et je me dirigeai vers la cuisine où je m'installai sur le comptoir et je fixai pendant plusieurs minutes le frigo qui semblait m'inviter à faire une stupidité comme à mon habitude chaque matin, sauf que cette fois-ci, l'idée était aussi débile qu'intelligente. Pourquoi se tartiner les mollets avec de la confiture aux bleuets et se mettre du lait dans le nez quand je pouvais simplement vivre dans le frigo et manger à volonté quand l'envie me prenait et sans devoir me déplace?

Je décidai donc de descendre du comptoir et de me diriger vers le frigo que j'ouvris. Je regardai un moment tout ce qu'il y avait à l'intérieur puis je décidai de les enlever ainsi que les grilles que je déposai près du four pour ensuite m'y installer. Voilà, c'était fait, je pouvais y rester pour le restant de la journée! Alors que j'allais fermer la porte pour me retrouver dans l'obscurité la plus complète, je réalisai que mon idée première était de manger à l'intérieur, mais voilà qu'il n'y avait plus rien à l'intérieur! Il fallait il remédier! Je sortis alors et pris les pots maçons et le autres petits aliments que je décidai de déposer sur la plus haute tablette – qui était impossible d'enlever – puis j'entrai à nouveau et je fermai la porte.

Il faisait froid. Froid, mais c'était passable. J'avais l'impression d'être à l'extérieur en t-shirt. Ce n'était pas si pire que cela.. Et puis j'avais de la nourriture. C'était bon de la nourriture. Je décidai d'ouvrir un pot de cornichon, mais dans la noirceur et le manque d'espace qu'il y avait, je me rendis compte que mon idée n'était pas très bonne. Je décidai que j'allais sortir du frigo et remettre les trucs dedans, mais j'entendis des bruits de pas qui arrivaient vers moi. Oh Mally était levée! Je pouvais lui faire peur, c'était occasion rêvée! J'étouffai un rire et je me préparai à bondir sur elle et à hurler lorsqu'elle allait ouvrir la porte.

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Mallymkun DeLoir
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Le courage ne se mesure pas à la taille!
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DESSIN ANIME D'ORIGINE : Alice au pays des merveilles
ÂGE DU PERSONNAGE : 30 ans chez les humains
COTE COEUR : c'est compliqué
OCCUPATION : Prendre le thé!
LOCALISATION : Quelque part à Paris
HUMEUR : ZzZ
PRESENCE/ABSENCE : Jamais très loin 8D
DOUBLES COMPTES : Tim, Day, Hadès, Ian, Kevin & Gram
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Amanda Seyfried, Vava d'Honey :D
MON ARRIVÉE : 09/07/2013
MON VOYAGE : 1182
POINTS : 1344
Sam 8 Fév 2014 - 1:59

Un froid qui dégénère


J'avais encore fait un rêve étrange... celui qui revenait souvent avec les dinosaures et cette rousse nommée Jessie. Ça faisait déjà quelques fois déjà... Il n'était pas toujours identique, parfois, il se terminait très mal! Je finissait mâchouillé à mort par un Tyrannosaure... Cette grosse bestiole voulait faire sa loi comme un vrai tyran! ça avait une grande gueule et donc ça se croyait tout permis! Je crois que le pire ce fut quand un raptor mangea mon superbe parapluie rouge... J'ai failli me réveiller en pleurant! Mais après être aller constater que l'objet était en parfait état, j'allai beaucoup mieux et J'avais pu commencer à méditer sur la morve fluo de Chess. Contrairement à ce que les gens pouvait croire, c,était un sujet passionnant! J'adorai y penser, ça me détendait. Et puis c'était toujours mieux que de penser à des légumes, parce que dans ce temps là, aussi bien végété! Les fruits pouvait être intéressant, mais seulement si la morve de Chess pouvait être de leur couleur... comme une pomme verte ou un ananas! Ouais, ses sécrétions nasales pouvait être aussi jaune! Fascinant, hein?

Ma séance de réflexions faites, je me décidai à me lever. Je n,en avait pas particulièrement envie, mais l'idée d'un bon thé me motiva. J'allai à la salle de bain, parce qu'après une nuit entière, et bien il faut bien y aller!Me lavant les mains, je soupirai de découragement. sur le comptoir, il y avait une tonne de produits et de crêpes, qui n'étaient pas à moi. Tout ça était à Laurence, l'ancien flamant rose vivant à Wonderland et qui servait de bâton de croquet à l'horrible grosse tête. J'étais son premier amour, mais j'avais finit par comprendre que finalement, je n'étais pas son genre... par genre, je voulais dire que le brun les préférait du genre masculin... Comme moi en fait! Je préférais aussi les hommes. Ça nous faisait un autre point commun! Sauf que c'était pas assez pour que nous soyons un couple...

Il avait débarqué dans ma vie sans crier gare et maintenant il vivait avec moi. Après certains malentendus étranges, j'avais aussi compris que ce n'était peut-être pas mon amant, mais il pouvait être mon ami. J'aimais être avec lui, parler, rire... sauf que parfois il y avait certain trucs qui m'agaçaient... Qu'il vienne me rejoindre dans mon lit, ça allait, mais qu'il m'accuse de l'avoir attiré là et de le forcer à me tripoter, ça ne passait pas! Il pouvait faire des trucs de fous, mais pas m'en accuser en faisant tout un scandale! Surtout que je n,avais rien contre les fous, même que je les aimais! Sauf que Laurence, il essayait de cacher sa folie, sa véritable nature, derrière des petites pilules de couleurs... sauf qu'au moins le matin il était au naturel et c'était ce qu'il y avait de plus amusant... enfin je crois.

Perdue dans mes réflexions chaotiques, je ne remarquai pas le désordre dans la cuisine, mettant l'eau à chauffer et du pain dans le grille-pain. Je voulu prendre la confiture de fraise dans le frigo, sauf qu'elle n'y était plus... il y avait plutôt quelqu'un à l'intérieur. Je hurlai de surprise et lui refermai la porte en pleine figure. Il faut dire que je n'avais pas réalisé que ce quelqu'un était en fait Laurence... Je rouvris la porte après avoir compris ce petit détail...

- Pardon... Réflexe... Tu veux un thé? ça va aller? je t'ai pas trop fait mal? Un thé? Pense aux ananas et ça ira mieux, parce que la morve de Chess est parfois jaune... Un pain grillé? Un thé?

Je trouvais l'idée qu'il avait eut vraiment amusante et je lui souris timidement, parce que je me entai terriblement coupable de lui avoir envoyé la porte contre la figure. Il ne r.pondait pas? Bon en même temps, il fallait lui laisser le temps aussi...




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Dim 9 Fév 2014 - 4:24

Un froid qui dégénère
Laurence Legay & Mallymkun Deloir



« Booyagadaga! » Hurlais-je quand je vis la lumière du frigo s'allumer, mais la porte se referma presque immédiatement. La porte cogna mon nez puisque j'étais déjà entrain de sortir de la boîte froide, mais je restai quelques secondes à nouveau dans le noir en me le frottant vivement avant de me rendre compte que j'avais réussis à faire peur à la blonde. Je me sentais vraiment fier de mon coup! La porte s'ouvrit à nouveau et contre toute attente, Mally ne semblait pas fâchée par mon idée. Est-ce que je voyais sur ses lèvres se dessiner un sourire? Elle souriait vraiment à ma blague? Je ne pu m'empêcher de sourire à pleines dents à mon tour en sortant du frigo alors qu'elle me proposait un thé. Je hochai à tête pour lui dire que j'en voulais un. Elle me demanda alors si elle m'avait fait mal. J'enlevai ma main de mon nez et répondis un simple « Baah », car je n'eus pas la chance de terminer ma phrase avant qu'elle me dise de penser à un ananas. Je pensai immédiatement à Timon qui avait tendance à me parler d'ananas, je ne sais pas pourquoi. Elle me demanda si je voulais des rôtis et du thé puis me fit un sourire timide. Je ris doucement en sortant complètement du frigo et j'allai me chercher un tasse pour mon thé et prit le sucrier que je lui tendis.

« Du sucre? »

Je m'éloignai de ma colocataire avec le sucrier dans les mains puis me dirigeai vers le grille-pain où je glissai une tranche et je m'installai les coudes sur le comptoir en ressortant les fesses. J'observai avec passion, mais aussi d'une façon tout à fait distraite les éléments du grille-pain devenir oranges.

« C'est embêtant d'avoir un grille-pain à deux tranches. Il en faudrait un à quatre. Du sucre? » Je pris le sucrier et tendis mon bras vers l'arrière vers Mally, mais voyant qu'elle ne le prenait pas, je décidai de le ramener vers moi et je continuai à philosopher sur les grilles-pain à quatre tranches. « Tu sais, si on aurait un grille-pain à quatre tranches ont pourrait prendre le petit-déj plus rapidement parce que j'en mange trois et là je peux qu'en fait une à la fois parce que toi aussi tu en mange... du sucre? » Je refis le même mouvement que plus tôt. « T'imagine si nous serions plus? » Je la regardai quelques instants, laissant mon regard kaki bouger dans tout les sens puis je sursautai en entendant les toast sauter. « Du sucre? »

Je sortis deux assiettes je mis une tranche dans chacune puis je décidai de mettre du sucre sur un des pains que je tendis à Mally. Je finis par remarquer ce que je faisais et je soupirai tout en roulant des yeux puis tendis l'autre assiette à la blonde ainsi que le sucrier que je tenais toujours dans mes mains. Une partie de moi me faisait faire n'importe quoi et l'autre partie de moi me disait que ce n'était pas normal de faire ce genre de truc et ça m'énervais de ne pas pouvoir me contrôler par moi-même. Alors que je pensais à toute les conneries que j'avais pu faire à cause de ma folie, je tartinai par la même occasion ma toast avec du beurre d'arachide et j'eus une illumination tellement forte que je me plaquai la tranche directement sur la joue.

« J'ai oublié de prendre mes médooooooooooooooooooocs! »

Je couru immédiatement jusqu'à ma chambre où je trouvai ma grande sacoche Adidas en cuir blanc, identique à celle que l'ours avait décidé de manger cet été, où se trouvait mes nombreux flacons de pilules avec toutes les formes et toutes les couleurs inimaginables. Je décidai de tous les apporter avec moi et j'en perdis en chemin vers la cuisine et je dû revenir sur mes pas pour les prendre. Lorsqu'ils furent tous mis en ligne, j'en sortis une de chaque flacon et je les mis dans mon assiette qui était désormais vide.

« Mally! Où est ma tranche de pain grillée? Est-ce que tu l'as mangé?! Oh non! Y'a un fantôme qui me la volé! »

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Mallymkun DeLoir
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Ven 14 Fév 2014 - 0:55

Un froid qui dégénère


Il était surpris ou quoi? C’était une blague, alors c’était certain que c’était drôle! Je suis à peu près « normale », alors normal que je ris… Enfin normal pour une folle venant de Wonderland. J’avais donc un sens de l’humour particulier, comme Laurence. Pourquoi il croyait qu’on s’entendait aussi bien? Nous aurions été faits pour être en couple! Quoique peut-être que nous étions trop semblable et qu’en fait il m’aurait tapé sur les nerfs? Donc valait mieux parler d’un frère je crois… Laulau mon grand frère, ça sonnait pas trop mal. Je dirais même mon grand frère tordu! J’aimais bien cette façon de voir! Je crois que doucement, je me faisais à l’idée que nous ne pouvions pas être un couple. Pas que je l’aimais pas, mais je crois que j’avais eut ce soudain intérêt parce qu’il m’avait dit que j’étais son « first love ». Mais c’est qu’il était beaucoup de charme mon flamant! Donc peut-être que nous deux ça aurait pu marcher, ou peut-être pas. On ne le saura pas parce que la vie est comme ça.

Il semblait finalement en bon état. Heureusement! Je me serais sentie trop mal si je lui avais cassé le nez! Bon en même temps c’était le risque de faire ce genre de blague… Je me demandais comment lui aurait réagit si ça avait été moi qui avait été dans le frigo… Il serait sans doute venu me rejoindre, sauf que nous aurions manqué de place. Et on aurait du agrandir… Faire un second étage dans le congélateur? Non c’était un peu trop froid… déjà que le frigo serait trop frais pour moi, donc idée à oublier.

Il me proposa du sucre et quand je voulu en prendre, il éloigna le sucrier de moi pour aller surveiller le grille-pain. Il avait peur que le pain s’enfuit ou quoi? Il déblatéra sur le nombre de tranches de mon grille-pain, tout en me reproposant du sucre que je ne pu jamais prendre.

- Mais pendant que nous mangeons notre première rôtie, les secondes cuisent et ils seront chaudes quand nous les mangerons au lieu d’être froides et sèches!


J’essayais de prendre du sucre, mais c’était à croire qu’il ne voulait pas m’en laisser! Je préparai le thé et lui en échangeait une tasse contre un pain grillé. Il me donna enfin un peu de sucre, mais sur ma tranche de pain, même s’il se raviva, j’attrapai celle avec le sucre, c’était la mienne après tout! Je la revirai au dessus de ma tasse, même si des miettes tombèrent aussi dans le thé. Ensuite je tartinai le toast avec de la confiture avant d’enfin pouvoir manger alors que le brun se collait le sien sur la joue en réalisant qu’il avait oublié ses médocs, ce qui selon moi, n’était pas une si mauvaise nouvelle.

J’étais sidérée par la quantité de pilules qu’il avait à prendre. Elles étaient bien jolies, voir mignonnes, mais je n’aimais pas l’effet qu’elles avaient sur mon ami. Je le préférai au naturel! Comme là, quand il me parlait de sa tartine perdue qui étaient collée sur sa joue. Je tendis une main en souriant pour la décoller et lui tendre tout en éloignant on assiette pleine de médicaments :

- Tu ne devrais pas prendre ces cochonneries, tu n’es pas toi avec ça! Pourquoi tu renie ta véritable nature? Pour lui? Il devrait t’aimer comme tu es et puis même avec tes médocs, ça n’a pas fonctionné? Pourquoi essayer d’être comme les humains qui n’en on rien à faire de nous?

Bon j’y étais allé un peu trop fort, mais je détestais ses drogues! Je ne comprenais pas pourquoi mon coloc s’entêtait à prendre ça! Il devait aller vers les gens l’accepter comme il est et non essayer de ressembler à un idéal humain moche et ennuyant. Une pensé me vint et je ne pus la garder pour moi :

- Tu vas perdre toute ta « plussoyance » si tu continue avec ces trucs!







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Ven 14 Fév 2014 - 16:15

Un froid qui dégénère
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Mally avait une très bonne solution pour ce qui était de notre grille-pain à deux tranches, mais je me contentai de l'ignorer. Je n'aimais pas vraiment avoir tord même si dans ce cas-ci je n'étais pas vraiment dans le tord puisqu'un grille-pain à quatre tranches ça existe bien pour une raison! Elle avait aussi accepté la toast sucré, sans doute pour se faire pardonner, car elle ne risquait pas d'être très bonne... Quoiqu'elle mettait bien de la confiture dessus... Bref. J'allai à ma chambre pour chercher mes médicaments et alors que j'allais les prendre, Mally m'enleva mon assiette des mains et je voulus la prendre immédiatement, mais je donnai plutôt un coup sur le rebord de celle-ci, ce qui la fit voler un peu plus loin, les pilules volant dans tout les sens de la pièce. J'en reçu même une sur la joue et je peux vous dire qu'elle arrivait très vite vu la douleur que je ressentais.

Voilà qu'elle m'accusais de prendre des cochonneries et que je devais pas en prendre. Mais elle se prenait pour qui pour me dire ça?! J'étais plus vieux qu'elle d'une dizaine d'année – Années humaines vous me voyez venir - et comme cela ne suffit pas à m'énerver, elle se mit à me parler de lui. Lui... Comment pouvait-elle m'en parler alors que je l'avais finalement oublier?! Pourquoi venait-elle ne me remettre sous le nez un amour qui me faisait plus de mal que de bien?! Mon cœur se serra et mes dents se mirent à grincer, sans même parler de mes poings qui se serraient si fort que mes ongles me découpaient les paumes.

« Oh parce que tu crois qu'être toi-même va t'apporter quelqu'un dans ta vie? À ce que je sache, t'es toujours célibataire toi aussi! Moi au moins j'ai déjà eu plus d'amoureux que toi au compteur! Tu vas faire quoi? Aller voir le lièvre pour espéré avoir quelque chose en retour? Eh bien j'espère pour toi que tu as le pouvoir de te transformer en cuillère! »

Je pris quelques secondes pour respirer et je la regardai longuement, des centaines de répliques se percutant dans ma tête et qui ne souhaitent que sortir de ma bouche.

« Tu sauras que je me préfère avec des médocs » Dis-je finalement sans aucune conviction dans le ton de ma voix. « Tiens, tu devrais en prendre toi aussi, ça te calmerais peut-être! »

Je jetai un coup d’œil vif au contenant en plastique qui se trouvait sur le comptoir et je les ouvris tous et j'en vidai dans mes mains et je décidai de les lancer une par une à Mally, toujours de plus en plus fort. Si j'étais de mauvaise humeur? Oui. Ce qu'un fou de mauvaise humeur pouvait donné? Quelque chose de pas très beau... Alors que je terminai de lancer des médocs sur ma colocataire, je lui lançai ensuite les contenant vide puis je me dirigeai vers la bouilloire encore chaude que je débranchai et je pris une nouvelle poche de thé que je me mis dans la bouche en fixant la blonde.

« Tu veux que je sois naturel ?! Tu veux que je sois dingue?! Bah voilà le vrai Laurence! »

Aussitôt ma phrase terminé, je versai de l'eau bouillante dans ma bouche pour faire du thé sauf que je ne la garda pas longtemps dans ma bouche puisque je me brûlai la bouche et je crachai tout ce que j'avais dans la bouche, la poche de thé inclusivement, au sol en hurlant de douleur.

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Jeu 20 Fév 2014 - 1:06

Un froid qui dégénère


'Je n,aurais pas du lui parler de son ancien colocataire, mais de là à me parler du lièvre, qui n'était qu'un ami, il était complètement à côté de la plaque! Bon en fait je ne voulais pas encore avouer mes sentiments pour lui, peut-être parce que premièrement je ne savais même pas s'il était dans ce monde tout pourri! Je crois que c'était ce qui faisait le plus mal c'était justement que je ne l'avais pas revu! C'était mon meilleur ami et j'étais sans nouvelles et me dire d,aller le voir alors que j'étais sans nouvelles, c'était cruel... et ridicule. Sinon ses amoureux... répondre une méchanceté me brûlait la gorge... d'ailleurs pourquoi me retenir? Il m'avait bien craché tout ça au visage alors qu'en fait moi j'avais voulu l'aider! Bon d'une manière fort peu habile, mais ça partait d'une bonne intention, soit qu'il cesse de prendre des trucs qui risquaient d'altérer sa santé! Sauf que là toute bonne intention avait disparut:

- Tu as eu autant d'amoureux que d'échecs amoureux, alors je vois pas pourquoi tu t'en vante...

Il me lançait ses médicaments! Il me les lançait!? Non mais il était fou ou quoi?! Ah bah il venait de Wonderland, alors si, il l'était. il ne fallait donc pas chercher la logique à ce qu'il me lance ses précieuses pilules. Plus il m'en lançait et plus et plus la colère montait en moi. je n'avais pas été douce, mais de là à m'attaquer?! Il ne comprenait pas qu'au départ je voulais son bien? je n,avais été que trop incisive dans ma façon de parler... j'avais été trop directe car je n'avais pas réfléchie. Passer des années avec le Lièvre et le Chapelier pouvait diminuer cette faculté. Je restai quand même plus logique qu'eux, mais ce n'était pas difficile à surpasser!

Je m'étais levée, reculant devant son attaque, en me protégeant de mes bras, parce qu'une pilule dans l’œil, ça devait faire mal! Et puis même sur mes bras, ça pinçait! Lorsque je faillit trébucher sur une paire de souliers à talons, je me penchai et lui balançai au visage alors qu'il venait de se verser de l'eau bouillante directement dans la bouche après bien évidement y avoir mis un sachet de thé, sinon il y aurait eut aucune logique! Bon en fait ce qu'il faisait n,aurait eut aucun sens pour les gens dit normaux, ce que nous n'étions pas. Il se brûla, car ce monde était aussi ennuyant que ça... Chez nous, on pouvait verser le thé bouillant comme nous voulions sans se faire mal! Comme le Chapelier qui se verse de cette boisson chaude dans le cou pour la faire ressortir par sa manche! ici, aucune chance pour que ça fonctionne.

- Arrête de faire l'imbécile! Tu n'as pas à te faire mal pour te donner raison! je veux pas que tu sois dingue, je veux que tu sois toi! Un peu de douce folie, ça ne fait pas toujours tu mal!


Après le lancé de la chaussure, je ne me sentais toujours pas décolérer, peut-être parce que le brun ne voulait pas comprendre mon point de vu? Non mais, on pouvait être fous sans se faire de mal! Quoique que là, j,avais envie de lui faire mal si ça pouvait le résonner un peu... Cette fois ce fut une assiette que j'envoyai dans sa direction, sauf que je le manquai et elle se fracassa contre une armoire derrière lui. de plus en plus énervée, je but mon thé d'une traite avant de lui envoyé la tasse... bah quoi? je n'allais pas gaspiller du thé! ça va pas la tête? On ne gaspille JAMAIS du thé! on doit le boire tant qu'il est chaud, car quand le thé est versé, il faut le boire!

j'étais tellement énervée que même la boisson ne me réconforta pas... non en fait je me trouvais frustrée que ça ne soit pas aussi bon que chez moi! Vraiment ce monde était trop nul! la preuve, je m'engueulais avec Laurence alors qu'en fait nous aurions du bien nous entendre!




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Mar 25 Fév 2014 - 14:49

Un froid qui dégénère
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J'étais véritablement en colère contre elle. Comment pouvait-elle dire des choses de la sorte alors qu'elle savait que j'étais très sensible à ce sujet..! J'aimais tellement Timon que je crois que j'aurais pu en crever s'il ne m'avait jamais dit quelques mois plus tard qu'il m'aimait. Je ne pensais qu'à lui, j'imaginais son odeur dans la rue, je ne pouvais m'empêcher de comparer les gens à lui et malgré sa mauvaise humeur, que je savais existante qu'avec moi, je ne pouvais m'empêcher de continuer à l'aimer et faire semblant de ne pas me rendre compte qu'il me détestais alors que, moi, j'aurais pu lui décrocher la lune s'il me l'avait simplement demandé.

Mallymkun m'accusa ensuite de ne pas être moi et me demanda d'arrêter de faire l'imbécile. J'en fus complètement choqué et je crachai le restant d'eau devenue tiède que j'avais dans la bouche au sol lorsque je reçu un de ses souliers directement dans l’œil. Je poussai un gémissement en plaçant l'une de mes mains sur mon œil qui semblait déjà vouloir gonfler. J'étais imbécile? J'étais imbécile parce que j'avais fait quelque chose que mes pulsions de dingue me disait de faire? Eh bien c'était bien une merveilleuse fermeture d'esprit qu'elle était entrain de me faire..! J'étais imbécile alors qu'elle venait de me balancer au talon au visage? Non, mais ça va pas dans le visage des chaussures! Ça va dans les pieds espèce de patate! La folie se mesure en plusieurs stades et aucun fou ne peut avoir les mêmes maladies et au même niveau, alors chaque fou est unique, comme tout être l'humain vivant l'est, alors comment pouvait-elle avoir la certitude que je faisais cela en exagérant ou non? C'était grotesque! Elle était aussi stupide que moi avec son soulier alors!

« Je ne fais pas l'imbécile! Je fais le moi! Si tu crois que je fais exprès pour faire des trucs aussi bizarres c'est que tu ne dois pas vraiment venir de Wonderland. Un habitant de Wonderland comprendrait que ce n'est pas évident de vivre avec cette folie dans ce monde..! » Je la regardai longuement, mes yeux l'examinant de tout bords tout côtés tout en me demandant si je devais dire ce que ma tête voulait, même si je savais qu'elle allait être fâchée. Je fonçai. « Ou alors t'as juste rien a faire des gens et de leurs problèmes parce que c'est que ta petite personne qui compte et que tu vie avec moi pas par amitié, mais que pour payer moins de loyer! »  

Aussitôt dit, je me mordis la langue, au sens propre. Je regrettais déjà d'avoir oser dire un truc pareil. J'étais tellement de mauvaise humeur que mes paroles avaient largement dépassées ma penser, car évidement je savais bien que Mally n'était pas ce genre de fille et en fait, elle était ma seule véritable amie dans ce monde.... J'aurais pu dire cela de Timon puisqu'il semblait ne pas vouloir m'avoir dans sa vie – la preuve, il ne m'avait toujours pas redonné de ses nouvelles! - , mais l'amour fait bien des choses et la perte de jugement entre dans cette catégorie. Mally me balança alors ta tasse, mais j'eus la chance de l'esquiver cette fois-ci, mais je ne vis pas l'assiette qui arriva presque aussitôt et qui vint me frapper le genou. Je poussai un autre gémissement et je décidai de faire la sourde oreille pour le restant de la dispute en m'installant sur le canapé pour regarder les dessins animés du matin comme à mon habitude, craignant de recevoir quelque chose d'autre derrière la tête si je venais à répliquer quelque chose. Enfin, regarder était bien le mot juste, car je ne portai pas attention au contenu puisque je ne pouvais m'empêcher de m'en vouloir d'avoir été aussi stupide.

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Mallymkun DeLoir
Mallymkun DeLoir
Le courage ne se mesure pas à la taille!
Admine Animals
PHOTO D'IDENTITE : Un froid qui dégénère [PV Mally] Tumblr_m6diqsWjcx1qko769o1_r2_500
DESSIN ANIME D'ORIGINE : Alice au pays des merveilles
ÂGE DU PERSONNAGE : 30 ans chez les humains
COTE COEUR : c'est compliqué
OCCUPATION : Prendre le thé!
LOCALISATION : Quelque part à Paris
HUMEUR : ZzZ
PRESENCE/ABSENCE : Jamais très loin 8D
DOUBLES COMPTES : Tim, Day, Hadès, Ian, Kevin & Gram
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Amanda Seyfried, Vava d'Honey :D
MON ARRIVÉE : 09/07/2013
MON VOYAGE : 1182
POINTS : 1344
Mer 26 Fév 2014 - 15:39

Un froid qui dégénère


Je me sentis presque coupable de lui avoir balancé mon soulier, presque. Bon j'avoue que je fus contente d'avoir visé juste malgré l'énervement, mais je m'en voulu un peu... jusqu'à ce qu'il continue de me cracher son venin au visage. Moi?! Je ne viendrais pas de Wonderland?! En fait il n'est pas fous, il est stupide! J'ai dévoué plus de la moitié de ma vie à notre monde, la moitié que je ne dormais pas, on s'entend. J'ai risqué ma tête pour notre liberté à tous! De façon littérale... quoique la folie aurait pu aussi me la faire perdre... Et puis lui il m'accusait d'être parfois logique? Il voulait m'exclure? Et puis ce n'était pas pour rien qu'il vivant chez la reine, il était insupportable!

Par contre le coup dur fut tout de même lorsqu'il dit que je n'avais peut-être rien à faire des gens et que je le gardais chez moi pour payer moins de loyer... Hello, j'avais combattu pour Wonderland, alors j'avais quelque chose à foutre des autres! Et puis je n'étais pas pauvre au point où j'endurerais un être aussi méprisable chez moi! Dire que j'avais eux des sentiments pour lui... et bien ils étaient bien loin maintenant! Je n'arrivais pas à croire qu'il me lançait tout ça! Je sais que je n,avais pas été tendre non plus, mais il ne donnait pas sa place non plus! Et puis moi je voulais le remuer, qu'il arrête de se lamenter et de prendre ses cochonneries de médocs... alors que lui, il ne cherchait qu'à se venger et me blesser.

Je ne répondis rien, car je savais que ça aurait été parler à un sourd... Alors pourquoi gaspiller davantage d'énergie sur ce crétin qui ne cherchait qu'à me faire du mal? Il avait joué avec moi, venant me rejoindre dans mon lit, puis me rejetant. J'avais l'air d'un yoyo peut-être? Et JE passais pour la méchante? Alors qu'en fait c'était lui qui jouait avec les gens? Il méritait de se faire couper la tête! Bon peut-être pas, parce que sa parole avait, j'espère , dépassé sa pensé... mais même s'il ne le pensait pas, il n'aurait jamais du me dire tout ça. Je n,avais même plus envie de lui lancer ce que j'avais sous la main... en fait il me restait la chaise, mais elle n'avait pas mérité ça la pauvre, elle qu'il me soutenait à chaque jour alors que je mangeais ou que je remplissais des papiers...

Je tournai les talons, me rendant dans ma chambre en claquant soigneusement la porte. Je m'habillai rapidement et fis ma valise, car il n'était pas question que je reste ici avec lui une journée de plus. Je n'avais pas beaucoup d'affaires et ce qui me manquait, je l'achèterai, voilà tout! Je trainai ma valise jusque dans la cuisine où j'attrapai ce qui était le plus important à mes yeux: Mon parapluie rouge. Si je l'emmenai, ça montrait à quel point ma dé,arche était sérieuse... Je n'allais certainement pas le laisser seul, ici avec cet ingrat stupide et méchant! Je laissai sur la table un mot que j'avais griffonné à la hâte dans ma chambre:


    J'en ai assez de me battre contre le vent. Aider les gens pour me faire dire que je suis égoïste, c'en est trop. Je vais ailleurs, peut-être que je trouverais quelqu'un qui arrêtera de me faire du mal.
    Je n'ai plus rien à te dire... Si seulement quelqu'un pouvait t'aimer...
    Adieu.


Je claquai la porte en sortant, dévalant les escaliers aussi vite que si je les avais déboulés. Je marchai longtemps en trainant ma valise, jusqu'à ce qu'épuisée je m,arrête sur un banc pour pleurer. Ah non, mais depuis quand je pleurais moi?! Être humaine c'est chiant! Au moins je n,avais pas éclaté devant lui... Peut-être que si je retournai le frapper ça irait mieux? Non, je devais passer à autre chose, il n'y avait pas de retour en arrière... du moins pas tout de suite. Qu'est-ce que j'allais faire? J'avais envie d'aller à l'aéroport et choisir une destination au hasard! Où je pourrais aller à Londres? Alice venait de là, donc peut-être qu'elle y serait et pourrait m'aider à rentrer chez moi? Parce que ce monde, il était horrible! Je voulais retourner à Wonderland moi! Donc voilà, j'irai à Londres!




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Jeu 27 Fév 2014 - 17:11

Un froid qui dégénère
Laurence Legay & Mallymkun Deloir



Je regardais mon épisode de My little poney en me frottant le genou qui commençai à m'élancer de plus en plus et en tapotant de l'autre main mon œil, me demandant à chaque fois si j'allais avoir à nouveau mal à le touchant, mais bien entendu, la réponse était évidente. Je pensai au coquard que je risquais d'avoir durant la journée puisqu'il était encore très tôt et que le coup que j'avais reçu avait été incroyablement fort. Je ne pensais pas que ma colocataire avait autant de force, mais quoique si elle avait été qu'un simple rongeur et qu'elle avait réussit à arracher l’œil du bandersnatch, elle devait avoir plus de muscle que je pouvais l'imaginer. Mally passa dans sa chambre en claquant la porte. Je sursautai sur le coup, mais je n'en fis pas tout un plat. Elle était fâchée, je pouvais bien le comprendre parce que je l'étais un peu aussi et je me disais qu'elle voulait simplement respirer dans une pièce séparée à la mienne. Contre toute attente, elle sortit rapidement de la pièce, mais je ne la regardai pas vraiment. Peut-être s'était-elle simplement habillée, car elle devait partir travailler? Elle quitta l'appartement après d'avoir déposé un papier sur le comptoir. Peut-être était-ce un mot pour me dire au revoir, car elle ne souhaitait pas me parler? J'hésitai pendant un moment à elle le dire, mais je me dis que j'avais assez supposé pour aujourd'hui et que je devais être sûr d'au moins quelque chose.

Je me levai donc en boitant et je pris le message que je lu à plusieurs reprises, n'étant pas réellement sûr d'avoir bien lu. Elle partait. Mais où? Pourquoi me faisait-elle une chose pareille? Simplement parce que je lui avais dit des trucs qui avaient largement dépassés ma pensée? Elle ne pouvait pas me quitter! Peut-être qu'elle n'avait pas besoin de moi, mais moi j'avais besoin d'elle! J'allais être complètement perdu sans elle! L'appartement allait être trop grand et j'allais parler à qui pendant son absence? Je n'avais personne d'autre qu'elle dans cette ville... Je chiffonnai le bout de papier et je sortis de l'appartement en trombe, sans perdre une seconde et en portant qu'un pantalon de jogging et un t-shirt rose, et je dévalai les escaliers en vitesse pour me retrouver dehors en face de l'immeuble à le recherche de Mallymkun que je ne trouvai malheureusement pas du regard. Je hurlai son nom, mais je n'eus jamais de réponse. Mes yeux s'embuèrent et des larmes se mirent à couler le long de mes joues sans pouvoir être capable de m'arrêter tellement la douleur de cette perte était grande. Je m'installai sur une marche de béton et je dépliai le papier qu'elle m'avait écrit et je le relu pour la inième fois. Elle ne m'aimait pas... Je me mis à sangloter encore plus à cette idée, car moi je l'aimais.

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