Elle aime la musique, la peinture, la nature aussi. Sa couleur préféré est le jaune, aime le sport en lien avec les animaux comme l'équitation ou l'escalade, la randonnée et le kayak. Amoureuse des sciences aussi. Mais son plus grand amour, reste sa fille Poppy qu'elle chérie plus que tout. Elle aime aussi la lecture, que ce soit des romans ou des livres de science et de philosophie. Sinon, elle ne regarde pas trop la télé, n'aime pas comportements qu'elle peut juger immature, la violence gratuite, qu'on porte du tord à sa famille, l'alcool et autres activités qu'elle juge avilissantes etc.
PLUS GRANDE PEUR :
Qu'un malheur touche sa fille. Sinon les serpents et les clowns.
SIGNES PARTICULIERS :
Une tâche de naissance derrière l'épaule gauche sinon rien.
GROUPE :
In any books
CÉLÉBRITÉ :
Amanda Tapping
LE PORTAIL :
Londres grâce au train
CREDIT IMAGE :
Image de google retouché par mes soins ;)
Carac
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Dossier personnel de Moïra Macsilwood : Evaluation psychologique
Il ne fait aucun doute que mademoiselle Moïra Macsilwood soit considérée comme très intelligente. Si ce n’est surdouée. Ayant mené à bien ses études en psychologie, Macsilwood démontra un fort intérêt pour les sciences en tout genre, en particulier les sciences humaines. Femme à l’écoute, patiente et dévouée, si elle a choisi ce corps de métier, en plus de la curiosité scientifique, ce fut avant tout par une forme d’altruisme. Une envie de venir en aide à son prochain, et étant convaincue que l’écoute et la discussion, peut venir à bouts des plus grands maux de notre société. Elle présente d’ailleurs bien souvent une thèse sur le sujet, qui évolue chaque année.
De plus, Moïra est une femme très cultivée. Amoureuse de la littérature, elle voue un grand culte à la connaissance livresque. Que ce soit une encyclopédie, un livre de philosophie, d’Histoire, de politique… Elle le dévorera en un temps records. Même ceux de genre fictionnel peut l’intéresser. D’ailleurs, elle possède la collection complète de Jules Verne en vieille édition. Et ce qui peut aussi impressionner, est sa philosophie d’un esprit sain dans un corps sain. En effet, mademoiselle Macsilwood prend soin de son corps, ayant un régime alimentaire très équilibré, faisant que rarement des folies, et entretenant sa santé par l’exercice. Son hobby est l’équitation, pratiquant le plus possible. Mais elle sait aussi se défendre, pratiquant quelques techniques de défense au corps-à-corps.
Pour beaucoup, Moïra incarnerait la femme parfaite, intelligente, indépendante et arborant une image forte. Pourtant, certaines choses semblent ternir son profil. Notamment sur le plan social, ce qui peut paraître ironique. En effet, Moïra Macsilwood semblerait avoir quelques difficultés sur le plan relationnel. La faute semblant être du fait, que la femme est quelques difficultés à distinguer son rôle de psychologue, à celui d’amie, de fille et de mère. Il semblerait que son addiction très professionnel et soutenu, puisse exaspérer de nombreuses personnes et être mal interpréter. Nous pouvons aussi ajouter qu’elle possède un état d’esprit assez cartésien. Pour elle, beaucoup de choses peuvent s’expliquer par la science, la logique… Ce qui peut lui donner une image de femme à l’esprit fermé, et faisant ouvrir des débats pouvant être mouvementé.
Toutefois, ce serait une erreur de penser que Moïra puisse être quelqu’un d’associable, froide et manquant d’empathie. En réalité, ce serait tout le contraire. Macsilwood peut avoir du mal à exprimer de façon clair ses sentiments, mais on peut très bien voir et comprendre, qu’elle éprouve un immense attachement auprès de sa famille et de ses amies. Dévouée comme dit plutôt, elle se battra corps et âmes pour ceux qu’elle aime. Si un de ses proches se retrouvait en danger, le docteur Macsilwood peut devenir quelqu’un de froide, voir même « d’impitoyable » envers ceux manquant de respect ou tentant au bien être de ses proches. Concernant sa fille Poppy, nous pouvons utiliser l’image suivante « C’est son univers, sa vie. » Sa plus grande fierté, dont elle risque de surprotéger. Mère attentive, elle fera tout pour le bien de sa progéniture. Même si parfois, il peut lui arriver de tomber à côté, et ne pas toujours savoir comment faire avec elle. Mais ses sentiments envers elle, ne sont plus à prouver.
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Dim 16 Juin 2019 - 17:45
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« Le monde n'ira mieux que si on tend la main. »
Dossier Personnel : Suivi
Née en Écosse, dans la ville de Wick, Moïra est originaire d’une famille simple, spécialisée dans l’élevage de vaches highland. À noter toutefois, que le niveau de vie des MacSilwood était plus que convenable, assurant ainsi à la jeune fille, un cadre de vie idéal et un soutien pour son avenir. Durant son enfance, Moïra connaîtra une vie plutôt paisible, à l’abri de la plupart des maux de notre société. D’ailleurs, elle entretiendra une parfaite entente avec ses enfants. Peu de cas de rébellion rapportés, et encore moins de « mauvais coup ». En effet, Moïra restera une jeune personne sage, maturité précoce, et très poser. D’ailleurs, plusieurs de ses professeurs souligneront à quel point elle était en avance sur ceux de son âge. Très bonne élève, tout le monde lui prédisait un merveilleux avenir. Toutefois, là où il y avait un point noir, fut la sociabilité. La jeune MacSilwood n’était pas quelqu’un de froid ni même d’associable. Au contraire, elle cherchait toujours à s’approcher des autres, à nouer des liens. Hélas, les centres d’intérêt de la jeune fille dépassaient largement ceux, des gens de son âge. Souffrant de cette solitude, elle retrouva réconfort auprès de ses parents tant aimés, et dans la lecture, adorant agrandir son savoir.
Le patriarche de la famille, fut si fier de sa progéniture. Néanmoins, il fut bien peiné de savoir que sa fille ne reprendra jamais les affaires familiales. Elle ne l’avait pas refusé, mais l’homme savait qu’avec un tel potentiel, et même dut se faire violence pour l’admettre, son enfant ira loin. Bien plus qu’il ne l’aurait imaginé. Quoi qu’il en soit, il se sentait prêt avec son épouse, à la soutenir dans ses projets. Justement, Moïra fera part de son désir d’étudier les sciences. Bien qu’elle touchât un peu à tout, elle opta pour la psychologie. Les raisons étant qu’elle fut peinée envoyant les souffrances que se causaient les gens, mais aussi, par l’idéologie que tout pouvait se régler par une discussion, un échange. Sans doute que, inconsciemment peut-être, cherchait-elle à se comprendre elle-même, savoir pourquoi elle fut condamnée à cette forme de solitude et d’incompréhension vis-à-vis des autres et donc, de se « soigner » en même temps que les autres. Ceci risquait fort de rester un mystère.
Son choix se porta sur la ville de Londres pour poursuivre ses études. Là-bas, on faisait briller l’image élitiste de la connaissance et de la modernité. Et heureusement pour elle, elle fut acceptée avec plaisir. Ce fut ainsi qu’elle quitta sa famille. Non sans marques, car cette première véritable séparation, l’aura chamboulé pendant un moment. Arrivée à la capitale britannique, ses parents voudront la soutenir en lui envoyant de l’argent. Cependant, Moïra voulait gagner son indépendance, prouver à tous, mais à elle-même surtout, qu’elle pouvant se débrouiller seule. Ainsi, elle effectua quelques petits boulots à côté de ses études. C’était bien une nouvelle vie pour elle, mais elle ne se doutait pas, jusqu’où son existence allait tourner…
Vers la fin de ses études, tout allait changer. Pour sa plus grande joie, Moïra aura fait quelques rencontres intéressantes et se sera liée d’amitié avec des gens du milieu. Quand enfin elle obtenait le diplôme tant souhaité, ses mêmes camarades parviendront avec beaucoup d’effort, à la convaincre de fêter cela « comme il se le devait. » Au départ sceptique, la jeune diplômée accepta. De plus, on voulait lui offrir un poste dans un centre psychologique dans Londres même. Alors, elle se rendit à cette soirée. Ce fut à cet instant, qu’elle le rencontra. Elle ne savait pas grand-chose de lui, si ce n’était son nom. Et l’ambiance encourageait à aller plus loin. Ayant baissé sa garde, Moïra aura noué une relation intime avec cet homme dont le nom serait Ian O’Connell. Le regrettait-elle ? Pensait-elle avoir fait une bêtise ? Voici les questions qu’elle se posait. Et espérant trouver une réponse, une voie à sa situation, elle continua à le fréquenter quelque temps, afin de mieux le connaître.
Cependant, la jeune femme découvrira très rapidement qu’elle attendait un enfant. Surprise, et surtout chambouler, ne savant plus trop quoi faire, elle pensait en parler à son compagnon dans l’espoir de fonder une famille stable. Malheureusement, elle comprit rapidement que cet homme n’était pas ce qu’elle imaginait. Le surprenant dans des états furieux, voir violent, elle avait peur pour elle et son enfant. Fort heureusement, Ian ne porta jamais la main sur elle. Mais le voyant s'adonner aux conflits physiques dans des bars, et adopter un comportement qu'elle jugea dangereux et idiot, l'encouragea à prendre une décision radicale. Ainsi, elle garda le secret et choisit de s’éloigner de monsieur O’Connell. Menant sa grossesse à terme, elle dut jongler entre sa vie professionnelle et maternelle. Mais, la situation devenant de plus en plus compliqué pour elle, n’ayant pas beaucoup d’argent et ne pouvant pas rester pleinement concentré dans son nouveau métier, un changement s’imposé. Elle du quitter son emploi, et prit le projet de retourner dans sa ville natale, afin d’élever son enfant du nom de Poppy chez ses parents. On l’informa alors, qu’un psychologue avait prit sa retraite là-bas et pourrait récupère le poste. Chose qu’elle fit sans se faire demander.
Malgré cela, le retour aux sources ne fut pas de tout repos. Déjà, l’ambiance à la maison s’était quelque peu dégradée. Ses parents, étaient à la fois inquiet pour leurs enfants, mais aussi, ne pouvaient s’empêcher de faire des reproches. Fort heureusement, Poppy avait le don de calmer les choses et refaire sourire ses grands-parents. Pendant cinq ans, Moïra œuvra dans sa ville. Mais se sentant étouffer, elle rechercha la liberté qu’elle avait dans ses jeunes années. L’occasion semblait se présenter. Le cabinet allait fermer, et Moïra put en ouvrir un nouveau à Londres. Cependant, cela incluait de laisser son enfant chez ses parents. Un sacrifice difficile à prendre, la jeune mère ne voulant l’abandonner. Elle fit la promesse de revenir la chercher quand sa situation se sera améliorée. Entre temps, Moïra viendra lui rendre visite à chacun de ses jours de repos. Congés, vacances, fêtes… Chaque seconde libre était pour elle.
Poppy venait d’avoir huit ans quand enfin elle put vivre pleinement avec sa mère. Cette dernière avait assuré un cabinet pleinement fonctionnel, lui assurant un bon train de vie. Sans perdre une seconde, elle alla la récupère pour qu’elle vienne vivre avec elle. Toutefois, la vie à la maison n’est pas si évidente. Moïra s’obtienne à garder secret l’identité du père de son enfant, pour son bien selon elle. Et ne pouvant être pleinement présente, l’enfant était parfois gardé par une nourrice.
Moïra retrouvera goût à l’amour auprès d’un homme, visiblement français. Ils vivront une belle idylle jusqu’à devenir fiancée. De plus, il s’entendait très bien avec Poppy. Le trio formait une famille stable et heureuse, tout ce que voulait Moïra. Cependant, le destin semblait être capricieux. Car un jour, le fiancé laissa une bien étrange lettre. Il annoncer qu’il devait aider des proches, des amis qui avaient des problèmes. Il devait donc partir, promettant de revenir au plus vite une fois cette histoire réglée. Mais… Aucune nouvelle depuis. Cet incident aura bouleversé Moïra, mais voulant être forte et un soutien pour sa fille comme le fut ses parents, elle refoula tout en elle. Toutefois, on sentait quelque chose avait changer en Moïra…
Poppy MacSilwood
Faith, trust and pixie dust
PHOTO D'IDENTITE :
DESSIN ANIME D'ORIGINE : None
ÂGE DU PERSONNAGE : 22 ans
COTE COEUR : Un merveilleux cauchemar
OCCUPATION : Violoncelliste - Elève à la Royal Academy of Music de Londres
Je te souhaite officiellement la bienvenue sur le forum ! Bon courage pour ta fiche, j'ai hâte de découvrir ton personnage Tu sais déjà où nous trouver si jamais tu as une question !
Mallymkun DeLoir
Le courage ne se mesure pas à la taille!
PHOTO D'IDENTITE :
DESSIN ANIME D'ORIGINE : Alice au pays des merveilles
ÂGE DU PERSONNAGE : 37 ans chez les humains
COTE COEUR : c'est compliqué, Je l'aime, mais lui, m'aime-t-il?
Bienvenue dans la belle famille de NMHE ! Nous sommes très heureux de te compter parmi nous et nous souhaitons que tu t’amuses en notre compagnie !
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