No more happy endings...
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Un lion aime les conquêtes *18+, solo*
Invité
Anonymous
Invité
Mar 30 Sep 2014 - 0:43

Un lion aime les conquêtes


Je n’avais jamais cru qu'une des créatures à roues pouvait faire de telles choses. En pressant une chose, l'air devint rapidement plus frais. Puis d'une main experte, elle pressa une autre chose et une voix se fit entendre, indiquant la température extérieure et les dernières nouvelles. J'haussai un sourcil, surpris, cherchant du regard d’où venait la voix. C'était quelque peu déstabilisant! Heureusement le malaise s'estompa rapidement, car semblant avoir entendu ce qu'elle voulait entendre, elle stoppa la voix. Nous échangeâmes quelque paroles avant de s'arrêter sous terre, entourés de pierre grise carrée. Elle me fit signe de la suivre, ce que je fis, d'un air calme et détaché. Des portes se fermèrent derrière nous et une sensation étrange me prit au ventre et les portes s'ouvrirent de nouveau après un moment, laissant un nouveau couloir apparaitre, me surprenant. Mais comment?! Nous marchâmes que quelques pas, la femme tirant un truc bruyant de son sac et insérant une pièce dans la porte, celle-ci s'ouvrant. Je la suivis, lui laissant assez de place pour refermer derrière moi. Je me tenais sur le bord de l'entrée, observant ce qui m'entourait. La première pensée qui me vint fut que c'était propre. Aucune poussière, rien qui ne trainait. La deuxième était que c'était lumineux et qu'une odeur sucrée flottait dans les airs. Mes yeux se posèrent sur la vue. Nous étions si hauts! Je m’approchai, regardant la ville plus bas et au loin, cette structure si grande qui trônait royalement, scintillante.

-C'est charmant. Digne de l’exquise créature que vous êtes.

Je lui fis un de mes plus beaux sourires et la jeune femme rougit doucement avant d'enlever ses chaussures. Je fis de même. J'étais son invité après tout. Elle se dirigea vers un objet de bois qu'elle ouvrit et en sorti un contenant rempli de liquide crémeux. Elle me fit un sourire ma foi charmant, me demandant si j'en voulais. Pourquoi pas...  Je lui fis signe de m'en verser. Elle revint avec moi, deux verres dans ses mains et s'installa sur une de ses choses moelleuses qui servent à s'asseoir. Je m'installai à ses côtés, prenant le contenant qu'elle me tendait et en prit une gorgée.

Ahhh… ça brûlait et ça réchauffait l'intérieur, un gout intéressant qui restait. Ça me rappelait un peu ce que les éléphants laissaient trop murir pour ensuite rigoler sous les arbres.  Marula? Je ne me rappelais pas. Ce n'était pas important après tout.

Elle commença à parler, posant des questions parfois, mais principalement parlant de son travail *d’ailleurs, quelle était l'obsession des gens pour travailler ici?*. J'apprenais beaucoup sur comment fonctionnait en fait ce monde. Après un moment, je la vit regarder un disque qui montrait des chiffres.

-Il serait temps de préparer le repas je crois bien.

Crystal, de son prénom, se leva et je la suivis dans une autre pièce, m'étonnant d'y voir tant de choses. Elle ouvrit une porte dévoila un endroit froid ou étaient toutes sortes de denrées. Mes yeux se posèrent sur de nombreuses choses que je n'avais pas la moindre idée de ce que c'était. Ses petites mains attrapèrent quelques contenants et quelques trucs qui me semblaient étrange. La discussion continua alors que je m'installais sur un petit siège beaucoup plus dur que ce fauteuil dans l'autre pièce. Rapidement, une odeur délicieuse flotta dans la pièce, alors qu'elle jetait différents cubes qui pétillaient et cuisaient, visiblement. Une ou deux fois elle me demanda de lui tendre une chose ou une autre, et malgré mes erreurs, elle riait simplement, disant que j'étais un vrai farceur. Oui... un farceur... Je n'avais aucune idée de ce qu'était une poêle avant ce soir... Mais au moins je le savais à présent...

Au final, elle tira deux steaks d'un sac contenant une sorte de jus. De la viande! Enfin! Je ne pouvais pas détacher les yeux de cette denrée qui semblait bien rare... Elle me demanda quelle cuisson je préférais.

-Saignant. Je suis un prédateur après tout.

Elle éclata de rire avant de déposer seulement un morceau dans la poêle. Puis une minute ou deux après mit le second. Le repas qui s'en suivit fut un pur plaisir. Décidant qu'elle ne voulait pas aller à la salle à diner, elle dit qu'elle souhaitait manger à la bonne franquette, déposant une bouteille sur le comptoir, entre nous deux et tira deux verres à pieds. Elle me versa un verre de liquide rouge et fit de même pour elle. Je l'observai alors qu'elle prenait les ustensiles, l'imitant lentement, tentant de ne pas montrer mon manque d'habitude à cette façon de manger. Les coupes de ce liquide rouge commencèrent à défiler alors que le repas disparaissait. Les rires devenaient de plus en plus forts et rapidement, elle commença à me toucher la main et l'avant-bras. Mes propres pensées étaient un peu brumeuses. La jeune femme aux cheveux noirs se releva sur son siège, tendant le cou au-dessus de nos assiettes, les pupilles un peu dilatées. Mais que voulait-elle? Je fis de même, croyant que c'était peut-être une coutume. Elle attrapa ma tête, rapprochant nos visages d'un coup et posa sa bouche sur la mienne. Oh.

Mmmm... Ce n’était pas si mal...

Je l'imitai, glissant un peu, je dus malheureusement briser le contact, mais je fis le tour rapidement de l'obstacle, reprenant notre activité, au plaisir de la femme devant moi qui se mit à gémir contre mes lèvres. Le son me fit gronder, sentant mon propre désir s'intensifier. Mes mains qui étaient derrière sa tête quelques instants auparavant se baladaient de leur propre chef sur le corps brûlant de l'humaine.  Ahhh... Pourquoi avais-je tant de mal à penser? Pourquoi mon pantalon était si serré tout à coup? Ah... Je savais pourquoi... J'abandonnai les lèvres gonflées et humide qui étaient si délicieuses, trainant les miennes contre sa peau, me dirigeant vers son oreille.  Mais je voulais être certain. Oui, prendre était le droit d'un roi. Mais entendre qu'on était désiré... Était encore meilleur.

-Me désires-tu. Me veux-tu?

Elle posa ses mains sur mon pantalon.

-Crois-tu vraiment que je ne le veux pas?

Je tapai légèrement sa main, souriant, mes yeux plongés à présent dans les siens.

-Tut-Tut. Je t'ai demandé si tu me désirais, si tu me voulais.

-Je te veux. Alors laisse-moi faire.

Ses mains défirent rapidement les attaches de mes vêtements alors qu'elle me les enlevait avec peut-être un peu plus de force que de raison. Je fis de même avec elle. Il ne lui restait qu'une protection sur sa poitrine et mes chaussettes dont je me débarrassai de quelques mouvements. Je la poussai contre le mur, me pressant contre elle, lui montrant ma force, pressant ma virilité contre elle. Elle se mit à frémir, gémissante.

-Demande-le-moi. Implore.

-Salaud.

-Mauvaise réponse.

Je la fis tourner sur elle-même, me pressant contre son dos à présent.

-Supplie-moi.

-Scar. Je t’en prie…

-Bonne réponse.

Je m’enfonçai brusquement en elle, lui arrachant un cri mélangé à un gémissement. Une fois bien enfoncé, je m’arrêtai, calmant ma propre respiration. La femme frémissait sous mes doigts, bougeant ses hanches. D’une main, j’attrapai ses poignets, les tirants au-dessus de sa tête, contre le mur, de l’autre, je lui pesai sur son dos, la gardant penchée vers l’avant. Le plus lentement possible, je me mis à bouger. C’était un supplice pour moi, mais je voyais bien que pour elle c’était bien pire. Mais ma propre patience disparut et je me mis faire des mouvements de vas et viens de plus en plus brusque. Un grognement, presque un ronronnement s’échappa de ma gorge alors que Crystal me suppliait de continuer et scandait mon nom, encore et encore.

-Dit que je suis ton roi.

-Quoi?

-Dit-le.

-Tu… tu es mon roi.

Un petit rire m’échappa alors que je fermais les yeux de plaisir. Quelques instants plus tard, je laissai ses mains s’échapper et me retirai avant de l’entrainer dans son appartement, ne lui laissant même pas le temps de reprendre son souffle.

-Scar, que fais-tu?

-Ton lit. Nous y seront mieux.

Elle gloussa.

-Déjà?

Elle m’entraina dans une autre pièce contenant un lit semblant bien plus confortable que celui ou j’avais dormit. Je la poussai dessus, lui arrachant un petit cri. Cri que ne fut rien comparé à celui quand je la pénétrai de nouveau, de face cette fois-ci. Ahhh… c’était tellement bon. Les humaines étaient idéales pour cette activité. Je perdis le fil du temps et après ce qui me sembla une éternité, je le laissai tomber sur le matelas moelleux. La jeune femme posa sa main contre ma poitrine, son oreille contre ma peau, écoutant visiblement mon cœur.

-Tu es incroyable.

La fatigue me submergea et je me laissai emporter par le sommeil.

Le soleil me réveilla. Ça ou l’odeur de viande grillée. Cette femme était une merveille. Viande et sexe? Je m’étirai langoureusement. Elle aurait pu laisser les rideaux fermé… Je m’enfouis sous la couverture, bien au chaud, confortablement installé.

-Debout bête de sexe. Le déjeuner est prêt. Je peux te déposer ou tu veux ensuite avant d’aller bosser.

Je laissai un gémissement m’échapper… Sortir de là? Me lever? Mais j’étais bien moi…

-Tu peux prendre une douche avant de partir, tu sens le fauve. Qui sait, nous pourrions même la prendre ensemble.

Sentir le fauve n’était pas mal… Non? J’en étais un. C’était insultant. Je me levai, de mauvaise grâce et avalai en quatrième vitesse les œufs-saucisses qu’elle avait préparés, nu comme un ver. Elle ne s’était pas habillé non plus, sauf pour un tissu qui ne couvrait que le devant et qui laissa sa croupe aguicheuse exposée. Elle m’entraina dans la salle de bain qui ne ressemblait en rien à celle que je connaissais et me poussa dans une salle transparente, me collant de près. Elle tourna quelque chose et de la pluie froide se mit à couler, devenant rapidement chaude. Ses mains se mirent à frotter mon dos avec quelque chose qui sentait fruité.

-C’est agréable…

-Je sais. C’est toujours l’endroit dur à accéder. Tu feras pareil pour moi.

Je la regardai faire des bulles dans ses poils, l’odeur agréable me faisant sourire et je l’imitai rapidement. Ses mains s’égarèrent vers le bas, me causant une nouvelle érection et je grondai avant de l’attraper, sa peau glissante m’échappant presque.

-Encore? Pire qu’une lionne…

Alors que j’allais la plaquer de nouveau, elle me fit signe d’arrêter, ce que je fis, curieux. Elle se baissa à genoux, prenant ma virilité en main et approchant sa bouche. Je la stoppai net. Allait-elle le croquer? Était-elle une de ces veuves noire mangeant celui avec qui elle s’accouple? La femme me fit un clin d’œil avant de l’embrasser puis passa sa langue dessus. Oh… Ça… C’était nouveau. Sa bouche se referma créant de la succion, une sensation que je n’avais jamais eue m’envahit. J’attrapai sa tête, la forçant à en prendre un peu plus, gémissant. C’était si bon! Elle continua un moment avant de devoir reprendre son souffle et elle se releva, un filet blanc sur ses lèvres.  Je m’insérai lentement en elle cette fois-ci, la chaleur semblant rendre l’expérience encore plus agréable. L’eau chaude qui coulait sur ma peau, ses baisers sur mon torse, c’était intoxiquant. Mieux que ce que j’avais toujours fait. Ce fut bref, mais intense, l’eau devenue froide nous forçant à arrêter.

Je me séchai rapidement, laissant mes poils en bataille et m’habillai. Quelques minutes plus tard, elle me rejoignait, habillée, les poils secs et ses lèvres plus rouges et les yeux plus noirs. Elle me tendait quelques bouts de papier bleu et jaune.

-Comme tu as perdu ton portefeuille, ça devrait couvrir tes dépenses le temps que tu le retrouves ou que tu fasses refaire tes cartes de guichet. Ça me fait plaisir de t’aider et ce n’est pas comme si je manquais d’argent.

Je pris les papiers en lui souriant, la remerciant de sa gentillesse.  Nous montâmes dans la microscopique pièce et refîmes le chemin contraire de la veille. Elle me redéposa devant l’endroit ou Yzma était entrée et me souhaita bonne journée. On peut dire que ça avait été toute une expérience. Expérience que j’allais garder pour moi en grande partie…
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