Le nez levé vers le ciel, il prend le temps de savourer l’illusion. L’arôme de la terre humide, la mélodie monotone de l’eau et les protestations enthousiaste des volatiles habitués à des touristes plus généreux en pain sec. Un bref interlude avant de replonger dans l’effervescence des rues londoniennes. Bien sûr, à quelques mètres, quelques carrés de pelouses et une clôture plus loin, les relents des odeurs de la villes et des bruits du trafic, sont encore bien présents et pourtant, pourtant, il se délecte de cet instant de répit. C’est bien loin d’être assez pour lui rappeler Sherwood mais il a appris à s’en contenter, Robin. Il a connu mieux, ailleurs, à l’epoque où il s’était mis en tête d’explorer un peu ce monde dans l’espoir d’y retrouver celle pour qui sont cœur bat toujours malgré tout ou l’un de ses anciens compagnons. De vrais arbres, de vrais forets. Puis il s’est résigné, puis il a cessé de chercher et Hyde Park est devenu le coin de verdure le plus vaste de son petit univers. Et ici, debout, les paupières baissées, le menton tendu vers le soleil, il vient comme à son habitude laisser filer un long soupire las, le rouquin, dans l’espoir de chasser toute sa mélancolie avec l’air que contenaient ses poumons. Seulement, vous vous en doutez, le spleen est tenace, bien ancré dans son être et fermement décidé à ne pas se faire déloger si aisément. Ainsi le second soupire est plus mince, il s’échappe par dépit, comme un abandon temporaire face à un adversaire coriace.
Mais lorsqu’il trouve sa place, Robin, sous cet arbre tordu un peu à l’écart, lorsqu’il s’installe confortablement, le dos contre l’écorce, il reprend le meme schéma que les fois précédentes. Comme un rituel, une routine à laquelle il ne veut pas déroger. Et s’il esquisse, à l’attention du couple qui piquenique un peu plus loin, un rictus qui se veut aimable mais qui trahi sans doute une pointe de jalousie, c’est bel et bien parce qu’il sait que tout ceci n’a aucun sens, aucun intérêt autre que son envie de plonger un peu dans ses souvenirs. Torture qu’il s’impose de crainte de finir par oublier. Le regard dans le vague, l’esprit vagabondant déjà quelques années en arrières, il fouille d’une main distraite le sac en papier qu’il a posé à sa droite en s’asseyant, l’éventrant au passage. D’autres aromes, plus exotiques, plus grisantes peut etre, se mêlent à celles qui l’entourent. Il en rirait presque, de constater que les épices sont une des choses qu’il apprécie dans ce monde. Il en rirait s’il avait le cœur à ça. Pour l’heure, il se contente de baisser les yeux vers la boite de pilons de poulets marinés qu’il tient entre les mains, un sourire absent aux lèvres. En plus des beignets qui s’y trouvent toujours, le sac en contenait deux autres, des boites comme celles-ci. Deux autres qu’il a laissées aux deux hommes qu’il a vu mendier sur Trafalgar square. C’est plus fort que lui. Il est généreux, Robin, surtout avec l’argent des autres. Et s’il a déjà oublié à qui il avait pris les quelques billets qui ont payé sa commande, il a encore à l’esprit les visages radieux des deux pauvres âmes à qui il a remplit l’estomac.
Et quand il mord enfin à pleine dents dans la viande grasse qui lui mettait l’eau à la bouche, il se laisse aller à imaginer un festin. Un vrai. A nouveau, il ferme les yeux, fantasme les silhouettes familières qui lui manquent cruellement, la chaleureuse ambiance de cette clairière, les voix et les rires. Et entre deux bouchées, il fredonne, le rouquin, il fredonne de concert avec une mélodie qui ne resonne plus que dans ses souvenirs. Une mélodie qui pourtant lui revient aussi clairement que le bruit du vent dans le feuillage de l’arbre bien réel dans son dos, ou le froissement distinct de ce qu’il reste du sac à ses côtés. A ce bruit-là, notre filou arque un sourcil, retenant l’envie qui le démange pourtant de lorgner l’intrus. Et si le mince rictus amusé qui vient déformer ses traits s’accompagne d’une brève lueur malicieuse dans le coin de ses yeux, c’est qu’il préfère laisser à l’original qui pense pouvoir le voler lui, ô ironie suprême, l’occasion de se faire prendre.. la main dans le sac. Et quand il est sur de lui, à cet instant seulement, il tend le bras brusquement, saisissant ferment mais sans dommage, le poignet du voleur de beignet. Ses doigts se referment sur un avant-bras fin, enfantin presque, l’incitant à pivoter enfin vers l’intru, surpris de découvrir une demoiselle en guise de coupable. Un instant quoi, un peu perplexe, il retrouve finalement sa prestance, Robin, juste assez pour remettre une dose d’ironie à cette situation saugrenue.« Hey ! On ne t’a jamais appris qu’il était fort impoli de se servir dans les affaires des autres sans leur consentement ? »Le ton est sec, quoi que tinté d'un certain amusement. Ce n’est pas qu’il ne lui aurait pas cédé ce maudit beignet si elle l’avait demandé, c’est simplement une question de principe, vous voyez : on ne vole pas un voleur.
Balais Poussière
Dada says I'm special
PHOTO D'IDENTITE :
DESSIN ANIME D'ORIGINE : Fantasia !
ÂGE DU PERSONNAGE : Bientôt 2 ans, mais Dada veux que je réponde 30 ans.
COTE COEUR : Son visage maternelle favorie, Dayhun Kang <3
OCCUPATION : Être un Balais. Je fais le ménage chez Moira maintenant ! Je brise parfois des trucs, mais elle dit que ça va.
LOCALISATION : Londres. Anciennement à l'institut, elle vie désormais chez Dayhun.
HUMEUR : Souriante, charmante, enjouée.
COULEUR PAROLE : Orange, comme les petites chatons mignons
PRESENCE/ABSENCE : 4 on 4 off, pas disponible pour rp
DOUBLES COMPTES : Stram / Noëlle / Kaa
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Kang Seul-Gi
MON ARRIVÉE : 25/12/2017
MON VOYAGE : 349
POINTS : 479
Sam 12 Oct 2019 - 9:00
SWEET TOOTH, SWEET THIEF Robin + Balais Balais en vol••• ( de beignet ) Aujourd’hui il pleuvait ! Alors ce fut heureuse que la jeune chinoise s'était réveiller elle était aller sauter dans le lit de Dada qui dormais pour lui faire un gros câlin et une bise sur la joue, car Dada lui avait dit que s'était important de montrer aux gens qu'on apprécier de l'affection et elle apprécier beaucoup l'ambulancière. Ensuite, elle avait décider d'aller jouer dans les flaques d'eau. Balais aime la pluie, car la pluie veut dire que c’est la fête à la tortue, et les fêtes c’est amusant! Elle avait donc mis son imperméable a capuche rouge par-dessus son pyjama le matin, avec le grand espoir que Dada la laisserait aller dehors. A sa grande déception, ce n’était pas ce qui était arriver. Dayhun lui avait rapidement dit qu’elle n’irait pas dehors aujourd’hui, sinon elle tomberait encore malade et qu’elle n’avait pas aimer être malade la dernière fois, alors si elle ne voulait pas avoir à recommencer tous ce temps au lit avec le nez qui coule et la gorge qui fait mal, elle devait rester à l’intérieur pour la journée. Merlin que Balais se souvenait de la fois ou elle avait été malade, que de souffrance. Presque aussi pire que le jour ou elle avait été découpée à coup de hache.
Elle avait donc décider de rester à l’intérieur et après quelques minutes de négociation avec Dayday, elle avait même réussi à pouvoir garder son imperméable a l’intérieur de la maison. Elle s’amusa donc à marcher en bougeant les bras dans le salon, car ça faisait des bruits de plastique qui plie et Balais trouvais cela très amusant. L’ambulancière du lui laisser un bon 20 minutes à tourner en rond dans le salon avant de lui dire qu’il était temps de mettre des vrais vêtements et de retirer l’imperméable. Bien que triste d’entendre cela, ce fut sans se plaindre que Balais se rendit dans sa chambre pour mettre les vêtements que Dada lui avait préparer. Ensuite, l'ambulancière lui fit deux tresses de chaque côté et elle était prête pour la journée !
Dada était toujours très aux soins avec elle et Sun la voyait comme le visage maternel qu’elle n’avait jamais eu… oh. Est-ce que ça voulait dire que Mickey Mouse serait son père ? Elle devrait y réfléchir… peut-être même qu’elle devrait le demander à Dada en fait… Bref! Vêtements ! Ce fut donc après un long moment et plusieurs tentatives, que la petite Balais parvint à avoir tous ses vêtements sur le dos et dans le bon sens. Elle avait un pantalon de jeans bleu, un t-shirt et par-dessus ce dernier un coton ouaté de type « crewneck » jaune pâle sur le dos.
Elle retourna donc au salon, ou l’un de ses émissions préférer jouait, Dora! Elle l’écouta un moment se balançant sur le divan de gauche à droite. Après un moment, elle réalisa que Dadayunnie faisait du ménage et Balais décida d’aider elle aussi ! Elle commença à nettoyer les plantes sur le bord de la fenêtre, enlevant la poussière de leurs feuilles et en lui disant des mots gentils, pour qu’elles poussent plus vite.
« Le vert vous va très bien madame plante. »
Puis, Dayhun se dirigea dans une autre pièce et Sun continua sa tâche, jusqu’à ce qu’elle sente une petite fringale. Elle se dirigea donc vers la salle à manger et oublia rapidement son appétit, lorsqu’elle vue la porte patio ouverte. Elle prit un petit papier et laissa un message pour Dada. Ne sachant pas écrire, elle fait un gros bonhomme sourire et un cœur. Elle remit son imperméable et enfila ses botte de pluie jaune, au cas où pleuvrait à nouveau plus tard, car il ne semblait plus avoir de pluie dehors sur le moment. Puis, elle prit le chemin de l’exterrieur. Ce qui créer un bruit aigue de ressors, puisqu’en fait, la porte n’était pas ouverte…
« Oops »
Murmura Balais en regardant la grille anti-moustique au sol… Elle la prise, la replaça contre la porte. Fière d’elle, elle prit la route vers son aventure de la journée ! Aujourd’hui, s’était-elle Dora ! Sunny l’aventurière. La petite asiatique marcha un bon moment, avant de se rappeler qu’elle avait une fringale. Sa quête serait donc de trouver de la nourriture ! C’est ainsi qu’elle finit par trouver… UN BEIGNE ! Elle s’approche de sa cible en gambadant, toute joyeuse d’être heureuse. Puis, elle prit le beignet dans sa main. Cependant, ce fut à ce moment, qu’elle sentie aussi une grosse main lui prendre le poignet. Oh non! Le beigne était un piège! Dada lui avait dit de faire attention dehors. Elle leva la tête vers un homme…
oh ses cheveux son orange comme un chaton! Balais allais le lui dire, lorsque l’homme coupa son éland lui disant d’un ton sec… « Hey ! On ne t’a jamais appris qu’il était fort impoli de se servir dans les affaires des autres sans leur consentement ? » Ce qui bien sûre eux l’effet immédiat de déclencher chez Balais sa réaction primaire à tous les gens qui était « méchant ». Elle eu une petite mou triste qui se format sur son visage et ses yeux se remplir d’eau. Elle répondit la voie tremblante, mais qui se volait donneuse de moral…
« Dadayunnie, elle dit que c’est pas gentil de ne pas partager. »
Puis, elle dégagea son poignet de la prise de l’homme et croisa les bras avant d’ajouter…
Smile, it is the key that fits the lock of everybody's heart.
Invité
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Dim 13 Oct 2019 - 4:20
Robin
&
Balais
Sweet tooth, sweet thief
Il se sait parfaitement hypocrite en cet instant, l’ancien hors la loi. Mais c’est plus fort que lui, froissé qu’il est dans son orgueil de s’être retrouvé ainsi la proie d’un voleur maladroit et peu discret. D’une voleuse en ce cas précis, plus vexant encore. Pas qu’il lui vienne des idées machistes, à notre rouquin, mais ces dames, il les a toujours pensées plus habiles, plus malignes aussi. Or celle-ci n’est rien de tout ça, elle s’est fait repérer, bruyante, piètre voleuse, et la chose en est plus vexante encore. Seulement, tandis qu’il s’apprête à la gourmander de plus belle, le voici qui se fige, qui arque plus haut encore les sourcils en écarquillant grand les yeux devant la moue qu’elle lui sert. Ce n’est pas une femme, c’est une grande gosse. Une grande gosse qui va fondre en larmes sans lâcher son butin pour autant. Seulement, Robin, piètre voleuse ou non, voir pleurer les yeux d’une femme ça le perturbe, ça réveille de vieux instinct qu’il avait cru oublié depuis longtemps. Et puisque la demoiselle marque un point on ne peut plus juste en citant une connaissance à elle et dont le nom semble inconnu à notre voleur, il est pris de court, comme captivé par la soudaine présence que la donzelle impose tout à coup. Ne pas partager ? Lui ? En voila de bien drôles idées. Elle ponctue en l’accusant de ne pas etre assez gentil pour elle et cette fois il ne peut retenir un ricanement nerveux devant la mine renfrognée de son interlocutrice.
En deux ans, il pensait avoir tout vu ou presque, le rouquin, il a aujourd’hui sous les yeux la preuve qu’il se trompait. Et lourdement par-dessus le marché. Des types s’enfuir en courant avec un sac arraché à une passante, des jeunes cavaler avec le maigre butin d’un téléphone Pris des mains d’un passant, même un ahuri qui a cru pouvoir s’enfuir d’une supérette en pleine rue et en plein jour. Mais des demoiselles qui fondent en larmes pour un beignets, jamais. Alors pour ne pas rester en reste, pour ne pas perdre la face définitivement devant ce brin de femme culotté, il bombe le torse, garde ce ton sec qu’il employait tantôt pour lui retourner ces accusations insensées.« Parce que tu trouves ça très gentil toi de priver un homme de dessert ? Hum ? »Mais sitôt ces paroles échappées, il les regrette déjà, se mordant la joue pour mieux se punir d’avoir encore une fois parlé sans réfléchir. C’est, voyez-vous, qu’il n’a pas la moindre intention de la pousser à pleurer pour de bon, Robin. Et à bien y songer, elle n’a pas tout à fait tort. Ainsi tout en s’essuyant brièvement les restes de poulets gras sur ce jean trop rêche qui est le sien, il laisse filer un soupire resigné. Partager, il n’a rien contre, bien au contraire, mais puisqu’il est l’offensé dans cette affaire, il se dit qu’il pourrait réclamer une contrepartie amplement méritée.
Ainsi, sans la lâcher des yeux pour s’assurer qu’elle ne fuit pas, il ramasse ce qu’il reste du sac éventré, la boite de beignets honteusement profanée avec, et les place devant lui avant de tapoter légèrement sur l’herbe à côté. Pas trop près de lui, pas trop près des restes de son repas non plus, il ne veut ni l’effrayer, ni l’encourager à se servir davantage. Il veut simplement qu’elle prenne place avec lui. Son ton se fait moins réprobateur, sa voix plus amicale. « Tu veux partager ? Soit. Partageons. Mon beignet contre quelques mots qu’est-ce que t’en dis ? »Lui qui rêvassait à un peu de compagnie, en voici qui lui tombe du ciel pour ainsi dire. Elle n’a certes rien à voir avec ces vieux amis dont il se langui chaque jour un peu plus mais faute de grives il est prêt à manger des merles, voir les pigeons peut ragoutant qui pullulent sur Trafalgar Square. Reste à voir si elle tient plus du merle fluet ou du pigeon rasoir. Ce vieil instinct chevaleresque qui n’a pourtant plus lieu d’être venant se joindre à ce sursaut d’orgueil qui le pousse à lui donner tort.« Qui sait, si j’apprécie la conversation, tu pourras peut etre repartir avec le reste de la boite…. »qu’il ajoute même, un rictus amusé au coin des lèvres. « Alors comme ça, on ne peut pas résister à l'odeur d'un beignet, hum? »
Balais Poussière
Dada says I'm special
PHOTO D'IDENTITE :
DESSIN ANIME D'ORIGINE : Fantasia !
ÂGE DU PERSONNAGE : Bientôt 2 ans, mais Dada veux que je réponde 30 ans.
COTE COEUR : Son visage maternelle favorie, Dayhun Kang <3
OCCUPATION : Être un Balais. Je fais le ménage chez Moira maintenant ! Je brise parfois des trucs, mais elle dit que ça va.
LOCALISATION : Londres. Anciennement à l'institut, elle vie désormais chez Dayhun.
HUMEUR : Souriante, charmante, enjouée.
COULEUR PAROLE : Orange, comme les petites chatons mignons
PRESENCE/ABSENCE : 4 on 4 off, pas disponible pour rp
C’est les bras croiser contre son butin et une moue boudeuse que le petit balai chinois faisait le moral à ce grand roux qui ne voulait pas partager ses sucreries. Elle avait des larmes aux yeux, mais s’était de colère tentait de se convaincre la pauvre jeune femme. Dadahyuni ne serait pas contente de ce monsieur, alors elle n’était pas contente non plus. Sans contrefaçon, ce monsieur n’avait pas reçu une bonne éducation de sa maman balai ! Comme disait Dada, c’était le souci avec ses gens de l’oxi-dent ? l’iusidon ? l’occident, ils n’avaient jamais appris à bien se conduire et ils étaient avare ! Balais n’avais aucune idée de ce que cela voulait dire, mais elle pouvait le constater aujourd’hui avec monsieur carotte.
Parfois elle se demandais ce qu’était un occident. A voir ce qui se tenait devant elle, cela devait vouloir dire grand. Ou encore, peut-être était-ce quelqu’un avec de mauvaises dents? Mais elle n’avait pas pu voir l’était de celle du méchant. Cependant ! Dada disait aussi que lorsqu’on rencontrait quelqu’un il fallait se faire réserver sur le jugement. Parfois on pouvait se tromper si l’on se faisait une idée trop rapidement. Parfois, écouter tous les conseils pouvait devenir un peu mêlant. Mais Sun se disait que s’était parce qu’à son arrivée, elle était un balai naissant. Elle avait encore tellement à apprendre, s’en était affolant. Mais elle y parviendrait avec le temps. Sinon s’était toujours sur sa nourriture que toute sa concentration se trouvait présentement. Les larmes aux coins de ses yeux reluisant.
Ouff toute cette réflexion et ses mots lui donnait mal à la tête ! Elle se demandais comme Dada faisait pour en savoir autant ! Elle devait être un vraiiiiiment vieux balai ! Balais, toujours les bras bien fermer autour de son trésor, vie le grand méchant bomber son torse. Oh…. Comme le grand méchant loup avant de s’en prendre aux moutons ! euh non… cochon ? Des lièvres ? Des vaches peut-être… Elle n’était plus vraiment certaine. Il lui aurait fallu une épingle, pour le vider de son air. Comme Dada avec les ballounes après une fête. Pop ! Pu d’air. Puis, plutôt que de souffler, le grand monsieur orange lui lança « Parce que tu trouves ça très gentil toi de priver un homme de dessert ? Hum ? » Déjà qu’elle avait répondu à son attaque précédente dans une presque murmure, cette fois si la voix lui manquait. Balais n’aimait pas se faire
Elle ne fit que baisser le regard sur ses bras protégeant son beigne, se demandais ce que Dada ferais, si elle était dans cette position. Peut-être qu’elle devrait lui rendre le beigne et trouver quelqu’un de plus gentils ? Quelqu’un comme Dada, qui lui donnerait en échange d’un simple sourire des biscuits ! D’ailleurs, Dada ne lui en avait pas donner aujourd’hui… Surement parce qu’avant d’avoir pu en recevoir elle avait fui… Oh s’était maintenant à se demande si elle sera punie. Oopsi… Dada lui avait déjà qu’avant de sortir il fallait l’avoir dit. Oh, mais elle avait un message en espérant que Day le voie avant minuit. Elle ne savait pas écrire, mais Dada, elle, était instruit. Elle saurait comprendre son message en graffiti. Ensuite, elle viendrait la chercher et lui donnerait des biscuit et des pâtisseries !
Or, pour le moment, la pauvre petite femme était toujours sous le regard terrifiant et menaçant du grand monsieur roux. Elle se demanda si elle serait capable de mettre le beigne RAPIDEMENT dans sa bouche et le mange. Elle l’avait fait une fois avec un crayon de cire que Dada voulait lui enlever, pour qu’elle ne le mange pas. Après, Dada lui avait pincé les joues jusqu’à ce qu’elle recrache le crayon… Puis la fois ou Balais avait échappée la saucisse de son hot dog au parc, Dada avait été très rapide et était parvenu à lui voler avant même qu’elle n’ait le temps de penser à la manger et l’avait jeté. Ce fut un triste jour… Elle n’avait pas envie de revivre ce moment de sa vie et encore moins avec le grand méchant orange.
Elle décida donc de garder ses bras croisés, en grande protection à la vie précieuse de ce petit beigne ! Puis le méchant géant lui dit, avec une voix étonnamment plus douce en tapotant le sol comme s’il voulait rendre l’herbe plat ; « Tu veux partager ? Soit. Partageons. Mon beignet contre quelques mots qu’est-ce que t’en dis ? ». Elle leva les yeux avec un regard méfiant. Elle n’était pas dupe ! Les gens de l’institut aussi faisait ce genre de coup parfois, être tout doux tout gentil et te volait ce que tu avais en main! Dada, elle, elle ne faisait pas semblant. Elle le disait si elle voulait ravoir quelque chose et comme elle était belle comme un ange la majorité du temps, Balais lui donnait et les autres fois, Dayhunnie devait usée de la force, mais elle n’utilisait pas la tromperie ! Ou du moins, Balais ne le remarquait pas avec la femme qu’elle admirait tant.
C’est donc méfiante qu’elle preta tout de même son attention au géant et hocha doucement la tête en signe d’acceptation, sans jamais relâcher sa prise sur le beigne. « Qui sait, si j’apprécie la conversation, tu pourras peut être repartir avec le reste de la boite…. »
« Okay! »
Lâcha le Balais, désormais toute souriante, sa méfiance bien effacer avec ses quelques mots, elle pourtant qui tenait dur comme faire à ne pas se faire avoir deux secondes auparavant, toute crainte disparue. Puis, elle prit position assise, à l’endroit ou l’homme avait taper le sol, puisque l’herbe étant rendu plate, ça devait être plus confortable. Cependant, en s’assoyant, la jeune femme échappa son beigne dans sa joie. Ce fut la panique a nouveau ! Elle sauta rapidement de côté pour récupérer le beigne avant que l’homme ne lui vole ! Il avait presque réussi à la piégé. Elle devait redoubler sa sécurité. Elle l’entendit à ce moment ajouté avec un sourire aux lèvres, puisqu’elle le fixait désormais, pour être sure qu’il ne tente pas à nouveau de la dupé « Alors comme ça, on ne peut pas résister à l'odeur d'un beignet, hum? »
« Les choses cool sentent pas toujours bon. Les chats ça pue des fois. »
Puis, elle vie la au sol ! Juste à l’endroit où elle avait échappé son beigne un peu plus tôt, de la poudre de son beigne sur l’herbe…. Oh non ! Il ne fallait pas la perdre. Elle se pencha rapidement, toujours assise au sol et lécha la poudre de beigne qui était sur le sol ! Mium. Le sucre blanc était toujours un vrai petit régal. Puis, elle se rappela qu’elle avait son beigne à surveiller! Zut ! Elle colla ses mains fermer à son visage, l’ouvrit un peu et avec un œil ouvert et l’autre fermer vérifia que son beigne était toujours caché entre ses mains. Une fois sa présence validée elle dit à l’homme avec un ton soulagée…
« Ouf, je pensais l’avoir perdu, mais il est encore là. » Puis, recollant le beigne à son torse elle demanda au monsieur « C’est après combien de mot que je peux le manger, car je suis rendu à beaucoup là ? »
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