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 :: RP Abandonnés
You've got a friend in me [Oliver]
Stram Shock
Stram Shock
that online ''friend'' your parents warned you about
Admine bad
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DESSIN ANIME D'ORIGINE : The nightmare before Christmas
ÂGE DU PERSONNAGE : 21 ans
COTE COEUR : La magnifique musicienne qu'elle a stalker pendant 2 ans avant de gagner son cœur. Poppy.
OCCUPATION : Traumatiser les autres enfants.
LOCALISATION : Londres.
HUMEUR : Malicious.
COULEUR PAROLE : #99cc66 (Vert)
PRESENCE/ABSENCE : Quand je peux !
DOUBLES COMPTES : Balais + Judy + Maui + Lorelei
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : By Thal ft. Taissa Farmiga
MON ARRIVÉE : 18/10/2019
MON VOYAGE : 194
POINTS : 179
Jeu 21 Nov 2019 - 10:41
You’ve got a friend in me.


Après être arrive dans un endroit ou vivre avec Sally, les deux s’étaient mis à la recherche d’une école pour Stram. Sally disait que si elle voulait bien s’intégrer à ce monde, il faudrait qu’elles y vivent comme faisait les autres enfants. Stram espérait que bien s’intégrer voulait aussi dire qu’elle ne resterait pas trop longtemps dans cet univers. Quoi que, elle avait pu réaliser avec grand plaisir que les enfants ici était très facile à apeurer et prenait un grand plaisir à se faire de nouveaux amis à travers tout le parc.

C’est donc un grand sourire aux lèvres, des cailloux dans son sac à deux et une petite couleuvre dans la pochette avant de ce même sac, que la jeune femme se rendit à sa nouvelle école ou Sally l’avait inscrite, probablement avec un âge approximatif. Elle portant un t-shirt noir et un pantalon de jeans. Sally ayant refusé qu’elle se rendre en classe avec un masque, son visage était malheureusement à découvert. Stram était déçu, car elle avait remarqué qu’un moyen ici de rendre les gens en situation de malaise et de peur, était de les approcher, du genre vraiment proche, sans dire un mot avec un masque. Aussi simple que cela !

Stram se rendit à l’accueil de l’école, comme Sally lui avait indiquer de faire en premier lieu. C’est là qu’on lui tendit son horaire de classe et qu’on lui expliqua le chemin pour se rendre à son premier cours. Une fois arrivée à la porte, Stram pu constater que tout le monde était déjà à leur place assise. L’enseignante annonça donc à la classe qu’ils auraient une nouvelle camarade pour le reste de l’année scolaire et lui demanda de se présenter en disant son nom, son âge, d’où elle vient et ses passions. Elle se mis donc devant la classe et avant de parler elle prit le temps de regarder tout le monde de droite à gauche.

« Bonjour, moi c’est Stram Shock, j’ai 11 ans et je viens de Halloween Town. Mes passions sont les araignées, les serpents, faires peur aux gens et Halloween. »

Une fois sa présentation terminée, elle fit un grand sourire a toute la classe. L’enseignante sembla un peu perturber par ses passions, mais le ne souligna pas plus qu’une courte hésitation avant de lui dire de prendre une des places qui était disponible dans la classe. Stram regarda à nouveau la classe, avant de trouver une place parfaite. Celle derrière le petit roux qui semblait déjà trembler à l’idée qu’elle décide de se rendre à bureau derrière le sien. Ce qu’elle fit avec une pure joie dans le regard et un sautillement dans ses pas. Une fois assise, elle prit le temps de sortie ses crayons d’halloween et son cahier de note avec un squelette et une citrouille sur le devant. Puis, elle se pencha vers l’avant pour dire au garçon…

« Je sens que toi et moi, on va devenir de bons amis, il faut que je remplace mes anciens amis, ils sont dans un autre monde eux. »

Codage par Libella sur Graphiorum

_________________

SHOCK
Stram
« Three of a kind. Birds of a feather. Lock , Shock , Barrel, Now and forever! »


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Invité
Anonymous
Invité
Ven 22 Nov 2019 - 20:37
You've got a friend in me
Oliver & Stram

I wander'd lonely as a cloud
That floats on high o'er vales and hills,
When all at once I saw a crowd,
A host of golden daffodils;
Beside the lake, beneath the trees,
Fluttering and dancing in the breeze.

Continuous as the stars that shine
And twinkle on the Milky Way,
They stretch'd in never-ending line
Along the margin of a bay:
Ten thousand saw I at a glance,
Tossing their heads in sprightly dance.


Ses prunelles glissaient inlassablement sur la page et ses quelques vers. Des yeux qui lisaient et une bouche silencieuse qui répétait. Encore et encore, jusqu'à ce que les mots perdent leur sens, usé par la répétition. Autour de lui, les bavardages, le décor d'une classe encore en pleine installation. Oliver lui s'était empressé de s'asseoir pour dégainer son cahier, grappiller de précieuses minutes de révisions. Sous la table, ses mains subissaient la torture imposée par son angoisse. Ses doigts écorchés s'entretuaient, les uns arrachant le peu de peau qu'il restait aux autres. Ils n'étaient pas les seuls à souffrir : son ventre aussi, était à l'agonie.

C'était aujourd'hui. Le passage au tableau. La récitation. Des jours qu'il avait le nez plongé entre ses lignes, des jours qu'il s'entraînait avec Clawd et Mally, des jours que son anxiété l'accablait de tout son poids. Oliver la portait sur la poitrine comme un vieux fardeau et dans ses pensées comme un conseiller nuisible. C'est bon, je connais par cœur. Comment tu le sais ? Parce que j'ai beaucoup travaillé avec Mally et Clawd. Mais Mally et Clawd ne sont pas là et tout le monde va t'observer et se moquer de toi, tu n'es pas prêt, tu ne vas pas y arriver. Il avait envie de vomir.

Cela n'empêcha pas le cours de commencer. « Ce matin, nous allons écouter quatre élèves nous réciter la poésie de la semaine dernière. » Elle parcourut sa liste. « Donc, Callum, Jessica, Oliver et Isabelle. Un volontaire pour commencer ? » Devant lui, Jessica leva la main. Il l'enviait, Oliver. L'enfant jalousait l'aisance avec laquelle elle se plaçait devant la salle, la fluidité de sa voix, la manière dont ses yeux se plantaient dans ceux de son public sans ciller. Deux minutes et ce fut fini. Tout avait l'air si facile. Mensonges. Rien ne l'était. Lui, était obligé de trajet mentalement son chemin, de planifier chacune de ses actions, véritable répétition générale sous son front.

Se lever. Marcher jusqu'au tableau. Regarder le mur d'en face, comme Mally l'avait dit. Respirer. Réciter. Se rasseoir. Il n'allait pas y arriver. Et s'il trébuchait ? Et s'il se trompait ? Et s'il commençait à pleurer ? Et s'il bégayait, au point de devenir incompréhensible ? Et s'il vomissait ? Oh, il allait vomir. Il fallait qu'il vomisse. La pression de son angoisse sur son estomac en faisait une nécessité. Lève la main et dit que tu dois aller à l'infirmerie. Lève la main !

La porte de la classe s'ouvrit, et il se ravisa aussitôt. Une fille venait d'entrer. « Oh, écoutez tout le monde ! Je vous présente votre nouvelle camarade ! » Murmure dans les rangs. Une nouvelle, ça faisait toujours causer. Même Oliver se surprit à échanger un regard curieux avec son voisin de table, Callum. Cependant, la brune mit rapidement fin aux bavardages en plongeant son jeune public dans la confusion. Aucun mot suite à sa présentation. Un silence pesant qui ne fut rompu que par un « What the fuck ? » à demi-murmuré. L'enseignante réagit immédiatement à ces mots profanes : « Qu'est-ce que j'entends ? Aidan ! C'est la quatrième fois cette semaine ! Tu m'apportes ton cahier de texte ! » Elle était bizarre, Stram. Aussi bizarre que son prénom. Une étrangeté effrayante. Oliver n'osait pas la regarder. Il n'eut pas besoin de cela pour deviner quelle place elle avait choisi.

Le bureau libre.
Juste derrière lui.

Oh, ce qu'il avait mal au ventre. Ce furent toutes ses entrailles qui se tordirent sous la crainte lorsqu'il sentit son souffle dans son cou. « Je sens que toi et moi, on va devenir de bons amis. » Hein ? Il en doutait. D'ailleurs, le rouquin n'était pas certain d'en avoir envie. Du tout. « Il faut que je remplace mes anciens amis, ils sont dans un autre monde eux. » Quoi ?! Il se retourna légèrement, Oliver, ses prunelles écarquillées par l'incompréhension et la peur. Est-ce-qu'il avait entendu correctement ? Venait-elle vraiment de lui parler d'un autre monde ? Était-elle folle, ou avait-il affaire à quelqu'un lui ressemblant ? Impossible de lui demander. Sa nervosité l'en empêchait. « Oliver ? » L'enfant tressaillit. « C'est ton tour. » Oh non.

Oh non. Respire. Inspire, expire et recommence. Elles lui semblèrent bien fragiles, ses jambes tandis qu'il s'avançait jusqu'au tableau, tremblantes, sur le point de lâcher à tout instant, tout comme son cœur. Oliver n'entendait plus que ça. Le marteau de son palpitant dans les oreilles, et les hurlements paniqués de ses pensées. Oh non. Oh non. Je vais pas y arriver. Je vais oublier. Je vais vomir. Il se retrouva devant tout le monde, sans savoir quoi faire de ses bras, de ses mains, à se remémorer une dernière fois le poème pour lui-même, affreusement muet.
Un, deux, trois. On y va.



Silence.



Néant.



Respire. Inspire, expire et recommence. « Allez Oliver, je sais que tu la connais. I wander'd… » Il répéta, sa voix tremblante. « I wandered… » Des yeux. Partout. Rivé sur lui. Lui et seulement lui. Il avait beau s'accrocher autant qu'il le pouvait au mur du fond, ça ne l'empêchait pas de les voir. De les sentir. La réalisation lui coupa le souffle. « … lonely as a c-c-cloud… » Non. Ça y est. Il avait bégayé. Ricanement étouffé. Au dernier rang, Alfie pouffait silencieusement, une main sur sa bouche hilare, tandis que son voisin Logan arborait un rictus moqueur. Aucun d'eux ne le lâchait du regard. Ni Alfie. Ni Logan. Ni la nouvelle. Oliver baissa aussitôt la tête pour fuir leurs prunelles perçantes. Le sol ne lui avait jamais semblé aussi amical. « That f-float… » Où était donc passé l'air ? Oliver le cherchait désespérément sans le trouver, incapable de répondre à la demande de son cœur effréné. N'oublie pas de respirer. Oh, il n'oubliait pas, au contraire, bien trop conscient de l'effort demandé pour chaque inspiration et expiration. « …v-vales and hills… » Sa voix s'effila, pour finalement n'être plus rien.

Un temps. Des secondes aux allures d'éternités. Le petit ne pouvait plus se résoudre à continuer. S'il ouvrait la bouche, il craignait de sentir les mots se briser sur ses lèvres et les larmes couler sur ses joues. Toutes ses forces étaient désormais mobilisées contre les émotions terribles qui le menaçaient. Son menton frissonnait. Lui aussi. Non. Il ne pouvait pas pleurer : il montrait déjà assez à tous à quel point il était nul. Malgré ses efforts, les pleurs avaient réussi à se frayer un chemin jusqu'à ses prunelles, Oliver devinait leur présence, à la frontière de ses cils. Ce fut son ami, qui acheva son calvaire en levant la main : « Madame ? Je peux passer à la place d'Oliver ? » Callum, son sauveur. Le rouquin aurait aimé relever des yeux chargés de reconnaissance vers lui, mais l'idée que l'on puisse surprendre ses iris humides le paralysa. « Tu peux aller t'asseoir Oliver, ce n'est pas grave. Tu viendras me voir tout à l'heure d'accord ? » D'accord. Ses pas le ramenèrent jusqu'à son bureau, sous le silence gêné de ses camarades. Là, il s'y rassit, passa deux mains sur ses yeux, un seul désir en tête : celui de disparaître.


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Stram Shock
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DOUBLES COMPTES : Balais + Judy + Maui + Lorelei
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : By Thal ft. Taissa Farmiga
MON ARRIVÉE : 18/10/2019
MON VOYAGE : 194
POINTS : 179
Lun 20 Jan 2020 - 6:39
You’ve got a friend in me.


« What the fuck » Voici les fameuses paroles qui suivirent la présentation de la jeune fille a sa nouvelle classe. Stram n’avait pas tenu plus qu’il ne le faut à devoir se rendre à l’école. Cependant, Sally lui avait bien fait comprendre qu’elle devrait y aller pour bien s’intégrer à ce nouveau monde, dans lequel elles étaient coincées. Ayant développée un certain respect et voir même une petite admiration pour Sally, dans ses derniers temps ici à voir comment la rouquine était calme et gérait bien la situation des Halloween Town coincée dans ce drôle d’univers. La sorcière avait donc décidé de suivre ses conseils et de se rendre à l’école. Il faut dire aussi que son grand discours sur le fait de se faire des amis et de rencontrer d’autre enfant lui avait grandement plus. Grâces aux explications de Sally sur ce qu’était l’école, Stram savait que l’école signifiait un nouveau terrain de jeu ou trouver des victimes pour ses terreurs. Elle était donc arrivée bien motivée dans son nouvel environnement, sans faire trop d’effort pour avoir l’air « normal » comme le dirait Sally.

Les paroles entendues apporteront une sentence au jeune garçon il semblerait, puisque l’enseignante, qui semblait être une peu la « Jack » de la classe lui demanda d’un ton autoritaire son « cahier ». Ensuite, Stram fut invitée à rejoindre la place qu’elle souhaitait parmi les autres enfants. Ce fut après un moment de pause pour enregistrer et prendre connaissance de son nouvel entourage, que Stram, la petite sorcière d’Halloween Town, avait rejoint sa nouvelle place assise, derrière ce petit garçon tremblant qu’elle appréciait déjà. Elle se dit que dans une autre vie, ce gamin aurait bien pu être une sourie. Il était petit, tremblant et respirait rapidement et bruyamment comme une petit sourie bien effrayer. Sursautant à presque tout moment interaction de son entourage. Stram le trouvais parfait. Une petite mauviette, comme le maire d’Halloween Town.

Ce qui d’ailleurs apportait à se demander, comment ce maire avait -il bien pu être élu ? Maire d’une ville de peur et frissons, alors que lui-même sursautait à tout… Le village avait-il voté par simple amusement de pouvoir l’effrayer facile tout comme elle venait de choisir son nouvel ami ? Alors qu’elle murmurait a son nouvel ami, qu’elle pensait qu’il deviendrait rapidement de bon copain, celui-ci fut appeler à l’avant de la classe sans pouvoir lui répondre. Elle le regarda se lever, incertain, avançant d’un pas qui donnait l’impression qu’il pourrait courir vers la porte à tout moment, ou bien encore s’uriner dessus de panique. Ce qui donnerait surement un bon spectacle a la classe et lui collerait comme réputation pour un bon moment. S’il tremblait avant de devoir se lever, désormais on aurait dit une feuille au vent. Ce qui amusa la gamine au point de la faire rire un peu. Une fois qu’il fit devant la classe, réalisant le stress qu’il vivait, Stram décida de jouer encore un peu avec et lui fit un grand sourire avec un pouce en l’air pour l’encourager dans sa malchance. Elle commença à écouter ce qui allait se passer en détruisant lentement en morceau sa gomme à effacer qu’elle avait sortie de son sac.

Un silence. Voici ce qui se produisit lorsque le garçon fut devant la classe pour son exposé. Pas un son. Ce qui fit encore une fois rire un peu Stram, ce qui provoqua un petit rire aussi chez certain partenaire de classe, qui furent regarder sévèrement par l’enseignante. Puis, lorsque le gamin tremblant pris une respiration, il se mis à parler d’une voix incertaine et en bégayant. Ce qui fit murmurer et rire bien des gens dans la classe, Stram inclus. Le petit était trop sympa à regarder aller.  Digne d’un bébé qui reçoit un rat bien saignant dans son sac de bonbon à Halloween. Deux garçons en particulier semblait avoir le temps de leur vie, riant et commentant au fond de la classe. Décidant qu’elle voulait entendre son nouvel ami parler, Stram se tourna vers eux et leur lança un regard noir et perçant, ce qui sembla les calmer un moment, avant qu’elle entendre l’un deux demander à l’autre « C’est quoi son problème à la sorcière ? ». Stram, ne comprenant pas qu’il voulait ses mots comme une insulte, fut ravis de savoir que son statut de sorcière était déjà connu dans l’école, les gens n’oserait pas trop lui tenir tête.

Lorsque finalement un garçon leva la main pour demander s’il pouvait remplacer la sourie effrayer qui se trouvait a murmurer des mots en bégayant devant la classe. L’enseignante accepta. Ce qui surprise Stram grandement… Le plaisir de cette classe n’était pas de faire souffrir les enfant en les forçant à être devant le groupe à lire des textes ennuyant et gênant? Si ce n’était pas le but du coup, Stram n’y comprenait rien… Car le fait de prendre un volontaire enlevais tout le plaisir de l’exercice, non ? C’est donc avec un regard d’ennuie qu’elle fixa son partenaire de classe revenir tremblant a sa place. Lorsqu’il fut assise, elle commença à lui lancer un par un les morceaux d’effaces qu’elle avait brisé derrière la tête. La première fois qu’il se retourna, elle ne fit que le fixer sans un mort de son regard brun et sérieux. Elle savait que les silences rendaient toujours les gens très mal à l’aise et encore plus lorsqu’un regard était fixer sur eux. Elle la laissa ainsi se retourner par trois fois, avant de lui murmurer a la troisième fois.

« J’ai bien aimer ta présentation, très divertissant. »

La présentation du second garçon continua jusqu’à ce que la cloche sonne. Ne comprenant pas ce que cela voulait dire, Stram regarda ses partenaires de classe se lever et quitter la classe. L’enseignante annonça donc la « pause » et les invitait à se rendre dehors. Stram se leva d’un bon de sa chaise, avant que le garçon de la présentation ne se rende a son ami effrayer, qu’elle prise vite par le bras en lui disant…

« Toi tu vas passer cette pause avec moi, c’est non négociable. »

Puis elle traina le garçon jusque dehors, elle le l’amena sur une partie du terrain en herbes et lui fit signe de s’assoir au sol avec son regard qui lui donnait un air en colère, encore une fois. Une fois le garçon assis, elle pris place au sol également et lui demanda avec un grand sourire.

« Alors! C’est quoi ton nom le froussard? »
Codage par Libella sur Graphiorum

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SHOCK
Stram
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Invité
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Invité
Mer 12 Fév 2020 - 17:34
You've got a friend in me
Oliver & Stram

Nul.
Nul.
Nul, nul, nul ! Le mot tournait en boucle sous son front, idée unique, insulte aux allures de vieux refrain. Nul. Voilà ce qu’il était. Vouté sur sa chaise, Oliver faisait son possible pour se rendre invisible. Sur son cahier, le poème étalé le narguait, des vers qu’il connaissait, qu’il avait pourtant oublié, qu’il fixait désormais à travers le filtre humide de ses yeux. Nul. Dans son oreille, l’angoisse fanfaronnait. Je te l’avais dit que t’allais pas y arriver. Oui. Elle avait raison, comme toujours. Le moindre de ses touchés faisant l’effet d’un coup-de-poing sur l’enfant troublé. Il avait suffi d’un souffle pour le faire tomber, réduire ses efforts en poussière. Au tableau, Callum brillait, malgré sa nervosité, malgré son cheveu sur la langue. Et Oliver, il aurait tout donné, pour lui ressembler. Être moins comme lui, plus comme les autres. Moins nul.

Nul. Ça continuait, les pensées, produites à la chaîne. Elle rejouait l’humiliation sous un jour terrible, encore et encore, et il songeait aux rires, aux regards, au silence, à Clawd et Mally, s’imaginait leur déception. Douleur au fond de sa gorge. Les larmes se faisaient plus menaçantes. Non. Il ne pouvait pas pleurer, par ici. On allait se moquer. Lève la main et dis que tu dois aller à l’infirmerie, vite, avant de pleurer devant tout le monde, tu seras bien là-bas, seul. Tremblante, la main s’éleva, aussitôt se ravisa.

Quelque chose venait de lui atterrir dans le dos. C’était rapide, discret, juste assez pour le gêner. Il se figea, jeta une œillade sur le côté sans oser se retourner. C’était elle. La nouvelle, la bizarre, qui venait de lui lancer quelque chose. Boum boum, chanta la crainte dans sa poitrine. Une fois, deux fois. Nouvelle œillade derrière son épaule. Qu’est-ce qu’elle lui voulait ?

Une fois, deux fois, trois fois. Enfin, il se retourna, animé par la peur de potentielles représailles s’il ne le faisait pas. « J’ai bien aimé ta présentation, très divertissant. » Confusion sur ses traits. Silence. Son cœur se serra. C’était la moquerie de trop, la goutte manquante à un océan de larme. Il se hâta de lui montrer à nouveau son dos, vite, avant qu’elle ne voit l’émotion ne perler sur ses cils. Une main passa sur ses yeux, puis l’autre. Voilà, on a rien vu.

DRING

Oliver sursauta, se rassura : ce n'était rien. Juste la pause. Autour de lui, l'agitation, concert terrible des stylos qu'on jette dans les trousses, de chaises qu'on racle sur le sol et de hurlements enfin libéré. Autant de son du quotidien qu'il détestait, qui l'agressait. Lui, comme toujours, disparaissait dans ce flot d'élève coulant autour de son bureau devenu îlot. Oliver ne bougeait pas, il attendait Callum, priant pour que personne ne s'attarde à sa place, c'était qu'il se serait caché sous sa table, s'il le pouvait : pour qu'on l'oublie pour de bon.

Raté. Une poigne s'écrasa sur son bras. Il n'en fallut pas plus pour réveiller de vieux réflexe chez l'enfant angoissé. Dans un mouvement de recul, il sursauta, tira sur son bras sans pouvoir se dégager, ferma les yeux et baissa la tête, une grimace terrifiée sur le visage, figé dans l'attente d'un coup qui n'arriva pas. J'ai pas fait exprès j'ai pas fait exprès, pardon pardon ! Mais rien ne tomba. Ni sentence, ni violence. Un battement de cil. C'était fini. Ce n'était rien.

Juste Stram. « Toi tu vas passer cette pause avec moi, c'est non négociable.» … Quoi ? Oliver la fixa sans comprendre, tout ébranlé qu'il était. Et avant de pouvoir ne serait-ce songer à protester, son corps chétif se retrouva plié au caprice de la nouvelle. On le traînait. Il suivait, le pas trébuchant, le coeur battant. Ils n'avaient même pas mis leurs manteaux.

L'herbe était froide, humide. Il s'y était tout de même assis, trop terrifié par les éclairs des yeux de Stram pour refuser. Parce qu'Oliver était de ces gamins que la peur rendait docile à toutes les volontés. Il était là, petit animal craintif pris dans le viseur d'un chasseur. Son regard prenait grand soin à éviter celui de Stram, et lorsque par malheur il le croisait, c'était pour mieux implorer : ne me fait pas mal s'il te plaît. « Alors! C'est quoi ton nom le froussard? » Froussard. Il renifla. « Oliver. » murmura-t-il. Qu'est-ce qu'elle lui voulait ? Elle n'avait pas le droit de faire ça. C'était interdit. De se moquer, de faire des gros yeux, de sortir sans manteau sur le dos.

Ses pensées le ramenèrent au début de l'année passée. N'était-ce pas ainsi que ses ennuis avaient commencé avec Logan et Alfie ? Par de l'intimidation dans un coin de la cours de récréation ? Par de petites moqueries qui depuis n'avait cessé de grandir ? Il y avait avec Stram, un schéma qu'Oliver pensait reconnaître. Sauf que cette fois, il ne se tairait pas. Il allait parler, et… et… et dire quelque chose ! Lui dire d'arrêter ! « P-p-pourquoi tu me parles ? » C'était plus dur que prévu. Les mots étaient récalcitrants et son menton, bien trop tremblant. «  Et p-p-pourquoi t'as dit que t-tes amis ils sont d-dans un autre m-m-monde ? En p-p-plus Halloween Town, ça existe m-m-même pas. T'as m-menti. » Ouf. Si la première phrase n'avait fait que buter contre ses lèvres, celle-là, au contraire, était sorti d'un coup, sous la forme d'un amas de sons, sans point ni ponctuation.


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