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 :: RP Abandonnés
❝ Take it easy for a little while come and stay with us ❞ feat.Aiko 'Honey'
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Lun 3 Sep 2018 - 21:16

 ❝ Take it easy for a little while come and stay with us ❞







Maëva & Aiko


Mais qu’est ce que c’est que ce cirque ? C’est ce qu’avait pensé Maëva Montrose en lisant les instructions de sa prochaine mission. Qui construisait un hôtel avec un nom pareil ?! Et surtout… Qui avait les moyens de vivre à l’hôtel ? Trouver une pseudo génie de la science bourgeoise dans un hôtel à Paris ? C’est vraiment ce qu’on lui demander ? Plus elle lisait le dossier, plus la rouquine trouvait ça aberrant. Elle devait convaincre une jeune fille qui avait un blog en ligne et qui vendait des vêtements de travailler pour eux ? C’était la première fois que Maëva faisait cela, mais elle demanda un rendez-vous auprès de ses supérieurs pour être sûre qu’ils ne s’étaient pas trompé. La mission qu’on venait de lui confier était sans queue ni tête, ca ne pouvait être qu’une erreur ou une blague !

Après une longue entrevue avec l’un des meilleurs chasseurs de Londres, Maëva sortie du QG en pestant. « Espèce d’abruti ! » Cracha-t-elle. Son supérieur venait de lui passer un savon… Si tu n’es pas capable de suivre les ordres sans poser de questions, alors tu n’as rien à faire ici et vas-t-en, lui avait-il dit sans aucune retenue. La rouquine n’avait, à aucun moment, voulu contester les ordres, loin de là. Elle souhaitait juste avoir des explications… Elle avait cependant ravalé sa fierté et avait accepté sa mission sans broncher – devant son supérieur.

Paris… En plus, ce n’était pas la porte à côté.. On lui payait le de train, heureusement, mais la rouquine n’avait pas vraiment envie de perdre son temps dans les transports, cependant, elle n’avait pas le choix. Elle sauta alors dans le premier Eurostar et se rendit à Paris. Pendant le trajet, elle étudia plus particulièrement sa cible. Une jeune femme de 21 ans très active sur les réseaux sociaux. La rousse éplucha alors tous ses profils pour bien cerner le personnage. Elle n’avait pas l’air de faire des vidéos et de tenir un blog pour l’argent… Il fallait donc trouver une autre motivation pour la convaincre de travailler avec les chasseurs. La rousse sourit, elle avait une idée.

À la sortie du train, elle prit un taxi pour se rendre jusqu’à l’adresse qu’on lui avait indiquée. Une fois devant l’hôtel, la rouquine regarda un moment le bâtiment. « Pas mal ! » dit-elle à voix basse. Puis elle entra et s’adressa à la réceptionniste qui lui indiqua l’étage ou vivait Aiko Miyazaki. Maëva prit ensuite l’ascenseur et se retrouva devant la porte. Elle sonna une fois… Deux fois… Elle espérait que Aiko soit là… Maëva n’avait pas vraiment envie de lui courir après dans tout Paris…
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Jeu 4 Oct 2018 - 20:36
Take it easy for a little while, come and stay with us
Maëva & Honey
If you stand for nothing what will you fall for ?

Dans un océan de lumière, Honey appréciait des derniers rayons du soleil estival. C'était une véritable cascade de jour qui venait illuminer ce coin de table improvisée en bureau pour l'occasion. Ordinateur d'un côté, notes et smartphone de l'autre, musique dans les oreilles, Honey n'arrêtait pas. Tandis que ses prunelles scrutaient les dernières commandes passées sur son site, sa main droite s'agitait sur le papier, listant ses futurs achats de tissus et autres accessoires de couture. La jeune femme en profita pour mettre à jour son Bullet journal et intercaler ‘passer à la mercerie' entre ‘finaliser la commande Atkinson' et ‘trier les questions pour la vidéo FAQ' dans son emploi du temps de demain. Courir partout, remplir ses journées de la sorte, ça n'avait rien d'une obligation. Plus qu'un simple caprice pour satisfaire son côté bourreau de travail, c'était un besoin. Son cerveau de petit génie réclamait constamment d'être surmené, pour mieux se sentir exister. Avec un quotidien aussi chargé, les tourments de ses débuts étaient presque oubliés, relégués aux confins de son esprit. Pleurer sur ce qu'elle avait perdu, se tordre la cervelle sur l'incompréhensible, courir après des réponses inexistantes, tout ça était fini. Ou presque. Si Aiko était toujours déterminée à comprendre ce qui avait pu lui arriver, elle avait cependant accepté les limites de sa science. Et ça avait quelque chose d'effrayant, de se savoir sous le joug de forces inaccessibles à l'entendement.

Enfin. Ces idées, bien qu'obsédantes, ne l'empêchaient plus de vivre. Désormais, elle savourait ce que le présent pouvait lui apporter ; C'étaient les instants de bonheur partagés avec Clémence, aussi courts soient-ils, qui lui rappelait que cette nouvelle vie aussi valait la peine d'être appréciée. Une vie très différente de celle qu'elle avait envisagée, mais une vie plaisante toute de même. Sa liste terminée, Honey reposa son stylo et jeta un rapide coup d'œil à son téléphone. Les notifications s'accumulaient sur l'écran. Instagram, Youtube, Tumblr, Twitter, Snapchat… La jeune femme les balaya d'un coup de pouce agile, privilégiant le dernier SMS de sa petite amie. Et parce que la luminosité lui plaisait, elle décida d'immortaliser l'esthétique à la fois chaotique et organisée de sa table. CLIC. Ça ferait un post Instagram sympa ! Elle pianotait tranquillement sur son clavier, les paroles de sa musique au bord des lèvres, « En un segundo y fue diferente como soliar ser… » quand l’illusion d’un son l’arrêta. Incertaine, Honey ôta un de ses écouteurs et jeta un coup d’œil vers la porte d’entrée. Est-ce qu’on venait de sonner ? Une seconde sonnerie l’arracha de ses doutes. Ses traits se durcirent légèrement. Étrange. Qui cela pouvait-il bien être ? Honey vivait depuis assez longtemps à l’hôtel pour savoir que les visites à la suite se faisaient rare, si on oubliait les habitués et autres invités. Sauf qu’aujourd’hui, Aiko n’attendait personne. Alors, intriguée, elle se leva. Son cœur piqua une légère course lorsqu’elle passa une prunelle à travers le judas de la porte.

Une jeune femme rousse se tenait de l'autre côté. Une parfaite inconnue. C'était ce qu'elle craignait. Son cœur piqua une légère course. Comment une étrangère avait-elle obtenu leur adresse ? Ce n'était pas comme si vivre dans un hôtel était commun. Perdue au milieu d'une centaine de chambres, leur suite n'avait aucune visibilité particulière, au contraire. Un camouflage parfait. Ou presque. De toute évidence, leur habitation n'était pas aussi invisible que ça. Quand Honey se décida à ouvrir la porte, l'éclat de son sourire trahissait une certaine incertitude. « Bonjour ? » C'était stupide. Non, pire. C'était de la paranoïa à l'état pur, un mauvais tour d'une imagination qui s'emballait trop vite et trop loin. C'était plus fort qu'elle. Depuis que la menace des chasseurs s'était révélée à eux, Aiko redoublait de prudence. Par chance, son comportement ou ses paroles n'avaient jamais attiré l'attention. Là où un ancien animal pouvait éprouver certaines difficultés à s'adapter à son nouveau corps, Honey, elle, était restée la même. Les sourcils s'arquaient seulement face à l’évidente dissonance entre son prénom japonais et ses origines hispaniques. On trouvait ça bizarre. Amusant. Insolite. C’était déjà trop. Pour elle, tout comme pour ceux issues des mondes Disney, porter la marque de l’étrangeté, c’était s’exposer. Calmes toi Honey, tu vas trop loin. « Je peux vous aider Madame ? » Après tout, elle n’avait aucune raison de s’inquiéter. Doucement, elle abandonna ses angoisses pour se laisser envahir par son optimisme naturel. Peut-être avait-elle affaire à une vendeuse, ou bien une fidèle d’elle ne savait quelle religion, venue prêcher la bonne parole. Une œillade à sa tenue suffit à écarter cette idée. Non. Elle avait rarement vu de croyante zélée arborant un maquillage si soigné. « Vous n'êtes pas une cliente de l’hôtel ou je me trompe ? » Osa-t-elle finalement demander. Une manière comme une autre d’en savoir plus sur cette mystérieuse inconnue.
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Mer 10 Oct 2018 - 18:58

 ❝ Take it easy for a little while come and stay with us ❞







Maëva & Aiko


Bon… L’attente commençait à se faire longue… Maëva se mit alors à scruter la porte. Une grande porte en bois, solide. De petites traces noires laissaient penser qu’elle était légèrement usée au niveau des gongs. On pouvait aussi voir des traces de griffures au bas de la porte. Sans doute à cause d’un chien ? Qu’elle idée d’apporter son chien à l’hôtel. La rousse sortie de ses pensées quand elle entendit du bruit derrière la porte. Elle évita vite la possibilité qu’il sagisse d’un animal à cause des pas lourds qui s’approchaient de la porte. Elle entendit le cliquetis du judas de la porte qui se soulevait. Quelqu’un regardait à travers en ce moment même. Alors la rousse prit une mine décontractée et fit un léger, très léger sourire.

La porte s’ouvrit et une grande blonde apparue. C’était Aiko ! Maëva avait frappé à la bonne porte ! « Bonjour ? » Elle semblait gentille… Totalement ordinaire, mais gentille. Elle ne ressemblait pas du tout à un génie des sciences. La chasseuse avait imaginé une petite nana à lunette, un peu boutonneuse, une vraie nerd ! Et voilà qu’elle se retrouvait devant ce qui semblait plutôt ressembler à une fashionista. « Bonjour » répondit à son tour la rouquine. C’était sans doute un peu gênant, Maëva été resté quelques secondes à dévisager la blonde. « Je peux vous aider Madame ? » Oui ! Pensa la jeune femme tout bas. Mais elle n’eut pas le temps de répondre, une autre question sortait de la bouche de la jolie blonde. « Vous n'êtes pas une cliente de l’hôtel ou je me trompe ? » Non j’ai pas vraiment les moyens de vivre à l’hôtel moi…

La rouquine hocha la tête, et commença ses explications. « Non en effet, j’ai demandé au réceptionniste le numéro de votre appartement et il me l’a indiqué. J’espère que ca ne vous pose pas de problèmes. Je me présente, Maëva Montrose ! » Dit la rousse en tendant la main pour saluer Aiko. « À vrai dire c’est vous que je cherchais, personnellement. J’ai un travail à vous proposer ! » Parler ainsi sur le pas de la porte était assez étrange, mais Maëva n’avait toujours pas été invité à entrer. Elle décida donc d’attirer la curiosité de la jeune blonde afin qu’elle l’invite. Continuer cette discussion sur un canapé avec un petit café serait bien évidemment plus agréable. « J’ai rencontré un de vos profs de l’université ! Il n’a fait que vanter vos mérites et d’après lui, vous êtres la personne parfaite pour mon entreprise ! » C’était faux, mais Maëva était forte en baragouinage. « Je me suis donc permis de lui demander votre adresse et il a accepté de me la donner. Du coup, me voilà ! » C’était gênant… La rouquine avait horreur de frapper aux portes des gens comme ça, si ce n’était pas pour mettre un point dans la tronche de celui qui ouvrait…


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Sam 27 Oct 2018 - 21:36
Take it easy for a little while, come and stay with us
Maëva & Honey
If you stand for nothing what will you fall for ?

Découvrir un nouveau visage, en détailler les traits, le tout sans dévisager la personne en face. Un art que cette inconnue maîtrisait mal, de toute évidence. La jeune femme ne laissa aucun malaise voiler son sourire. Avec ses vêtements et sa taille doublée par de véritables échasses, Honey était habituée à faire tourner les têtes sur son passage. Cette attention ne l'avait jamais dérangée, bien au contraire. Son apparence, c'était sa vitrine, un véritable outil de communication et un excellent moyen d'entamer une conversation. Pas aujourd'hui. Cette femme n'avait pas l'air d'être ici pour vanter ses talents de couturière ou passer une commande. « Non en effet, j'ai demandé au réceptionniste le numéro de votre appartement et il me l'a indiqué. » Ça ne lui plaisait pas. Honey avait beau rire de sa paranoïa, savoir que l'adresse qu'elle partageait avec Clémence était aussi facilement accessible plongea son cœur dans de nouvelles inquiétudes. Malgré la voix moqueuse de sa raison, elle imaginait le pire, se laissait corrompre par les murmures de la psychose. Par chance, Honey savait prendre en main son stress et ses doutes, ce fut donc avec le plus grand naturel qu'elle serra la main de la rousse en camouflant du mieux qu'elle le pouvait son étonnement.« Un travail ? Pour moi ? » C'était sérieux ? Si Honey n'avait aucune idée de qui se trouvait en face d'elle, Maeva, en revanche, la connaissait, ou du moins, la reconnaissait. Mais d'où ? « Comment-est-ce que… » « J'ai rencontré un de vos profs de l'université ! Il n'a fait que vanter vos mérites et d'après lui, vous êtes la personne parfaite pour mon entreprise ! » « Quoi ? » Le mot lui glissa des lèvres malgré elle, renfermant en un son toute la surprise d'Aiko. Ça n'avait aucun sens. Cela faisait une éternité qu'elle n'avait pas remis les pieds sur un campus, une réalité qui ne manquait jamais de la faire sombrer dans les regrets. Le souvenir de sa vie étudiante, c'était un joyeux amas de rêves oubliés, de passions délaissé et de projets inachevés. Ce chapitre, elle l'avait laissé en suspend, incapable de le fermer complètement. Évidemment qu'entendre de telles paroles dans la bouche de cette Maëva la laissa confuse. « À l'université ? » Difficile de cacher sa surprise, elle déteignait sur son ton. Cette femme devait s'être trompée. Oui, il s'agissait là d'un simple malentendu. Une mise au clair, et chacune repartirait à ses occupations. « Je crois que…» commença-t-elle, hésitante. « Je me suis donc permis de lui demander votre adresse et il a accepté de me la donner. Du coup, me voilà ! » Honey resta interdite. Non, décidément, quelque chose n'allait pas. Le discours de cette femme enchaînait les fausses notes pour lui servir une mélodie cohérente, mais douteuse. Froncement de sourcils. Il s'agissait là plus qu'un simple quiproquo : cette femme lui mentait.

Elle aurait dû la congédier, rentrer chez elle et oublier cette rencontre. Pourtant, Honey ne bougea pas, perdue dans une réflexion effrénée. Il fallait penser, et vite. Cette femme mentait, certes, mais pourquoi ? La confronter à ses mensonges, lui claquer la porte au nez, c'était risquer de ne jamais connaître la vérité déguisée derrière cette tromperie. Une option que sa curiosité naturelle ne lui permettait pas. Honey, depuis toute petite, elle avait toujours eu ce besoin pressant de savoir. Par le biais de la chimie, elle avait tenté de comprendre le monde, de gratter la surface pour saisir sa véritable essence ; La tête toujours pleine de questions, jamais elle n'avait cessé de courir après des réponses. Alors, plutôt que tourner le dos à cette femme, Honey décida de sauter dans son mensonge : « Donc… Vous êtes en train de me dire que… Monsieur Cerventez vous a parlé de moi ? » Cerventez, le premier nom de famille à lui passer par la tête. C'était un geste à la moralité douteuse, Aiko en avait conscience, mais elle était d'avis que, dans cette situation, la fin justifiait les moyens. Sûrement que Maëva ne lui mentait pas sans raison. En savoir plus sur cette femme et l'emploi qu'elle avait à lui proposer, c'était tout ce qu'elle voulait. Rien ne l'empêcherait de refuser son offre à la fin de leur discussion. « Oh, entrez en fait, ça sera plus agréable de parler à l'intérieur. » Honey s'écarta et laissa l'inconnue entrer dans la pièce ouverte qui servait à la fois de salon, salle à manger et cuisine. « Asseyez-vous, je vous en prie. Vous voulez boire quelque chose ? J'ai du thé et du café. » Et tout en se dirigeant de l'autre côté du canapé pour mettre de l'eau à bouillir et sortir les tasses, elle continua : « Je n’arrive pas à croire qu'on vous ait parlé de moi ! » C'était étrange, presque contre sa nature, d'agir ainsi, de feindre l'enthousiasme, voire de manipuler. Dans sa poitrine, son cœur se déchaînait. Honey ne savait pas vraiment ce qu'elle redoutait tant en s'enfonçant toujours un peu plus dans le mensonge, après tout, cette femme ne pouvait pas avoir l'audace de venir lui proposer quelque chose d'illégal… N'est-ce pas ? Cette hypothèse s'imposait pourtant de plus en plus à elle, tandis qu'elle préparait son plateau de service à thé. Tasses, biscuits, thé, café… Dans le cas contraire, pourquoi lui aurait-elle menti ? Soucieuse de ne pas rester trop longtemps plongée dans un silence suspect, elle enchaîna, la bouche sèche : « Il vous a parlé de ma formule pour la fracture chimique du métal, n'est-ce pas. C'est mon plus grand projet. » Bien sûr que non. Honey n’attendait d’ailleurs aucune réponse, seulement, placer un terme un peu technique dans la conversation ne pouvait que brouiller les pistes en alimentant à la fois son propre mensonge et celui de l’inconnue. Sur la bouilloire, un voyant rouge s’alluma. Honey l’apporta jusqu’au salon avant de tourner une nouvelle fois le dos à son invité. « Vous êtes sûre que c’est moi que vous cherchez ? Aiko Myiazaki ? Parce que… personne… Enfin, mon professeur ne vous a jamais mentionné, ni vous, ni votre entreprise… »  Demanda-t-elle en déposant cette fois ci son plateau sur la table basse. « Qu’est-ce que je vous sers ? » Sourire. C’était presque facile, de cacher l’agitation de ses pensées derrière un masque de politesse. Car en elle, tout bouillonnait d’impatience et d’incertitude.
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