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 :: RP Abandonnés
In A World Of My Own ~ Alice & Tryand~
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Lun 17 Aoû 2015 - 16:05
Quelle étrange monde ? Les claires maisonnettes allaient jusqu'au ciel dans ce monde ! Les voitures roulaient sans chevaux. Le pire dans tout cela, ce monde ressemblait au siens mais d'une façon étrange, très étrange. Ici, tout semblait devenir véritablement insensé. Des divagations, les choses étaient ce qu'elles ne sont pas. Comme dans le pays des Merveilles, sauf que celui-ci, il y avait de la magie, quelque chose de beau et de poétique. Dans celui-là, tout était insensé et moche. Les fleurs ne chantaient pas ! Les oiseaux bleus ne venaient pas descendre des cieux bleu azur, aucun insecte d'or. Les ruisseaux ne lui murmuraient pas un doux " bonjour". Les petits chats traînaient la plupart du temps dehors, salis. Pauvres petits chats, Alice ne voulait même pas que Dinah ressemble à ces pauvres chats abandonnés. Si cela n'aurait été qu'elle. Jesus ! Ce monde était véritablement étrange et pas merveilleux du tout. Lissant les plis imaginaires de sa robe bleutée d'une façon nerveuse,  Alice rasait les murs, sa robe bleutée était dépassée de mode depuis longtemps. La belle jeune fille marchait depuis une bonne heure pour finir par voir de ses magnifiques yeux bleus, une magnifique forêt avec des chemins bien marqués, des étangs avec des jolis ponts avec des arcades. Ce lieu l'intriguait et lui rappelait son parc à Londres. Tout semblait plutôt paisible malgré ce nom bizarre " Central Park" lut-elle. Alice s'avançait dans ce lieu, curieuse de cela. Sa curiosité l'avait poussé à aller dans le pays des Merveilles et peut-être sans le savoir dans ce monde. Bizarrement, elle n'avait pas vu le lapin blanc. Elle suivit les chemins de terre, bordé d'arbres et d'arbustes verdoyants. Le ciel n'était pas bleu d'un azur sans nuage du pays des merveilles, ne semblaient pas atteindre celui-ci. Il était grisâtre et maussade. Le pays des merveilles était insensé mais merveilleux, magique et fou, mais il respirait la joie de vivre alors que celui-ci respirait la tristesse et le malheur. Elle gambadait doucement et se trouvait une chaise et une table abandonnée avec du thé bien chaud dans une théïère. Elle but une petite tasse, les personnes revenant, ils eurent un petit rire incompréhensible en voyant cette image. Une fille habillée de bleu, prénommée Alice qui buvait du thé avec l'élégance d'une lady raffinée. Sa soeur, ses parents et son chat lui manquaient, son monde lui manquait. Elle devait cesser d'être curieuse. Au bout de quelques minutes, elle partit en remerciant ces personnes mais soudain, elle se sentit observer.

Sa tête bougeait dans tous les sens avant de archer, peu rassurée et apeurée. Appeler à l'aide ne servait à rien et on la prendrait pour une folle. Elle eut un soupire et croisa les bras pour s'apporter un peu de chaleur et se réconforter. Elle arrivait facilement à oublier avant de sentir une branche craquer derrière elle. Elle se tournait, ses cheveux bruns virevoltait sous cette impulsion. Elle n'était pas folle, on la suivait.

-Montrez-vous , suivre quelqu'un, c'est très très grossier ! S'exclama-t-elle. Très très grossier ! Ajouta-t-elle en hurlant.

Alice mit les poings sur ses hanches pour intimider les personnes. Mais ceci lui donnait un air plutôt de mignonne jeune fille effarouchée. Elle ne ferait pas peur à une mouche mais bon c'était ça ou rien.
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Lun 17 Aoû 2015 - 17:16
Pour manger, il faut de l'argent, des pièces jaunes et des morceaux de papier de différentes couleurs ! Ici, tout le monde en possède, ça se passe ainsi dans ce monde. De l'argent, des sous dans un langage familier, s'obtient en faisant une tache spécifique. Adieux la chasse, adieux les grandes promenades pour ramasser les fruits, bonjour le "travail". Pendant une bonne poignée de jours, l'homme singe réfléchit, se tourmente sur son éventuel "métier". Tout ceci lui a été conseillé par un jeune homme, rencontré un soir lors d'une petite visite nocturne. Du haut de son arbre, il se penche encore sur ce sujet. Enfin... Comment pourrait il trouver, s'il n'est même pas capable de citer un seul métier ? Désespérant, il fait peine a voir, on aurait pitié de lui. Pourtant, il garde espoir et l'idée de se trouver un boulot reste ancré dans son esprit. Entre nous, ça lui ferait un grand bien, il retrouverait un but dans sa vie, une stabilité. Le mieux à faire est de retrouver ce garçon, qui lui donnera plus d'information sur ces fameux métiers. Les minutes passent, défilent et l'ennuie monte en lui. Peu de distractions ici, il ne peut même pas compter sur les animaux pour se distraire. Dans l'autre monde, il pouvait leur parler, faire connaissance avec eux, s'amuser.. Là, c'est comme s'il avait perdu ce langage la. Pour passer le temps, il lève les yeux en l'air, observe les nuages dans le ciel. Encore gris et lourds, néanmoins pas assez chargés d'eau pour qu'il pleuve.

«  Pas pluie. »


C'est déjà une bonne chose, la semaine d'avant il y a plu au possible. Des trombes d'eau, un enfer pour lui. Il faisait froid et il a dut resté tous les jours sous un abris. L'ennuie, sérieux, il en a marre. Il en peut plus de rester assis comme un gland, de rien foutre toute la journée. C est vraiment chiant, ca l'énerve, il en a plein le darre. Sur un coup de tête, il décide de bouger dans les arbres, à sa façon bien sur. Il saute de branche en branche, accélère et ralenti à des moments. Heureusement que le parc est presque vide à cette heure ci, on l'aurait prit pour un fou, bon pour l'asile. A la fin de sa course, le cœur sauvage aperçoit au loin une jeune fille. Seule aussi ? Et si on va la voir ? Se demande-t-il avec une once d'amusement sur son visage.

«  Veut... Ennui.. Occupation »


Pris la main dans le sac, Tarzan n'a le choix de passer aux aveux : En gros, il se fait tellement chier qu'il a décidé de jouer les esprits frappeur. Le pire ? Il semble être satisfait de sa réussite. Elle a eut peur, il faut l'avouer.. Il est à deux doigts de disparaître dans les arbres – il a finit son petit jeu- quand une idée traverse tout à coup son esprit vif.

«  Métier toi ? »


D'une grande souplesse, il descend de son arbre, atterrie juste devant la jeune fille et lui touche le nez. C'est l'une de ses façons de dire ; bonjour madame.
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Lun 17 Aoû 2015 - 18:50

Alice, la belle petite Alice voulait retourner chez elle coûte que coûte. Ce monde n'était pas le siens et il semblait d'avantage plus vicieux que celui du pays des merveilles, ou même le siens. Les voitures, les chevaux, ses copines à l'école. Sa grande soeur lui manquait, son chat lui manquait. Que faisait-elle ici ? Comment le Lapin Blanc l'avait-elle mené ici sans qu'elle s'en souvienne. D'ailleurs où était-il passé ?  Alice devrait commencer à le chercher et le trouver, et savoir où elle était tombée. Ce monde était si étrange que cela en était rebutant complètement. Tout lui laissait un goût amer dans la bouche même le thé alors que dans le pays des merveilles, les divagations rendaient tout magnifique et à la fois étrange, cela l'avait agacé profondément. Mais là, cela ne semblait plus être un rêve mais la réalité. Mais peut-être était-ce encore un tour du Lapin Blanc ? Après tout, le monde des merveilles ressemblait parfaitement à une réalité mais cela n'avait été qu'une illusion, son imagination. Mais là , cela n'était pas son imagination. De toute ce qu'elle avait pu imaginé, ce monde là ne venait pas d'elle. Que faisait-elle là ? Peut-être même qu'elle devrait prendre d'autres vêtements plus moderne, le temps qu'elle trouve une solution. Se fondre dans le paysage pour ne pas se faire traiter de folle ou de jeune fille grossière. Sa grande soeur en ferait une grosse crise cardiaque si elle aurait su cela. Si, un jour, elle rentrait chez elle. Non, il fallait s'armer d'une façon positive, et d'optimisme, Alice retrouvera son chemin.  En attenant elle avait froid, l'air étais frais et ne semblait pas se réchauffer. Après tout, elle n'avait qu'une robe bleu, son sempiternel tablier blanc pour éviter qu'elle se tâche avec sa maladresse. Alice avait aussi ses collants blancs tachés par de la terre, sa grande soeur allait la réprimander une fois de retour.   

Alice sentait ses cheveux danser et s'emmêler au gré du vent. Elle sentit quelqu'un tomber et faire trembler la terre à ses côtés dans un bruit sourd. Elle eut un sursaut et posa sa main sur son coeur qui battit à la chamade. Elle se retournait et vit un homme habiller grossièrement, avec des cheveux longs décoiffés, parlant d'une façon étrange et malpolie. Que c'était impolie ! Il était comme le chapelier fou mais même lui était plus poli que cet homme en face d'elle. Il ne s'était pas excusé de l'avoir effrayé, au contraire cela l'avait amusé. Ce n'était pas drôle de se moquer de quelqu'un et de ses malheurs. Quel malpoli ! Alice était vraiment en colère ! Ses yeux te fixaient d'une façon énervée. Son coeur se calmait mais il était en colère.  Pour qui se prenait-il ? Il ne l'avait pas salué avant de commencer la conversation et s'en riait d'elle !  Finalement, elle ne voulait pas le juger mais il l'agaçait profondément. Elle ne l'aimait pas tout simplement, trop grossier et trop moqueur selon elle.  Alice décidait de jouer la carte de la franchise et moralisatrice envers cet homme.

- Quand on est poli, on salue la personne, on lui demande de ses nouvelles et on ne se moque pas d'elle, vous êtes grossiers ! Où avez-vous vécu dans une jungle pour ne pas savoir cela sur la bienséance ! S'enquit-elle en le regardant.

Elle commençait à tourner des talons mais décidait de tenter à être moralisatrice, de tout au tout ! Alice se sentait vraiment mauvaise en sa compagnie. Il n'était pas méchant mais trop impoli pour avoir une bonne conversation avec ce monsieur.  

- De plus, on s'excuse quand on lui fait peur ! S'exclama-t-elle en lui faisant une moue boudeuse.

Alice était gentille en soit mais la bienséance , c'était la bienséance.
  
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Lun 17 Aoû 2015 - 21:09
Plus jeune, il doit avoir dix ans d'écart entre cette humaine et lui. Ce constat provoque un étrange sentiment chez l'enfant de la nature, une sorte de regret. Il tente en vain de le comprendre, s'inquiète de cet état d'âme. Anormal, il s'en doute, supplie sa bonne conscience de lui donner la clé du mystère. hélas celle ci s'obstine, demeure silencieuse, le laisse dans le néant. Cette fois ci, il va devoir se débrouiller tout seul, pas le choix comme dirait l'autre. A plusieurs reprises, il se surprend entrain de grimacer, de lancer à son interlocutrice des regards perçants. Involontaire, il s'empresse de lui faire comprendre par un petit geste de la tête, et de son air rêveur. Il a honte de son attitude, il a l'impression de se prendre le pied dans le tapis. Pourquoi est-t-il ainsi ? Cette jeune fille est pourtant ordinaire, semblable aux autres, ni plus ni moins. A rien n'y comprendre, il finit par mettre cela sur le dos de son adaptation et de sa fatigue.Oh, l'orage se prépare, ça va éclater dans pas longtemps : A l'instant ou les yeux de l'ancien seigneur de la jungle se relève sur elle, ce dernier comprit d'ou vient ce ''gêne''. Elle est en colère, à bout de nerfs, va exploser d'une minute à l'autre. Une bombe à retardement.

Sur le choc-jamais, il n'aurait pensé une telle réaction de sa part-, il se recule d'elle, met les mains devant lui et les agite. A ses yeux, il n'a rien fait de mal, il y a sans doute un malentendu. Lequel ? Ca, c'est un grand mystère pour lui. Hm, son petit jeu ? Juste pour cela ? Si c'est bel et bien le cas, elle abuse. Le pauvre, il voulait juste tuer le temps et puis... c'était plutôt drôle non ? Tokina aimait, elle. Renfrogne-t-il avec un petit souvenir d'enfance avec sa sœur. L'homme singe n'aime pas être en conflit avec une autre personne, ce n'est pas son genre. Il veut à tout prix réparer sa ''connerie'',quitte à y passer des heures entières.

«  Désolé.. Vexes pas. Jeu »


S'excuser était la meilleure chose à faire. D'ailleurs, jane ou kala le lui disaient souvent, tout le temps même lorsqu'il était en tord. Il a fait le nécessaire pour s'attirer les bonnes grâces de la jeune femme, toutefois il décide d'en remettre une couche en cueillant une fleur juste à deux pas de lui. Il la tient entre les doigts, y jette un coup d'oeil ; elle est petite, blanche avec un rond jaune au milieu. Puis, il revient vers elle et il la lui tend avec un sourire aux lèvres.

«  Pour toi. Pas de mal. Gentil moi »

Le pauvre aurait tout fait pour se faire pardonner, sans vraiment comprendre son reproche. Elle lui reproche son impolitesse, son coté trop ''sauvage'' avec ses mots a elle. Des mots trop compliqués a saisir pour lui, du coup la raison pour lui est le jeu sûrement trop enfantin pour elle.
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Mer 19 Aoû 2015 - 15:54

Alice le regardait, il semblait plus vieux qu'elle, de dix ans environ. Elle avait seulement 18 ans et aurait du normalement se trouver un promis pour se marier avec lui mais elle était là, dans cette ville étrange avec un homme étrange ! Pourquoi ? Alice était fatiguée et attristée. Tout lui manquait, tout la rendait euphorique et à la fois, cela l’effrayait. Elle n'avait jamais vu un tel monde aussi intriguant, à la fois effrayant, énervant et merveilleux après celui du pays des Merveilles, bien entendu. Mais le pays des Merveilles ressemblait à un doux souvenir quelque peu amer mais à la fois, elle se sentait émerveillée par le pouvoir de son imagination. Mais ce monde, n'était pas de son imagination et Alice commençait à douter qu'elle avait rêvé du pays des Merveilles, et encore moins ce monde. Ce n'était pas son imagination, c'était peut-être la réalité mais comment se pouvait-il qu'elle soit là ? Elle voulait retourner dans son royaume, en Angleterre, dans son monde. Elle voulait retourner à la maison, revoir ses parents, sa soeur et son chat ainsi que sa nourrice. La belle petite brune voulait partir. Alice s'était réveillée dans cette ruelle , apeurée et elle l'était encore. A l'instant même où elle croisa son regard vers le tiens, elle se mordit la lèvre. Tu ne semblais pas agressif, et même pacifique et elle t'avait hurlé dessus sans vergogne. Son coeur eut un pincement et elle avait été aussi grossière que toi au final dans cette histoire, en t'hurlant dessus. Elle regrettait de t'avoir hurlé dessus. Alice se sentait coupable et triste. Elle avait fait une morale sur la bienséance à un homme qui devait être malade ou avoir un problème d'élocution alors qu'en faisant ainsi, Alice venait de renverser presque tous les protocoles de la bienséance qui était si cher à son coeur.

La fatigue, l'énervement et l'incompréhension lui avaient fait dire des méchancetés à un pauvre homme. Au final, il avait été beaucoup plus sympa que le chapelier fou, il s'était excusé. Elle fermait les yeux en serrant ses poings , pour mieux respirer et se calmer. La peur lui avait fait dire des méchancetés horribles. Alice regrettait ce qu'elle avait dit, tu lui avais tellement fait peur qu'elle s'était sentie obligée de jouer sa petite peste horrible avec toi. A la base, elle n'en était pas une. Alice eut un horrible regret envers toi, peu à peu, elle ré-ouvrit ses yeux d'un bleu intense, comme un océan. Elle lâchait un soupire et te regardait, tu étais plus grand et âgé qu'elle et Alice devrait te respecter au lieu de te crier dessus.

-Veuillez m'excuser de vous avoir hurlé dessus, je suis apeurée et perdue, s'enquit-elle doucement. Mais lorsqu'on veut jouer, on demande aux autres s'il veut jouer avec toi, ajouta-t-elle doucement.

Elle eut un sourire en te voyant lui cueillir une fleur dans cette mini forêt. C'était très gentil de ta part, de faire cela. Une joie même, elle se sentait flattée. Après tout, il y avait peut-être un gentleman derrière cette allure d'homme sauvage. C'était même charmant, presque pas grossier si ce n'est que ton élocution. Tu n'étais pas une divagation à elle, elle en était sûre maintenant.  Alice eut un petit rire presque nerveux face à cela mais te sourit tout de même en retour face à cette gentillesse. Sa colère s'évanouit aussitôt.

-Vous vous appelez comment ? Demanda-t-elle doucement.

Alice te regardait, elle était curieuse de nature, malgré qu'elle essayait de soigner ce gros défaut, il revenait toujours à la charge. Elle prit doucement à la fleur et sentit son odeur. Elle sentait divinement bon. Alice eut un sourire, c'était gentil de ta part. Jamais un homme lui avait fait cela, être galant avec elle et Alice comprenait mieux pourquoi sa soeur se sentait flatter lorsqu'on lui faisait cela. Elle-même se sentait ainsi.


  
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Mer 19 Aoû 2015 - 16:50
La fatigue aussi joue sur l'attitude de l'homme singe. Lui aussi est désorienté, perdu et prit d'une grande solitude. Il ressent cela pour la première fois depuis très longtemps. Dans la jungle, il avait réussit à s'adapter, à se faire une place, à se créer un rôle. Toutefois et avant cela, il était le Tarzan d'aujourd'hui. Seul, paumé, déstabilisé au milieu des grands singes. Kala, le gorille marron, fit la seule à lui tendre la main, à l'aider et surtout à l'encourager à atteindre son but. Sa force, son succès, son titre de seigneur de la jungle, étaient du grâce à sa mère adoptive. Il lui doit beaucoup. Sans elle, son importance aurait été égale à celle d'une fourmi. Sans elle, il n'était rien. Il avait besoin d'elle en permanence, c'était devenu son moteur et même lorsque Jane rentra dans sa vie. A cet instant, il comprend d'ou vient ce manque, ce vide et cette "folie" en lui. Son guide, sa "sagesse" loin de lui, le voila de retour à la case départ. Affligé, triste de ce constat, l'enfant de la nature fait la moue, inspire deux fois de suite avant de pousser un long soupire.

Le plus navrant dans l'histoire est l'impossibilité de retourner dans la jungle, de retrouver sa mère. Il doit se débrouiller tout seul. Hélas cette tache est loin d'être aussi facile, semble même devenir un vrai calvaire pour lui. Alors, le moment est très mal choisi pour lui faire des réflexions sur sa soit disante grossièreté. C'est de loin, le dernier problème sur sa longue liste. Pourtant, Tarzan avait prit en compte - à sa manière- les mots de la jeune fille et avait fait en sorte de se faire pardonner de la belle. Enfin, il ne va quand même pas se mettre à quatre pattes devant elle. Hors de question, si elle le pardonne la, tant mieux. Dans le cas contraire, le coeur sauvage repartirait, disparaîtrait une nouvelle fois dans les arbres sans dire un mot..

«  Perdue ? Pourquoi ? 
»

Au final, son interlocutrice accepte ses excuses, s'excuse à son tour avec les raisons de sa colère. Peur? Logique, c'était dans le but du jeu de tarzan. En revanche, ce dernier a été interpellé par le mot ''perdue''. Elle est peut être dans le même cas que lui, après tout comment peut il savoir s'il est bien le seul à avoir vécu ce destin ? Son esprit va sans doute trop loin, se perd dans des stupides thèses. De toute façon, toutes ses pensées n'ont ni queue ni tête, il ferait mieux de s'en arrêter la.

«  Moi, Tar. Tarzan et toi ? »


Tout à coup, une étrange pensée traverse son esprit: Si Kala est plus la, peut être pourrait il compter sur cette humaine pour avancer ? Certes, elle est plus jeune et tout aussi perdue mai...

« Marcher ? Faire quoi ? »


Pas la peine de mettre la charrue avant les bœufs, le prince de la jungle doit avant tout faire plus connaissance avec elle. Cependant, ils ne vont pas rester la toute la journée a rien faire?Non, ils risquent de s'ennuyer et tarzan n'aime pas ça.
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Mar 25 Aoû 2015 - 11:42

C'était étrange sa façon de parler. Etait-il malade ? Avait-il un problème d' élocution ? Alice n'aurait pas du lui parler comme ça, il avait l'air gentil comme tout, un peu brute dans sa manière d'agir. Il n'avait pas du avoir la même éducation qu'elle. Ses parents devaient être de pauvres hommes. D'autant plus, qu'elle était perdue et que tout cela semblait aussi réel ? Mais était-ce peut-être un rêve qui lui semblait réel ? Comme celui qu'elle avait fait du pays des Merveilles ? Quoique les doutes s'insinuaient en elle, comme un doux poison qui était certains de ce qu'il faisait en elle. Elle n'arrivait plus à dissocier la réalité à l'univers attrayant des rêves.  Ce monde étrange la fascinait autant qu'il la terrifiait. Alice ne savait plus où elle était, où ce qu'elle faisait là. Elle se souvenait qu'elle était en train de prendre le thé avec sa grande sœur qui lui parlait encore d'un de ses ennuyeux et harassants bouquins. Mais malgré l'ennui que sa sœur lui procrait, Alice en était nostalgie. La chaleur et le goût fruité d'une bonne tasse de thé avec des biscuits lui manquaient. Son chat Dina sur ses jambes, dormait paresseusement et surtout le bon feu de cheminée qui donnait un aspect chaleureux et de cocon à l'endroit. Dans ce monde, il faisait tellement froid et les gens tellement peu serviables.

Ils manquaient sérieusement de savoir-vivre. Même Alice qui en était la première à briser ses chaînes pour faire ce qu'elle veut, trouvait cela grotesque la manière que ses gens avaient à se comporter. Il n'y avait que toi qui lui avait plutôt bien parler. Mais peut-être était-ce du savoir-vivre de se comporter comme cela dans ce monde ? Son cerveau s'embrumait de doutes et de questions et même d'idées pour partir. Il fallait qu'elle trouve une solution avant que la nuit tombe, qu'elle trouve un endroit où loger , où se réchauffer mais les gens de ce monde semblaient être aussi barbares que la Reine de Coeur.

-Et bien, je ne sais comment, je suis arrivée ici dans cet endroit étrange. Comment s’appelle-t-il ?  Vous savez son nom ? Demanda-t-elle.

Il fallait qu'elle trouve une solution avant qu'elle meure de faim ou de froid. Sa sœur avec ses discours barbants lui manquaient. Son chat, ses ronrons et sa chaleur lui manquaient tellement. Elle voudrait encore caresser la douceur de ses poils et se caler confortablement dans le sofa en face d'un bon feu de cheminée pour se réchauffer. Mais elle n'avait rien de tout cela et elle devrait trouver une solution et vite. Tarzan ? Quelle étrange prénom même les plus pauvres dans son royaume avaient des noms moins uniques que celui-là. Cependant, il n'était pas désagréable à prononcer.

-Je m'appelle Alice, répondit-elle doucement.

Alice ne savait pas trop pourquoi mais elle devait te suivre. Tu étais la seule personne à lui avoir quelque peu peu demandé son prénom sans éclater étrangement de rire et vouloir l'aider. Qu'importe ton éducation, tu semblais finalement plus civiliser que ces étranges et grossiers personnages qui peuplaient ce monde.

-Oui marchons, s'enquit-elle. Il faut que je trouve une solution, avant que je ne meurs de faim et de froid, ajouta Alice.

Elle commençait à marcher tout en guettant le ciel qui noircissait à vue d'oeil. Alice était inquiète, car comme son père disait «  une jeune femme digne de ce nom, ne doit sortir la nuit. La nuit est synonyme de danger ». Malgré qu'elle était une tête brûlée, Alice savait qu'il dit vrai. Jesus ! Qu'allait-elle donc faire ?


  
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Mar 25 Aoû 2015 - 19:46
Alice, cette douce jeune fille apaise l'esprit tourmenté de l'ancien seigneur de la jungle. Son séjour en prison, ses séances chez ce "docteur de la tête", l'avaient mis dans le doute a propos des humains. En effet, certains de ces derniers possèdent une grande part d'ombre en eux, voir toute leur âme entière. Néanmoins, tous ne sont ainsi, les précédentes et cette nouvelle rencontre le prouvent. A présent, le coeur sauvage doit apprendre à faire la distinction entre les deux, entre le "bien'' et le "mal". De cette manière là, il pourra fréquenter les bonnes personnes, qui lui permettront de lui créer sa nouvelle place dans ce monde et peut être réalisera-t-il-grâce à eux- son plus grand rêve: Celui ou il retournerait dans la jungle, celui où il retrouverait sa famille, celui où il pourra enfin vivre en paix avec sa bien aimée Jane. La présence de son interlocutrice provoque le retour de cette pensée, qui traverse son esprit et qui réchauffe son coeur. Un sourire remplie de pureté, baigné de lumière, se dessine  sur son visage d'ange. Il l'aurait gardé, or les mots d'alice le replongent dans le doute. Selon la compréhension de l'enfant de la nature, elle est perdue, seule et triste. C'es... Ces sentiments, seraient ils semblables à ceux qu'il a ressentit la toute première fois où il avait mis les pieds ici ? Ou... Non, impossible. Non, dans sa tête, il est le seul à avoir vécu cette malédiction. Le contraire lui semble abstrait, absurde et au delà de sa raison. Aucune solution ne vient à lui, il ne se sent en mesure de l'aider et il laisse ce sujet couler au fond de leur esprit. A la place, le jeune homme aux cheveux d'or lui propose une balade. Alice accepte et aussitôt, ils commencent à marcher sur  le long sentier. En pleine réflexion, l'homme singe laisse un grand blanc dans la conversation, se contente de suivre la fille, ses deux bras balançant contre son corps.

".faim ? froid ? »

Croyez le ou non, ces mots viennent tout juste de pénétrer sa boîte crânienne. Il en a fallu du temps. La fatigue, ses nombreuses pensées ou une soudaine déconcentration ? En tout cas, il se met tout à coup à réagir. Au quart de tour, il se retourne vers Alice, lui prend vite sa main et la tire vers lui. Il a une idée derrière la tête, mais incapable de l'expliquer à voix haute, donc il tente de lui faire comprendre avec des étranges signes. Lassé, il la lâche et commence à avancer -pas décidé- vers un endroit précis.

"Ici. Chien chaud.. Argent"

Le lieu en question est la petite boutique où il a mangé son premier repas dit humain avec Mégar... Morgan? Une jeune femme qui avait eut la générosité de lui offrir ce bon repas. Aujourd'hui, les rôles vont pouvoir s'inverser. En effet, Tarzan compte bien donner ce bon hot dog à cette demoiselle.. Du moins, s'il retrouve sa petite bourse, où on lui a donné de quoi vivre pour la semaine...

" Ou ?"


fait il en se tripotant tout le corps, désespéré de rien trouver.
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Dim 30 Aoû 2015 - 22:52

Elle ne saurait pourquoi elle lui fait confiance, en même temps, il était le seul à vouloir lui parler et l'aider. C'était un fait qui rendait Alice plutôt naïve. Tu n'avais pas l'air bien méchant, sauvageon mais pas méchant. Elle ne savait d'où tu venais, d'où tu étais et même peut-être que cette façon de parler venait tout simplement de cet étrange endroit rempli d'étranges personnes toutes aussi farfelues les unes que les autres. Il y avait des hommes habillés d'une façon étrange, une chemise blanche, un veston noire , un bas étrange qui prenaient des airs hautains face à d'autres hommes au bas étrange, d'un tissus encore plus étrange mais qui avait l'air doux au toucher, un maillot qui montrait aux manches très courtes, très même, d'une couleur flamboyante, au chapeau plutôt étrange. Ils parlaient très étrangement, tout le monde avait l'air d'avoir un problème d'élocution par là. Les femmes et leurs coutumes vestimentaires sont toutes aussi étranges. Leurs jupons, leurs manières, leurs coiffures et même cette façon si familière de s'adresser à un ami. Ils parlaient aussi dans d'étranges boîtes, comme si quelqu'un était derrière. Un moyen de communication très étranges puisqu'il comme elle avait vu, la personne semblait répondre à quelqu'un qui n'était pas devant elle. Pas de lettres ! Pas de correspondances que cela était étrange. Alice n'était pas terrifiée, elle avait eu son lot lorsqu'elle avait été au pays des Merveilles. Les voitures faisaient un bruit étranges et semblaient ne pas être tiré par des chevaux ! Avaient-ils disparus ? Où étaient-ils ? Alice adorait beaucoup les chevaux , par leurs gentillesses, leur sympathies, leur manière de parler, de l'écouter. Elle adorait galoper, ou trotter. Une lady devait monter un minimum à cheval, selon son père mais pour la petite brune, c'était une passion.

Elle le regardait, et croisa les bras sur sa poitrine comme pour se réchauffer, quelque peu, un maigre moyen de se réconforter et d'affronter ce qui se passait en ce moment, bizarrement, au pays des Merveilles, il faisait assez bon pour qu'elle n'ait froid et qu'elle ne meurt pas de chaud, c'était comme si elle ne sentait pas les températures mais ici, elle les ressentait beaucoup et Alice était une grande frileuse.

-Oui, j'ai faim et j'ai froid , répondit-elle à ce qu'elle pensait être une question de ta part.

Alice reniflait quelque peu tout en se laissant entraîner par toi, curieuse de ce que tu vas lui montrer. Il était vrai , de toute manière, où allait-elle aller ? Elle n'avait pas d'argent, ni de couverture pour lui tenir chaud la nuit et il ne fallait compter sur les personnes cruelles dans ce monde, elle avait eu des personnes mendier dans les rues. Ils avaient l'air vieux et lasses de cette vie, et Alice, ne voulait pas terminer comme eux. Tu partis vers un stand plutôt étrange et prit un pain étrange avec ce qui semblait être de la viande à l'intérieur. Tu nommais cela, un chien chaud ! Oh mon dieu, un chien chaud. Alice fut offusquée et horrifiée. Oui, elle savait que la viande c'était, des animaux mais au point de manger des animaux de compagnie, que tout le monde baladait en laisse. La nausée la prit et elle avait du s'asseoir sur le banc tout en essayant de respirer calmement.

-Non, mais cela est horrible, manger du chien ! S'exclama Alice en tentant de réprimer une montée de bile.

Elle était blanche comme un linge, sa tête lui tournait complètement. Elle avait totalement oublier qu'elle avait fait maintenant et finalement, c'étaient eux les plus cruels entre la Reine de Coeur et eux. Manger leur animaux de compagnie, c'était comme si , elle mangeait Dinah. Alice frissonnait à cette idée.


  
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Invité
Lun 31 Aoû 2015 - 9:29
Le premier, l'un des premiers a aider son prochain, à se mettre en quatre pour lui et ça même s'il s'agit d'une personne inconnue. L'une des plus grandes qualités de l'enfant de la nature, on l'adorait pour ça dans une autre vie. Là, il se tripote, fouille tout son corps à la recherche de sa fameuse bourse. A l'intérieur, il y a des papiers et des pièces, de l'argent en somme, utile pour "acheter" de la nourriture. Impossible à mettre la main dessus, à la place d'étranges choses s'y trouvent. Ses poches sont remplies de cochonneries du style; morceaux de papiers, objets douteux trouvés dans la rue-une clé cassé, une petite boite rouge, un crayon et un ballon de baudruche dégonflé- , poussières et un trognon de pomme. Le constat est la, défavorable pour Tarzan. Il tire une mauvaise mine, remet tout son Marshmallow dans ses poches et regarde vite autour de lui. Ses yeux ont beaux se balader dans tous les coins, aucun signe de sa bourse. L'idiot, il a du la laisser tomber durant son stupide jeu enfantin.

Il hoche les épaules, se retourne vers la jeune fille du nom d'Alice. Avec un air dépité, il lui fait comprendre ses prochaines intentions: Retourner seul dans le parc pour retrouver sa bourse. Une fois fait, il fait demi tour et se met à courir en direction de central parc. Ce jour là, la chance lui sourit à pleine dent, sa petite bourse était juste à l'entrée. Content de ne pas avoir à faire tout le parc, l'homme singe pousse un soupire de soulagement et s'empresse de reprendre son bien. De retour près de son interlocutrice, il fait bouger l'objet en question devant elle et finit par l'ouvrir. Il en sort de billets, un pour elle et un pour lui. Oui, cette rencontre lui a donné faim. Du chien chaud au menu, ca va être un vrai délice pour lui. Il s'en lèche les babines. A l'inverse, la fille semble révoltée à cette idée, elle l'exprime et devient blanche comme un linge. Cette réaction provoque un amusement chez l'ancien seigneur de la jungle, qui la prend par l'épaule et la fait pivoté vers une autre partie de la boutique.

" Gâ... Gâ-Teau ? Fro..meuge?"


En gros ici, il en a pour tous les gouts, pas possible de repartir sans rien. Après la faim, vient la soif, l'homme aux cheveux d'or se met a examiner toutes les boissons du stand. Fanta, coca, ice tea, orangina.. Orangina ? Il y a le mot orange dedans donc ça doit en être. Avec sa déduction peu poussée, le futur Tyrand chope deux canettes. Il en garde une pour lui et donne l'autre à sa ''compagne''.

«  Eau et orange.. Bon »


Le serveur vient les voir, leur demande s'ils ont finit leur commande. Le cœur sauvage lui fait un signe négatif de la tête et s'en va jeter un coup d'oeil au desert. Comme d'habitude, il appelle Alice pour qu'elle en fasse de même, lui propose les meilleurs choix. Si avec tout ça, elle doute encore de sa sympathie. Au finale, les personnes qui vous semblent plus rustres et grossiers peuvent bien être les plus généreuses du monde. Ne jamais se fier au apparence.
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