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Quand le drame n'est pas que sur la scène ~ pv Clemence
Hadès D. Alexander
Hadès D. Alexander
Lord of the Dead
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DESSIN ANIME D'ORIGINE : Hercule
ÂGE DU PERSONNAGE : trop vieux pour toi gamine!
COTE COEUR : Il n'est plus là, ce n'est qu'un trou laissé par la disparition de mon âme soeur
OCCUPATION : tente de dominer le monde/ directeur de Dark Diamond
LOCALISATION : pas de tes oignons!
HUMEUR : Boum Badaboum boum boum boum! Ah!
COULEUR PAROLE : black
PRESENCE/ABSENCE : Omniprésent... /sbaf/
DOUBLES COMPTES : Tim, Day, la folle, l'alcoolo, le drôle d'oiseau & Gram
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Ralph Fiennes, moi 8D
MON ARRIVÉE : 24/04/2013
MON VOYAGE : 991
POINTS : 1074
Ven 6 Jan 2017 - 23:17



Quand le drame n'est pas que sur la scèene

dédicace à Anna et tous les amatrices de drama qui liront o/



Je cherchais comment débuter cette petite histoire, vous parlez de la météo, encore? Et bien il faisait plutôt froid pour une journée de novembre. Je pourrais toujours vous parler de la raison de ma présence à Paris? Comme toujours une mission! Les missions, c’était bien toujours les raisons de mes déplacements quand on y pensait un peu… Ce n’était pas un mal, dans plusieurs situations, ça m’avait permis d’explorer de nouveaux pays, tout comme ça m’avait donné l’occasion de faire de nouvelles conquêtes! Oui, je parle bien de demoiselles! Ce qui était bien, c’est qu’en voyageant beaucoup, ça me permettait d’étendre mon terrain de chasse sur plusieurs continents… et le plus beau là dedans? Il y avait si peu de chances qu’elles se croisent! Bon, par contre ce n’était pas impossible, il semblait que Clochette et Clémence se connaissaient… Preuve de ma malchance éternelle!

Mais bon, toutes ces histoires tiraient à leur fin… Pourquoi? Parce que disons que je voulais mettre toutes les chances de mon côté pour que ça fonctionne avec Helga. Était-ce de l’amour? Ou simplement parce qu’elle était au départ celle que je ne pouvais pas avoir? Quand je l’ai connu, elle était déjà en couple… ça n’aurait pas été un problème si elle ne s’était pas convaincue qu’elle devait être fidèle! J’ai respecté cela, question de garder mon emploi, mais aussi parce que je me doutais bien que son mec n’était pas assez bien pour la blonde. J’avais bien évidement raison et depuis cet été, la patronne est enfin libre! Depuis que je le sais que j’ai recommencé mes approches plus ou moins subtiles… enfin, pas du tout subtile pour être franc. Depuis peu, j’ai l’impression que ça peu mener à quelque part, alors je dois couper les ponts avec mes anciennes conquêtes.

Pour la majorité, comme je ne les aie pas rappelé, il n’y a pas eu de suite, c’était une histoire d’une nuit, peut-être deux, puis c’était tout… Par contre il y avait une exception quelque peu collante…  Pas une méchante fille, mais disons peut-être un peu immature. Je devais la croire plus vieille, comme elle dansait dans un cabaret. Et puis ce premier soir-là, elle avait été plutôt calme, mais en fait elle ne devait qu’être épuisée de sa journée… car maintenant, j’ai l’impression d’avoir à faire avec un chiot surexcité. Au début c’était amusant, mais au final, ce n’est vraiment pas mon genre de fille. Je sais que j’aurais du mettre fin à cela bien avant, mais à chaque fois elle ne me laissait pas le temps de parler… Je savais que ça ne pouvais plus durer… mais surtout que si Helga apprenait que je voyais encore Clémence… elle me tuerait. Sans doute prendrait-elle le temps de me couper les bijoux de famille avant… Donc je devais mettre fin à cela avant qu’on passe à l’étape suivante la blonde et moi.

J’avais voulu faire ça simple, un resto, question d’essayer de limiter la crise et d’être en terrain neutre, sauf que la brune avait décidé que ce soir-là, je devais l’invité à l’opéra! Ou elle m’invitait et c’était moi qui payais, dans d’autres mots. Non mais qu’est-ce que j’allais m’emmerder… mais qu’est-ce que je ne ferais pas pour l’amadouer et que la rupture se passe bien?

Pour l’instant, j’attendais la jeune femme dans le hall de l’hôtel où elle habitait. Lorsqu’elle descendit enfin, je compris pourquoi ça avait été aussi long… Elle y avait mis le paquet! J’avais revêtu un habit, mais ce n’était jamais les hommes qu’on remarquait dans ses cas-là, n’est-ce pas? Je pris le temps de la complimenter, comme je le fais toujours :

- Clémence, tu es vraiment magnifique ce soir. Pas que tu ne le sois pas en temps normal…

J’accompagnais cette remarque d’un clin d’œil. Ce n‘était pas bien compliqué de complimenter une femme, il fallait seulement lui dire ce qu’elle veut entendre! Je peux garantir que si je n’avais rien dit à propos de sa tenue, elle aurait boudé toute la soirée, ne voulant rien entendre de ce que j’aurais à lui dire!

Je lui présentais mon bras :

- Allons-y, si nous ne voulons pas être en retard.

Le taxi nous attendait devant, plus qu’à monter et se rendre à la salle des tortures…



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Dim 22 Jan 2017 - 17:42
Quand le drame n'est pas que sur la scene
Clémence se pomponna au vue de sa soirée avec Hadès à l'opéra. Après avoir pris une bonne douche bien chaude, à défaut d'un bain pour gagner du temps, elle revêtit une superbe robe bleue, achetée spécialement pour l'occasion. Elle passa une bonne heure à réaliser son chignon. Elle se maquilla et se parfuma. L'ancienne chienne se para ensuite de son collier en forme d'os bleu, de boucles d'oreilles et de chaussures à talon. Une fois prête, elle revêtit un manteau bien chaud, prit son sac, salua Marie et descendit à la réception, où l'attendait son petit-ami.

Dans l'ascenseur, Clémence trépignait d'impatience, ravie et excitée de ses futures retrouvailles avec Hadès. Elle rayonnait. Elle allait enfin revoir son chéri ! Ils étaient maintenant ensemble depuis un peu plus d'un an et cela faisait un mois qu'elle n'avait plus vu son petit-ami. Ils ne se voyaient pas souvent, puisqu'Hadès vivait à Londres et elle à Paris. Du moins, c'était la version qu'elle avait. Clémence était tout emballée. Elle l'avait vu en octobre à l'occasion de la sortie du livre sur la pièce de théâtre d'Harry Potter chez Clochette. Depuis, ils n'avaient plus eu l'occasion de se voir. En ce mois de novembre, elle allait avoir des retrouvailles grandiose et romantique. Son petit-ami était un homme de classe et de raffinement, si bien que c'est à l'opéra qu'il l'emmenait. Clémence en était toute émoustillée. Bon, c'était plutôt Clémence qui avait insisté sur le lieu. Elle passait souvent devant et s'était dit qu'elle y irait un jour. C'était l'occasion rêvé ! Et puis, son petit-ami était un gentleman, le synonyme même de la classe anglaise et du raffinement. Elle trouvait que l'opéra serait un endroit parfait pour le ressentir. Et puis, la jeune Brown n'avait encore jamais été à l'opéra. Elle trépignait d'impatience.

Quand les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, Clémence en sortit et scruta le hall. Elle repéra immédiatement son cher et tendre. L'élégance incarnée ! Ce qu'il était beau dans son costume ! Clémence, fière d'avoir un homme tel qu'Hadès comme petit-ami, s'avança vers lui, en flottant sur un petit nuage. Elle voulut lui sauter dessus, mais se calma, ne voulant pas ruiner ses heures de préparation vestimentaire. Clémence se contenta de déposer un baiser sur les lèvres de son copain. Son homme la complimenta alors sur sa tenue. Le cœur de la jeune femme se gonfla de bonheur et d'orgueil. Elle sourit jusqu'aux oreilles. « Merci, Hadès. Toi aussi, tu es superbe ce soir, tout comme les autres soirs. »

Hadès lui présenta son bras, auquel Clémence s'accrocha. Son gentleman lui annonça qu'il était temps d'y aller, sinon ils allaient être en retard. Clémence acquiesça. « Oui, allons-y Hardée, enfin je voulais dire Hadès. » Clémence rougit, puis entra dans le taxi, suivi d'Hadès. Hadès et ardent s'étaient mélangés dans la bouche de la jeune femme, si bien que c'est Hardée qui en était sorti (dédicace au correcteur orthographique d'Anna).

Arrivée sur les lieux, Clémence sortit du taxi, dans lequel elle en avait profité pour se lover dans les bras de son copain. « Whaou ! C'est superbe ! Majestueux ! » L'architecture du bâtiement et l'éclairage rendaient le lieu imposant, ce qui marqua Clémence. Celle-ci monta les marches au bras d'Hadès et entra dans l'opéra. Là, elle vit l'affiche de la pièce qu'ils allaient voir. Clémence en avait vaguement entendu parlé par certains clients de l'hôtel, mais elle ne connaissait pas l'histoire. Elle questionna Hadès sur le sujet. « A ton avis, Don Juan est une pièce qui traite de quel sujet ? Vu l'affiche, ça traite de passion. Je crois que ça va être intéressant. »

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Hadès D. Alexander
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HUMEUR : Boum Badaboum boum boum boum! Ah!
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DOUBLES COMPTES : Tim, Day, la folle, l'alcoolo, le drôle d'oiseau & Gram
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Mer 25 Jan 2017 - 21:36



Quand le drame n'est pas que sur la scèene

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Mes mots gentils semblaient avoir fait mouche, elle en semblait plutôt heureuse. La brune me retourna le compliment. Ce qui ne m’apprit pas grand-chose, je savais déjà que j’étais magnifique. Mine de rien, je mettais certains efforts afin d’être plus que présentable. Clémence était fort belle, mais aussi fort distraite ce soir là… Je ne pus m’empêcher de tiquer légèrement lorsqu’elle m’appela « Hardée » Elle voulait m’attacher ou quoi? Ou elle pensait à quel point j’étais du genre ardent? Ce qui était normal vu mes pouvoirs!  Je ne me rappelle plus vraiment quand je lui ai dit, mais je finis par le dire à tout le monde de toute façon! C’est que j’aime sans doute un peu trop fanfaronner avec ça!

La femme prit place dans le taxi et j’en fis de même tout en mentionnant l’adresse au chauffeur.  Et là je pus me questionner… pourquoi déjà je sortais avec ce pot de colle? L’attrait de la jeunesse et puis elle était jolie…. Et quand elle n’agissait pas comme un chiot excité, nous pouvions avoir des conversations intelligentes. N’allez pas croire que je la trouvais toujours agaçante, peut-être que je faisais ressortir ce point pour avoir une raison de plus pour arrêter cette relation? J’aurais pu me sentir coupable de vouloir rompre, alors qu’elle me démontrait tant d’amour, mais je ne suis pas certain d’avoir un cœur… La culpabilité n’avait jamais été un sentiment très répandu chez les divinités… la preuve étant les agissements de mon très cher frère, sinon il aurait arrêté ses infidélités! Mais bon passons, je ne suis pas d’humeur à penser très longtemps à lui.

Je payais le chauffeur de taxi une fois à destination, parce que c’était toujours à l’homme de payer à ce qu’il semblait… Où elles étaient les féministes quand il était temps de débourser? Certainement pas avec moi, ça c’était certain! Je suivis la jeune femme à l’intérieur. Oui, c’était un bel endroit, mais je trouvais qu’il n’y avait pas de quoi faire tout un plat. Je vis enfin l’affiche de la pièce que nous allions voir… Je n’avais pas vraiment porté attention jusqu’à maintenant. Soudainement ça me sembla d’un plus grand intérêt. Si ça parlait de la passion? Possible, mais un don juan, ça avait une toute autre signification pour moi…

- Possible… mais Je crois que ça parle aussi d’un séducteur.

Certains diraient un coureur de jupons, mais c’était beaucoup moins poétique! Au moins ça s’annonçait plutôt intéressant! Ma curiosité piqué, J’entrainais la jeune femme vers l’entré de la sale, où un jeune homme vérifia nos billets, nos indiquant vers où nous diriger pour accéder au balcon. J’avais choisi cet endroit parce que les billets étaient moins cher et qu’ainsi, si je dormais, moins de gens s’en apercevraient… Ah et c’était presque tout ce qui restait en fait. Après réflexion, c’était loin des toilettes et de la sortie, alors ça me plaisait moins du coup… Quoique ça pouvait donner une bonne excuse pour s’absenter plus longtemps.

Heureusement, nous n’eûmes pas trop à attendre avant la levée du rideau. Bien vite, je pus m’apercevoir que ce Don Juan était bel et bien un coureur de jupons… C’était le cas de le dire, car les femmes étaient habillées d’une mode venue d’une autre époque…




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Mer 8 Fév 2017 - 16:54
Quand le drame n'est pas que sur la scene
Clémence arqua un sourcil à l'évocation du sujet du spectacle : un séducteur. « Tu crois ? » Clémence était choquée. La pièce parlait-elle vraiment d'un goujat ? Comment pouvait-on écrire tout un opéra sur un personnage pareil ? Pour Clémence, ce genre d'homme, à l'opposé du gentleman romantique, donc de son cavalier servant, était le mal incarné. L'homme de la pire espèce. Cela dit, la pièce pouvait être intéressante. Et puis, elle était curieuse de voir ça. Hadès avait peut-être tort. Don Juan traitait peut-être plus de la passion que du séducteur.

Le couple monta les marches pour arriver au premier étage et longea le long couloir pour aller à leurs places. Hadès avait fait les choses en grand, puisqu'ils avaient des places au balcon. Clémence en rêvait, depuis qu'elle avait vu ça dans un film. Pour une première fois à l'opéra, elle ne pouvait pas rêver mieux. « T'as vu la vue ! Ces places sont superbes ! Merci, Hadès. » Elle lui sourit et déposa un tendre baiser sur sa joue. Elle regarda ensuite le public. Elle regarda chaque détail. Les sièges étaient d'un rouge éclatant. Ils s'accordaient avec grâce au doré des pans de murs, des rambardes des balcons et des moulures, qui décoraient la pièce. Et ce plafond ! Un superbe ornement lui faisait honneur. La magnificence du lustre subjugua la jeune femme. Quant à la scène, Clémence fut subjuguée. Peu de temps après qu'ils se soient assis, le rideau se leva. Il laissa alors apparaître de somptueux décors travaillés. Clémence apprécia également les costumes, maquillages et coiffures. Cependant, elle ne comprenait pas vraiment pourquoi les femmes étaient vêtues de la sorte. Pourquoi des tenues si légères alors que ce Don Juan était habillé bien élégamment ? Elle interrogea Hadès. « Pourquoi ces femmes ont si peu de vêtements alors que Don Juan est d'un chic ? »

Après quelques scènes du premier acte, Clémence fut choquée du comportement de ce Don Juan. Mais pour qui se prenait-il ? Savait-il qu'il faisait souffrir ces femmes ? N'avait-il pas de cœur ?! S'en était trop pour Clémence. Bien qu'elle eut rigolé à certains moments, apprécié certains chants, elle ne pouvait pas ne pas commenter le comportement de cet homme. « Non mais t'as vu celui-là ! Un vrai animal ! Il saute sur tout ce qui bouge ! C'est un vrai chien et encore, les chiens ne sont pas comme ça ! Toi au moins, mon Doudounet, tu n'es pas comme ça, Dieu merci ! » Clémence lui prit la main dans la sienne et lui sourit.

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Ven 10 Fév 2017 - 18:39



Quand le drame n'est pas que sur la scèene

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Pourquoi semblait-elle aussi choquée? Elle n’avait pas jeté un œil au sujet de la pièce? Pourquoi tenait-elle tant à venir voir cette pièce alors qu’elle ne savait rien de l’histoire? Ça ressemblait de plus en plus à des enfantillages! Vouloir quelque chose à ce point sans savoir ce que c’est vraiment, je trouve ça tout simplement ridicule! Je ne comprenais pas comment l’idée d’un séducteur la courrouçait autant, ce n’était qu’une histoire après tout, ce n’était pas comme si ça lui était arrivé! Enfin pas encore… Je commençais à entrevoir que rompre ne serait pas de tout repos, elle risquait de bien mal le prendre, surtout si elle venait à soir que j’étais du genre à courir plusieurs lapines à la fois. Peut-être que cela allait changer, si je parvenais à aller plus loin avec Helga… Cette blonde n’était pas du genre à laisser une marge de manœuvre et depuis le temps que je la convoitais, je serais stupide de gâcher tout ça en allant voir ailleurs.

Je me contentais de grogner un « de rien » quand elle me remercia… mais ce n’était pas rien, ça m’avait couté un certain montant tout ça. Pourquoi ne m’étais-je pas contenter de juste la plaquer devant l’hôtel? Bon, elle ne m’avait pas vraiment laissé parler et m’avait un peu harcelé pour que j’achète ses billets. Ne voyait-elle rien? Ne voulait-elle rien comprendre? Si je voulais vraiment être avec Clémence, je ne voyagerais pas autant et je resterais auprès d’elle… Parfois je me demandais si la jeune femme n’était pas en amour avec l’amour, comme on dit.

Alors qu’elle s’extasiait sur l’endroit, moi, je n’y voyais rien de si palpitant. C’était un bel édifice, bien entretenu, mais c’était tout. Peut-être que mon manque d’enthousiasme venait du fait que je sentais la rupture se rapprocher? Je sentais que ce serait la crise, comment en serait-il autrement avec une « femme-enfant »? Déjà, je sentais le fossé se creusé à l’entracte, pendant que la brune critiquait la pièce. Je ne savais pas pourquoi les femmes étaient moins vêtues, coulaient-ils représenter des femmes de petite vertu? Mieux sous-entendre que Don Juan est allé jusqu’au bout avec elles? Quoiqu’il en soit, je laissais Clémence parler, jusqu’à ce qu’elle me donne un surnom si irritant que je ne pus me retenir, répondant d’un ton plutôt sec :

- Ne m’appel pas comme ça. Comment ne pas agir comme des chiens quand les femmes nous traitent comme tel? Tu te rends compte que ce surnom est même trop ridicule pour un animal? Qu’est-ce qui te dis que je ne suis pas comme ça? On ne se voit même pas à tout les mois… Et je te fais remarquer qu’il ne les force pas, ces femmes veulent cet attention, elles aiment se sentir désiré…

Peut-être que j’aurais du faire preuve de plus de tact, mais je n’en pouvais tout simplement plus. Je voulais éviter les éclats, mais maintenant c’est trop tard, ma nature refait surface comme à chaque fois que je suis agacé. Je savais que je ne pouvais pas en rester là, il était temps d’aller jusqu’au bout de ma pensé :

- Tu agis comme une gamine, je n’en peux plus. Tu parle de l’amour, des relations humaines sans rien en connaitre vraiment. Les femmes disent se faire dupé par des gens comme Don Juan, mais c’est visible à cent kilomètre qu’il est comme ça! Elles le savent au fond d’elles, mais elles se laissent faire juste pour avoir de l’attention. Et ensuite elles se font passer pour les victimes de l’histoire! Nous avons des points de vu trop différents sur la vie, nous ne sommes pas faits pour être ensemble.

Voilà, c’était dit. Je n’avais pas été tendre et je m’en foutais.




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Dim 12 Fév 2017 - 16:27
Quand le drame n'est pas que sur la scene
Après lui avoir pris la main dans la sienne, Clémence s'était attendue à une marque d'affection de la part de son petit-ami. Ce qu'elle était en droit d'attendre. N'était-elle pas une bonne petite-amie ? N'était-elle pas fidèle et aimante ? Bien sûr qu'elle l'était. Or, il n'en fut rien, bien au contraire. Au lieu d'une marque d'affection, il défendait ce type ! « Quoi ? Tu le défends ! Les femmes ne traitent pas mal les hommes ! Et non, quand on aime rien n'est ridicule. Et je te rappelle que si on ne se voit pas tous les mois, c'est parce que tu voyages ! Je n'y peux rien moi ! »

Clémence le regarda bouche bée. Avait-elle bien entendu ? L'avait-il traité de gamine ? Venait-il de dire qu'ils n'étaient pas fait pour être ensemble ? Après une dispute ? « Non...tu n'es pas sérieux ? Et tu sors ça de nulle part ? Comme ça ! Mais qu'est-ce qu'il t'arrive ? Qu'est-ce que je t'ai fait ? » Les larmes commencèrent à monter. Clémence détourna la tête et regarda de nouveau l'opéra se dérouler. Don Juan était en train de s'amuser avec une femme légèrement vêtue. Clémence regarda alors Hadès « C'est parce qu'on a pas jamais couché ensemble que tu me largues ?" »

Les deux, faisant une scène, leurs voisins leur demandèrent de sortir. Clémence et Hadès se levèrent de leur chaise et poursuivirent leur dispute à l'extérieur. Tandis qu'ils marchaient tous les deux inconsciemment dans le couloir en direction de la sortie, Clémence poursuivit sa défense. La colère et la peine se mêlèrent dans sa voix. « Et d'abord de quoi tu parles ?! Je connais les relations humaines ! Je sais ce que c'est que d'en avoir ! Toi, je t'ai jamais vu en avoir, ni entendu en avoir ! Tu ne m'en as jamais parlé. Moi, je t'en ai parlé et je voulais même te les montrer le mois dernier ! Tu ne t'entends pas avec ta famille ! Moi oui ! Et la seule relation que je te connaisse, c'est le petit Oliver ! C'est toi qui n'y connais rien en relation humaine ! » Clémence avait bien des qualités, mais elle avait aussi ses défauts, dont le fait d'être hautaine. Elle ne voulait pas perdre la face devant Hadès, sans se battre. Elle venait de comprendre qu'elle était à un tournant. Soit ils se disputaient une bonne fois pour toute et mettaient les choses au clair, reprenant ainsi leur couple en main de façon plus saine. Soit ils vidaient leur sac, en disant à l'autre pourquoi ils n'étaient pas fait pour être ensemble et se quittaient en mauvais terme. C'était la deuxième voie qu'ils empruntaient.

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Lun 13 Fév 2017 - 1:31



Quand le drame n'est pas que sur la scèene

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Ça y était, nous étions en pleine scène de ménage dans un endroit publique. Ce que j’appréhendais tant au début de la soirée ne me semblait pas aussi pire… Pourquoi? Parce qu’au final, je m’en foutais de l’opinion des gens. Je ne les reverrais jamais, alors qu’importe leurs jugements! À force de toujours passer pour le méchant, on s’y fait. Peut-être que j’aurais du être plus doux, mais je préférais être direct afin d’être certain de me faire comprendre. Après tout, Clémence n’avait pas compris avec les autres signes, alors mieux valait arrêter d’attendre qu’elle rompe et le faire moi-même. Elle ne voyait vraiment que ce qu’elle voulait croire? Était-elle aussi naïve que ça? Il semblait bien que la réponse à ces deux questions était oui. Pourquoi m’étais-je embourbé dans cette relation au juste? Je ne le savais plus moi-même… pour me prouver que je pouvais attirer les jolies jeunes demoiselles? Et bien vu la crédulité de la jeunesse, ça n’était pas si difficile au final…

« Quand on n’aime, rien n’est ridicule » et bien c’était là la preuve qu’elle ne connaissait rien! Pourquoi vouloir ridiculiser l’autre? Jamais je ne pourrais accepter ce genre de relation! Il n’y avait que des gamines pour donner ce genre de surnom à leur copain! Copain, ce mot me semblait si déplaisant, je n’arrivais pas à me considérer comme tel avec elle. Je ne pouvais pas accepter une relation à long terme avec quelqu’un avec qui je ne pouvais pas être moi-même. La brune ne  semblait pas vouloir accepter la rupture si facilement. Ça m’aurait pourtant arranger, parce que ça en vient à quelque chose auquel je n’avais pas nécessairement pensé dans ma décision.

- Nous ce n’est pas parce qu’on a pas couché…


Nous dûmes continuer à l’extérieur, les autres spectateurs en ayant assez qu’on les dérange. Génial, payer pour cette pièce et ne même pas la voir au complet! J’aurais du me la fermer jusqu’à la fin… Nous continuons donc notre dispute une fois à l’extérieur de la salle, en nous dirigeant vers la sortie. Elle m’énervait de plus en plus alors je ne pus me retenir :

- La preuve justement qu’on est pas fait pour être ensemble, je ne te parlais même pas de mes collègues ou de mes amis! Parce que oui, j’ai des amis, pas beaucoup, mais c’est la qualité qui compte, pas la quantité.

Bon, j’en mettais un peu, parce que je n’étais pas certain que Randall soit un ami de qualité… ou même un ami… ça dépendait des jours et de la profondeur de son balai dans le derrière, j’imagine. Sinon ma seule vraie amie, c’était Helga.

- Et puis je ne pense pas que tu serais heureuse d’entendre parler de mes conquêtes… Je connais bien les humains, surtout leur noirceur. Pour quelqu’un qui s’y connait tant, pourquoi n’as-tu pas remarqué que j’essayais de t’éviter, que je n’étais pas bien dans cette relation? Je ne veux pas être traité comme un animal de compagnie! Voilà ce que tu m’as fait. Tu es tellement immature, ça ne peux pas fonctionner toi et moi.  C‘est terminé. Adieu.

Je n’avais plus rien à dire, alors je tournais les talons pour m’en aller. Je me sentais léger, heureux que ce soit terminé. Ça n’avait certes pas été sans heurts, mais de toute façon je ne risquais pas de la revoir, alors qu’importe? Je trouverais une autre gardienne pour Oliver et voilà tout. Une fois dans la rue, j’appelais un taxi pour retourner à l’hôtel. Je ne me retournais même pas une seconde pour regarder une dernière fois la jeune femme.




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Invité
Lun 13 Fév 2017 - 21:42
Quand le drame n'est pas que sur la scene
Quand Hadès lui annonça, pour preuve qu'ils n'étaient pas fait pour être ensemble, qu'il ne lui avait pas parlé de ses collègues ou amis. Mais pourquoi ? C'est lui qui n'avait rien voulu dire ! Clémence n'y pouvait rien, s'il n'avait pas voulu se confier sur des choses aussi banales. L'ancienne chienne commençait à se demander si elle avait un jour véritablement compté pour Hadès et surtout avec la suite. Clémence lui hurla littéralement dessus. « Des conquêtes ?! Parce qu'en plus tu me trompais ! Tu n'es qu'un...qu'un.. un salaud ! » Voilà. La jeune femme apprenait la vérité sur l'homme qu'elle avait aimé et qu'elle aimait encore, malgré tout. Elle n'était qu'une femme parmi d'autre, qui ne comptait pas assez pour qu'il se livre sur ses états d'âmes et relations, et surtout pas assez pour lui être fidèle. Pourquoi lui avait-il offert ce verre, ce soir-là ? Pourquoi l'avait-il séduite ? Cherchait-il comme ce tombeur sur scène à avoir le plus de femmes à ses pieds ? Probablement. Il ne cherchait pas de relations. Et pourtant, il avait le culot de l'accuser d'avoir fait de lui un animal de compagnie. Or, c'était totalement faux. « N'importe quoi ! Je ne t'ai jamais traité en animal de compagnie ! » Hadès ne semblait pas l'écouter, puisqu'il poursuivit sa tirade. Quand il eut terminé, il s'éloigna sans un retour en arrière, comme s'il n'avait aucun regret, ce qui devait être le cas. Il laissa une Clémence dévastée, qui le regarda s'éloigner.

La cœur de Clémence était en miette. Il avait été piétiné et détruit de la pire des façons possibles. La jeune femme souffrait. Les larmes coulèrent le long de ses joues. Elle avait mal. Elle ne se rappelait pas d'avoir un jour souffert de la sorte. Elle marchait sans vraiment s'en rendre compte jusqu'à la sortie, d'un pas hagard. Clémence se sentait triste, humiliée, détruite d'avoir été traitée de la sorte. L'éplorée descendit les marches en pierre. Arrivée à la moitié, n'y pouvant plus, le cœur brisé, Clémence s'effondra en pleur sur les marches.

Le pas chancelant, Clémence rentrait à pieds chez elle. Elle avait ôté ses chaussures à talons. Son maquillage coulait, mais elle s'en fichait. Elle marcha en direction de l'hôtel, ses chaussures à talons à la main, son sac traînant misérablement au sol. Pour couronner le tout, deux hommes l'apostrophèrent « Hey Mamzelle ! T'es canon ! Oh mais c'est qu'elle pleure ! Viens dans mes bras, je vais te consoler. » Clémence avança sans se retourner. La peur se mêla à la tristesse. Cette soirée ne pouvait pas être pire. Les deux crétins s'avancèrent vers Clémence, quand un homme pausa une main sur l'épaule de Clémence et cria aux deux abrutis de dégager. La désillusionnée leva la tête et reconnut Max, son fidèle et loyal ami. Il l'avait vu passer devant sa brasserie, complètement déconfite. Il était alors allé à sa rencontre. Clémence n'avait pas menti à Hadès. Elle avait des amis, car elle se comportait comme tel avec eux. Et en ami, il y avait Max, qui venait de la sauver de sa soirée désastreuse. C'était peut-être lui son chevalier servant. En y pensant, Clémence eut de nouveaux sanglots. Elle avait cru qu'Hadès était son vaillant prince charmant. Or, il était totalement l'opposé et elle n'avait rien vu. Etait-elle si stupide ? Toutes ses croyances de conte de fées s'effondraient. Heureusement, elle avait un ami pour l'aider à traverser cette épreuve. Il l'escorta jusqu'à sa suite, puis il la confia à Marie. Clémence n'était plus que l'ombre d'elle-même en cette soirée. Sa meilleure amie et colocataire la consola jusqu'à ce que Clémence s'endorme.

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