No more happy endings...
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 :: RP terminés
Est ce la nouvel Amérique?[Terminé]
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Anonymous
Invité
Sam 7 Mai 2016 - 16:55
J’étais réveillé, mais que vois-je ! Je n’étais plus sur le navire et l’équipage avait disparu ! Comment aurais-je pu en arriver là ? Et quel était cet endroit où je me trouvais ? Il faisait nuit et autour de moi, on dirait qu’il y avait plein d’arbres et de végétations, je me réveillai sous le pied d’un tronc d’arbre immense et essayai de me lever avec difficulté…

Je regardais mes mains pour voir si je n’avais aucune égratignure et j’en avais point, ensuite, je jetai un coup d’œil sous ma chemise bleue vers la hanche où j’avais été blesser par le coup de fusil de Ratcliff la cicatrice avait vite cicatrisé, c’était très étrange.

J’avançais pas à pas sans réfléchir vers un pont au-dessus d’un petit lac, je m’arrêta alors en criant :

« Thomas ! »

Je n’entendais que le bruit de quelques oiseaux qui roucoulait dans le coin.

« Où êtes-vous ? Où suis-je ?! »

Récriais-je, même si je savais que Thomas et le reste de la troupe m’entendait pas et que peut-être qu'ils avaient disparues eux aussi, est ce que ce sont eux qui m'ont laissé dans cet endroit bizarre ? Ou bien, suis-je mort et j’ai ma propre âme dans le corps d’un autre sosie à moi ? Bon sang, mais pourquoi je me posais des questions comme ça ! Maintenant, il fallait que sache déjà comment sortir d’ici et retrouver ma troupe de colons à tout prix !

Je traversai le pont au-dessus du petit lac, à terre se trouvait un petit terrain de terre comme pour retrouver son chemin, je le suivais en tournant ma tête quelques fois derrière moi pour vérifier, si je ne courais aucun risque, Il y avait personne et le silence qui régnait me laissa douter si je n’étais pas en danger. Toujours en suivant le chemin, j’aperçus au loin un genre de lumière très illuminé ressemblant à un troupeau de chandelles réunies, je m’avançais tout doucement pour découvrir un peu plus près ce qu’étaient ces lumières douteuses.
Je sentis une main derrière moi qui m’attrapait en me mettant un couteau sous la gorge me parlant :

« Donne-moi ton fric et je te laisse la vie sauve mon gars »

Le fric, qu’était-ce cette chose? Et pourquoi s’en était-il pris à moi ? Je ne fis aucune discussion avec l’homme que je me débattis en le poussant en arrière où il tapa fortement la tête contre une murée formant un siège, je réalisais qu’il y avait de fortes chances qu’il soit mort. Je donnai un petit coup sur sa jambe, mais il ne réagissait pas, je sentis son pouls à l’aide de ma main, heureusement, il était vivant, juste inconscient. Je ne devais pas rester à ses côtés au malheur qu’il m’agresse encore une fois.

L’homme allait reprendre conscience de toute façon, je repris alors mon chemin vers l’illumination en accélérant le pas, j’arrivais enfin de plus en plus prêt que je percutais une personne et tomba sur mon côté gauche à terre, ma chute l’avait entraîné aussi, qu’elle était tombée en même temps que moi. Je lui tendis ma main en lui posant :

« Vous n’êtes pas blessé . Laissez-moi vous aider »

Je rehaussa la personne en appuyant sur mes jambes pour me relever au même instant.
Citation.
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Invité
Anonymous
Invité
Sam 4 Juin 2016 - 17:53

Deux immenses murs en fer, faisant office de porte, se tenaient devant lui. Ses yeux les fixaient, ne cessaient de les détailler de haut en bas, commençaient à mémoriser chaque ornements qui les décoraient. La bouche entre ouverte, l'ancien seigneur de la jungle était en réalité submergé d'une immense interrogation, réflexion. Il venait de sortir de prison, on l'avait relâché une ou deux semaines après or il ne parvenait toujours pas à comprendre le pourquoi du comment. Sa prise de tête dura une bonne demi heure, suivie d'un hochement de tête avec un soupire nerveux. Il réalisa son incapacité à trouver la raison de son mauvais séjour, se résolu à abandonner. Il détourna enfin son regard du bâtiment, débuta une promenade au sein de la grande pomme. Une fois encore il se retrouva seul au milieu de New York, devait se réadapter. Une chance pour lui, les rues étaient presque vide, juste une poignée de personnes qui se promenaient. L'instinct de Tarzan l'entraîna vite au coeur de central parc, autrement dit son endroit préféré. Le retour à la nature libre, sauvage lui fit le plus grand bien. Il marcha pieds nu dans l'herbe fraîche, se posa en haut d'un arbre afin de profiter de l'instant présent.

« Huh ? »

Une étrange scène se dressa non loin de lui, qui illustra deux hommes entrain de se battre. L'homme aux cheveux d'or était à deux doigts d'intervenir, se vit toutefois retenu par sa conscience. Il n'avait à s'en mêler, cela ne le regardait pas et il avait assez eut d'emmerdements comme ça lui siffla-t-elle à plusieurs reprises. Elle lui ordonna même de partir en vitesse afin d'éviter d'éventuels débordements, ce qu'il finit de faire. Cependant, sur le trajet à l'opposé de la baston, il percuta en plein fouet l'un des deux garçons. Sur le coup de l'effet de surprise, il tomba en arrière, fut pendant un court instant.

« Mer.. Merci. »

Une chose était sure, son nouvel interlocuteur semblait plutôt sympathique, l'avait aidé à se relever. Tarzan lui fit un signe de la tête en guise de reconnaissance mais la tourna brusquement tout de suite après. Il avait été alerté par ses sens, qui lui signalaient une menaçante présence.

«  Partir ! »

C'était l'ancien adversaire de l'autre homme, l'enfant de la nature l'avait vite deviner. Sur quoi, il prit le bras de son ''compagnon'', le tira vers une direction bien précise. Les deux courraient, espéraient échapper à ce danger. Au beau milieu de la course, Tarzan eut la bonne-Ou la mauvaise- idée de l'entraîner dans un passage souterrain qui serait peut être leur seul moyen de s'en sortir indemne.
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Invité
Anonymous
Invité
Mer 8 Juin 2016 - 21:59
La personne que j’avais relevée était un homme bien jeune qui devait avoir dans la vingtaine, ses cheveux étaient bruns clair avec une longueur un peu plus étanche que la mienne, sa peau était un peu plus bronzée que la mienne. L’homme me remercia avec un petit sentiment de peur.

« Mer... Merci. »

Je le comprenais parfaitement qu’il avait peur, vu que mon apparition assez soudaine en le percutant avait été un peu violente, je le dévisageai un petit instant pour apercevoir qui j’avais devant moi, je vis à ses pieds qu’il ne portait pas de chaussures... L’homme était bien entendu pieds nus, il devait être un peu étranger parmi cet immense endroit, sans dire le mot « sauvage ».
Tout d’un coup ! L’homme regarda à droite et à gauche, l’air terrifié :

« Partir ! »

Me dit-il, je compris que ce n'était pas de moi qu’il était paniqué, mais de quelque chose d’autre, il me prit avec force mon bras, il m’entraîna à vive allure en sa compagnie le reste de l’endroit en dehors de cet immense parc où j’avais pu y trouver la mort !
Les constructions autour de nous que je vis en courant derrière l’homme, avaient des formes très étranges et ils avaient des mesures surprenantes ! Les alentours étaient calmes, pas de foule, pas de personnes en vue et étaient beaucoup éclairés avec une matière inconnue qui n’était pas du feu.

On entra dans un sous-terrain inquiétant peu éclairé et l’homme s’arrêta, on s’essouffla tous les deux et je le questionnai :

« Que vous arrive-t-il ? Pourquoi êtes-vous autant terrifié comme ça ?! »

Pour le rassurer que je n’étais guère un danger, je me présentai :

« Mon prénom est John Smith, je viens de Londres, en Angleterre et je me suis perdu dans le parc où je suis sorti juste avant que j’aie pu vous rentrer dedans, du moins je ne sais pas comment j’ai atterri ici »

Par signe d’affection amical, je mis ma main sur son épaule en lui administrant un petit sourire gracieux.
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Anonymous
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Jeu 9 Juin 2016 - 18:41
Le point commun entre la jungle et cette civilisation était la présence de lois, de meurs et de valeurs. Ils étaient importants, assurèrent le bon fonctionnement, une certaine harmonie entre les êtres. Le contraire donnerait le chaos, la désolation en ce monde ce pourquoi des sanctions tombaient à toutes enfreintes. L'homme singe n'échappa à la règle, ce long séjour en prison en était la preuve, lui avait remis les pendules à l'heure. Il devait connaître les normes, il fallait s'y adapter, éviter ce genre de débordement. A première vue, c'était rentré dans son esprit, il redoubla de vigilance, faisait mieux attention à ses actes. Il aurait pu s'arrêter, se retourner pour en découdre avec cet homme. Sans doute se seraient ils battus, sans doute aurait il emporter la victoire. Néanmoins il se serait de nouveau mis dans le pétrin, ceux qui se nommaient ''Policiers'' sur le dos. Il devait faire profil bas, en sorte d'être oublié durant un certain temps. A l'entrée du tunnel, Tarzan dû ralentir l'allure à cause de l'obscurité et de la fatigue emmagasiné-Il manquait cruellement d'heure de sommeil, d'énergie-. A bout de souffle, il s'obligea même à s'immobiliser, à essayer de reprendre un bon rythme de respiration. Il eut un réflexe de se caler contre le mur, de poser la main sur son torse. Il releva les yeux sur son interlocuteur, lui fit un signe de patienter.

« Ton homme.. Danger.. Peu… Pas.. Battre.. »

Hors de son contexte, cette phrase pouvait porter à confusion, donner d'étranges pensées. Le coeur sauvage garda ses sens en éveille, ne cessait de se retourner pour voir si leur poursuivant n'était revenu à la charge.

« Londres ? Jane !? »

Sous l'effet de l'étonnement, il eut un mouvement de recule, un drôle de bruitage. Ses yeux grossirent, s'arrondirent petit à petit tendis qu'il se redressa en faisant quelques pas vers John.

«  Tarza.. Atten.. »

Quelle erreur d'avoir baisser sa vigilance, il s'en mordait les doigts, en paya maintenant les conséquences. Leur ennemi en commun était parvenu à les rattraper, à toucher l'ancien seigneur de la jungle au niveau de la jambe droite. Ce dernier avait sentit le projectile s'enfoncer à l'intérieur de son corps qui tangua sur le coté. Il poussa un puissant grognement sourd, se tordit de douleur. Il implora l'aide de son partenaire du regard le temps pour lui de reprendre des forces.

«  GRR »

Certes il avait été blessé, cependant il avait gardé certaines facultés de défense qu'il n'hésita pas à utiliser face à ce mal léché.
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Dim 26 Juin 2016 - 22:18
Je voyais l’homme un peu plus rassuré qu’avant, j’espérais juste qu’il ne pensait pas encore que j’étais une maudite personne d’après la frayeur qu’il avait montrée sur son visage.
Dans ce tunnel sombre et peu éclairé, on ne pouvait très peu distinguer les silhouettes, mais les bruits de pas se laissaient entendre. L’homme m’adressa la parole avec des mots assez bizarres :

« Ton homme... Danger... Peu… Pas... Battre... »

Que voulait-il dire ? D’après ce que j’ai pu comprendre, il parlait de la personne qui avait voulu m’assassiner, mais alors il m’avait vu donc me défendre contre cette personne ? Je lui répondis en lui expliquant :

« Oui, cette personne, a voulu me poignarder en me réclamant quelque chose dont je ne savais pas ce que c’était, je me suis défendue, mais il a tapé la tête et s’est évanoui, les habitants d’ici sont assez étranges, je dois dire »

Tous en étant essoufflé comme l’homme devant moi, je m’agenouillai en essuyant ma sueur qui avait coulé sur mon front et sur mon cou. Quand je lui avais parlé de moi en disant que je venais d’Angleterre, plus précisément de Londres, mon partenaire stupéfait me dit :

« Londres ? Jane !? »

Le dernier mot était un prénom si j’avais bien entendu, il connaissait alors quelqu’un de Londres . Mais alors peut-être que cet homme avait déjà visité ce pays et qu’il avait peut-être un moyen de trouver un navire pour me ramener chez moi !

Je fis un petit sourire de joyeuseté en me relevant, mais l’homme avec un signe de main m’arrêta en disant :

« Tarza... Atten... »

Que cela signifiait-il? Soudain, un bruit de pas de course se fit retentir dans le tunnel, le bruit de pas venait tout droit vers nous, peut-être que mon partenaire aurait voulu me prévenir que quelque chose se dirigeait vers nous.
En effet, une silhouette apparente s’avança soudainement vers nous administrant un coup d’arme à feu sur la jambe de mon partenaire. Surpris ! Je dévisageai que c’était l’homme que j’avais évanoui tout à l’heure, je n’aimais pas du tout ce qui venait de se passer je courus vers l’assassin en hurlant:

« Non ! Laissez-le ! »

Je l’emportais de tout mon poids au sol en lui bloquant ses mains pour qu’il ne puisse pas donner de coup de feu, l’assassin essaya de me repousser avec force, mais je le retins avec difficultés, je savais que mon partenaire ne pouvait rien faire avec une blessure à la jambe et j’avais extrêmement mal pour lui.

L’assassin me donna avec fracas un coup de genou dans mon ventre et essaya de se relever pour pouvoir prendre son arme, avec le peu de force et la douleur à l’estomac qui m’envahissait, je lui verrouillai ses pieds pour ne pas qu’il l’atteigne.
Je vérifiais à l’intérieur de ma cuissarde si j’avais encore mon poignard et je l’avais bel et bien encore sur moi, je le sortis de son étui et l’enfonçai dans le bas de la jambe de l’assassin qui hurla de douleur ! Je vis aussi mon partenaire ce défendre contre lui...
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Ven 15 Juil 2016 - 11:37
Une immense et unique interrogation demeurait au sein de son esprit, les raisons qui pouvaient pousser ce malotru à s'attaquer aux deux anciens personnages des contes. Selon l'ancien seigneur de la jungle, cela sonnait faux, ressortait de l'ordre de l'illogisme. En clair, il avait beau se creuser l'esprit, il ne comprenait guère cette haine en vers sa personne. Toutefois et même s'il n'avait de base éprouvé aucune hostilité et aucun désir de se battre, il contre attaqua sur le champ sans éprouver la moindre pitié pour son nouvel adversaire. Ce fut même l'inverse, une sorte de rage mêlée à de la rancoeur naquit en lui, causé par la douleur au niveau de la jambe. Malgré l'intensité de cette dernière, Tarzan arriva à lutter, à parer certains coups et à en administrer une bonne dizaine.

Hélas son énergie et sa force physique s’épuisaient à vu d'oeil, une constatation qui le poussa à réaliser une tentative de battre en retrait. Il riva en vitesse son regard vers John-Afin de prendre la température de la ''santé'' de ce dernier-, assena un puissant coup de coude dans l'estomac de son ennemi et se recula de deux ou trois mettre de lui. Pris par surprise, l'imposteur eut un temps d'absence, de déstabilisation ce qui arrangea l'homme aux cheveux d'or. Celui-ci eut une occasion en or, sans doute la seule, pour s'occuper de sa blessure. Il se hâta donc à s'adosser contre un pan de mur, à se baisser pour examiner sa plaie. Elle était sanglante, profonde dont l'homme singe se questionnait à présent sur son origine. Il y plaça deux doigts autour, tenta en vain de voir, de retirer ce maudit projectile de malheur. En vain, la souffrance l'empêcha à aller plus loin, à atteindre son but. Il n'aurait pu de toute manière, l'un de ses sens vint juste de l'alerté d'une attaque sournoise qui pourrait être fatal pour John si personne n'intervenait.

«  Tenir. Faire quoi ? »

En l'espace d'une poignée de minutes, l'enfant de la nature avait réussi à immobiliser leur adversaire en commun en usant d'une veille technique. Il s'était vite glissé dans son dos, dépêché d'enrouler ses bras autour de ses épaules et le tenir au niveau de la nuque. L'aura de Tarzan se faisait de plus en plus sauvage, dangereuse dans l'unique but d'intimider ce voyou. Mauvais perdant, l'imposteur se débattait, essaya de se dégager de l'emprise de Tarzan.

«  Vite.. Je.. »

Certes il avait une bonne prise, cependant il n'allait duré ainsi très longtemps. Son prisonnier avait de la force or la sienne diminuait toujours lentement. En sommes, ils devaient se grouiller à se débarrasser de lui.
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Dim 7 Aoû 2016 - 21:23
Ayant toujours la douleur au ventre, je vis mon partenaire bagarré contre l’assassin, j’essayai de me relever avec difficultés...

Mon partenaire avait beaucoup plus de difficultés que moi à se défendre à cause du coup de feu qui s’était foudroyée dans sa jambe, je me relevai en m’approchant de la bataille du bien et du mal. Mon partenaire avait besoin de moi, il fallait que je lui vienne en aide ! Je courus vers l’assassin en lui donnant un coup-de-poing avec force dans son dos, l’assassin ouvrit la bouche par réflexe de la douleur et mon partenaire le prit par-derrière le dos en l’immobilisant.

« Vite.. Je.. »

J’eus compris ce qui voulait me dire, je lui répondis.

« Je vais t’aider, j’espère juste qu’il dormira assez longtemps après ce que je vais lui faire ! »

Je pris un élan de ma tête et la percutai contre celle de l’assassin qui eut la tête qui tournait pendant un petit moment et s’écroula ayant perdu le contrôle de son corps. Je haïssais ce que je venais de faire, mais malheureusement, il fallait bien que ce maudit homme paye pour ce qu’il avait fait à mon partenaire et surtout, c’est une personne dangereuse, j’espérais pleinement qu’il finisse ces derniers jours à la guillotine.

« Il faut cacher le corps, je crois que l’on n'a pas mal de temps, il est dans un coma très profond »

J’enlevai la veste du maudit assassin et cachai sa tête.

« Connais-tu un endroit où ce misérable assassin peut ne pas être aperçu et où l’on est sûre qu’il ne nous retrouvera jamais ? »

Ma question était peut-être stupide, mais dans un moment pareil, nous n’avons pas le temps de réfléchir, il fallait agir vite avant que l’on nous aperçoive par malchance dans ce tunnel avec ce corps salis par la folie de la tuerie.
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Lun 8 Aoû 2016 - 11:00
Malgré sa posture et les dégâts provoqués par son agresseur, l'ancien seigneur de la jungle n'avait aucun désir de mettre fin à ses jours. C'était juste de la défense, du contrôle à ses yeux au point où il espérait même de ne devoir en arriver à une telle extrémité. Pour l'instant, il se contentait de le maintenir, en profita de cette occasion pour jeter un oeil vers son partenaire. A première vue, celui ci avait été moins touché par l'attaque, semblait juste avoir une douleur au niveau du ventre. Un petit soulagement en somme, ils devaient à présent se défaire de leur adversaire pour de bon. De quelle manière ? Là résidait le problème, Tarzan en avait aucune idée. A vrai dire, son esprit était focalisé sur sa prise et sur sa propre douleur qui ne cessait d'augmenter.

Une grimace, un grincement des dents suivit d'un bruit étrange, il tenta en vain de faire comprendre à John, l'urgence de la situation. Il comptait sur lui au lieu de se débrouiller tout seul, pathétique songea sa conscience. Elle avait tord, il ne pouvait tout gérer en si peu de temps. Selon une petite théorie, ils avaient à peine deux minutes devant eux.

Au final, John prit les choses en mains, s'avança vers le captif et lui donna un bon coup de la tête. Surpris d'une telle façon de se débarrasser de quelqu'un, l'enfant de la nature sursauta en laissant le prisonnier s’écraser contre le sol.

«  Désolé… Pas savoir.. Pourquoi ? »

Au moment où son interlocuteur fit sa demande de dissimuler le corps, le coeur sauvage eut une réaction des plus surprenantes. En une fraction de seconde, ses yeux s'étaient arrondit, ses sourcils s'étaient relevés et un air bêta. A son sens, il était resté dans les règles durant ce combat, n'avait strictement rien à se reprocher, à cacher. Pourtant, il fit un effort de se creuser les méninges une bonne poignée de secondes, finit par trouver la cachette idéale. Dès lors, il lui fit un petit geste, se baissa et ils tiraient l'homme derrière une sorte de caisse noire au coin du tunnel.

«  Laisses la.. Soigner ! »

Au risque de se faire passer pour le pire des crétins, un égoïste, Tarzan avait la ferme intention d'imposer sa plus grande priorité du moment. Il s'était même montrer insistant en lui tapotant l'épaule, en le tirant vers la sortie d'un air désespéré. En réalité, sa plaie lui faisait affreusement mal, à ce rythme là il ne pourra plus du tout marcher sur ses deux jambes.
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Dim 14 Aoû 2016 - 21:02
« Désolé… Pas savoir.. Pourquoi ? »

Mon partenaire après la chute du maudit assassin, ce senti perdu, mais était à ma vision d’accord avec ce que je lui avais proposé pour cacher le corps de l’évanouie. Mon partenaire me désigna une caisse noire avec son regard et je compris où il voulait en venir. Je pris alors avec mon partenaire le corps par les pieds et lui par les bras et nous le cachâmes derrière cette caisse noire qui était située à l’ extrême gauche du tunnel, au moment d’arriver derrière la caisse noire, je vis partenaire gémir de douleur…

« Laisse-la... Soigner ! »

Je le comprenais tout à fait, un coup de feu dans une jambe était très douloureux et sa blessure était très profonde, je m’approchai de lui et m’agenouillai vers sa jambe pour contrôler sa blessure, il saigna beaucoup, mais il fallait soigner ça.

« Je vais essayer de te soulager la douleur, je vais soigner ta plaie »

Je pris mon couteau arracha un bout de l’avant-bras droit de ma chemise pour le bandage et l’autre bout à l’avant-bras gauche pour lui mettre entre les dents pour éviter qu’il crie au martyr, je lui mis le bout du tissu de ma chemise entre ses dents et le prévenais.

« Pardonne-moi, je sais que cela va être douloureux, mais il ne faut pas que cette saleté reste dans ta jambe »

J’approchai mon couteau vers la blessure en inspectant l’intérieur et le pénétra en tirant le projectile vers l’extérieur du sang s’échappa, mais pas en grande quantité, c’est ce que j’avais espéré et fort heureusement l’hémorragie n’avait pas eu lieu, je regardai mon partenaire blanc comme une plume et le rassurai en lui caressant l’épaule.

« Tout va bien, c’est fini, le projectile a était enlevé, je n’ai plus qu’à recouvrir ta blessure »


À l’aide du deuxième bout du tissu de ma chemise, je l’enroulai autour de sa plaie et serrai pour qu’il puisse bien tenir en faisant un nœud.
Il aura du mal a marché, je me disais, je me relevai aussitôt et enroulai son bras au-dessus de ma nuque.

« Je vais t’aider a marché, dans mon travail de capitaine, j’ai l’habitude pour ce genre de situation, il ne faut jamais laisser un coéquipier dans le pétrin, tout ce que tu auras à faire, c’est de me guider et je suivrais la direction et tu n’auras surtout pas à utiliser ta jambe, je te tiendrais pendant tout le trajet »


Je lui dessinai de ma bouche un petit sourire, même s’il était blessé pour le rassurer de quoi qu’il puisse arrivait, je serais toujours avec lui, il m’avait aidait jusqu’à maintenant, c’était à moi maintenant de m’en montrer reconnaissant.
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Lun 15 Aoû 2016 - 15:14
La minute de trop, le pauvre enfant de la jungle vint de s'effondrer sur le sol. Il ne pouvait plus tenir debout, c'était trop dur, la douleur de sa jambe était si intense. Il serra les dents, grogna, maudissait son ancien adversaire de toutes ses forces. Il se surprit même à se demander comment allait il s'en sortir dans cet état là. Certes la jungle ne l'avait épargné au niveau des combats, blessures or son nouveau physique et ce nouveau monde l'handicapaient grandement. Il s'en était rendu compte lors de la bagarre en prison contre son voisin de cellule, Sean. Un projectile s'était enfoncé dans cette satanée plaie, Tarzan devait la retirer le plus vite possible. Il fit une première tentative qui se solda malheureusement par un échec cuisant. Il s'était mis à crier juste après avoir poser le doigt autour, l'avait retirer sur le champs sans se poser la moindre question..

«  GRR !! Mal !! Arr.. »

Au final, le prince de la jungle fut assisté par son partenaire de combat, ce dernier s'avéra plus efficace. En effet, sa gestualité était précise, rapide et elle dégageait un certain savoir faire. Ravis de cette aide, la victime se montra docile, se laissa faire malgré elle. En règle général, Tarzan détestait recevoir l'aide d'autrui, était plus du genre à se débrouiller tout seul. D'ailleurs, cela se voyait parfois par le biais de ses yeux, certains grognements. Par chance, l'opération fut assez courte, le capitaine arriva à sortir l'objet de la jambe dont l'homme singe fut énervé de sa découverte. Il s'agissait d'une balle de pistolet, de fusil, il l'avait vite reconnu. Sa couleur et sa forme ne le trahissaient pas, il en avait vu auparavant et il s'en souvenait encore.

«  Où ? »

Son camarade avait raison sur toute la ligne, Tarzan était incapable de se déplacer, la douleur se faisait toujours présente. Il tenta quand même de se relever, de faire quelques pas sur le coté avant de revenir vers son nouvel ami. Il avait pris la sage décision de suivre ses conseilles, de se tenir à lui pendant la marche. Cependant et comme il l'avait souligné à juste titre, il leur fallait maintenant trouvé un endroit tranquille où il pourrait se remettre de cette mésaventure.

«  Maison .. Toi ? »

Hors de son contexte, une mauvaise interprétation de cette phrase découlerait d'une logique implacable. L'enfant de la nature avait un certain culot de s'imposer chez cet homme qui au final était encore un inconnu.
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Lun 22 Aoû 2016 - 23:54
Je ne m’attendais pas du tout à la question que mon partenaire m’avait demandée :

« Maison .. Toi ? »

C’était une question a là qu’elle, j’allais avoir du mal à répondre, je ne savais pas où je me trouvais et je ne savais même pas si Londres se situer à côté.

« Non, ma maison est à Londres, tu sais comment y aller ? Est-ce loin d’ici ? »

Lui demandai-je tous en marchant pour sortir du tunnel avec mon compagnon sur le dos pour s’éloigner de l’assassin évanoui, on monta un escalier qui nous emmena vers un croisement de deux chemins, je regardais à droite et à gauche et vis que le chemin de gauche était beaucoup plus illuminé, je l’empruntai avec mon partenaire.

« Et toi, as-tu une maison ? D’où viens-tu ? Et d’ailleurs comment t’appelles-tu déjà ? »

Il fallait que je pose des questions, il fallait que je retrouve la route pour Londres, retrouvé Thomas et le reste de ma troupe.

En y pensant, je pourrais peut-être faire venir cet homme en tant que colon, d’après ce que j’ai vu, je crois qu’il ferait l’affaire dans ma troupe…

Un peu plus loin, j’apercevais devant nous une grande pancarte mentionnant « Hospital » tiens étrange, c’était la première fois que je voyais une pancarte avec une matière qui m’était inconnue et d’une écriture assez bizarre, je m’avançai un peu plus prêt pour voir le grand bâtiment qui se trouvait juste au bas où il y avait beaucoup de personnes qui sortaient et qui rentraient.

Je regardai mon partenaire toujours à mon dos en lui demandant.

« Tu crois que cet hôpital pourra te soigner ? Car l’aspect me fait un peu peur, tu crois que c’est risqué ? »
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Mar 23 Aoû 2016 - 10:49
L'ancien seigneur de la jungle ne manquait pas de culot, il fallait l'avouer. Sa conscience elle même fut choquée par cette demande, craignait les conséquences.Elle connaissait mieux les usages et meurs de cette nouvelle "civilisation". A l'inverse d'elle, il le prit comme une banalité, y avait surtout vu le coté pratique : Se soigner dans un endroit calme, sans risque d'une autre agression. Ca serait la cerise sur le gâteau, le comble du comble. Cette idée lui provoqua un petit frisson de crainte, de malaise.

Au crochet de John, Tarzan lutta contre sa douleur, tenta en vain de suivre le rythme. C'était difficile pour lui, il dut lui faire comprendre à plusieurs reprises en tirant sur sa chemise, en lançant des regards qui en disaient long. Ils avançaient ainsi une bonne poignée de secondes, de minutes avant de faire une petite hâte où son sauveur lui posa deux ou trois questions.

La fatigue embrumait l'esprit du coeur sauvage, il lui fallait un temps de compréhension. A son grand désespoir, ils ne se trouvaient à Londres, pouvait faire une croix sur la maison de John. Il hocha les épaules, baissa la tête d'un air dépité. Il essaya de trouver une autre solution, un autre refuge. Hélas rien ne lui vint en tête, il connaissait quasiment rien de la ville. Suite à un profond soupire, il s'efforça à relever les yeux sur son interlocuteur.

« Tarzan… Venir jungle.. »

En sommes, les deux hommes étaient trop loin de leur domicile respectif, devaient se débrouiller avec les moyens du bord. Une grimace s'afficha sur le visage du prince de la nature qui décida de reprendre la marche en étant accroché dans le dos de John. Cette image, cette posture lui étaient très désagréable, il espérait vite d'en voir la fin.

«  Quoi ? »

Il fit les gros yeux bien ronds, ouvrit légèrement la bouche à l'instant où ils furent tous les deux devant un énorme bâtiment. C'était impressionnant, limite flippant, l'homme aux cheveux d'or se vit vite envahir par une tonne de questions. Elles captaient son intention au point où il en perdit l'équilibre, se retrouva une nouvelle fois les quatre fesses sur ce sol argileux.

« Grr !! Peu.. »

Cette fois ci il était dans l'incapacité de se relever, sa jambe le bloqua, le cloua au sol. Il se la tenait en grognant de plus belle, finit par s'allonger sur le sol afin de se soulager.
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Invité
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Invité
Dim 2 Oct 2016 - 22:45
Tarzan s’appelait-il alors ? Qu’elle très étrange prénom, que je n’avais jamais entendu d’ailleurs… Il venait de la jungle, alors lui aussi était complètement perdu ici, on était alors deux hommes perdus dans cet étrange endroit. D’un seul coup, mon partenaire tomba au sol sur son bassin, il me fit avec grognement.

« Grr !! Peu.. »

Cela voulait dire alors que l’hôpital n’était pas un endroit sûr, mais je voyais qu’il n’en pouvait plus de sa douleur à sa jambe, il fallait que je l’emmène même si cet endroit nous avait l’air étrange.

« Tu sais, je crains de te dire que parfois, il faut passer le pire, mais il faut que l’on rentre dans cet hôpital, sinon tu seras blessé à tout jamais et je suis là pour t’aider s'il y a quelqu’un qui nous veut du mal »

Je l’aidai à se relever en le tenant par ses deux bras en avant en le soulevant, le porta comme un sac sur mon épaule de droite et me dirigea vers la lumière d’entrée de la grande structure « Hospital ».
Mon partenaire fit des gémissements comme pour dire qu’il ne voulait pas rentrer dans la structure, je le calmai en lui tapotant sur le dos…

« Ça va aller, je sais que cela me parait morbide, mais les gens qui y sont sortis ne nous ont fait aucun mal, je pense même qui veulent nous aider »

Tarzan et moi rentrâmes dans la structure, elle était encore plus fortement illuminée à l’intérieur qu’à l’extérieur, la lumière était si aveuglante que je n’arrivai pas à voir ce qu’il y avait à l’intérieur, j’essayai tout de même de repérer le bon endroit.
Je m’approchai d’une personne immobile pas loin de nous, vêtue de gris, c’était une femme, mais je ne savais pas si cela était une infirmière car à Londres les infirmières ce sont les bonnes sœurs qui soignent les blessés et les malades.

Je demandai avec politesse si cette personne se chargeait de soigner les gens, elle me répondit qu'elle ne s’occupait que de l’hygiène locale ici et qu’il fallait se diriger vers le bureau d’accueil au fond en nous faisant signe du doigt. Je la remerciai et me précipitai vers ce qu’elle avait appelé « bureau » peut-être qu’à Londres aussi, il y avait aussi ce genre de choses, mais sous un autre nom.

Quelques minutes plus tard, après être passé vers ce que l’on appelle « bureau » ici, je déposai sur un lit de charité, mon partenaire Tarzan, je lui caressai le front en le soulageant.

« Ne t'inquiète pas, ils vont soigner ta blessure le plus vite possible ils ont dit »
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Anonymous
Invité
Lun 3 Oct 2016 - 14:37
Grande, immense fut la frustration de l'enfant de la nature, mêlée à un certain agacement, il se maudissait lui-même de son état critique. Son égo, sa fierté et sa ténacité en avaient pris un coup, il fallait l'admettre. Bloqué au sol, dans l'incapacité de se relever seul, il sentait ce pénible sentiment d'infériorité augmenter en lui, qui le fit grincer des dents, grogner au possible.

Malgré sa faiblesse et sa fatigue, sa détermination ne cessa de lui ordonner de se relever, de pousser sur ses appuies. Il fit donc deux ou trois tentatives qui s'avérèrent d'une futilité sans nom..  Ses efforts avaient été en vain, il du se rendre à l'évidence, abandonner pour se laisser au final traîner par son sauveur. La force de celui ci parvint à le remettre debout, à le conduire à l'intérieur du grand bâtiment. A moitié dans les vamps, endormi, le coeur sauvage perdit petit à petit le sens de la réalité au point où il eut une réaction minime face à la découverte de ce nouveau lieu.

Il avait seulement émit un bruitage, balayé la pièce vite fait du regard sans se poser de question. Son caractère était l'inverse des personnes autour d'eux, qui commençaient à s'agiter, à émettre des interrogations à voix haute. John le tira  vers l'une d'entre elles, se renseigna sur quelque chose d'incompréhensible aux yeux de l'ancien seigneur de la jungle. Une mauvaise grimace apparu sur le visage de celui ci quand ils devaient traverser un long couloir, il en pouvait plus de marcher, c'était horrible, infernal.

Lassé d'être mené par le bout du nez, il le lui fit comprendre par le biais d'un regard de coin, d'un ralentissement dans sa démarche. Néanmoins, son petit jeu malsain fut de très courte durée, sa conscience le rappela à l'ordre. Les deux protagonistes finirent leur course dans une chambre où Tarzan fut déposé sur un lit.

«  M. Mal..Grr »

L'enfant de la nature serra des dents, des poings, se remit à grogner de plus bel. Il était arrivé à un stade où le stresse prit le dessus, il ne cessait de bouger dans tous les sens, de se poser des questions sur son devenir. Là où tout semblait perdu,  il entendit la porte s'ouvrir, vit un homme d'un certain âge rentrer dans la salle.

-Bonjour, je suis le docteur Muller, laissez moi analyser l'état de cet homme.

A travers ses dits et sa gestualité, il fit comprendre à John de prendre congé, de le laisser travailler. Avec un petit pincement au corps, l'homme singe le regardait partir. Il était triste or il  semblait être entre de bonnes mains, reçu les soins nécessaires mais du dormir à l’hôpital histoire de rester sous la surveillance de professionnels.


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