No more happy endings...
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 :: RP terminés
Spiders are your friend, and food ! Or not. ⊱ PV Hans&Timon
Invité
Anonymous
Invité
Jeu 27 Mar 2014 - 22:18
Anna&Hans&Timon
Spiders are your friend, and food ! Or not.

Il n'était pas rare que je passe mes mâtinés à dormir, souvent au point de me mettre en retard, pourtant, bien que réveillé depuis un bon moment maintenant, je n'arrivais pas à retrouver le sommeil aussi facilement que d'habitude. Je n'avais aucune idée de l'heure qu'il pouvait être, mais vu la lumière qui filtrait à travers les rideaux et la place vide à mes côtés, il devait déjà être tard. Mais je n'avais pas envie de me lever. En fait, j'avais l'impression d'avoir perdu la motivation et l'envie de faire quoi que ce soit depuis que j'étais rentrée de l'hôpital après avoir ramené Kristoff chez Elsa. Et m'être disputé avec elle au sujet de mes fiançailles... Je m'en voulais tellement, pour tout, tout ce qui s'était passé. J'avais été tellement idiote et naïve d'avoir pu croire que malgré mes choix, les choses s'arrangeraient d'elle-même, comme ça, et que tout se passerait bien. Bien sûre, ça n'avait pas été le cas, loin de la même, et à présent je ne parvenais plus à penser à autre chose qu'à mes actes et leurs conséquences, à ma dispute avec Elsa, à Kristoff sur son lit d'hôpital, à ce que j'avais fait à sa pseudo fiancée et son pseudo ami, aux mots de ce dernier, aux paroles de Kristoff... J'aurai pu éviter tout ça, utiliser d'autre mot, faire autre chose pour arranger tout ça... Mais à la place, je m'étais contenté de fuir lâchement en laissant Kristoff à Elsa pour me jeter en pleurant dans les bras de mon fiancé. Je m'en voulais tellement... Je ne m'étais jamais senti aussi mal depuis que j'étais à New York.

Il me fallut un effort surhumain pour trouver la volonté de me sortir hors du lit. J'allais certainement passer cette nouvelle journée comme les dernières, affalé dans le canapé avec un pot de nutella, à regarder des comédies musicales ou romantiques que j'avais déjà vues des tas de fois. Le temps arrange tout, c'était ce que je me répétais. J'étais loin d'être la plus à plaindre dans cette histoire. Dans quelques jours j'irai certainement mieux, une fois que j'aurai oublié et refoulé ma culpabilité derrière des pensées heureuses, exactement comme je l'avais fait avant de retrouver Kristoff. J'espérais naïvement que lui parviendrait à m'oublier avec le temps, peut-être pas à me pardonner, mais juste à m'oublier... Ce qui ne risquait pas d'être simple étant donné que j'avais eu la brillante idée de le loger chez Elsa, en face de chez moi. Une véritable idiote, voilà ce que j'étais... Une idiote qui n'était même pas capable de trouver une paire de chaussette propre dans sa commode. C'était simple, aucune paire n'était complète, à croire que l'idée de les ranger par paire après les avoir lavés ne m'avait pas effleuré. Et après on se demandait pourquoi je me baladais souvent en chaussette dépareillé ! Je poussais un soupir en refermant le tiroir. Bien, j'avais peut-être trouvé quelque chose de productif à faire aujourd'hui finalement, retrouver leurs compagnes à mes chaussettes ! J'ouvris les rideaux pour illuminer la pièce avant de chercher là où littéralement tous les objets perdus de ma chambre se trouvait. Sous mon lit.

Oh, les choses étaient moins catastrophiques qu'à l'époque où Hans dormait encore sur le canapé, j'avais fait l'effort de tenir la chambre un minimum rangé depuis. Un minimum... Surprise, ma chaussette était là, en compagnie d'autre chaussette d'ailleurs. Pourquoi est-ce que tout finissait par atterrir sous mon lit ? Je voulais bien croire que j'avais tendance à lancer les choses un peu partout pour les ranger, mais quand même ! Combien d'objet se trouvait encore là-dessous ? J'allais le savoir tout de suite. Je décidais de pousser mon lit pour récupérer plus facilement les chaussettes sans avoir à ramper sur le sol pour les prendre et pour découvrir ce qui se cachait d'autre ici. Et le moins que je puisse dire... C'était une très mauvaise idée. Une très, très mauvaise idée même. J'étais loin de m'imaginer qu'en voulant décaler un peu mon lit, j'étais sur le point de déloger une araignée... Et ses bébés visiblement. Car c'est ce qu'il se passa. Une fois le lit complètement poussé, j'eus l'impression qu'une vague de petites bêtes noire s'échappa de sous mon lit. Une, deux, des milliers de millions d'araignées plus ou moins grosses sortirent de là pour s'éparpiller dans toute ma chambre. Il ne me fallut pas longtemps pour comprendre la situation, ni pour faire un bond et sortir de ma chambre en hurlant comme une dégénérée. Avec ma chemise de nuit et mes cheveux pas encore brossé, la comparaison était plutôt facile.

Souvent, j'avais tendance à foncer dans le tas sans réfléchir à quoi que ce soit, pour ensuite réaliser le danger, ou pas d'ailleurs, si bien que j'avais pour ainsi dire, souvent peur de rien. Mais ça... Non, je ne pouvais pas. Sauter d'une falaise, attaquer un monstre des neiges, escalader une montagne à main nue, frapper un loup à coup de luth, d'accord, mais les araignées, je ne pouvais pas, vraiment. C'est ridicule au fond, j'étais consciente que ces bêtes cent fois plus petite que moi avait surement dû être les plus effrayés, mais ça ne m'empêchais pas de continuer de hurler tout en faisant la première chose qui me passait pas l'esprit en arrivant dans le salon : passer par-dessus le canapé pour me rouler en boule sous une couverture. Mon cœur battait à toute allure et j'avais l'impression de sentir toutes ces araignées me grimper dessus. Je me recroquevillais sur moi-même, comme si être en position fœtale sous une couverture pouvait me protéger des créatures à huit pattes.

HANS ! DES ARAIGNÉES ! PARTOUT ! Il y en a partout, dans notre lit, sous la chambre ! Non ! Dans notre chambre, sous le lit ! Des milliers d'araignées et de bébés qui courent partout... couinais-je en laissant dépasser ma tête de sous la couverture.

Je ne savais pas ce qui me choquais le plus, la vision de cette masse noire qui se divise petit à petit en un million de petits points noir, ou bien le fait de savoir qu'elles étaient peut-être nichées sous notre lit depuis un bon moment. Et peut-être pas que sous notre lit d'ailleurs... Ce n'était pas la première fois que je trouvais des insectes dans mon appartement, en particulier si on entrait dans la chambre juste en face de la mienne, celle remplie de tout et n'importe quoi.

Oh mon dieu... J'en ai peut-être avalé... Moi qui dors toujours la bouche ouverte ! Oooooh... Je bondis d'un coup pour m'inspecter sous toutes les coutures. Non, je n'avais aucune araignée sur moi. Il fallait que je me calme au lieu de devenir parano comme ça, j'avais bondi tellement rapidement pour m'enfuir de la chambre que ce n'était pas possible qu'une d'entre elles soit sur moi. J'espérais. Je me laissais tomber sur le canapé en soupirant, enroulé dans la couverture. C'est ma faute, si je faisais plus souvent l'effort de faire le ménage ou de ranger, ce genre de choses n'arriverait pas... En plus je suis sûre que j'ai oubliée de racheter de la bombe insecticide... Je suis désolée. Tout est de ma faute...

Ce n'était pas nouveau. Quoi que je fasse je finissais toujours par tout gâcher. Si je n'avais pas jouer l'impatiente en suppliant Elsa de venir jouer avec moi, elle ne m'aurait jamais blessé et aucune d'entre nous n'aurait eu à grandir comme nous l'avions fait. Si je n'avais pas provoqué Elsa en lui arrachant son gant et en pensant égoïstement que c'était elle qui était injuste et incapable de faire autre chose que de rejeter les autres, nous aurions pu éviter cet hiver éternel et mon cœur gelé. Tout ce que j'étais capable de faire c'était attirer le malheur sur les gens qui m'aimaient. J'avais envoyée Hans aux urgences après lui avoir cassé le nez, puis Kristoff dont le cœur était littéralement brisé par ma faute... Même des inconnus comme la jeune femme qui traînait avec Kristoff et l'homme qui l'avait manipulé, j'avais été capable de leurs faire du mal. Et voilà que maintenant que nous avions le plus besoin d'une bombe insecticide, nous étions bloqués sans moyens de se défendre des araignées, à cause de moi car j'avais été assez stupide pour oublier d'en racheter ! Tout comme le jus d'Ananas d'ailleurs ! Si je n'avais pas passé les derniers jours à me morfondre sur ce qui s'était passé à l'hôpital pour me rendre un peu utile, ça ne serait pas arrivé non plus. Non, à la place je me rendais triste toute seule depuis plusieurs jours en pensant à ça alors que j'étais loin d'être la victime de l'histoire !

Tout est de ma faute... Et...J'ai aussi oubliée le jus d'ananas alors que j'ai fini la bouteille hier... Pardon...

C'était peut-être à cause de l'émotion que m'avaient causé les araignées ou bien simplement le fait de repenser encore à ça et à la culpabilité qui m'étouffait, mais je me laissais soudainement aller aux larmes sans pouvoir me retenir. J'avais vraiment l'impression que mes émotions déraillaient en ce moment, mais je ne pouvais en vouloir qu'à moi-même. Je posais ma tête sur mes genoux replié contre ma poitrine. Quand je pensais à la souffrance que j'avais infligée à Kristoff après tout ce qu'il avait fait pour moi... C'était horrible, je n'étais pas sûre d'arriver à me pardonner d'avoir fait ça, même si je ne voyais pas ce que j'aurai pu faire d'autre.

Je crois qu'il faut appeler un exterminateur... Et je crois que je ne vais plus mettre les pieds dans notre chambre... terminais-je par dire une fois ma petite crise terminée.

©flawless
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Jeu 27 Mar 2014 - 23:50

Spiders are your friend, and food ! Or not.
Anna D'Arendelle & Timon S. Merkat



J'ai un réveil matin à la place du cerveau. Chaque matin, je me réveille a 9h et à chaque matin Anna dort en étoile dans le lit. En réalité, ce n'est pas mon cerveau qui me réveille, mais c'est plutôt Anna qui me pousse en bas du lit avec ses pieds pour prendre le restant de la couverture qu'il pouvait me rester. Ça ne me gêne pas plus que cela... Quoique je crois qu'il ne reste plus de morceau de peau qui n'a pas eu encore de bleu dessus... Comme à mon habitude, j'allai me doucher et je cherchai tant bien que mal quelque chose à me mettre puisqu'Anna ne faisait pas très souvent la lessive et qu'en fait, ce n'était pas la seule chose qu'elle ne faisait pas ces temps-ci. Seulement pour sortir du lit, il me fallait escalader et sautiller pour ne pas me rentrer quelque chose dans la plante du pied. C'était à peu près la même chose partout dans l'appartement, mais la chambre était sans doute la pire. J'avais finalement trouvé un chandail en coton ¾ quart de la couleur bleu ou grise, ce n'est pas très évident de choisir puis je pris un jean que j'avais laissé dans la salle de bain la veille.

À 11h, ma fiancée dormait toujours, c'était comme ça depuis qu'elle avait revue Kristoff. Ça me fait un peu de peine de la voir comme ça, mais ce n'est pas comparable à la joie que je peux éprouvé depuis que je sais que le blond est déprimé de sa perte. Ah, mais il pensait quoi? Il ne peut pas rivaliser contre moi, il le savait bien et c'était peine perdue d'avance, c'était évident. Mais avez vous vu mon physique? Mon charisme? Mon sourire? Mon regard de tombeur? Mes bonnes manières? Ma perfection? Il n'aurait jamais dû jouer dans mes plans de bande, maintenant il souffre. Et il la fait souffrir, car vous le savez tout comme moi, s'il n'avait jamais atterrit dans sa vie, rien de tout cela n'aurait arrivé. C'est de sa faute si Anna était triste, pas de la mienne! Et c'était moi qui devait la ramasser à la petite cuillère maintenant, c'était vraiment embêtant, mais elle semblait aller un peu mieux qu'avant.... Mais j'espérais quand même qu'elle aille rapidement mieux, car là, l'appartement ne ressemblait vraiment plus à rien.

J'allai à la cuisine que je fouillai dans le frigo pour tenter de me trouver quelque chose à manger, mais il n'y avait rien. Enfin, oui, il y avait bien sûr quelque chose dans le frigo, mais pas assez pour se faire un petit déjeuné. Même pas de lait! Comment voulez-vous manger de céréales sans lait? Pouvez-vous me l'expliquer? Je partis chercher du lait et d'autres choses qu'il manquait comme du jus d'ananas et des fruits à la supérette à quelques coins de rue de l'appartement. Lorsque je revins, j'entendis Anna hurler comme une perdue en se déplaçant jusqu'au salon. Son cri me fit sursauter et j'échappai un sac en plastique sur l'un de mes pieds et comme si le destin le voulait, c'était le plus lourd. Je faillis hurler de douleur, mais je me contentai de me pincer les lèvres et de ramasser le sac alors qu'elle se mettait à paranoïer sur des araignées qui se trouvaient supposément dans notre chambre... Charmant.

« Mais calmez-vous Anna.. »

Elle ne semblait pas m'avoir entendue. Elle continuait à dire que c'était de sa faute. Je me dirigeai vers la cuisine où je déposai les sacs et me versai un verre de jus d'ananas que j'apportai dans le salon pour calmer la rousse.

« Tenez. Je reviens de la supérette, j'ai été acheter quelques trucs qui nous manquait. »  Je déposai un baiser sur la joue. « Il faut vous calmez, ce n'est pas grave, vous êtes déprimé, c'est normal que vous n'ayez pas envie de nettoyer. »

Honnêtement, je trouvais ça énervant, voir irritant qu'elle se voit laissé allé comme ça, mais je ne pouvais tout de même pas le lui dire, elle allait se mettre à pleurer, à culpabiliser et là, je devrais tenter de la faire arrêter et je vous jure que ce n'est pas une tâche facile lorsqu'elle s'y met. Je me levai ensuite en j'allai chercher le téléphone dans la cuisine et je cherchai dans le bottin téléphonique le numéro d'un exterminateur pour calmer Anna même si j'étais persuadé que ce n'était pas si pire qu'elle pouvait bien le dire.

La secrétaire me posa de nombreuses questions sur les bestioles qu'il pouvait avoir à l'appartement, mais puisque je ne les avait jamais vu, je ne pouvais pas vraiment bien expliquer le problème, mais je ne me voyait pas prêter le combiner à Anna qui allait hurler qu'il avait des millier d'araignées dans notre chambre. Elle allait se faire raccrocher la ligne au nez et passer pour une folle hystérique.

« S'il y en a ailleurs..? Eeeuh... Anna?! Est-ce qu'il y a sous le canapé? Je sais que vous-y glissez souvent des paquets de croustilles à moitié mangés ..! Peut-être qu'il y en a là aussi? »

Je regrettai ce que je venais de dire, je savais que j'allais la faire paniquer. Après les nombreuses questions répondues, la secrétaire finit par me dire qu'elle allait envoyé quelqu'un rapidement pour évalué les dégâts et exterminé les insectes en cas de besoin. J'allai rejoindre Anna pour la réconforter, puis on cogna à la porte, ce devait être l'exterminateur!

codage par langweilen sur apple-spring

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Invité
Anonymous
Invité
Mer 2 Avr 2014 - 0:17
Anna&Hans&Timon
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Oh, il avait pensé à faire les courses... Et acheter du jus d'ananas... C'était tellement gentil de sa part. J'esquissais un sourire en chassant mes restes de larme d'un revers de main. Heureusement qu'Hans était là, et que, contrairement à moi, il ne se laissait pas abattre par les événements. À vrai dire, il n'avait aucune raison de le faire, et c'était tant mieux. Je m'en voulais déjà assez de passer mes journées à ne rien faire et à me mettre dans un tel état pour un autre homme face à mon fiancé. Me supporter comme ça n'avait pas dû être facile ces derniers jours, surtout quand je semblais être en proie à un véritable ascendeur émotionnel. J'avais l'impression que je n'arriverai plus jamais à faire quoi que ce soit sans avoir le poids de la culpabilité sur les épaules. Quand j'étais heureuse, je finissais par me sentir coupable de mon bonheur en pensant au malheur que j'avais causé à Kristoff, et quand au contraire je me sentais mal, c'était pour ensuite m'en vouloir d'infliger mes sautes d'humeur à Hans et au final je m'en voulais de m'en vouloir.... Bref, je n'allais nulle part. Mais au moins, oui, Hans était là, je n'étais pas seule, et sa présence et ses paroles suffisaient à me réconforter. Bien que je persiste à penser que toute cette histoire d'araignée aurait pu être évitée si le ménage avait été fait. J'étais peut-être déprimée, certes, mais si les choses continuaient ainsi bientôt nous allions littéralement vivre sur des tas d'objet et de déchet. J'aurai bien voulu appeler l'exterminateur par moi-même, mais je n'étais pas sûre de savoir garder mon calme quand il s'agissait d'araignée. Je laissais donc Hans s'en charger tout en le suivant du regard prendre le téléphone pour composer le numéro.

Je sentis mes membres se crisper en entendant Hans demander s'il y avait d'autre insecte ailleurs quand dans notre chambre. Bien sûre qu'il y en avait d'autre, ce n'était pas rare d'en croiser mais en général je m'arranger pour les faire sortir dehors. Mais... L'idée qu'un autre nid comme celui de notre chambre puisse se trouver dans notre appartement me fit frissonner. J'essayais de chasser cette idée de mon esprit jusqu'à ce que Hans évoque la possibilité qu'un nid se trouve sous le canapé. Je me recroquevillais un peu plus sur moi-même, par réflexe, comme si de cette manière je pouvais être hors d'atteinte des minis monstres à huit pattes. Hors de question que je me risque à regarder... Si c'était pour encore trouver des bébés araignée dans de vieux paquet de croustille, non...

Non, je, je ne sais pas, je ne crois pas... Et je ne veux pas le savoir !  Paniquer ne servirait à rien, surtout qu'un exterminateur était sur le chemin à présent. Il nous fallait juste attendre. La tête posée contre l'épaule d'Hans, c'est après plusieurs minutes de silence que je sortis soudainement de mes pensées en réalisant que oui, l'exterminateur allait arriver d'une minute à l'autre et que rien n'était prêt. L'exterminateur... Il va arriver ! Il faut qu'on range, sinon il ne pourra rien exterminer dans ce bazar !

Avec des objets trainant un peu partout dans l'appartement et faisant office de cachette pour insecte, ça allait en effet s'avérer compliqué pour lui si on le laissait dans un tel état. Je me levais d'un bond et laisser tomber la couverture sur le sol. Ranger, il fallait ranger... Peut-être pas tout, je me doutais que nous n'aurions pas le temps, mais au moins un minimum, que l'exterminateur puisse faire son travail correctement ! Je glissais aussitôt jusqu'à la cuisine pour saisir un sac poubelle. Pour une fois, la motivation était présente, le tout était maintenant de ne pas la perdre. En chaussette, je cherchais à retourner dans le salon auprès de Hans en glissant comme je l'avais fait quelques secondes plus tôt, pour finalement me prendre les pieds dans la couverture que j'avais fait tomber et me retrouver étalé par terre. Oh, ça faisait presque longtemps, les vieilles habitudes reprenaient visiblement... Ce n'est qu'une fois relevé que je me rendais compte de ma tenue. Depuis tout ce temps j'étais toujours en chemise de nuit, et avec ma coiffure digne d'une crinière de lion. Il fallait que je m'habille... Je fis quelques pas vers la salle de bain avant de reculer. Mais si je partais m'habiller, je ne pourrai pas ranger... Plusieurs secondes d'hésitation et d'aller retour plus tard, je décidais finalement de partir m'habiller après avoir donné mon sac poubelle vide à Hans.

Je ne peux pas rester comme ça, vous pouvez commencer sans moi pendant que je m’habille s’il vous plait ? Juste mettre les déchets dans le sac, vous serez adorable !

Pour une fois, la fainéantise qui m'avait touchée ces derniers temps allé s'avérer utile. Une chance que certain vêtement propre soit resté plié dans la salle de bain en attendant d'être sagement rangé dans le placard. Placard qui se trouvait bien entendu dans ma chambre envahie d'araignée. J'enfilais la première robe me tombant sous la main, démêlais rapidement mes cheveux et retournais tout aussi rapidement dans le salon sans prendre le temps de les attacher, cette fois-ci armé de l'aspirateur. Je le sortais si rarement que je mis plusieurs secondes à chercher le bouton pour le mettre en marche, mais ceci ainsi que la télévision allumée sur la chaine spéciale clip pour me motiver j'étais partie ! Passer l'aspirateur dans un appartement jonché d'objet s'avéra juste beaucoup plus compliqué que je ne le croyais. À tous les coups j'allais finir par boucher l'engin. Mais ce n'est pas cette catastrophe qui finit par se produire, puisqu'en longeant le mur, je passais un peu trop prêt des rideaux. Un peu beaucoup même, au point que ce dernier commença à se faire aspirer.

Oh non, non, non, non, non ! M’écriais-je en tirant pour libérer le rideau de l’emprise de l’aspirateur.

J'avais l'impression d'être en pleine bataille avec l'aspirateur... Plus je tirais, plus au contraire le rideau s'aspirait. Sur le coup, l'idée d'éteindre l'aspirateur ne me traversa pas l'esprit, je tirai donc de toutes mes forces jusqu'à ce que la tringle ne se détache totalement, me faisant pousser un crie en tombant à la renverse. Oh, génial... Qu'est-ce qu'il m'avait pris de tirer comme une folle aussi, alors qu'en appuyant simplement sur le bouton, j'aurai pu éviter tout ça ? La tringle n'avait jamais été fixée au mur, n'ayant pas d'outil je m'étais contenté de la coller... À la télévision ils avaient pourtant assurés que c'était aussi solide qu'avec des vis. Assise par terre à côté de l'aspirateur, j’enfouis une nouvelle fois mon visage entre mes mains. Pourquoi est-ce que je n'étais capable de rien... ? J'inspirais et expirais profondément, non, ce n'était pas le moment de me laisser abattre, pas encore. Optimiste et enthousiaste, c'était ce que je devais être, moi qui prenais toujours le bon côté des choses d'habitudes en voyant le bien partout.

Quelle idiote, à cause de moi on a plus de tringle, et le rideau est à moitié dans l'aspirateur... soupirais-je en me relevant, la tringle dans les mains. Quoi qu'il puisse arriver, promettez-moi de ne jamais me laisser toucher des outils de bricolage, je serai capable de démolir l'immeuble si je-... Oh, l'exterminateur est là !

Je me relevais d'un bon pour me diriger vers la porte, ma tringle toujours dans les mains. Bon, côté ménage, on avait déjà vu mieux, même beaucoup mieux, mais c’était déjà ça… Et puis, c’était l’effort qui comptait avant tout non ? J’ouvris donc la porte pour inviter l’homme qui devait certainement être l’exterminateur à entrer.

Oh merci beaucoup de vous être déplacé pour nous monsieur ! Autrement je ne sais pas ce qu'on aurait pu faire, on a même plus de bombe contre les insectes, et il y en a partout, partout dans notre chambre ! Ce matin en me levant j'ai voulu déplacer le lit parce que je ne retrouvais pas ma chaussette, et c'est là qu'elles sont toutes sorties d'un coup, des milliers d'araignées ! Je suis sûre qu'il y avait un nid sous notre lit ! Et maintenant elles doivent être dans tous les coins, sous tous les meubles et même dans nos vêtements et... et je suis sûre qu'on peut en trouver d'autre dans l'appartement, je ne sais pas si ça à un lien mais il y a souvent des cafards qui traînent dans le coin, pas vrai Hans ?... Surtout dans la pièce juste en face de notre chambre, pourtant je croyais que les araignées n'aimaient pas la saleté... Pas que je dis que notre appartement est sale mais... En fait si, il est sale, ça doit être pour ça qu'il y a autant de bestiole ici. Les cafards et les blattes, ça va encore, mais je crois que j'ai un problème avec les araignées, c'est bête parce que j'ai surement du leur faire peur en hurlant comme je l'ai fait et... Mais pourquoi je dis ça... ? Enfin bref, on s'en fiche, la chambre est... par là-bas... Wow, je voulais bien croire que j’étais bavarde, mais là, je m’étais un peu laisser emporter.
©flawless
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Timon S. Merkat
Timon S. Merkat
Je vais pas me déguiser en Vahinée!
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PHOTO D'IDENTITE : Spiders are your friend, and food ! Or not. ⊱ PV Hans&Timon Bro_bro_blub
Spiders are your friend, and food ! Or not. ⊱ PV Hans&Timon Giphy
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DESSIN ANIME D'ORIGINE : Le Roi Lion
ÂGE DU PERSONNAGE : environ 43 ans d'humains
COTE COEUR : Les insectes, parce que sinon mon coeur est en miette
OCCUPATION : Pleurer ma solitude caché au sous sol du bar avec les araignées
LOCALISATION : surement au T & L's Bar
HUMEUR : Hakuna Matata, enfin on essai
COULEUR PAROLE : #006600
PRESENCE/ABSENCE : fidèle au poste o/
DOUBLES COMPTES : Hadès, Mally, Ian, Kevin, Dayhun & Gram
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Neil Patrick Harris & Gaekey
MON ARRIVÉE : 06/04/2013
MON VOYAGE : 2405
POINTS : 1127
Sam 5 Avr 2014 - 17:49

Spiders are your friend, and food ! Or not.


Vous savez cette impression de se prendre une tornade par la tête, voir un ouragan? C’était un peu ce que Timon avait ressentie lorsque la porte de l’appartement c’était ouvert pour laisser place à une jeune femme bien énervée. Elle n’arrêtait pas de parler, c’était à se demander quand elle reprenait son souffle avec tous les mots qui sortaient de sa bouche. Était-elle toujours comme ça? Parce que ça ne devait pas être facile à vivre… et dire que Timon trouvait que Laurence parlait beaucoup parfois… Ça ne lui semblait plus autant d’un coup. Et puis c’était intéressant quand son amoureux parlait, même si parfois ça n’avait pas toujours du sens. Bon, dans le cas présent, ça avait du sens ce que cette fille disait, même que c’était important puisque c’était pour un travail, mais elle disait tellement de mots qu’il lui fallait se concentrer pour donner un sens à tout ça.

Il avait prit l’habitude depuis qu’il était avec Laurence de bien écouter, parce que ne pas écouter ne l’avait pas mené très loin pour ne pas dire que ça l’avait fait tourner en rond! Depuis la St-Valentin, il essayait d’être quelqu’un de meilleur et de surtout ne plus blesser Le brun comme il l’avait fait auparavant, même si c’était involontaire! Il voulait prendre soin de Laurence, de peur que s’il n’y faisait pas attention, il partirait pour de bon… Et si cela arrivait, Timon ne savait pas ce qu’il deviendrait… Il serait seul au monde… Pas de Pumba, pas d’Aladdin, trop occupé avec son enfant… Bon il y avait Vitani, mais était-elle son amie? Ou se servait-elle de son hospitalité? Il ne savait pas trop, mais si elle n’était pas bien, elle serait sans doute partie, donc elle devait bien l’apprécier un peu?

Il écoutait donc cette rousse qui n’arrêtait pas de parler en se demandant comment une journée si banale pouvait être en train de devenir aussi étrange… Il c’était réveillé aux côtés de Laurence, comme à presque tous les matins. Il s’était levé, s’était préparé à aller travailler, avait embrassé son amoureux. Amoureux, ça sonnait encore étrange dans sa tête, peut-être pas ce qu’il n’avait jamais pensé être en couple avant? Il s’était cru éternel célibataire depuis le moment où il avait quitté la colonie… Libre comme l’air et heureux ainsi! Sauf qu’après son arrivé dans ce monde et tout ce qui c’était passé, il avait changé. Ses rencontres l’avaient changé, ses expériences… Il avait vécut bien des choses depuis qu’il était à New-York, mais rien n’avait plus chamboulé son existence que l’arrivé du flamant dans sa vie. Ça lui avait prit beaucoup de temps, mais il avait finit par ouvrir son cœur, ou plutôt il avait finit par arrêter d’écouter sa tête et donner la parole à son cœur…

Il était partit travaillé, prenant le métro comme à chaque jour. C’était devenu une habitude depuis le temps, même si il préférait marcher à l’extérieur… sauf que c’était malheureusement plus rapide de prendre ces trains souterrains, alors voilà pourquoi il le faisait… En plus il y avait toujours des gens étranges là, mais il avait appris à ne pas trop leur porter d’attention et à continuer sa route… Bon en fait il ne réussissait pas à complètement les ignorer, espérant toujours croiser quelqu’un de son monde qui passerait pour un itinérant ou un artiste… Mais ces derniers temps, il n’avait croisé aucun nouveau venu d’un autre univers. Il ne savait pas trop si c’était bien ou mal, chacun avait une opinion différente sur le sujet… lui-même voulait rentrer chez lui… jusqu’à sa visite du parc Walt Disney World le mois précédent…

Lorsqu’il arriva dans les locaux que la compagnie louait, il sifflait Hakuna Matata, comme à chaque matin depuis un peu plus d’un mois, alors qu’avant, il se trainait les pieds en soupirant de désespoir tellement il n’avait envie de rien… Pourtant, il aimait son travail, traquer les insectes, en manger un ou deux par-ci par là… La joie et la tranquillité étaient revenues dans son existence. Bon tranquillité… est-ce que vivre avec Laurence était vraiment calme? Surement pas, mais c’était une turbulence à laquelle il était habitué.
Le suricate alla prendre place à son espace de travail, qui était en fait une table avec des stylos où quelques papiers trainaient. Il s’y installait que pour remplir des rapports ou lire des études en liens avec son travail. Parfois il y avait des notes que les autres lui laissaient, mais rien ce matin là, donc il alla se chercher un verre d’eau en cherchant ce qu’il pouvait bien faire ce matin là en attendant d’avoir un appel pour un travail d’extermination. Voir à l’entretient des instruments lui semblait une bonne idée, C’est donc ce qu’il entreprit de faire, jusqu’à ce que Agnès, la secrétaire, vienne lui dire qu’il y avait une urgence et que personne d’autre n’était disponible. Bon bah, ça l’occuperait!

Timon prit un sac avec le nécessaire, son uniforme et se rendit à l’adresse indiquée sans se douter de ce qui l’attendait… Une tornade rousse qui n’arrêtait pas de parler! Bon, elle finit par arrêter de parler et laisser le blond répondre :

- Et bien c’est mon travail… Oh même si l’appartement était propre il pourrait y avoir tout de même des bestioles. Mais il est certain qu’il y en aurait moins et qu’il serait plus facile de les chasser. Commençons par votre nid d’araignées dans votre chambre puisque c’est la raison de votre appel.

Timon entra lorsqu’il y fut invité, se dirigeant vers la chambre, saluant au passage l’homme, qui devait être le conjoint de la demoiselle. Il remarqua aussi au passage l’aspirateur qui avait mangé une partie du rideau… Et bien, il n’était pas si nul en ménage! D’ailleurs, son appartement était certes miteux, mais il était bien plus propre et rangé que celui du couple de roux! Comment les humains pouvaient vivre dans autant de saletés? C’était vraiment dégoutant! Dans de pareilles conditions, même un tunnel plein de terre et de poussière semblait propre! Bon, il faut dire que de la terre, c’est pas si sale.

Une fois dans la chambre le suricate vit des araignées allées se cacher sous les meubles… Il regarda un peu la chambre avant d’en venir à une conclusion :

- Vu le niveau d’infestation, je crois que le mieux serait d’utilisé l’aspirateur pour attraper les insectes avant de jeter le sac… Peut-être qu’il va falloir tout vider et laver tellement il semble y en avoir partout… Ensuite je mettrai de l’insecticide. Donc il faudrait tout d’abord retirer le rideau de l’aspirateur… Ou trouver un aspirateur sans rideau…

Vraiment, la journée s’annonçait longue… comment avaient-ils pu laisser la situation dégénérer autant? C’était de l‘irresponsabilité ou de l’inconscience? Peut-être qu’en fait il ne voulait pas trop le savoir…





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Dim 6 Avr 2014 - 1:24

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Anna D'Arendelle & Timon S. Merkat



Anna m'avait donné son sac poubelle en attendant que l'exterminateur arrive. Elle avait décidée qu'il était le temps de faire le ménage. Elle avait de drôles d'envies parfois... Je devrais sans doute plus souvent appeler l'exterminateur pour qu'il se mette à tout nettoyer comme ça. Enfin, elle avait eut la brillante idée de tout ranger, mais elle avait rapidement changée d'idée et m'avait donné le relais avec un sac poubelle pendant qu'elle allait s'enfermer dans la salle de bain. Bien... Je la regardai fermer la porte qui se trouvait en face de moi puis j'observai autour de moi. Je poussai un long soupire, je n'allais pas terminer tout de suite quand j'y pensais quelques secondes. Je décidai de faire le hall d'entrée puis lorsque tout fut rangé je me déplaçai au salon, mais je n'eus pas le temps de terminer cette pièce qu'Anna sortit de sous la douche, ce qui voulait dire que j'avais facilement passé une demi-heure à tout nettoyer l'entrée. C'était déprimant et ça me rendait de très mauvaise humeur de devoir nettoyer comme ça! Déjà que depuis mon arrivé dans cette ville, j'avais dû apprendre à cuisiner seul quand ma fiancée était partie travailler et j'avais eu besoin d'apprendre en faire la vaisselle, mais j'essayais de la faire le moins possible, alors là, faire le ménage de tout l'appartement? Franchement! Un prince ça ne fait pas ça!

La rousse c'était précipité vers l'aspirateur et commença à la passer un peu partout dans l'appartement. Pour ma part, je continuais à traîner le sac poubelle qui devenait de plus en plus lourd à transporter et qui m'empêcha de tomber au sol lorsque je glissai à cause d'une flaque d'eau qu'Anna avait fait en sortant de la salle de bain. Je me rendis finalement dans la même pièce qu'elle pour me rendre compte qu'elle venait tout juste d'aspirer le bas des rideaux. Je la regardai quelques secondes et alors que je m'avançais vers elle pour l'aider à retirer le tissus, on cogna à la porte et tout les deux nous arrêtâmes tout pour aller répondre. Ce fut Anna qui arriva à la porte d'entrée la première et tourna la poignée pour faire apparaître un homme blond. J'allais lui dire d'entrer, mais la plus jeune se mit rapidement à parler des araignées qui se trouvaient partout dans notre chambre. Elle avait l'air d'une folle et je crois que mes joues devinrent rosées tellement j'étais embarrassé. Elle le fut aussi, je crois, et elle lui indiqua notre chambre du doigt. Je poussai un soupire de soulagement puis je suivis les deux jusqu'à la chambre où j'attendis à l'extérieur de celle-ci pour avoir le verdicts.

À ce qu'il semblait vouloir dire, notre chambre en était complètement infesté. J'eus un petit frisson de dégoût, mais je continuai à hocher la tête pour approuver ce qu'il proposait comme façon de se débarrasser des araignées.En même temps, je n'avais pas vraiment d'autres idées donc il valait mieux d'accepter ce qu'il proposait.

« Oh oui,  attendez. »

Je me dirigeai alors vers l'aspirateur en question et je finis par l'arrêter après quelques secondes de recherche pour le bouton off. Il faut dire que je n'avais encore jamais utilisé l'aspirateur et que cet engin était encore un véritable mystère pour moi comme le téléphone ou le lave-vaisselle. Je tirai rapidement le tissu des rideaux pour le sortir du long boyau puis j'amenai l'aspirateur à l'homme prénommé Timon selon le badge qui était cousu à son uniforme, à moins qu'il aille emprunté l'uniforme d'un collègue...

« Voilà l'aspirateur. Voulez-vous que l'on aille vider la chambre un peu avant ou vous pouvez procéder avec tout ces meubles? »  Je regardai Anna qui semblait toujours aussi terrorisée sinon plus des araignées puis je décidai de rectifier ce que je venais de dire. « Que j'aille vider un peu la chambre? »

Je n'avais pas particulièrement envie de rentrer dans cette chambre qui me dégouttait dès la première fois que j'y avais mis les pieds, mais j'avais l'impression que je n'avais pas vraiment le choix de le faire. Qu'est-ce que je ne pourrais pas faire pour simplement clouer le bec de sa stupide sœur qui n'arrêtait pas de me dénigrer devant elle.

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Lun 7 Avr 2014 - 16:14
Anna&Hans&Timon
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Qu'est ce qu'il m'avait pris d'autant parler en un si petit laps de temps ? J'avais même du mal à comprendre comment j'avais pu respirer au milieu de ce flot de parole qui venait de sortir de ma bouche. Je me mordis les lèvres pour m'empêcher de parler plus tout en hochant la tête au dire de l'exterminateur. Bon, si des insectes pouvaient se trouver dans un appartement propre, alors c'est que la saleté n'était pas vraiment en faute ici. Même si en effet, elle devait beaucoup aider... Je suivis sagement Hans et l'exterminateur jusqu'à notre chambre, prenant bien soin de rester derrière mon fiancé. En fait, je ne savais même pas pourquoi je les accompagnais, je n'avais aucune envie de revoir toutes ces bestioles après tout... Pourtant, je restais là, à écouter l'exterminateur, Timon d'après son badge. J'avais l'impression de voir des petits points noirs partir se cacher sous les meubles et les objets au sol partout, vu comme ça, la pièce semblait être condamnée à jamais, dédiée à présent à la grande famille de l'araignée... Vider la chambre ? Je paniquais en secouant la tête, il était hors de question que j'entre dans cette pièce, pas tant qu'il y aurait des bêtes à huit pattes un peu partout ! Ma peur devait se voir sur mon visage puisque Hans rectifia sa phrase. Je souris en essayant de me détendre. J'aurai bien voulu aider, mais... Non, je ne pouvais pas entrer dans cette pièce... Pas maintenant. Si j'essayais, j'allais très certainement paniquer, me mettre à secouer tout ce que j'allais prendre en hurlant de peur de me faire sauter dessus par un insecte et finir par blesser quelqu'un.

J'aiderai à tout réinstaller ! Une fois qu'il n'y aura plus d'araignée... En attendant moi je vais... Euh...Je vais faire quoi moi...

Je fis un pas vers le couloir, avant de me retourner vers les deux hommes, ne sachant pas trop où aller et que faire. Ce que j'avais oublié, c'était la tringle à rideau que j'avais fini par porter sur mon épaule et qui n'était pas vraiment des plus pratiques pour se déplacer dans un couloir étroit. Je la pris donc à deux main, en essayant tant bien que mal de manier la tringle pour sortir du couloir. Une tringle qui manqua d'éborgner l'exterminateur pour finalement finir contre le visage d'Hans. Oh non. Je laissais tomber mon fardeau au sol pour courir auprès de mon fiancé. Bravo Anna. S'il y avait une récompense pour la personne la plus stupide et maladroite, je serai dans les nominés pour la gagner... Si seulement il m'arrivait de réfléchir de temps en temps au lieu d'agir sans penser !

Oh non Hans, je suis désolée, je n'ai pas fait exprès, je ne voulais pas... ! M'écriais-je en posant doucement mes mains sur la partie blessée de son visage. Pardon, pardon... Est-ce que ça va ? Pitié dites moi que je ne vous ai rien cassé cette fois...

Qu'est-ce que je pouvais être idiote. Quand je disais avoir en permanence l'impression d'être dans un ascenseur émotionnel en chute libre ou, au contraire, en pleine monté, j'étais sérieuse. Moi qui pensais enfin avoir atteins un palier et aller mieux, j'avais eu tord. Ça ne faisait qu'un fait de plus à ajouter sur la liste de tout ce que j'avais pu faire subir aux gens auquels je tenais. Je me mordis une nouvelle fois les lèvres en sentant ma voix se mettre à trembler et les larmes menacer mes yeux. Un rien me faisait craquer en ce moment, raison de plus pour faire attention à ce que je faisais, et pourtant non, je continuais d'agir de manière totalement irréfléchis, Elsa avait raison, quoi que je fasse je restais toujours inconsciente. Je baissais la tête avant de murmurer :

Je crois que je vais aller continuer à ranger... Ça vaut mieux pour vous.

Si je devais faire une nouvelle petite crise, autant la faire dans mon coin et laisser l'exterminateur faire son travail en paix. Je leur tournais le dos pour me diriger vers le salon. Je soupirais, toute ma motivation à ranger semblait avoir disparu maintenant. Avec du chocolat, ça irait peut-être mieux... Tout aller mieux avec du chocolat. Et tant que je ne m'installais pas sur le canapé avec un pot de Nutella, je pourrai toujours faire autre chose à côté. La cuisine, à l'image des autres pièces, était elle aussi un véritable foutoir. Des couverts sales s'empilait dans l'évier car je n'avais pas eu la foi de vider le lave vaisselle depuis plusieurs jours, il y avait des emballages de tablette au chocolat dans les placards, des boites de plat tout préparer sur le plan de travail... Finalement, après le passage de Hans et de l'aspirateur, le salon semblait presque rangé à côté de ça. Je fourrais plusieurs carrés de chocolat dans la bouche avant de contempler la pile d'assiette dans l'évier, prise d'un grand découragement. Quand faut y aller... Faut y aller... C'était toujours mieux que de continuer à penser à ce qui s'était passé à l'hôpital avec Kristoff et Hadès, à ce qui s'était passé ici même avec Elsa et... Encore ce Hadès... Bon, si je ne voulais pas tout laver à la main, je pouvais toujours m'aider du lave vaisselle. Les couverts propres étaient déjà là depuis un moment, je n'avais qu'à les ranger et le relancer avec des assiettes sales pendant que je jetais le reste des ordures. J'ouvris donc le lave vaisselle, et commençais à faire la chose le plus passionnante au monde juste après le repassage... Le vider. Le temps d'aller monter un peu le son de la télévision pour que la musique arrive jusqu'à la cuisine, et j'étais partie. Ce n'était pas la place qui manquait dans les placards ou les tiroirs, vu que tout était déjà sorti et un posé n'importe où dans la cuisine. En revanche, essayer de porter toutes les assiettes pour les ranger d'un coup sans avoir à faire d'aller retour entre le placard et le lave vaisselle s'avéra être une mauvaise idée, puisque celle du dessus termina sa route par terre.

Zut... TOUT VA BIEN ! Criais-je à l'intention des deux hommes en maudissant ma maladresse.

Nous avions juste une assiette en moins... Bon sang, ça m'avait pourtant toujours semblé simple quand je voyais les employés du château le faire... Ces femmes étaient vraiment douées pour parvenir à garder des piles d'assiettes si hautes sans en faire tomber aucune... Surtout quand on savait que je traînais souvent dans leurs jambes. Maintenant je n'avais plus qu'à passer la balayette vue que l'aspirateur était utilisé dans l'autre pièce. Finalement, peut-être que ranger les couverts serait plus prudent pour le moment. Après avoir réparée mes dégâts, je sortis donc le petit panier contentant les fourchettes, cuillères et couteaux pour ranger le tout dans le tiroir. À vouloir faire trop vite, je finissais souvent par faire mal... Et encore une fois, c'était le cas, puisqu'au lieu de saisir un des couteaux par son manche, je le pris directement par la lame.

Ouille !

Je ne me rendis compte de mon erreur seulement après avoir réalisé que je m'étais étalé du sang sur les vêtements et sur le visage après avoir voulu m'essuyer les mains... En saisissant la lame, je m'étais carrément ouvert la paume et le pouce... Et le moins que je puisse dire, c'est qu'un pouce, ça saigne beaucoup... Beaucoup trop même, pourquoi est-ce que même en me passant la main sur l'eau le sang continuait de couler ? J'allais me vider de mon sang à ce rythme ! Pire, j'allais perdre mon pouce... Peut-être pas, mais quand même... Je sortis de la cuisine pour rejoindre le couloir, ma main blessée tenue au poignet par l'autre main, comme si elle était sur le point de tomber.

Euh... Hans ?... Est-ce qu'on a des pansements ? Je crois que je me suis coupée le pouce... Ou ouvert... Enfin, je le crois pas, j'en suis sûre même !
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Timon S. Merkat
Timon S. Merkat
Je vais pas me déguiser en Vahinée!
Admin animals
PHOTO D'IDENTITE : Spiders are your friend, and food ! Or not. ⊱ PV Hans&Timon Bro_bro_blub
Spiders are your friend, and food ! Or not. ⊱ PV Hans&Timon Giphy
Spiders are your friend, and food ! Or not. ⊱ PV Hans&Timon Giphy
DESSIN ANIME D'ORIGINE : Le Roi Lion
ÂGE DU PERSONNAGE : environ 43 ans d'humains
COTE COEUR : Les insectes, parce que sinon mon coeur est en miette
OCCUPATION : Pleurer ma solitude caché au sous sol du bar avec les araignées
LOCALISATION : surement au T & L's Bar
HUMEUR : Hakuna Matata, enfin on essai
COULEUR PAROLE : #006600
PRESENCE/ABSENCE : fidèle au poste o/
DOUBLES COMPTES : Hadès, Mally, Ian, Kevin, Dayhun & Gram
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Neil Patrick Harris & Gaekey
MON ARRIVÉE : 06/04/2013
MON VOYAGE : 2405
POINTS : 1127
Jeu 10 Avr 2014 - 0:06

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Une étape à la fois, tentait de se motiver Timon. Une chose à la fois et tout ira bien. Ça serait long, mais ce n’était pas grave, il était payé pour ça! Il fallait qu’il voie ça comme une chasse à l’insecte, ça pouvait être amusant en fait! Puiser en lui pour retrouver son côté animal, son instinct qui l’aidait à dénicher des tonnes d’insectes bien gouteux dans son ancienne vie… Bon ici, les insectes n’étaient pas aussi bien, mais il en avait trouvé des pas trop mal! Ils n’étaient pas aussi colorés non plus. Enfin il savait que certaines espèces exotiques l’étaient, mais celles qui se trouvaient en ville étaient plutôt laides, brunes ou noires, aucune originalité! Les couleurs vives de son ancienne nourriture lui manquaient, les jaunes, les verts, les bleus et surtout les rouges… Bon il avait vu des coccinelles, mais même leur rouge semblait fade et puis de toute façon, les coccinelles, ça goutait pas vraiment bon… ça pouvait servir d’assaisonnement, mais sans plus! Et encore, il ne fallait vraiment pas en mettre beaucoup. Oui, la bonne bouffe de chez lui manquait au blond, mais il ne pouvait pas nier que les humains avaient un certain talent pour cuisiner! Enfin, en général, car certain étaient vraiment nuls et faisaient tout cramer… Lui-même n’était pas très doué, mais il faisait de son mieux et s’améliorait.

Il du se concentrer sur sa tâche lorsque l’homme revint avec l’aspirateur… mais peut-être qu’il pourrait gouter une araignée ou deux? Il verrait bien si l’occasion se présentait, car il sentait qu’un petit creux était en train de se former dans son estomac. Oui, il aurait faim bien assez tôt, ça c’était certain! Il faut dire qu’à l’exception de ses mois de dépression, il avait toujours eut un bon appétit! Manger sur les lieux de travail ne l’avait jamais gêné, c’est que ses collations étaient à porté de main! Un petit cafard par-ci, un par-là et hop, il était bon jusqu’au prochain repas! C’était ce qu’il aimait de son travail, ça et le fait qu’il pouvait bouger! Jamais il n’aurait pu travailler dans un bureau toute la journée assit… Il aurait sans doute dormit… et serait mort de faim entre deux repas. Quoique faire la sieste aurait été bien, sauf qu’il était certain que son patron ne l’aurait jamais laissé faire! Étrangement, ce n’était pas bien vu de dormir au travail! Bon en même temps, en étant logique, c’était normal qu’on ne veule pas payer des gens à dormir! Sauf peut-être pour vendre des matelas? Mais bon, c’était autre chose.

Pendant que l’homme et lui commençaient à faire leur boulot, la demoiselle partie s’occuper ailleurs. Non sans avoir presque éborgné le suricate et frappé le roux avec le truc qui tient les rideaux… C’était une chance que le blond avait eut le réflexe de reculer d’un pas! Il avait d’ailleurs faillit se prendre la tringle pendant le court trajet jusqu’à la chambre… Il ne pensait pas que travailler ce jour-là serait aussi risqué, sinon, il serait resté auprès de Laurence! Bon être avec ce dernier pouvait aussi être risqué, tout dépendant de s’il avait prit ses médocs ou pas… Bon, quoiqu’il en soit, il regarda Mademoiselle danger publique cajoler son amoureux… Le pauvre… La mangouste ne pouvait s’empêcher de penser que ça ne devait pas être la première fois qu’un truc du genre arrivait… Elle s’en alla donc finalement… Ah vraiment les femmes!

- Pour faire un bon travail, il faudra regarder attentivement chaque chose que nous sortirons de la chambre, le but étant que les araignées ne sortent pas de la pièce, sauf en étant dans le sac de l’aspirateur. Je vous laisse inspecter les tiroirs et leur contenu et moi je vais regarder sous le lit, puisque c’est là que votre… conjointe les as vu.

Lorsque Timon poussa le lit, il vit une marrée de bestioles! Il démarra aussitôt l’aspirateur, qui les mangea aussi rapidement que Pumba faisait disparaitre des asticots. Une petite imprudente monta le long du tuyau d’aspirateur… Il la fit disparaitre ni vu ni connu dans son estomac. C’était de la bonne qualité! Elle devait vraiment avoir beaucoup de nourriture… des mouches, qui elles se nourrissaient des déchets… C’était donc la recette pour avoir de bons insectes? Mais était-il prêt à vivre dans un dépotoir pour engraisser des bestioles? Non, surement pas. Et puis le couple de roux avait de la chance qu’il n’y ait pas de rats chez eux avec tout ce que le suricate avait vu!

Il avait réussit à aspirer pas mal d’araignées et d’autres insectes louches lorsqu’il arrêta l’appareil. Ça lui semblait une bonne chasse, bien qu’il restait pas mal de trucs à faire. Une assiette se brisa dans la cuisine, suivie d’un cri pour dire que tout allait bien… Vraiment? Parce qu’en fait la maladresse de cette femme était vraiment effrayante… Dire que Timon croyait qu’il était maladroit, mais en fait, ce n’était rien, il avait trouvé son maître! Et il ne savait pas encore à quel point…
Puisqu’il n’y avait pas de blessés autre que de la vaisselle, le blond se tourna vers l’homme :

- Hé bien, elle n’est pas te tout repos, hein? S’il n’y a pas d’araignée et que vous êtes prêt, nous allons déplacer la commode et la sortir d’ici.

Il prit son côté et tout allait bien jusqu’à cette fois ce soit une exclamation de douleur qui leur parvint de la cuisine… Sursautant, l’ancien animal se pris le meuble sur le pied. Il ne saurait dire si c’était de sa faute ou de celle de l’autre homme… peut-être les deux? Quoiqu’il en soit, il tenta d’étouffer le cri de douleur qui montait dans sa gorge, le transformant en grognement… Il essayait évidement de garder un air professionnel alors qu’il tentait de dégager son pied meurtri… Il commençait à en avoir mal à la tête… surement parce qu’il oubliait de respirer? Aussitôt dégagé du meuble, il recommença à respirer se laissant choir au sol en agrippant son pauvre pied… Il devait être chez les fous! Dire qu’il n’avait jamais cru les blagues stupides qui disent que les roux sont dangereux… et bien c’était à reconsidérer…

Après un moment, Timon se releva, boitillant jusqu’au couple essayant de cacher son air de plus en plus mécontent :

- Si tout le monde à encore ses morceaux, il faudrait continuer, sinon vous de pourrez pas dormir dans votre chambre cette nuit…

Il tourna les talons pour retourner au travail. C’est alors qu’un cafard passa… le suricate l’attrapa et le croquant sans se soucier des deux autres… Qu’ils l’aient vu ou pas, il s’en foutait. En fait il espérait presque qu’ils le foutent dehors… et puis il avait faim et quand il a faim, il devient irritable… Alors rien de tel qu’une petite collation pour se sentir mieux! Et un cafard c’était tellement mieux que n’importe quelle barre chocolatée!

Il enleva les draps du lit, les secouant avant de les refiler aux autres :

- je vous conseil de les laver… je vais jeter un coup d’œil s’il n’y a pas de trous dans le matelas…

Il n’y en avait pas et il aspergea le dessous de produit insecticide avant de repousser le lit dans un coin déjà nettoyer… Bon maintenant le placard… Pourquoi Timon avait-il peur d’ouvrir les porte?





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Ven 11 Avr 2014 - 22:17

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Anna D'Arendelle & Timon S. Merkat



Comme à son habitude, Anna fut maladroite et elle me frappa avec le tringle directement au visage. J'en fus surpris sur le coup et je pris quelques secondes avant de réaliser ce qu'il venait de se passer. Je mis alors mes mains sur ma tempe et je la frottai doucement jusqu'à ce qu'Anna vienne s'excuser en mettant ses mains sur ma blessure. Je me penchai pour qu'elle puisse me toucher sans trop de difficulté puisque j'étais vraiment plus grand qu'elle. Je finis par faire un signe que non que tout allait bien, mais j'étais quand même un peu étourdis et je n'étais pas persuadé d'être capable d'aligner deux mots pour faire une phrase. Elle décida alors de quitter pour se diriger vers le salon et moi je tendis mes lèvres vers elle pour ne recevoir aucun baiser de sa part. Je courbai un sourcil en la regardant partir, mais je finis rapidement par conclure qu'elle se sentait terriblement coupable pour ce qu'elle pouvait m'infliger comme blessure. Oui, ce n'était pas évident de vivre avec elle et si j'avais su, je n'aurais pas vécu avec elle avant de savoir comment revenir à Arendelle. Ça aurait été beaucoup plus simple et moins douloureux... Mais au moins ça en valait la peine. Je continuai à regarder en sa direction jusqu'à ce que l'exterminateur se mette à me parler de la technique qu'il voulait que nous utilisions pour capturer les araignées. Je hochai la tête pour approuvé le plan.

« Fiancée... C'est ma... fiancée. » Finis-je par dire pour corriger l'homme

Mes esprits étaient en train de revenir tranquillement et je réussis à faire les quelques pas nécessaire pour entrer dans la chambre. À peine entré, l'homme poussa notre lit et une centaine de petites tâches noires se mirent à bouger dans tout les sens. Je frissonnai et je détournai le regard pour le porter aux tiroirs de notre commode qui étaient heureusement pas habités par des insectes. L'aspirateur faisait de drôles de bruits. C'était dégouttant quand je pensais que c'était des araignées aspirées qui faisait ce bruit... Et sans doute des moutons de poussière et de la petite monnaie étant donné le désordre qu'il pouvait y avoir dans la pièce.

Un sons d'assiette cassée se fit entendre. Je m'arrêtai de bouger immédiatement et je tendis l'oreille pour savoir si Anna allait bien. Je n'eus même pas besoin de lui demander qu'elle nous assura que tout allait bien.

« Non... Elle est... Enfin, vous savez, la vie n'est pas ennuyante avec elle..! »

Non, pour ça, c'était sûr. Il y avait toujours quelque chose avec elle, à tout les jours. Un nez cassé, une presque noyade... Des araignées dans l'appartement... Je me dirigeai vers une extrémité de la commode et j'attendis Timon pour la soulever et se diriger vers le couloir pour la déposer. Cependant, nous n'avions pas fait plus de cinq pas que j'entendis Anna me demander si nous avions des pansements, car elle venait de se couper le pouce. Paniqué j'échappai le bureau et je courus la rejoindre pour voir les dégâts. À l'entendre parler j'avais presque peur d'arriver dans la cuisine et de la voir avec un pouce en moins, mais je fus soulagé en voyant que c'était une toute petite coupure.

J'allais alors dans la salle de bain où une boîte de pansements se trouvait dans la petite pharmacie au-dessus du lavabo et je l'apportai à ma fiancée. Je la regardai en mettre un, oubliant l'homme qui se trouvait dans notre chambre jusqu'à ce que celui-ci nous fasse rappeler que nous n'avions pas terminé de faire le boulot. J'allais alors le suivre pour reprendre mon poste jusqu'à ce que je le vois croquer dans un cafard. Mes yeux s'arrondirent et ma bouche s'ouvrit. J'avais dû halluciner...! Les gens ça ne mangent pas les insectes! Ça ne devait pas être réel, surtout que l'homme n'avait même pas semblé dérangé et avait continuer à faire son travail...

Il me lança les couvertures au visage en me disant que nous devrions les laver. Je fronçai les sourcils et mon teint commença à tourner écarlate. Je n'allais pas tolérer bien longtemps son manque de savoir vivre! Nous dépendions peut-être de lui, mais s'il continuait j'allais porter plainte à la compagnie d'extermination! S'il savait qui nous étions..! On ne lance pas des draps au prince Hans Des-îles-du-sud, oh non! J'étais tellement énervé que lorsque Timon se dirigea vers le placard de la chambre, je ne voulus même pas l'avertir qu'il ne devait pas l'ouvrir. Un large sourire se dessina sur mon visage et j'attendis patiemment que la porte s'ouvre pour m'exclamer :

« Ne l'ouvrez pas! »

Oups, trop tard... C'était dommage! Tout son contenu tomba immédiatement sur lui, au point que je n'étais pas capable de voir un de ses membres. Alors qu'il se trouvait ensevelit par tout les trucs qu'Anna avait pu stoker à l'intérieur, moi je riais silencieusement, satisfait, puis après quelques secondes, je revins sérieux et j'allai aider le blond à sortir de là.

« Désolé! Anna à beaucoup de mal à être soignée et elle range tout ce qu'elle voit traîner dans ce placard, j'aurais dû vous le dire dès le départ... »

Ou pas. J'avais bien fait de ne pas lui dire, car le karma s'était chargée de lui. Je l'avais bien dit qu'on ne me lançait pas de draps au visage!

« Au moins maintenant ont sait qu'il n'y pas d'araignées dans le placard! » ajoutais-je en souriant innocemment

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Dim 13 Avr 2014 - 15:55
Anna&Hans&Timon
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Je continuais d'avancer dans le couloir menant jusqu'à ma chambre, manquant au passage de rentrer dans Hans qui venait d'accourir vers moi. Je ne trouvais rien de mieux à faire que de lui montrer ma blessure, tout simplement car je n'avais aucune idée d'où pouvait bien être rangé les pansements. Quelque chose ne devait pas être logique chez moi, je parvenais à m'y retrouver parmi le bazar continue de mon appartement, mais j'étais incapable de savoir où se trouvait une boite de pansement... Qui finalement se situait dans la salle de bain. Ce n'était pas très compliqué en fait... Et plutôt normal, si la pharmacie se serait trouvé dans le frigo, là, je me serai surement posé des questions. Quoi qu'il en soit, ce n'était pas le cas, et je remerciais mon fiancé d'un grand sourire avant de me concentrer pour panser ma coupure. Concentré oui, surtout après qu'un des pansements soit rendu inutilisable en se collant au bout de mes doigts. Je secouais la main pour tenter de le décoller, et lorsque enfin je parvenais à en coller un correctement, la voix de l'exterminateur me sortis de cette concentration. Si j'avais tous mes morceaux ? Heureusement que oui ! Il n'aurait manqué plus que ça, que je termine aux urgences pour avoir perdu un pouce ! Surtout que mine de rien, un pouce, c'était quand même utile. Je terminais tranquillement de cacher mes coupures pendant qu'Hans me quittait pour repartir aider le chasseur d'insecte.

Ce n'est qu'une fois la boite à pharmacie rangé que je rejoignis à mon tour la chambre, prête à offrir mon aide vu que les araignées avaient déjà dû être aspiré. Je l'espérais. Mais le danger semblait avoir disparu, je me décidais donc à franchir la porte pour découvrir que le blond avait eu le malheur d'ouvrir l'armoire. Je me précipitais au côté de Hans pour aider le pauvre exterminateur à sortir de la dessous. Cette armoire, c'était un peu comme la pièce juste en face de notre chambre. Quand je ne savais pas où ranger quelque chose, je le plaçais là, en me disant que je rangerais correctement le tout plus tard. Sauf que bien sûre, au final, tout restait en plan et l'armoire ne cessait de se remplir de tout et n'importe quoi. Il n'y avait que le côté où je rangeais nos vêtements d'à peu près soignée... Sinon, c'était des couvertures, des sacs, des objets, bref, tout pouvait se trouver là dedans. Enfin là, c'était plutôt par terre. Je dégageais un peu l'espace avant de soupirer une fois encore devant l'ampleur de ce bazar. Mais au moins, Hans avait raison, il n'y avait pas d'araignée dans le placard.

Heureusement, vous imaginez si en plus ces bestioles s'étaient infiltrées dans nos vêtements ? Ce serait... Brrr !

Je n'avais pas d'autre mot pour décrire ce frisson que me procurait une telle idée. Déjà que rien le fait de penser qu'elles étaient sous notre lit depuis longtemps était pénible... Même si dans tous les cas, je comptais bien tout ranger et tout passer au peigne fin avant de pouvoir revivre ma vie ici normalement. Et autant commencer tout de suite. Je décidais de prendre une couverture qui faisait partie du tas d'objet au sol pour la secouer et la plier, avant de découvrir une tache noir accroché dessus. Une tâche noire, avec huit pattes. Oh non. Je poussais un cri avant de balancer par réflexe la couverture par terre et de bondir sur mon lit. Ce n'était pas possible, combien d'araignées se cachaient encore ici ?!

En fait, si, si, si, si, si, il y en a, il y en a une ! Couinais-je en pointant du doigt la couverture qui jonchait au sol. Je crois qu'il vaut mieux que je retourne dans la cuisine, la vaisselle ne va pas se laver toute seule, malheureusement... Oh ! Vous voulez boire quelques choses peut-être ? Je peux nous préparer du café ! Il reste des cookies au chocolats dans le placard en plus, je crois... Oui, je vais faire ça ! Avant de tomber sur une autre araignée...

Je sautais du lit et quittait la pièce en évitant au maximum tout contact entre mes pieds et le sol, craignant d'écraser une araignée par inadvertance. Malheureusement, la cuisine était toujours dans le même état, non, la vaisselle sale présente dans mon évier n'avait pas disparu comme par magie, tout comme le bazar ambiant. Mais le rangement pouvait attendre, l'heure du déjeuner arrivait, et j'avais faim. Je sortis donc la boite de cookie du placard et commençait à en grignoter quelque un tout remplissant deux tasses d'eau. Je n'avais jamais vraiment fait de café en fait, la seule fois où j'en avais bu, c'était lors de la saint Valentin, à Disney World, et les choses ne s'étaient pas très bien passé ensuite puisque j'avais fini par rejeter mon petit déjeuner, et ce alors qu'Hans était sur le point de me demander en mariage... Renouveler l'expérience ne me tentait pas vraiment, mes émotions jouaient déjà assez au yoyo comme ça. Malgré cet accident, cette journée restait une des meilleures que j'avais pu vivre ici, avec mes retrouvailles avec Elsa et bientôt, mon mariage. Oh, j'avais tellement hâte ! Soudainement de bonne humeur, je rajoutais le café en poudre et commençais a touiller tout ça, avant de réaliser que ça ne risquait pas de fonctionner si l'eau n'était pas chaude...

C'est donc tout naturellement que je plaçais les deux tasses dans mon micro-onde que je mis ensuite à chauffer pour cinq minutes. Certaine personne apprennent de leur erreur... Ce ne devait pas être mon cas. Je le savais pourtant, je le savais qu'il ne fallait surtout pas laisser de couvert, de métal ou d'aluminium dans un four micro-onde en marche, en particulier après avoir laissé de l'aluminium et manqué de faire exploser mon appartement quelques semaines après mon aménagement ici. Et pourtant... J'avais eu la sottise de laisser les deux cuillères dans leurs tasses avant de mettre en marche le micro onde. J'aurai pu m'en rendre compte immédiatement et ainsi éviter de nombreux dégât, mais aller savoir pourquoi j'avais plutôt décidé d'aller manger mes cookies devant la télé, assise sur le canapé, en attendant que le café chauffe. Encore une grosse erreur... La fois où j'avais enfumé tout l'appartement et ameuté l'immeuble à cause de mon alarme incendie en laissant cuir des cookies sans surveillance ne me vint pas à l'esprit sur le coup...

Il y eu d'abord un bruit, comme une mini explosion. Mais ça, je n'en étais pas sûre, l'attention rivé sur la télévision et sur le jeu télévisé qui y passait. Mais ce bruit se répéta, une fois, puis deux, de plus en plus fort et lorsque que finalement je levais mon derrière du canapé pour voir, c'est les yeux écarquillés que je découvris mon micro-onde totalement... Explosé... Je ne trouvais pas d'autre mot. La porte était ouverte, du café avait jailli un peu partout dans la cuisine, mais surtout, il était en train de prendre feu ! Oh mon dieu. Qu'est-ce que j'avais fait ?! Je fis la première chose qui me passa à l'esprit, à savoir remplir un verre d'eau et le balancer sur les flammes. Ce qui ne s'avéra pas très efficace... Même après plusieurs fois. Le feu était en train de s'attaquer à mon frigo ! Complètement paniqué, je courus jusqu'à la chambre :

Le feu, il y a le feu ! Hurlais-je, mon verre toujours à la main. Sans attendre, j'entrais dans la chambre pour saisir le téléphone fix, téléphone qui, à cause de ma panique, termina m'échapper des mains pour faire un vol planer dans la pièce. Ooooh, qu'est-ce que je vais faire... m'écriais-je en plaquant mes mains sur mes joues. Il... Il faut appeler les plompier ! Plombier ! Non, pompier, il faut appeler les pompiers ! N'importe qui !

À quatre pattes sur le sol, je cherchais désespérément où se fichu téléphone avait bien pu partir. Mon appartement était en train de prendre feu ! Et tout ça à cause de moi... Avec tout ça, je ne pensais même plus aux araignées que j'avais a tout pris voulu éviter quelque temps plus tôt. Et ce téléphone qui restait introuvable ! Ma cuisine était peut-être déjà réduite en cendre ! Ou pas d'ailleurs, je pouvais peut-être essayer de limiter les dégâts ! C'était ma faute, alors c'était à moi de régler tout ça. Essayer, du moins. Je me mis à courir jusqu'à la salle de bain pour récupérer une bassine que je remplis d'eau. Je ne savais pas vraiment ce que je faisais, si j'avais vraiment en tête de maitriser le feu toute seule ou pas... J'agissais sans réelle réflexion, vidant à moitié ma bassine sur le sol avant même d'arriver à la cuisine. Les flammes gagnaient du terrain, comment-est ce qu'une si petite explosion de micro-onde avait pu déclencher ça ? Je balançais le peu d'eau qui restait dans ma bassine sur le feu, mais comme avec le verre d'eau, ce n'eut pas vraiment l'effet escompté. Mais je ne me décourageais pas, et si faire des allers-retours entre la salle de bain et la cuisine était trop long, alors autant directement utilisé l'évier se trouvant dans la cuisine, justement. Et c'est ce que je décidais de faire en rentrant dans la pièce en feu. On avait déjà vu plus intelligent comme réaction, mais sur le moment je ne parvenais pas à penser à autre chose.

©flawless
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Lun 14 Avr 2014 - 20:08

Spiders are your friend, and food ! Or not.
Anna D'Arendelle & Timon S. Merkat



Anna quitta la pièce après avoir aidé l'exterminateur à se relever en disant qu'heureusement aucune araignée n'avait eu le courage de pénétré dans le placard. Je poussai bruyamment de l'air par le nez tout en faisant un petit sourire comme signe d'amusement. Cependant, Anna se rendit rapidement compte qu'elle avait eu tord de dire cela et elle lança la couverture au sol en pointant l'insecte à huit pattes qui y rampait. D'accord... Elle décida de quitter la pièce et Timon et moi continuâmes de vider la pièce jusqu'à ce que j'entende ma fiancée hurler en provenance de la cuisine.

Au feu..? Au feu! Sans déconné?! J'avais l'impression qu'Anna ne savait rien faire de ses dix doigts, vraiment. Je soupirai et j'allai voir à la cuisine ce feu qui devait être en fait minuscule, mais lorsque je le vis, je changeai rapidement d'opinion et je me mis à paniquer intérieurement. Je restai figé sur place, à regarder les flammes qui commençaient déjà à s'attaquer au frigo. Je me revoyais encore petit, coincé dans les oubliettes du château en feu par ma faute. J'avais eu si peur cette après-midi là, j'en avais pleuré toute la nuit et mes parents m'avaient punis pour y avoir été alors qu'ils me l'avaient formellement interdit. J'aurais pu mourir à l'âge de 7 ans, brûlé vif, enfermé dans les cachots. J'avais désormais 23 ans, mais je sentais la peur m'envahir dans tout mes membres jusqu'à ce que Anna se mette à jeter de petits verres d'eau sur le micro-onde. Je sortis à ce moment de mon état seconde et je décidai de partir de la pièce pour aller chercher Elsa. Le feu et la glace ne sont pas fait pour s'entendre, tout le monde sait ça! Elle pouvait régler notre problème.

« Anna, ne bougez plus et tâchez de ne pas vous brûler, je reviens dans quelques minutes! »  Je fis un arrêt à la chambre pour  avoir l'attention de Timon. « Allez surveiller Anna dans la cuisine s'il vous plaît, pour l'empêcher de faire d'autres bêtises..! »

Je ne pris aucunement le temps de vérifier s'il y allait ou non. Je devais réagir vite. Je couru jusqu'à la porte d'entrée de notre l'appartement et je l'ouvris d'un geste rapide et la fit claquer contre le mur pour traverser le couloir et aller cogner frénétiquement à la porte de la sœur de ma fiancée. Après une bonne vingtaine de coups, elle ne répondait toujours pas. J'observai tout autour de moi quelques secondes en me mordant la lèvre puis je finis par toucher la poignée de la porte avec hésitation  et je la tournai pour me rendre compte que la porte était déverrouillée. Génial! J'entrai en trombe dans son appartement en gueulant son nom et lorsque je finis par la trouver je voulus lui expliquer, mais rien ne voulait sortir correctement.

« Le icro-monde, non le micro-dome...! Le mi-, le micro... Le micro-onde! Le feu et le frigo et Anna et... Venez! »

J'avais le souffle coupé comme si j'avais couru un marathon, alors que je n'avais fais que quelques pas, mais la fumée que le feu pouvait produire était si dense qu'il n'était pas évident de respirer dans la pièce. J'entendis alors le système de feu faire son petit cri strident habituel et j’agrippai aussitôt le poignet de la blonde pour l'amener avec moi dans mon appartement puis la tirai jusqu'à notre cuisine où le micro-onde brûlait toujours.

« Elsa, faites quelque chose! »

J'aurais pu lui dire s'il vous plaît ou encore à la limite j'aurais pu la supplier de le faire, mais quand même, j'étais moi. J'étais l'homme qui rêvait de prendre le pouvoir d'Arendelle, mais de le partager cette fois-ci avec Anna. Je voulais assassiné Elsa, mais je dépendais d'elle pour l'instant. J'avais besoin qu'elle m'accepte pour que les habitants d'Arendelle m'accepte comme leur roi après ''l'accident'' d'Elsa. J'avais besoin de faire le gentil petit agneau lorsqu'elle était là, c'était désagréable.

codage par langweilen sur apple-spring

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Sam 19 Avr 2014 - 21:16


Il y a des tas de jeux qui se font en appartement... Comme... Je ne sais pas,  des jeux de sociétés comme...monopoly, scrabbles, la bonne paie, mille borne, times up, taboo, destin, trivial poursuite, yatzee, rami, belotte, poker, black jack, bataille, pouilleux massacreur. Sans compter les jeux vidéos avec ses mario partys, mario kart, wii party, wii sport, just dance, call of duty et autre street fighter. En somme, il y avait des tas de jeux calmes, sympathique, corrects et civilises auquel Elsa et Kristoff auraient pu jouer... Mais non. Le monopoly... C'était seulement bon si vous ne vouliez plus être amis avec la personne. Sans déconner, avez vous déjà REELLEMENT terminé une partie sans que ça finisse en dispute ou que l'un des participants abandonne parce qu'il en a marre ? Moi pas. D'ailleurs, je ne suis même pas sure de savoir quand une partie est censée être terminée...

Scrabbles ? Pareil, ça finit toujours mal. Les gens inventent des mots, ou perdent les pièces, les grattent pour les transformer en joker ou encore ils ne sont pas aussi cultive que leur adversaire et par conséquent refusent d admettre l’existence et la véracité de certains mots trop compliques pour eux. Oh, pas qu'Elsa doute de la culture de Kristoff, elle le trouvait vraiment charmant et intelligent mais... Il avait tout de même été élevé par des trolls, alors forcement, il se pouvait qu il y ait quelques... Lacunes a son éducation. Pas qu elle veuille dire qu'il a été mal élevé, non ! Loin de la. C'était juste que... Bref. La bonne paie ? Ca va, ils n avaient tout de même plus dix ans et n'avaient pas de neveux ou nièce avec qui y jouer.

En parlant de ça, Elsa espérait du plus profond de son coeur qu Anna et Hans n'auraient pas d'enfant d'ici peu. Pas qu'elle n'aimait pas les enfants mais... Bon, d'accord, elle n'en était pas non plus très fan, mais elle se doutait que sa soeur en voudrait sûrement. S'occuper d'eux était même son métier ! Mais voilà, rien que l'idée de leur mariage ne la ravissait pas, alors qu'elle aie des enfants... Surtout des enfants avec qui il faudrait jouer au mille borne, jeux qui est, qu'on se le dise, chiant. Times Up ? Elsa tenait beaucoup trop à son image pour ce jeu et ne se voyait clairement pas s'agiter dans tout les sens pour citer des noms de films ou de série, certainement pas. D'ailleurs, autant arrêter là, Elsa n'était de toute façon pas très jeux de société...

Ni société tout court. Mais ça ne l'empêchait pas de bien s'entendre avec certaines personnes, la preuve, ça se passait bien avec Kristoff ! Même si ça dégénérait...Facilement. Voyez vous, les deux avaient un léger problème avec la glace, alors quand Kristoff avait malencontreusement renversé le bac à glacé sur les pieds d'Elsa... Elsa qui avait réagit assez...Soudainement. C'était sans réfléchir qu'elle avait laissé échapper une gerbe de neige dans sa direction...Et ça avait forcément mal finit. Et l'inévitable était rapidement arrivé : L'appartement avait finit remplis de neige. D'ou la mini crise de panique lorsque quelqu'un frappa à la porte de chez elle. L'appartement était complètement enneigé elle ne pouvait pas ouvrir comme ça ! Comment est ce qu'elle pouvait bien expliquer que son appartement était plein de neige, surtout à cette période de l'année ?!

Après un regard paniqué ils entreprirent de faire disparaître toute la neige et c'est en poussant un petit tas sous la neige et en secouant ses cheveux qu'Elsa se retourna brusquement vers la porte qui venait de s'ouvrir...Oh ce n'était que Hans ! Si elle avait su que c'était lui elle ne se serait pas donné tout ce mal et serait allé ouvrir directement ! D'autant plus qu'il avait l'air, comment dire...Assez paniqué. Bon, complètement paniqué même, mais qu'est ce qu'il lui arrivait ?! Il bafouillait ?! Le micro monde ?! Pourquoi il parlait d'un micro monde avec un micro dome ?! Oh le micro onde ! ...Le frigo ? Le frigo et Anna ?! Anna était elle dans coincé dans le frigo ?! D'accord, de toute façon, il la tirait par le bras, elle finirait bien par savoir de quoi il parlait..Wait wat ?! L'alarme incendie ?! Mais qu'est ce qu'il se passait ?! AH MAIS POURQUOI DU FEU ! Le micro onde avait prit feu ! Elsa ne mit que quelque secondes à réagir, ouvrant ses mains nues vers le foyer du feu afin de le geler et d'arrêter ça. Elle glissa longuement une main sur son front jusqu'à sa joue...

«  ...Je ne veux même pas savoir comment tu as fais ça Anna... »

Et elle fit simplement demi tour pour rentrer chez elle, Hans avait peut être interrompu une bataille mais pas la guerre !
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Timon S. Merkat
Timon S. Merkat
Je vais pas me déguiser en Vahinée!
Admin animals
PHOTO D'IDENTITE : Spiders are your friend, and food ! Or not. ⊱ PV Hans&Timon Bro_bro_blub
Spiders are your friend, and food ! Or not. ⊱ PV Hans&Timon Giphy
Spiders are your friend, and food ! Or not. ⊱ PV Hans&Timon Giphy
DESSIN ANIME D'ORIGINE : Le Roi Lion
ÂGE DU PERSONNAGE : environ 43 ans d'humains
COTE COEUR : Les insectes, parce que sinon mon coeur est en miette
OCCUPATION : Pleurer ma solitude caché au sous sol du bar avec les araignées
LOCALISATION : surement au T & L's Bar
HUMEUR : Hakuna Matata, enfin on essai
COULEUR PAROLE : #006600
PRESENCE/ABSENCE : fidèle au poste o/
DOUBLES COMPTES : Hadès, Mally, Ian, Kevin, Dayhun & Gram
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Neil Patrick Harris & Gaekey
MON ARRIVÉE : 06/04/2013
MON VOYAGE : 2405
POINTS : 1127
Dim 20 Avr 2014 - 14:44

Spiders are your friend, and food ! Or not.


Les gens devraient écouter leurs pré-sentiments, ce que ne fit visiblement pas Timon lorsqu’il décida d’ouvrir le placard… Peut-être que son instinct de survie était en vacance ce jour-là? Bon en fait, malgré cette intuition lui disant qu’il devait être prudent, il se disait que ça ne pouvait pas être si pire… en fait ce fut bien pire! La quantité d’objets contenu dans cet espace de rangement semblait défier toute loi de la physique… pas que le suricate s’y connaissait spécialement, mais il se demandait vraiment comment tout ça avait bien pu entrer là dedans. Et puis l’autre qui lui avait dit de pas ouvrir alors qu’il avait déjà tourné la pognée… Ça ne lui tentait pas de parler cinq secondes plus tôt? C’était à croire qu’il avait fait exprès d’attendre que l’avalanche soit déclenchée avant! Il en voulait au blond ou quoi? Ce dernier faisait de son mieux pour aider et ce rouquin lui faisait un tour semblable? C’était carrément de la cruauté envers les animaux! Et puis les pauvres araignées qui vivaient là… elle ne méritaient pas ça! Timon ne comprenait évidement pas qu’il avait insulté l’homme avec l’histoire des draps… C’était si ridicule! Il avait quoi, huit ans pour se frustré comme ça? Heureusement, le suricate était assez simple d’esprit pour passer par-dessus cette mesquinerie… Bien qu’il ne pouvait pas non plus s’empêcher de se méfier de lui… Il y avait quelque chose de sombre chez cet homme. Quelque chose sonnait faux alors qu’il parlait. Il faisait son type sympathique, plaisantait, mais plus ça allait et plus l’ancien animal n’aimait pas la situation…

Timon parvint à repousser la planche à repasser qui le recouvrait. Il y avait surtout des couvertures et des trucs mous, sauf pour ça… Il sentit quelque chose sur son front, un truc légèrement collant… une grosse araignée écrasée? Il tendit la main et découvrit plutôt un espèce de jouet vert en gel solide en forme de main que les enfants peuvent coller sur les murs. Il ne voulait même pas savoir comment ça c’était retrouvé là… en puis il y avait plein de mousse collée dessus… Il envoya ce truc à la poubelle, c’était dégueulasse. Alors qu’il se relevait enfin, la rousse revint, question de crier sur une pauvre araignée sans défenses. C’était une vraie hystérique en fait… Une hystérique et un… type aux intentions pas claires… Mais bon, ce n’était pas trop de ses oignons, surtout qu’il n’aimait pas vraiment ce légume. N’empêche qu’il commençait à avoir l’air exaspéré…
Le moulin à parole parla de café et de biscuit, ce qui n’intéressait pas la mangouste, mais la jeune femme était déjà repartie sans qu’il n’ait eu le temps de protester ou de dire que ce n’était pas nécessaire… Prendre une petite collation les ralentirait et puis il commençait vraiment à vouloir quitter cet endroit! Et puis de toute façon il n’était pas très fan de café… Son cœur battait souvent trop vite après en avoir bu, au point où c’en était inconfortable. Mais bon, peut-être que par politesse il en prendrait un peu lorsqu’ils auraient fini. Et puis, pendant ce temps, la rousse n’était pas dans leurs pattes. Quoiqu’en fait il aurait sans doute mieux valu la surveiller…

Timon bouffa l’araignée ce disant que ça mettrait fin à ses souffrances… La pauvre ne méritait pas de vivre dans un tel enfer! Après inspection du placard, l’exterminateur n’en trouva pas. Ils finirent de sortir ce qu’ils devaient sortir de la chambre et le blond vaporisa un insecticide à certains endroits. Alors qu’il terminait un bruit peu rassurant lui vint… Une petite explosion? Oh mais par Mufassa que pouvait-elle fabriquer dans la cuisine? Et puis il sentit l’odeur de brûlé avant d’entendre la demoiselle crier au feu… Non mais il devait rêver?! Comment avait-elle mit le feu alors qu’elle devait faire des cafés et ramener des biscuits? Ça échappait vraiment à la compréhension du suricate qui resta quelques instants figé sans savoir comment réagir. Et dire qu’il avait finit le boulot et qu’il ne restait qu’à tout ranger dans la chambre! Et puis elle voulait appeler les plombiers… Bon c’était l’effet de la panique, et ça aurait pu être drôle dans une autre situation. La panique, c’était ce qui était en train d’envahir l’homme alors que l’autre lui demandait de surveiller Anna… Lui surveiller ce danger public? Est-ce vraiment possible de l’empêcher de faire des bêtises? Et puis il courrait où? Surement chercher un extincteur…

Timon se précipita donc dans la cuisine pour constater l’ampleur des dégâts, mais il glissa dans une flaque d’eau. Mais pourquoi y avait-il de l’eau au sol alors que le feu était pris quelques mètres plus loin? Il se releva pour trouver la rousse qui essayait de combattre le feu. Mais ça lui arrivait de réfléchir?! Il ne fallait pas rester là! La mangouste l’éloigna donc du brasier et c’est à ce moment qu’une femme blonde débarqua. Elle faisait quoi là? Ça ne ressemblait pas à une pompière! Les pompières, elles devaient s’habiller comme les pompiers! Il faut dire que ni un ni l’autre n’a le pouvoir de geler le feu normalement… L’homme se frotta les yeux : Avait-il bien vu ou pas? C’était ce que les humains appellent de la magie? Il devait bien y avoir un truc, c’était trop étrange… et puis ça lui rappelait des pancartes qu’il avaient vu à propos de la sortir d’un film… Y avait-il un lieu? Surement pas puisqu’il devait avoir mal vu… sauf qu’après que la blonde eut parlé à Anna avant de partir, le suricate alla voir de plus près et vit bien que le feu était gelé… C‘était trop bizarre. Il ne chercha pas trop comment ça pouvait être possible, se tournant plutôt vers le couple de fous, heum de roux.

- Je veux pas non plus savoir comment tout ça est arrivé… On avait fini pour la chambre… pour le reste de l’appartement je crois que monsieur peut surement se charger de vaporiser l’insecticide. Rangez et vous n’aurez plus autant de problèmes… Oh et vous recevrez la facture de ma compagnie d’ici quelques jours.

L’exterminateur fit tout de même un tour rapide question de voir s’il ne trouvait pas des nids d’insectes ou d’araignées, mais rien. Enfin rien d’apercevable dans ce fouillis! C’était sans doute les pires conditions de travail qu’il avait vu! Il retourna les voir, essayant de rester professionnel, Timon leur serra la main avant de partir. Il ne pouvait vraiment plus rien pour eux et ne voulait plus avoir affaire à eux… la prochaine fois, il laisserait sa place à un autre collègue, voilà tout! Il n’avait rien à ramasser et quitta leur appartement, se dépêchant de passer à autre chose. Il avait perdu toute sa journée avec tout ça! Il retourna donc chez son employeur, faisant un rapport avec la secrétaire qui s’occupait des factures. Le temps de ranger un peu, il pu retourner chez lui, comme il avait hâte de raconter ça journée à son amoureux et mettre tout ça derrière lui! Et puis ils devaient commencer à parler du déménagement et de tout ça, c’était pour bientôt après tout!





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Mer 23 Avr 2014 - 10:30
Anna&Hans&Timon
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Malgré tous mes efforts, le feu refusait de s'éteindre et ne faisait que prendre un peu plus d'ampleur à chaque seconde, se propageant petit à petit dans toute la cuisine. Une main plaquée sur le visage pour en quelque sorte empêcher la fumée de s'infiltrer dans mes poumons, j'étais complètement paniquée et surtout, à cours d'idée. Mais qu'est-ce que j'avais fait ? Ma maladresse allait finir par nous tuer, tous, c'était l'immeuble entier que je risquais de faire exploser un jour. Déterminée à réparer mon erreur, je continuais désespérément à lancer de l'eau sur le brasier quand je sentis une force me tirer hors de la cuisine. Je me retournais, surprise, pour découvrir que ce n'était pas Hans qui m'avait sorti de là mais l'exterminateur. Quoi ? Non, il fallait que j'y retourne ! Tout était de ma faute, alors, c'était à moi de régler le problème, même si pour ça je devais me jeter dans le feu ! Mon appartement était littéralement en train de mourir dans les flammes, il fallait que j'agisse, et vite ! Je ne voulais pas perdre l'endroit où je vivais, et si je me fichais pas mal de me bruler, il était hors de question que quelqu'un se blesse à cause de mes idioties. Je me libérais donc de sa poigne, prête à retourner dans la cuisine, quand la porte de mon appartement s'ouvrit en trombe sur Hans et... Elsa !

Elsa qui s'avéra être beaucoup plus efficace que moi en la matière, puisqu'en quelques secondes, le feu n'était plus, complètement figée dans la glace de ma sœur. Oui, c'est sûr qu'avoir des pouvoirs, ça aide dans ce genre de situation. Un soupir de soulagement s'échappa de mes lèvres. L'inquiétude d'être peut-être sur le point de perdre non seulement ma cuisine, mais aussi mon appartement, dévoré dans les flammes, disparu presque aussitôt que la chaleur généré par le feu s'estompa. Le visage souriant, je m'apprêtais à sauter au cou de ma sœur pour la remercier mais celle-ci parti aussi vite qu'elle était arrivée. Est-ce que ma sœur m'en voulait encore pour cette histoire de mariage ? La dispute ne remontait pas à si longtemps, et je n'avais pas osé aller la revoir chez elle depuis. En fait, je n'osais plus m'aventurer hors de l'appartement ces derniers temps de peur de tomber sur Kristoff. Car si je le revoyais, qu'est-ce que je lui dirais ? Il devait certainement me détester maintenant. Et je me voyais mal le croiser pour lui demander des nouvelles de sa vie, mais je ne m'imaginais pas l'ignorer totalement non plus.

Tout ça encore grâce à une de mes idées brillantes. Si ça se trouve, Elsa m'en voulait peut-être plus de lui avoir installé quelqu'un chez elle à l'improviste que d'être prête à me marier avec Hans. Ma sœur n'était pas quelqu'un de très... sociable ? Je doutais qu'elle soit heureuse de cet arrangement... Plus j'y pensais, plus je me demandais ce qui avait bien pu me passer par l'esprit quand j'avais décidée de le ramener ici. Surement la même chose que lorsque j'avais mis en marche le micro-onde avec les cuillères à l'intérieur...

C'est la voix de l'exterminateur qui me tira finalement hors de mes pensées et je me figeais un instant en réalisant que ce dernier avait été témoin de toute la scène. Y compris des pouvoirs de ma sœur. Oh non... C'était une catastrophe, personne ne devait être au courant de ses pouvoirs, ce n'était pas pour rien qu'Elsa s'obligeait à reporter des gants ici. Si à Arendelle son don avait fini par être accepté, les gens de ce monde se montreraient surement moins clément et surtout beaucoup trop curieux à propos de ce talent. Je me mordis les lèvres, paniqué. Elle qui était toujours effrayée à l'idée de blesser quelqu'un et d'être entouré, je ne voulais pas que par ma faute elle se retrouve en proie à une foule de gens intéressé par ses pouvoirs et devienne un objet médiatique ou je ne savais quoi ! Mais contrairement à ce que j'avais pu penser, le blond ne paniqua pas. Je n'étais même pas sûre qu'il avait compris ce qu'il venait de se passer. À moins qu'il ne fasse comme si de rien n'était... Impossible de le savoir, mais s'il ne tenait pas à comprendre, c'était tant mieux pour nous.

Je baissais la tête, à vrai dire, je n'avais moi-même pas la moindre idée de comment j'avais pu faire ça. Ou plutôt, de comment j'avais pu être aussi imprudente au point de manquer de réduire en cendre mon propre appartement et de déranger tout le monde. Face à la honte et la culpabilité qui m'envahissait, je ne trouvais rien de mieux que d'enfouir mon visage dans mes mains, pour ne plus rien voir. Ne plus voir ma cuisine calciné, ne plus voir le regard de l'exterminateur qui devait certainement me prendre pour une folle ou celui de Hans, surement désespéré d'être fiancé à un cas comme moi, ne plus voir la porte qui venait de se refermer sur Elsa. Je me sentais tellement stupide d'avoir agis de la sorte...

L'exterminateur termina son travail et moi, je ne savais plus quoi faire. Quoi que je touche, quoi que je fasse, tout se terminait en accident avec moi. J'étais persuadée que si je bougeais, j'allais finir par malencontreusement frapper quelqu'un ou casser quelque chose. C'était limite si je ne craignais pas de blesser le blond en lui serrant la main avant qu'il ne parte. J'avais eu ma dose de maladresse aujourd'hui, et la journée n'était malheureusement pas encore terminée. Bien, il ne me restait plus qu'à prier pour que rien de fâcheux ne se déclenche avant ce soir.

Pour ça, il fallait que j'arrête de penser négativement. Au moins, la cuisine n'avait plus à être rangée puisque tout son contenu avait brulé, ainsi que les insectes qui avaient pu vivre ici. Et puis, comme ça, j'aurai une excuse pour me débarrasser de ces vieux meubles de cuisine que j'avais achetée avec l'appartement pour en choisir de nouveaux avec Hans...FIN

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