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 :: RP terminés
Une rencontre des plus angoissantes (Clémence) [terminé]
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Anonymous
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Sam 8 Oct 2016 - 23:39





Jack & Clémence


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- Monsieur que désirez-vous ?
-Une tranche de jambon rouge s'il vous plait ma tendre amie !

La bouchère d'Intermarché haussa les sourcils, étonnée, c'était bien la première fois qu'on lui demandait une seule tranche de jambon rouge, mais bon soit c'était comme cela. Jack était passé au centre commercial avant d'ouvrir Halloween Town, son magasin. La prédisposée à la boucherie l'enroula dans un papier blanc avec le motif du magasin et le maître de l'horreur la remercie d'une courbette avant de s'en aller fièrement avec sa tranche dans les mains. En réalité il ne comptait pas manger cette tranche mais l'étudier avec la gigantesque panoplie de chimiste qu'il avait acheté il y a un an plus tôt grâce à son compte courant pour pouvoir observer tout ce qui lui tombe entre ces doigts provenant de ce monde bizarre.

Arrivé devant la porte de son magasin il fouille dans sa poche pour trouver les clés où été accroché un porte-clé en plastique en forme de tête décapitée. Il insère la clé dans la serrure puis tourne pour ouvrir. Un décor de film d'horreur l'accueille avec tous les articles sur Halloween mais pas que... de la charcuterie reposait dans des bocaux, des téléphones portables ouverts attachés sur des tables de dissections et même l'énorme ordinateur portable de sa colocataire qui reposait à l'envers et à moitié ouvert sur le comptoir, il avait complètement oublié de le ranger hier en fermant sa boutique. Il n'a pas besoin d'allumer les lumières car le soleil entre dans le magasin en cette belle matinée d'automne. Les employés arrivent peu après lui, et tous ensemble ils mettent les cartes d'Halloween ainsi que l'énorme zombie et la grande momie dehors sous les yeux curieux des passants. Ensuite, ils n'ont plus qu'à attendre les clients.  

En attendant qu'ils arrivent Jack en profite, il s'installe au comptoir, il s'assoit sur la chaise roulante, il enlève l'ordinateur pour le posé par terre et il sort sa tranche de jambon. Il commence par aller chercher son microscope dans la remise pour observer de plus près la tranche avant de passer a l'étape suivante.

-Hmmm fascinant, extrêmement et délicieusement fascinant... fait t'il en se grattant le crane.

Tout affairé qu'il est à sa découverte de l'univers du jambon, il ne voit pas la jeune fille qui rentre dans la boutique.

COSMIC SHEEP.
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Mer 12 Oct 2016 - 16:58

Jack Skellington
Clémence Brown

Une rencontre des plus angoissantes

A la sortie du métro, Clémence emprunta les couloirs du labyrinthe souterrain pour sortir de la Gare Montparnasse. Elle se retrouva face à la Tour Montparnasse. Clémence s'arrêta et la prit en photo. C'était la première fois qu'elle allait du côté de Montparnasse. La raison de sa venue était professionnelle et ça lui permettait de découvrir un peu plus Paris. En effet, elle avait un spectacle à préparer pour l'hôtel, dans lequel elle travaillait. Ses collègues lui avaient conseillé la boutique Halloween Town à Montparnasse. Clémence espérait y dénicher des accessoires ou des décorations, peut-être mêmes des costumes, elle ne savait pas vraiment. Elle savait seulement que c'était l'endroit idéal pour le thème d'Halloween. L'ancienne chienne n'avait pas non plus d'idées précises de ce qu'elle voulait. Elle verrait en fonction ce qu'elle trouverait.

Après avoir déambulé dans les rues et regardé les noms des enseignes, Clémence trouva la bonne. Elle s'en approcha et arriva devant la boutique. Il n'y avait pas d'erreur possible, elle était arrivée. Clémence prit en photo l'enseigne du magasin, puis poussa la porte et pénétra dans l'antre d'Halloween. Un frisson la parcourut. Le décor d'un film d'horreur se dressait devant elle, prêt à l'engloutir. Un malaise vint saisir la jeune Brown. L'ambiance ne lui plaisait pas, il y avait quelque chose de malsain, une ambiance lourde. Peut-être dû au décor voulu dans l'esprit d'Halloween, fidèle à l'horreur et à la peur. C'était d'ailleurs accentué avec l'absence d'éclairage artificiel pour éclairer le magasin. Les rayons du soleil y pénétraient et c'était eux qui éclairaient les objets. Des ombres apparaissaient sur les murs, renforçant ce côté horrifique. Ce n'était pas l'ambiance rassurante et ordinaire de Clémence ni le climat où elle se sentait apaisée. C'était totalement l'opposé. N'étant pas habituée, elle se sentit rapidement oppressée. Elle commençait à avoir peur, mais étant assez brave, elle ne recula pas et continua d'avancer parmi les lieux. Et puis, elle était là pour une raison, elle n'allait pas reculer à la moindre difficulté. Ses yeux se remplirent d'étonnement lorsqu'elle avança et regarda plus attentivement les lieux. Les mains tremblotantes, elle parvint tout de même à saisir son appareil photo, suspendu à son cou par une bandoulière, et à prendre quelques clichés. Une habitude pour Clémence. Celui lui permettait de garder des souvenirs de sa nouvelle vie, d'en garder une trace et surtout d'avoir la preuve qu'elle ne vivait pas un rêve. La plupart du temps, elle les postait sur son compte Instagram. Celui lui permettait entre autre de faire partager ses souvenirs avec son amie londonienne Clochette. Evidemment la sécurité de la vie privée et le fait de ne pas étaler sa vie face à des inconnus n'étaient pas quelque chose qui avait effleuré l'esprit encore trop peu naïf de Clémence. Après tout, elle avait spécifié « Cocker anglais » sur son compte. Pour elle, les humains de ce monde croiraient qu'elle aime cette race de chien et les personnes de son entourage comprendraient la référence. D'ailleurs, Clochette lui en avait fait la remarque, que ce n'était pas malin de l'avoir spécifié, mais Clémence était passée outre, hautaine comme elle était. C'était sa fierté, elle n'allait pas l'enlever.

Clémence déambula parmi les bocaux, posés religieusement sur les étagères, qui lui donnèrent la chair de poule. « Qui est assez barge pour mettre de la charcuterie dans des bocaux ? Ils ne savent pas que ça se mange ! Et c'est quoi ces scènes de torture ! On dirait des miniatures de dissection ! Ah ben, ça en est, en fait. Pourquoi mettre des objets de technologie à la place des humains ? C'est pour les règles de ...de ..merde c'était quoi le mot que m'avait dit Tonton Archi'...Ah oui les règles de bienséances. C'est des fous de mettre ça ! Quoiqu'en fait, c'est dans l'esprit d'Halloween, non ? Enfin, je crois. Je crois que je l'ai vu dans un film d'horreur. C'était quoi le nom déjà ? Enfin aucune importance, j'ai pas pu le finir en entier de toute façon. » Clémence poursuivit son exploration des lieux en y allant mentalement de ses commentaires. C'était un monde qui lui était totalement inconnu. Dans son exploration, elle entendit une voix émanant du fond de la boutique. Clémence s'en approcha et arriva au comptoir. Elle se raidit en voyant le spectacle s'offrant à elle. Un homme était en train de disséquer un jambon, à côté d'un ordinateur posé à côté de lui, à moitié ouvert. « Les clients, ils fuient pas en voyant ça ? » pensa Clémence. L'ancienne chienne repensa à ses rencontres avec les gens de ce monde. Non, ils ne fuyaient pas. Certains étaient même attirés par l'horreur, comme d'autres préféraient le monde merveilleux des jouets pour enfants, chacun ses goûts et ses affectes. Clémence préférait en effet un bon moment devant une bonne comédie ou un tour dans un parc d'attraction qu'une soirée devant un film d'horreur ou une après au Manoir de Paris. Clémence s'éclaircit la gorge pour avoir l'attention du brun qui lui faisait face. Lorsqu'il la vit, Clémence se jeta à l'eau.« Bonjour, je recherche des objets pour un spectacle de danse dans un hôtel sur le thème d'Halloween. Pourriez-vous me conseiller ? Peut-être avez-vous aussi du tissu ou des costumes sur ce thème ? »Clémence esquissa un faible sourire face à son interlocuteur. En attendant une réponse, elle effleura inconsciemment de sa main l'objectif de son appareil photo.
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Mer 12 Oct 2016 - 19:29





Jack & Clémence


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L'esprit d'Halloween est ensuite passé à l'étape suivante, il s'empare d'une table de dissection, d'un scalpel et d'une pince à dissection pour étudier plus profondément le jambon. À l'aide du scalpel, il sépare le blanc du rouge et le touche de la main droite, du gras lui reste sur les doigts, il comptait ensuite savoir si le blanc et le rouge avaient des réactions suite aux différents produits chimiques. Mais un toussotement lui fait lever la tête, une jeune femme brune se tient devant lui.

« Bonjour, je recherche des objets pour un spectacle de danse dans un hôtel sur le thème d'Halloween. Pourriez-vous me conseiller ? Peut-être avez-vous aussi du tissu ou des costumes sur ce thème ? »

Il s'approche d'elle et se penche, lui attrape la main et dépose un baiser sur le dos de celle-ci.

-Oh bonjour à vous mademoiselle, pardonnez-moi, je ne vous ai pas vu, bonjour et bienvenue dans ma boutique. Je suis Jack Skellington, maître de la peur, épouvantail, roi de l'épouvante, roi d'Halloween. C'est avec grand plaisir que je vous fournirais les informations requises ma chère, vous pouvez aussi demander à mes employés qui ont des rayons bien a eux, mais vu que je suis là... Alors pour les costumes, vous avez un rayon consacré à des masques de tête coupée des plus effrayants, vous avez aussi un rayon avec que des costumes de vampires, de sorcières, de fantômes, de momies, de zombies, de clowns maléfiques, etc, vous avez l'embarras du choix. Nous avons aussi un rayon avec des bougies d'Halloween. Un rayon avec des automates qui s'allume à la tomber de la nuit, il y a aussi d'autres automates éparpillés çà et là, mais ça c'est pour décorer le magasin, comme vous avez pu le voir, ils ne sont pas à achetés, comme les autres, ils s'allument tous à la nuit tombée. Un rayon bonbons horrifiques. Un rayon avec des objets de farces macabres. Un rayon consacré aux citrouilles d'Halloween pour mettre devant les portes. Et un rayon avec des tissus pour créer vos propres costumes où vous en servir pour créer une ambiance horrifique des plus exquises. Je vous conseillerais le second choix, de prendre une...

Le maître de la peur s'interrompt lorsque son attention est brusquement attirée par l'étrange petite machine carrée que la demoiselle porte à son cou. L'esprit d'Halloween avait déjà vu ce genre de chose dans les rues de Paris dans les vitrines de magasins, il avait follement envie de l'étudier pour savoir comment ça peut fonctionner, soudainement le jambon n'avait plus aucun intérêt pour le moment.

-Pardonnez-moi mademoiselle, puis-je ?

Mais, tellement fasciné et sa curiosité le dévorant de savoir comment pouvait fonctionner cette étrange machine qu'on appelle appareil photo, il n'attend pas la réponse de la demoiselle et lui prend la machine. Sans plus attendre, il débarrasse la table de dissection de son jambon (il le reprendrait plus tard) et y attache l'appareil, coté arrière. Il l'ouvre et tombe sur un rouage.

-Hmmm...Fascinant, absolument fascinant ! Comment celà fonctionne t'il ? fait t'il en se grattant le menton.

https://i.servimg.com/u/f97/16/78/87/44/zcmtog10.png

Source de l'image : http://www.comment-apprendre-la-photo.fr/stenope-fonctionnement-appareil-photographique-pinhole/

COSMIC SHEEP.
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Mar 18 Oct 2016 - 0:18

Jack Skellington
Clémence Brown



Une rencontre des plus angoissantes

Après avoir pris son courage à deux mains et interrogé l'homme au comptoir, Clémence attendit anxieusement une réponse. L'ancien personnage de Disney envisageait une réponse orale. Elle ne s'était en rien attendue à un baise-main. Clémence fut surprise, mais flattée du geste de l'homme. « Encore un homme galant ! », se dit-elle. Finalement, Hadès n'était peut-être pas le seul à connaître la galanterie. Il n'était pas le seul gentleman que la brunette connaissait après tout. Cela fit changer la perception de Clémence qu'elle avait sur Hadès. Elle l'avait toujours mis sur un piédestal, un oiseau rare. Le geste ne l'inconnu lui démontra qu'il ne l'était pas. D'ailleurs, depuis sa rencontre avec Oliver, elle commençait à douter d'Hadès. En y repensant, elle songea qu'il serait judicieux d'appeler Clochette, pour avoir un œil d'expert et des conseils avisés. Clémence n'eut pas le loisir d'y penser davantage que les quelques secondes que ça lui prit, puisque l'inconnu répondit sa requête.

Clémence nota mentalement les différentes informations que cet homme, Jack Skellington, lui donnait. Il savait de quoi il parlait, puisqu'il était le propriétaire des lieux, d'après ses dires. D'ailleurs, Clémence trouva qu'il lui aurait suffi de le dire simplement, plutôt que de s'affubler de sobriquets. Surtout que cela sautait aux yeux, qu'il était le maître de la peur. Rien qu'en le regardant, Clémence sentait l'épouvante l'envahir. Pour elle, il était bien le roi d'Halloween, mais surtout le maître de la peur, cela ne faisait aucun doute à ses yeux. Au moins, Clémence lui accorda qu'il savait se présenter en bonne et due forme. Il avait également pour lui, la politesse et l'art de s'exprimer. Clémence le remarqua tout de suite. Notamment lorsqu'elle entendit cette réplique de la tirade de M. Skellington : « C'est avec grand plaisir que je vous fournirais les informations requises ma chère ». Après cette phrase de politesse, il mentionna les employés. « Quels employés ? » Effectivement, Clémence n'en avait vu aucun. Pour la simple et bonne raison qu'ils n'étaient pas encore arrivés. Si Clémence était une habituée, elle aurait pu le savoir avant même d'entrer dans le magasin. En effet, lorsqu'ils étaient arrivés, ils mettaient en place le zombie et la momie dehors. Or, ces deux éléments étaient absents, lorsque Clémence avait poussé la porte du magasin. Ainsi, Clémence supposa qu'elle était soit en avance sur eux, soit que les employés étaient en retard, soit que le maître des lieux leur faisait peur. La brunette opta pour un soupçon de la première hypothèse et un bonne louche de la dernière possibilité.

Quand vint le moment où les informations furent données, Clémence commença par penser à une multitude de costumes, mais fut coupée nette par les détails. « Qui sain d'esprit mettrait une tête coupée en masque ? Et comment le masque tient si on est censé avoir la tête coupée ? » Clémence calma ses folles divagations en s'imaginant la tête coupée quand vint l'idée des costumes traditionnels d'Halloween. Clémence ferait une bonne vampire ou une bonne momie. Quoique non, elle se prendrait les pieds dans les bandelettes en dansant. Quant aux bougies, pourquoi pas pour éclairer la scène. Les automates et les bonbons ne serviraient pas. Les objets de farces pouvaient servir pour le décor. Clémence y réfléchissait. En fait, au fur et à mesure des paroles de l'épouvantail, elle voyait ou non l'utilité de l'information. Elle songeait qu'elle serait fixée devant les objets, une fois qu'elle serait dans le rayon. Elle allait poursuivre ce cheminement de réflexion sur le second choix que lui proposait son interlocuteur, lorsque celui-ci s'arrêta instantanément. « Que lui arrive-t-il ? » Clémence n'eut pas le temps d'y réfléchir. En un éclair, des mains se posèrent sur son appareil photo et le lui arracha du cou. Clémence poussa un cri de stupeur. Elle cria d'horreur en le voyant commencer à disséquer son appareil photo. « Non mais vous êtes malade ! » Son courage retrouvé, Clémence fit le tour du comptoir, prête à sauver son appareil photo. Elle voulut pousser l'homme pour récupérer son appareil et s'enfuir le plus loin possible, mais deux obstacles de taille l'arrêtèrent. D'abord, il était bien plus grand, bien plus costaud qu'elle. Ensuite, la curiosité venait de l'animer. C'est vrai, elle ne s'était jamais demandée comment marchait l'objet qu'elle chérissait le plus dans ce monde. Après tout, elle ne s'était pas posée la question de comment fonctionnait les voitures de son époque ni celles de cette époque-ci, ni quelles étaient les différences. Peut-être que cet homme savait. Et peut-être qu'il allait lui donner les clefs pour comprendre comment fonctionnait son appareil. La peur et l'indignation disparurent pour être remplacées par la plus simple et la plus dévorante des curiosités. Clémence se risqua même à poser des questions, au fur et à mesure de la dissection. « A votre avis, ça sert à quoi ça ? Tout ce que je sais, c'est que pour prendre une photo, j'appuie sur ce bouton, là, ici, et que selon si l'objet est loin ou non, je fais la mise au point, avec l'objectif, ce gros machin-là. Il a un de ces zoom cet appareil ! C'est fou ! Je me demande à quoi c'est dû. » Clémence posa encore différentes questions, comme à quoi servaient le miroir, le prisme et d'autres éléments de l'appareil photo, dont elle ne sut pas mettre de nom comme le capteur, le dépoli et le viseur.

Tandis que la dissection se poursuivit, une pensée effrayante frappa Clémence. Elle devait en avoir le cœur net, la vie de son appareil photo en dépendait. « Dites, M. Skellington, saurez-vous le remonter après ? Me le rendre en état ou je devrais le faire réparer ou en racheter un ? »
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Mar 18 Oct 2016 - 19:18





Jack & Clémence


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L'esprit d'Halloween se gratte le crâne devant cet imbroglio quand soudain, la jeune femme tente de récupérer son appareil, mais elle ne peut pas, tout d'abord parce qu'il est plus grand qu'elle et qu'il n'a pas envie de le rendre. Puis, elle baisse les armes et l'aiguille un peu sur le fonctionnement de l'appareil.

« A votre avis, ça sert à quoi ça ? Tout ce que je sais, c'est que pour prendre une photo, j'appuie sur ce bouton, là, ici, et que selon si l'objet est loin ou non, je fais la mise au point, avec l'objectif, ce gros machin-là. Il a un de ces zoom cet appareil ! C'est fou ! Je me demande à quoi c'est dû. »

Toujours dans une intense réflexion, Jack appuie sur un bouton au hasard puis saisit sa pince de dissection et trafique dans les rouages de l'appareil, appuyant au hasard pour tester les effets. Il n'y comprenait rien et ça le mettait en colère, il aime tout savoir et tout comprendre, il déteste rester dans l'ignore la plus totale d'autant plus qu'il ne possède aucun traité sur la photographie étant donné que c'était la première fois depuis qu'il est arrivé dans ce monde qu'il dissèque ce genre de machine.

-Cette chose cache un secret démoniaque, elle veut ma mort !  

La jeune fille fait part de ces inquiétudes vis-à-vis de l'état de l'appareil après la dissection scientifique. Est-ce qu'il arriverait à la remontée ? Il ne sait pas, car il n'a jamais remonté les objets qu'il étudie, préférant les placés dans les bocaux où les garder sur les tables de dissection après ses expériences, mais il pouvait toujours essayer une fois, après tout ce n'est pas bien sorcier ! Un grand sourire qui se veut rassurant apparaît alors sur la face de l’épouvantail. Même s'il ressemble plus à un croquemitaine qu'à une personne normale quand il sourit  !

-Ne vous inquiétez pas, mademoiselle, je vais essayer, je suis certain que j'y arriverais !

Entre-temps, une mère de famille et deux de ses enfants pénètrent tous les trois dans la boutique. Un enfant de cinq ans et un autre de sept ans. Ils se dirigent droit vers le comptoir, et à contre-jour, le prince des cauchemars est obligé de laisser là son exploration scientifique pour aller les servir. Déposant un baisemain sur le dos de la main de la dame, il demande en s'inclinant, main sur la poitrine :

-Bien le bonjour madame, que puis-je faire pour vous ?
-Bonjour monsieur, nous cherchons deux déguisements pour Halloween, un de vampire et un de fantôme vous aurez ?
- Oui bien entendu, nous avons celà en magasin, vous trouverez cela dans le rayons "costumes d'Halloween", vous y trouverez mon employée Marlee qui vous renseignera avec plaisir !

Ils s'en vont dans les rayons, mais les deux enfants ne cessent de le fixer, tremblants tous les deux comme de la gelée passée du siècle dernier lorsqu'ils posent leurs yeux sur l'esprit d'Halloween. Amusé par cette réaction d'effroi de la part des petits, Jack leur fait un énorme sourire qu'il rend le plus effroyable possible avant de leur faire sa grimace la plus terrifiante, doigts dans la bouche, yeux énormes. Les deux enfants poussent des petits gémissements et sursautent en se collant encore plus à leur mère, tels des poussins avec une poule, tremblant encore plus de peur qu'auparavant. Un frisson de plaisir parcourt la colonne vertébrale de Jack à la vue de cette terreur qui émane des enfants, et le rose apparaît soudain de nouveau sur ces joues, nom d'un zombie que c'est plaisant de constater qu'ici, il a gardé certains de ces pouvoirs.

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Dim 30 Oct 2016 - 22:36

Jack Skellington
Clémence Brown



Une rencontre des plus angoissantes

Après avoir passé l'étape de la surprise, puis de la peur et enfin de l'épouvante de voir son appareil photo se faire ouvrir de la sorte sans ménagement, la curiosité prit place chez Clémence. Elle ne s'était jamais demandée comment fonctionnait l'objet qu'elle chérissait le plus. Elle s'était toujours contentée de l'utiliser, sans vraiment savoir ce qu'il avait dans le ventre. C'était l'occasion ou jamais de le découvrir. Clémence posa donc des questions au fur et à mesure que les entrailles se révélaient sous l'incompréhension et la colère du chef des opérations. C'est à ce moment là que ça la frappa. Son appareil photo survivrait-t-il à pareil traitement ? Elle s'enquit de la réponse au près de l'épouvantail. Ce dernier lui sourit dans une expression démoniaque et lui assura qu'il tâcherait de réussir. Autrement dit, il n'en était pas sûre. Clémence regarda avec effarement son appareil photo. Elle ne vit pas la femme accompagnée de deux de ses enfants les interrompre. Elle sursauta en la voyant. En voulait-elle aussi à son précieux appareil photo ? Clémence fut rassurée d'apprendre que non. Elle était simplement une cliente qui cherchait un renseignement. La jeune Brown hésita à l'avertir qu'il valait mieux ne pas poser de question, sous peine de voir ses objets se faire disséquer. Finalement, ça ne servait à rien, puisque Jack informa la cliente en répondant à sa requête. Il ne lui subtilisa aucun objet et se montra aussi poli qu'il l'avait été avec Clémence au début. Peut-être que ce n'était simplement pas sa journée. En tout cas, ce n'était pas celle de son appareil photo. D'ailleurs, Clémence avait hésité à le récupérer et déguerpir le plus loin possible de cet endroit, tandis que Jack renseignait la cliente. Seulement, elle était derrière le comptoir et il fallait passer devant le propriétaire pour atteindre la sortie.

Quand Jack revint au comptoir, Clémence avait son appareil photo dans les mains. Elle l'avait récupéré, même si elle ne s'était pas enfouie avec. Elle venait de trouver une potentielle échappatoire pour la sauvegarde de son appareil photo. « Je vous propose une marché. Vous me réparer mon appareil photo et en échange, je vous aide à faire des recherches sur les appareils photos. » Clémence tenait quand même à savoir comment ces appareils fonctionnaient. Ce qu'elle ne voulait pas, c'est que le sien soit détruit dans l'opération.« Je connais presque par cœur la bibliothèque. J'y suis allée il y a quelques temps. Il y a des livres sur les appareils photos. On en emprunte pour comprendre et on cherche de vieux appareils photos qui ne servent plus. Comme ça, on peut comprendre, avec les livres et la dissection de vieux appareils, mais mon appareil photo reste intact. Alors, on a un marché ? » Bien que Clémence avait été effrayée au départ, elle ne perdait pas sa bravoure. Elle n'avait pas peur de ses convictions et défendre ses objets. Ce banal appareil photo était son objet le plus précieux. Il lui servait à immortaliser une partie de ses souvenirs, à apporter une preuve qu'elle existait et surtout il avait une valeur sentimentale. Il avait été acheté en compagnie de Clochette.
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Mer 2 Nov 2016 - 21:53





Jack & Clémence


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L'esprit d'Halloween s'est absenté quelque minute pour répondre à une cliente et ses enfants (Qu'il s'est beaucoup amusé a terrifié ! ) mais il a fallu quelque minute pour que la demoiselle a qui appartient l'appareil ne le reprenne ouvert. Il le constate lorsqu'il revient. Pourtant, il lui a promis qu'il essayerait de le remonté et qu'il est certain d'y arriver, bien qu'il a très envie de le garder afin d'approfondir ses recherches. Les mortels sont inénarrables ! Elle lui fait alors une proposition alléchante qui le fait changer d'avis. Elle lui propose de se rendre à la bibliothèque et de disséquer des vieux appareils qui n'appartiennent à personne en échange de son appareil photo. Une proposition intéressante, au moins, il va pouvoir conserver les machines chez lui où ici.

-J'accepte votre proposition, nous pouvons même aller de suite à la bibliothèque !

La-dessus, il donne l'ordre à ses employés de s'occuper du magasin durant son absence, qu'il espère ne pas être longue. Son envie de savoir est très intense, son désir de comprendre également. Ce monde regorge de possibilité infinie et de curiosité, il veut toute les découvrir, il veut toute les savoir, il veut toute les comprendre. Mais avant de partir, il s'occupe de la cliente et des enfants, celle-ci partit avec ses achats (un costume de squelette et de sorcier) il s'incline poliment vers la jeune femme à l'appareil photo et lui ouvre la porte de son magasin, d'un geste de la main il invite la demoiselle à sortir.

-Je vous aie dit mon nom mais vous ne m'avez toujours pas dit le votre mademoiselle, comment vous appelez-vous ? Une aussi ravissante jeune femme telle que vous doit bien avoir un prénom n'est-ce pas ?

Alors qu'ils marchent dans la rue en direction de la bibliothèque, Jack ne peut pas s’empêcher de regarder, très fasciné, les voitures qui passent à côté de lui sur la route. Mais la fumée grise le fait tousser et l'année dernière, il se rappelle qu'il a vu un étrange nuage gris dans le ciel de Paris alors qu'il se rendait à son travail (il était employé dans une entreprise à cette époque). Il s'en souvient et se demande bien ce que c'est encore aujourd'hui, de la brume ? Car ça lui rappelle la brume qui s'été élevée la nuit où il avait eu la (très) mauvaise idée de vouloir remplacé le perce-oreille. Tout avait été prêt, mais ce brouillard étrange ainsi que soudain avait menacé tous ses projets. Mais en moins blanc et plus gris.

-C'est fascinant, quel monde fascinant ! Et tant de découvertes !

COSMIC SHEEP.
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Jeu 10 Nov 2016 - 17:12

Jack Skellington
Clémence Brown



Une rencontre des plus angoissantes

Terrifiée par Jack et par l'idée de ne pas revoir son appareil photo en un seul morceau, Clémence avait songé à s'enfuir en emportant l'épave de son appareil photo avec elle. Seulement la curiosité avait été plus forte. Elle avait trouvé un autre moyen de la combler et d'épargner son appareil photo, du moins ce qu'il en restait d'entier. Disons que bien que le maître de l'épouvante lui eut assuré qu'il saurait remonter son appareil photo, Clémence en doutait. Tandis qu'il s'était occupé de la cliente, elle avait regardé les bocaux, elle avait commencé à douter sérieusement des capacités de Jack à remettre en état son bien. Elle lui avait donc fait une proposition. Elle lui demandait quand même de le réparer et en échange, elle l'aidait dans la compréhension du fonctionnement de l'appareil photo. Monsieur Skellington accepta immédiatement la proposition et proclama qu'ils commenceraient sur le champ. Ce n'avait pas été dans l'objectif de Clémence. Elle avait pourtant posé comme condition qu'il lui répare l'appareil et ensuite en échange elle l'aide. Or, il n'avait pas réparé son appareil, mais était parti sur l'idée d'une collaboration. Clémence avait trop peur et était trop intriguée par les appareils photos pour aller à l'encontre du maître de la peur. Et puis, il le lui avait dit qu'il le réparerait, non ? Il le ferait sûrement après. Clémence rangea alors délicatement son appareil photo dans son sac et suivit le maître de l'épouvante hors de ce magasin de l'horreur.

Sur le chemin de la sortie, le propriétaire d'Halloween Town se comporta en un véritable gentleman, lui tenant la porte. Par la même occasion, il lui demanda son prénom. Il ajouta également un compliment. Flattée, mais encore légèrement apeurée, la jeune femme ne donna que son prénom. Après tout, il avait fait un compliment sur son prénom et il n'avait pas demandé son identité complète. « Clémence. »

Les deux partenaires de savoir marchèrent dans la rue, en direction de la bibliothèque que connaissait Clémence. Cette dernière vit que Jack semblait fasciné par ce monde, comme s'il le découvrait seulement. L'ancienne chienne au collier bleu se souvenait de ce sentiment. Elle avait eu la même réaction et fascination en arrivant dans ce monde. Elle avait pu voir l'évolution des inventions humaines et la création de nouvelles. Clémence venait du XXième siècle et s'était retrouvée au XXI siècle. Ça lui avait fait un sacré changement. « Oui, fascinant c'est le mot. Il y a énormément de chose à découvrir ici. » Elle lui esquissa un léger sourire.

Leurs pas les amenèrent à la bibliothèque. Clémence présenta sa carte de bibliothèque à la réception et demanda où se trouvaient les ouvrages traitant de la photographie. L'hôtesse d'accueil lui indiqua les étalages correspondant. Clémence la remercia et ils montèrent au deuxième étage. Une fois devant la rangée de livres, Clémence lut quelques titres. Elle prit un des livres et le feuilleta. Elle tomba sur un schéma. Elle prit la parole et engagea une discussion de travail avec Jack. « Apparemment, c'est de cette façon qu'est monté un appareil photo. Je me demande si le mien, qui est numérique, est monté pareil. » Elle regarda Jack et se demanda ce qu'il avait trouvé comme livres.
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Lun 14 Nov 2016 - 16:05



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Jack & Clémence
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« Une rencontre des plus angoissantes » Il arrive, accompagné de Clémence, à la bibliothèque de Paris. Celle-ci est très grande et quoiqu'l aime y aller pour emprunter des livres sans qu'il ne possède de carte à son nom il est toujours émerveillé tel un enfant devant un sapin de Noël, devant la beauté du bâtiment. Clémence montre sa carte et ils grimpent tous les deux au deuxième étage, là où se situent les documentaires, le premier étage étant consacré aux romans. Le maître de la peur admire une nouvelle fois les escaliers revêtus d'une sorte de feutrine rouge tandis qu'ils avancent. Lorsqu'ils arrivent, Jack se dit qu'il n'a que l'embarras du choix en matière de documentaires au vu des rayonnages incalculables qui se dévoilent devant lui. il veut aussi se prendre des documentaires sur la ville de Paris, pour tout savoir une nouvelle fois sur cette étrange ville où il a atterri depuis maintenant deux années. Il se sépare de Clémence prend aussi "la photo pour les nuls" et "le Larousse junior de la photo". Cela semble des documentaires simples et efficaces pour comprendre l'évolution de ces machines. Il retrouve la jeune demoiselle au coin lecture paré de sofas rouges qui semble moelleux. Il pose les livres sur la table et jette un œil sur ceux qu'a trouvés Clémence, elle commence à ouvrir un livre pour tomber sur un schéma compliqué.

-J'ai trouvé ceci, le Larousse junior de la photo ainsi que la photographie pour les nuls !  

Il montre d'un geste de la main les livres et il se lance dans un livre sur Paris.

"Un habitat permanent est attesté dans les limites du Paris actuel à partir de la période chasséenne (entre 4 000 et 3 800 avant notre ère) au village de Bercy ; les restes de trois pirogues néolithiques aujourd'hui visibles au musée Carnavalet ont ainsi été retrouvés 60,61 sur la rive gauche d'un ancien bras de la Seine dans le 12e arrondissement, où la présence humaine semble avoir été continue durant le Néolithique...."

Passionnant, absolument passionnant, avec avidité le roi de la ville d'Halloween tourne les pages de l'encyclopédie - intitulée le Paris de l'Histoire - dotée de très belles photos. Il s'est détourné du sujet des photos l'espace d'un instant... pour y revenir quelques secondes plus tard.

"Un appareil photographique numérique (ou APN) est un appareil photographique qui recueille la lumière sur un capteur photographique électronique, plutôt que sur une pellicule photographique, et qui convertit l'information reçue par ce support pour la coder numériquement.

Un appareil photo numérique utilise un capteur CCD ou CMOS pour acquérir les images, et les enregistre habituellement sur des cartes mémoire (CompactFlash, SmartMedia, Memory Stick, Secure Digital, etc.). Pour prendre et visualiser les clichés, l'appareil est équipé d'un écran à cristaux liquides ou diode électroluminescente organique."



Il comprends à peu près ce qu'il lit...a peu près ! Il est un peu perdu quand même.

-Qu'est-ce qu'un écran à cristaux liquides ? Et une diode électroluminescente organique ? Un appareil photo possède t'il des organes vitaux comme les vivants ? demande t'il avec une naïveté sidérante.

Il s'imagine un appareil photo avec un coeur qui bat ainsi qu'un estomac pour se nourrir, cette chose est donc un être vivant ? Il avait ouvert le ventre d'un être vivant, il avait disséqué une chose mortelle !

Sources : Wikipédia
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Mar 29 Nov 2016 - 18:14

Jack Skellington
Clémence Brown



Une rencontre des plus angoissantes

Clémence arpenta les différents rayons de la bibliothèque, Jack sur ses talons, à la recherche du rayon souhaité. Quand elle le trouva, elle commença à parcourir des yeux les titres des différents ouvrages dressés sur les étagères. Elle en prit un et le feuilleta rapidement. Elle leva les yeux du livre et regarda Jack en faisant un commentaire sur sa trouvaille. Elle venait de trouver le montage de façon schématique des entrailles d'un appareil photo. Ayant un numérique, Clémence se demandait si son précieux était monté de la même façon. Jack répondit d'un haussement d'épaule à sa question implicite. Il l'informa alors qu'il allait chercher quelques livres et qu'il la retrouverait au coin lecture. Clémence acquiesça et poursuivit sa recherche de livres. Elle était fascinée par le nombre de livres traitant du sujet de la photographie. Elle en prit quelques uns, après avoir été attirée par le titre et trouvé le résumé intéressant. Elle les feuilleta, puis fit un tri de ceux utiles ou non. Elle songea que celui intitulé Comment réparer son appareil photo ? pourrait se révéler utile.

Les bras chargés de livres divers et variés sur la photographie, Clémence s'installa sur un des sofas rouges du coin lecture. Elle le trouva moelleux et confortable. C'était l'endroit parfait pour lire. Clémence aurait préféré une table pour pouvoir prendre des notes, mais Jack lui avait donné rendez-vous ici. Et puis, il n'y avait personne à part elle au coin lecture, pour l'instant. Tandis qu'aux tables, il y avait du monde. De toute façon, elle n'était pas là pour faire un exposé, mais attiser sa curiosité, bien qu'Archimède aurait été ravi de la voir studieuse sur sujet.

Quelques minutes plus tard, Jack vint la rejoindre. Clémence lui sourit en le voyant et commenta rapidement les paroles de Jack d'un sourire, puis retourna à sa lecture. Elle était plongée dans le sujet passionnant de la chambre noire. L'humaine ne comprit pas totalement le sujet, mais s'y efforça. Elle assimila que le nom de chambre noire venait du latin, qu'il y avait une projection et une inversion de l'image. La jeune femme était concentrée sur ce phénomène, quand elle fut ramenée à la réalité par son partenaire de recherche. Il venait de poser des questions sur sa lecture. Clémence releva la tête. Posait-il des questions purement rhétoriques ou lui adressait-il la parole ? L'ancienne chienne songea qu'il y avait peut-être un peu des deux, si bien qu'elle répondit en haussant les épaules. « Aucune idée. Mais je dois pouvoir trouver ça rapidement. » Clémence dégaina son téléphone portable à coque bleue. Après une rapide recherche sur le web, elle trouva l'information. Elle la cita à Jack. « D'après Wikipedia, les écrans à cristaux liquides utilisent la polarisation de la lumière par des filtres polarisants et la biréfringence de certains cristaux liquides en phase nématique, dont on peut faire varier l’orientation en fonction du champ électrique. Du point de vue optique, l’écran à cristaux liquides est un dispositif passif : il n’émet pas de lumière, seul sa transparence varie, et il doit donc disposer d'un éclairage. Après, ils parlent d'un dispositif sandwich, avec des polariseurs, des plaques de verre. Pour les couleurs, dans le sandwich, il y a trois cellules par pixel, avec des filtres : rouge, vert et bleu. Je crois que c'est le même principe que pour les vieilles télés. Voilà, pour les écrans à cristaux lumineux. Pour la diode, toujours d'après wikipedia, on a : une diode électroluminescente organique DELo (en anglais OLED : Organic Light-Emitting Diode) est un composant qui permet de produire de la lumière. La structure de la diode est relativement simple puisque c'est une superposition de plusieurs couches semi-conductrices organiques entre deux électrodes dont l'une (au moins) est transparente. Pour les organes, je ne crois pas, c'est pas vivant. C'est un objet. Après, on peut y aller par analogie. D'ailleurs, j'ai trouvé dans mes recherches un élément de l'appareil photo ou un organe, si vous préférez. En organe, il y aurait une chambre noire, ça vient du latin, de camera obscura, apparemment l'objet qu'on photographie, enfin son image, passe par un trou et elle y est projetée à l'envers. Il y a une lentille qui permet de régler la netteté et un diaphragme et aussi un miroir, pour projeter l'image. Hum, ce serait peut-être plus explicite avec un schéma. J'en ai trouvé un dans l'autre livre. » Clémence referma le livre qu'elle avait sur les genoux et en prit un autre. Elle le feuilleta rapidement et trouva le fameux schéma. Elle retourna le livre, pour que Jack puisse voir le schéma. Elle pointa ledit schéma avec son index. « Le voici. »

Les deux explorateurs de la photographie avaient maintenant des pistes à explorer et surtout du vocabulaire à clarifier. Ils n'avaient fait qu'effleurer de près le fonctionnement d'un appareil photo.

Sources : https://www.youtube.com/watch?v=qKavNJLrC4Y
http://www.comment-apprendre-la-photo.fr/stenope-fonctionnement-appareil-photographique-pinhole/
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Lun 5 Déc 2016 - 12:05



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Jack & Clémence
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« Une rencontre des plus angoissantes » Il est très vite rassuré par les paroles de Clémence qui lui montre un schéma après avoir sorti son téléphone portable et pianoté dessus sous le regard curieux du maître de la peur posé sur le téléphone, décidément ce monde recèle vraiment de choses qu'il lui tarde de découvrir. Jack se gratte ensuite le menton, signe chez lui qu'il est dans une réflexion des plus intenses où alors dans un état patenté de mélancolie, comme maintenant. Emprisonné dans ce corps de brindille aurait-il le temps de découvrir toutes les merveilles que ce nouvel univers a à offrir ? En tant que squelette, il fut immortel, mais là, il est enfermé dans une enveloppe de chair et d'os vulnérable, sujette aux diverses maladies, faible, comme un bateau qui menace de tanguer à la moindre tempête. Ça aurait été mieux d'atterrir ici sous sa forme de squelette, mais le sort en à décidé autrement, c'est le cas de le dire. Elle lui manquait horriblement, son ancienne forme. Bon, c'est amusant la vie humaine et c'est une existence pleine de surprise, mais les humains sont fragiles et ils se cassent comme des poupées. Ici, il a certes gardé ses pouvoirs, ils sont amoindris certes toujours présents mais amoindris sauf que son ancienne forme étant immortelle sauf disparition de sa fête, il pouvait faire ce que bon lui semblait sans mourir. Il secoue la tête pour chassé cette mélancolie, il est temps de revenir à cette photographie les mots lui paraissent d'un autre temps, comme une langue inconnue, il a bien du mal à comprendre leurs significations et tente de l'assimiler. Il fronce les sourcils, concentré sur le schéma. Il pense avoir déjà à peu près compris à quoi servaient le viseur et le capteur et se permit d'en faire la remarque à sa nouvelle amie.

- Le viseur c'est pour viser la personne photographiée et le capteur c'est pour capter l'image, qu'elle ne sois pas floue est-ce cela ? Peut-être que je me trompe ?

C'est là qu'il réalise qu'il n'a pas pris de crayon à papier avec lui avant de partir. Un peu confus de cet oubli le maître de la peur se lève du moelleux canapé pour allé demandé aux bibliothécaires si elles ont l'amabilité de lui prêté un crayon à papier avec un aiguise-crayon. Heureusement que celles-ci sont fort charmantes, car elles lui en prêtent un sans sourciller. Il les remercie en s'inclinant et en faisant un baisemain aux femmes qui sont pour le moins étonnées de ces manières d'un autre temps et qui n'existe plus.

Il s'empresse alors de remonté auprès de Clémence et en se rasseyant il entoure les parties du schéma qu'il croit avoir compris.

-Nous devrions peut-être prendre un dictionnaire car certains mots ne sont pas clairs pour moi ! Et pour vous chère amie ?

Il se sent alors un peu bête d'avoir prononcé ces paroles, il devient alors rouge comme une tomate, Clémence est sans doute née ici, il ne possède aucun doute qu'il s'agit d'une humaine d'ici comme Marlee où ses employés alors ce jargon doit donc être pour cette demoiselle quelque chose de commun. Déjà avec son nom, des Clémence, il en a croisé quelques-unes, déjà une employée de l'entreprise où il avait travaillé avant d'avoir assez d'argent pour prendre son envol et ouvrir sa propre boutique cette année s'appelait comme cela, c'est un nom commun ici, banal !

- Connaissez-vous un dictionnaire qui soit précis dans les définitions ?

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Sam 21 Jan 2017 - 18:33

Jack Skellington
Clémence Brown



Une rencontre des plus angoissantes

Le partenaire de recherche de Clémence lui posa quelques questions. Se servant de son téléphone portable, ainsi que de ses recherches dans les différents livres, Clémence lui répondit. Elle lui montra même un schéma, trouvé dans un des livres. De là, le disséqueur de son appareil photo émit des suppositions, quant au fonctionnement de deux éléments de l'appareil photo. Clémence acquiesça d'un signe de tête. « Non, ça doit être ça, enfin, je pense. Ça me paraît logique, en tout cas. » Elle lui sourit, puis plongea dans le schéma. Elle suivit du doigt le trajet du faisceau lumineux. Ce que c'était magique ! « C'est fascinant ! On dirait de la magie ! Je me demande à quelle vitesse la lumière traverse l'objectif jusqu'à nos yeux. » Clémence se demanda s'il ne fallait pas chercher un livre de science. Mais quelle science ? Clémence l'ignorait. Elle était loin d'être une scientifique et ne pensa donc pas à regarder dans un livre de physique. Au lieu de ça, elle pianota sur son téléphone portable et lança une recherche sur Google « vitesse lumière ». « D'après Google, la lumière va à 299 792 458 m / s ! Je crois que ça veut dire qu'elle fait 299 792 458 mètres en une seconde. C'est énorme ! Et un site le confirme ! Ils disent que la lumière parcourt 8 fois la Terre en une seconde ! En une seconde ! Huit fois la Terre ! C'est juste Whaou ! »

Le maître de la peur s'éclipsa quelques instants, après leur découverte sur la vitesse de la lumière. Durant ce laps de temps, Clémence en profita pour sortir son carnet de notes et un crayon. Elle commença par résumer toutes leurs recherches. Elle nota également le titre des livres et photographia le schéma avec son téléphone portable. Elle était en train de marquer dans la marge la vitesse de la lumière, quand Jack Skellington revint auprès d'elle. Il lui proposa un peu gêné d'aller chercher un dictionnaire. Clémence le scruta. Elle s'interrogea. Pourquoi rougissait-il ? Il n'y avait pas de honte à de ne pas savoir. Clémence se souvenait de son défunt précepteur Archimède. Il lui avait enseigné que même le plus savant des hommes ne peut pas tout connaître, mais jour après jour ses connaissances s'étoffent. Chaque jour est une leçon qu'il faut savourer, qu'elle soit bonne ou mauvaise, elle a son lot d'apprentissage. Clémence avait depuis vécu avec cette doctrine de son sage précepteur, maintenant décédé. L'ancienne chienne avait d'ailleurs encore beaucoup à apprendre sur ce nouveau monde, ce siècle et sur la situation. Elle acquiesça à Jack. « Oui, je suis d'accord. Je ne comprends pas non plus certains mots. Enfin, pas dans ce contexte, ça doit être trop technique, comme Diaphragme ou Polarisation ou encore Biréfringence. Mais c'est un dictionnaire des mots normaux ou des mots spécifiques à la photographie qu'il nous faut ? Plutôt un spécifique à la photographie. Sinon, internet nous aidera. » Au grand damne d'Archimède, Clémence préférait utiliser la technologie aux livres. Depuis que Clochette la lui avait montrée, Clémence ne perdait pas une occasion de s'en servir.

De retour à Halloween Town, Clémence déposa ses livres empruntés sur le comptoir du magasin de Jack. Ce dernier avait proposé de poursuivre les recherches dans son magasin. Après s'être fait remettre à l'ordre parce qu'ils faisaient trop de bruit à parler à voix haute et n'ayant pas pensé à chercher un endroit approprié au travail de groupe à la bibliothèque, Clémence s'était rangée à l'idée de Jack. Malgré sa répulsion à retourner au musée des horreurs, la soif de connaissance l'avait de nouveau guidée à Halloween Town. Ainsi, Clémence se demanda comment ils allaient s'organiser. « On commence par quoi ? Chercher une définition à tous les mots techniques ou chacun se concentre sur un composant ou je sais pas. Comment on s'organise ? »

H.S : comme tu m'avais dit sur la CB que Jack proposerait qu'ils continuent à étudier dans la boutique, j'ai amené le rp jusqu'à là.

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Mar 24 Jan 2017 - 16:00



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Jack & Clémence
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« Une rencontre des plus angoissantes »L'heure passe et il est temps pour Jack de revenir à la boutique. A vrai dire, il est inquiet et, à cause des Martin, il ne voulait pas laissé sa boutique trop longtemps sans lui, en voyant que le patron n'est pas présent, ces deux personnes pouvaient profité de l’occasion pour venir tyrannisé ses employés les plus timides comme Marlee, en revanche il ne s'inquiète pas pour Ernest, qui à beaucoup de caractère. Il propose donc à la jeune femme de revenir à Halloween Town pour continué leur étude.

- Miss Clémence, je me dois de revenir à la boutique, je ne peut pas laissé seul mes employés trop longtemps, j'imagine que vous le comprenez fort bien, si vous voulez nous pouvons continué nos recherches là-bas !

Là dessus il se lève en prenant les livres sous ses bras et avec Clémence il se dirige vers le comptoir, là il observe avec interet et beaucoup d'application les gestes de la bibliothécaire, et la drôle de machine qu'elle passe sur le code barre. Il repense aux paroles de Clémence mais il se sent un peu idiot, un peu stupide malgré lui de voir que tout le monde arrivait à comprendre comment fonctionnait un ordinateur où un téléphone portable. Pour lui c'est quelque chose d'exotique, à Halloween Town ça n'existe pas tout ceci et aucun habitant n'en as besoin en plus ! Il se souvient de la découverte de Noel et du perce-oreille, cette découverte avait été pour lui aussi quelque chose d’exotique, et surtout de passionnant, au point de renié ce qu'il était vraiment, il se souvient quand Sally et Zéro ont tenté de le raisonné et qu'il à brisé le portrait qui le représentait roi d'Halloween. Un geste significatif qui voulait dire qu'il renié sa fonction d'esprit d'Halloween, la rejetée, pour devenir le nouvel esprit de Christmastown ! Heureusement, l'échec de son entreprise lui a ouvert les yeux et, maintenant, plus que jamais, il est passionné de l'Halloween !

Armé de ses livres, Jack sort de la bibliothèque non sans jeté des regards curieux au alentours, ils revinrent à la boutique et s'installèrent sur le comptoir. Jack était rassuré de constaté que les deux horribles personnages ne sont pas venus enquiquiné ses employés durant sa courte absence.

- Je vous avoue que je l'ignore, on peut peut-être commencé par cherché toute les définitions technique, qu'en pensez-vous ?

Il à proposé cela au hasard, peut-être est-ce une bonne idée ?

-Au faites, ma boutique vous plait ?

Là dessus, il plante son regard dans celui de la jeune femme.

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Lun 6 Fév 2017 - 21:17

Une rencontre des plus angoissantes
Quand un épouvantail et un chien enquêtent sur la photographie
De retour dans la boutique d'Halloween Town, Clémence sentit de nouveau la chaire de poule l'envahir. Non mais sérieux, c'était quoi cet endroit ? C'est vrai que pour ceux qui aimaient l'épouvante, c'était parfait. Ce n'était pas le cas de Clémence ! Elle préférait de loin se prélasser dans la baignoire de sa suite, plutôt qu'arpenter ce musée des horreurs. Clémence devait faire avec, puisque c'était dans ce lieu-là qu'elle allait obtenir les deux choses qu'elle voulait pour l'heure : des connaissances sur la photographie et des décorations pour son spectacle.

Quand vint le moment de s'organiser, Clémence posa la question à Jack. Ce dernier suggéra une proposition. « Oui, ça me paraît sensé. Faisons comme ça. » Clémence sortit ensuite son carnet et en prit une page qu'elle arracha. Elle y nota toutes les définitions à chercher.

Polarisation
Filtres polarisants
Biréfringence
Phase nématique
Champ électrique
Polariseurs
Pixel
Diode
Couche semi-conductrice organique
Electrode
Lentille
Diaphragme
Prisme
Dépoli
Pare-soleil
Objectif

Elle déchira ensuite ladite en feuille en deux, entre Diode et Couche semi-conductrice organique. Elle tendit le morceau Couche semi-conductrice organique-Objectif à Jack. « Voilà, on a chacun sa liste. On devrait aller plus vite comme ça. » Avant que Clémence ait pu prendre ses livres pour se mettre au travail, Jack lui posa une question pour le moins perturbante. Est-ce que sa boutique lui plaisait ? Non. Elle était beaucoup trop effrayante à son goût. Clémence n'aimait pas l'atmosphère oppressante qui s'en dégageait. Si ça ne tenait qu'à elle, elle serait déjà partie. Seulement, il avait fallu que l'horrible propriétaire dissèque son précieux appareil photo. Clémence s'était alors lancée dans une chasse aux trésors de connaissance en la matière, avec le responsable de la mort de son appareil photo. Alors, non, elle n'aimait pas cet endroit. Elle se jura de ne plus y mettre les pieds, si ce n'était pas un cas de force majeure. La brunette fixa le propriétaire et se dit qu'elle ne pouvait pas lui dire ça. Elle ne voulait pas admettre que cet endroit lui filait la chaire de poule, elle avait sa fierté. Néanmoins, elle pouvait dire une partie de ce qu'elle pensait, sans mettre son orgueil à mal. « Elle est parfaitement dans le thème d'Halloween, bien effrayante à souhait. D'ailleurs, quand on aura fini la recherche des définitions, il serait temps que je trouve des décorations pour mon spectacle. A la base, je suis venue pour ça. Il faudrait aussi qu'on répare mon appareil photo. » Clémence esquissa un petit sourire. Elle avait regardé sa montre. La matinée touchait à sa fin et la faim commençait à mordre l'ancienne chienne. Et puis, en dehors des décorations pour son spectacle, elle devait encore trouver un moyen de réparer son appareil photo.

Quand le requête de Clémence sur ses décorations et costume fut satisfaite, elle et Jack se mirent en quête des définitions. Clémence en trouva quelques unes aux siennes. Elle les inscrivit sur son carnet. Polarisation : propriété physique qu'ont les ondes vectorielles (ondes qui peuvent osciller selon plus d'une orientation), dont la lumière fait partie en tant qu'onde éléctromagnétique, liée à leur l'orientation dans un plan.
Biréfringence : propriété physique d'un matériau ou milieu anisotrope (propriété d'être dépendant de la direction, a différentes caractéristiques selon l'orientation) de dédoubler un rayon lumineux le traversant.
Phase nématique : état de la matière entre les phases solide cristalline et liquide.
Pixel : unité de base permettant de mesurer la définition d'une image numérique. C'est le constituant le plus petit d'une image électronique, définie par sa couleur et luminosité.
Diode : dipôle (composant électronique à deux pôles) non linaire et polarisé.


Il ne lui restait plus que filtres polarisants, champ électrique et polariseurs à élucider.
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Dim 12 Fév 2017 - 22:25



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Jack & Clémence
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« Une rencontre des plus angoissantes »L'heure passe et onze heure sonne à l'horloge parisienne. Jack était lui aussi concentré sur les définitions que Clémence et lui avaient partagé. Il commençait a voir un peu le bout du tunnel au fur et à mesure qu'il noté les définitions cherchées sur le petit Larousse 2016, les choses s’éclaircisse de plus en plus, il avait envie de chanté sa joie de comprendre, oui Jack avait horreur qu'une chose lui file entre les doigts, l'esprit d'Halloween aimait tout comprendre, tout savoir, une soif d'apprendre intarissable, c'était un scientifique dans l’âme et il avait horreur que quelque chose échappe a sa compréhension, il ne le supporte vraiment pas !

Il entends soudain quelque chose grogné, il lève un sourcil en se demandant d'où pouvait provenir ce bruit des plus incongrus, il se lève donc pour fouillé dans toute la boutique, remuant les articles du magasin mais il regarde aussi dans les bocaux et en soulevant les tables de dissections. Il mit un peu longtemps à comprendre que c'était le bruit d'un estomac qui gargouille, lequel ? Mystère !

Il était temps pour elle de lui servir un chocolat bien chaud, rien de tel qu'un chocolat, c'est si nourrissant. Il se lève donc du siège. Avec un petit rire amusé, le squelette glisse des bonbons en forme d'yeux et d'araignées dans la tasse en forme de crane de la jeune fille après avoir fait chauffé celui-ci au micro-onde, essayant de se débrouillé sans l'aide de ses employés. C'était sa blague préférée et il faut dire qu'elle marchait tout le temps. Un vrai pur chocolat (où café) digne d'Halloween Town !

Il porte ensuite la boisson chaude auprès de la demoiselle, un sourire aux lèvres.

-Tenez, d'après le bruit fort étrange que j'ai entendu il y a un ventre qui gargouille dans le coin, je pense que c'est le moment d'une petite collation, je vous propose donc un petit chocolat bien chaud, c'est nourrissant, ça vous permettra de tenir en attendant midi ! D'ailleurs moi aussi je vais m'en faire un !

Là dessus il repart s'en faire un.
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Jeu 16 Fév 2017 - 19:20

Une rencontre des plus angoissantes
Quand un épouvantail et un chien enquêtent sur la photographie
Clémence était appliquée à noter scrupuleusement dans son carnet les définitions qu'elle trouvait dans les livres. Si on lui avait dit que sa recherche de costumes et accessoires d'Halloween pour son spectacle l'aurait menée sur la quête de connaissances en photographie, elle ne l'aurait probablement pas cru. Et ça n'avait pas été gagné d'avance. En entrant, elle avait failli fuir, mais la curiosité avait fini par l'emporter sur la crainte.

Lorsque Clémence en arriva à la moitié de sa liste, elle vit Jack commençait à s'agiter de manière désordonnée. Elle fronça les sourcils ne comprenant pas son état. Qu'est-ce qu'il lui arrivait ? Que cherchait-il tout d'un coup ? Il fouillait de fond en comble sa boutique. Clémence le regarda s'agiter sans comprendre. Puis, d'un coup il s'éclipsa avec un amusé qui ne présageait rien de bon. Durant ce laps de temps, la jeune femme en profita pour cherche quelqu'un qui pourrait enfin répondre à la raison de sa présence ici : trouver ce qu'elle cherchait pour ses costumes. L'ancienne chienne commençait à se dire qu'il était temps de quitter ce lieu d'épouvante. La chaire de poule la reprenait. Elle se leva et alla demander aux employés de la boutique. Il était temps d'en finir. Clémence se décida pour des décorations toile d'araignées, des bougies, des citrouilles et un costume de sorcière avec le maquillage adéquate. Clémence paya le tout et rangea ses achats dans son sac, à côté des restes de son appareil photo. Elle retourna ensuite auprès de ses livres.

Quand Jack refit son apparition, Clémence le regarda étrangement. Il lui tendait une tasse en forme de crâne, oui en forme de crâne ! Non, mais il était siphonné ! Il ponctua son geste en disant que c'était nourrissant. Depuis quand un chocolat chaud est nourrissant ? Vraiment cet homme était bien étrange. Clémence hésita devant cette tasse si horrifique. L'homme la lui mit dans les mains, en ajoutant qu'il allait s'en faire une pour lui. La jeune Brown regarda le contenu de tasse quand un œil remonta à la surface. Elle cria en lâchant la tasse, qui vint se briser en mille morceaux tombant au sol, libérant son contenu sur le carrelage. Elle vit alors des araignées parmi les yeux. Mais qui était ce malade ?! Clémence ne pouvait plus rester dans ce magasin une minute de plus. C'était trop oppressant et cet homme était trop effrayant. Non vraiment, Clémence n'aimait pas son humour, ni sa boutique, ni même le personnage. « Non mais vous êtes malade ! » Elle rangea alors ses affaires dans son sac et sortit de la boutique sans un regard en arrière et sans regret.
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HJ:
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Dim 19 Fév 2017 - 12:34



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« Une rencontre des plus angoissantes »Alors que Jack se prépare tranquillement un chocolat, il voit la réaction a sa petite plaisanterie macabre qui ne se fait pas attendre. Elle échappe la tasse par terre qui se brise en mille morceau, elle répand son contenu sur le sol. Il se fait ensuite traité de malade sans que ça ne lui fasse le moindre effet et ensuite elle s'enfuit en courant, comme si elle avait le clown responsable des clés de la ville d'Halloween a ses trousses. Il a tellement l'habitude de ce genre de réaction que cela le laisse totalement indifférent, de toute manière la peur c'est le but, il laisse donc son chocolat pour allé donné un coup de main squelettique aux employés pour nettoyer les dégâts et Ernest s'exprime.

Les gens sont vraiment des abrutis, j'ai l'impression que plus les années passent plus ils deviennent crétins....

-Pourquoi dite vous cela, Ernest ? demande t'il, curieux.

-Elle vous balance la tasse par terre avec son contenu, elle s'enfuie et elle est même pas foutue de revenir nous aidé à ramassé, cette abrutie ! Elle a conscience que c'est nous qu'on ramasse derrière elle et que ça nous avance pas dans notre travail ? J'ai pas fini de mettre les nouvelles citrouilles qu'on a reçu et ça, ça m'avance pas dans mon boulot ! Je trouve aussi et c'est mon avis personnel que la réaction elle est un peu démesurée pour des bonbons flippants dans un tasse de chocolat ! 

-Ah je vois ce que vous voulez dire, ne vous tourmentez pas, vous avez tout le temps de les mettre, ne vous pressez pas !

Ernest possède énormément de caractère et il ne se laisse pas faire,  il possède aussi beaucoup d'humour.

-N’empêche, si la connerie avait des ailes, certains seraient champions de deltaplane  !
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C'est court mais j'ai conclu !
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