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 :: RP terminés
Quand un flamant et un suricate ramènent leur bébé à la maison ~ Laulau
Timon S. Merkat
Timon S. Merkat
Je vais pas me déguiser en Vahinée!
Admin animals
PHOTO D'IDENTITE : Quand un flamant et un suricate ramènent leur bébé à la maison ~ Laulau Bro_bro_blub
Quand un flamant et un suricate ramènent leur bébé à la maison ~ Laulau Giphy
Quand un flamant et un suricate ramènent leur bébé à la maison ~ Laulau Giphy
DESSIN ANIME D'ORIGINE : Le Roi Lion
ÂGE DU PERSONNAGE : environ 43 ans d'humains
COTE COEUR : Les insectes, parce que sinon mon coeur est en miette
OCCUPATION : Pleurer ma solitude caché au sous sol du bar avec les araignées
LOCALISATION : surement au T & L's Bar
HUMEUR : Hakuna Matata, enfin on essai
COULEUR PAROLE : #006600
PRESENCE/ABSENCE : fidèle au poste o/
DOUBLES COMPTES : Hadès, Mally, Ian, Kevin, Dayhun & Gram
PERSONNALITÉ & CRÉDITS : Neil Patrick Harris & Gaekey
MON ARRIVÉE : 06/04/2013
MON VOYAGE : 2405
POINTS : 1127
Jeu 2 Fév 2017 - 22:38



Quand un flamant et un suricate ramènent leur bébé à la maison

Et qu'ils se remémorent les derniers mois par la même occasion



Il y a de ses choses qu’on pense qui n’arriveront jamais… et bien il semble qu’il ne faut jamais dire jamais! Qui aurait cru que Timon et Laurence deviendraient parents? Et bien certainement pas le suricate… enfin, il s’était quand même fait à l’idée depuis que son amoureux lui avait avoué avoir fait appel à une mère porteuse. Ça avait été tout un choc pour le blond, mais au final, il avait plutôt bien pris cela et ensemble, ils avançaient dans ce cheminement. Alors que Charlie était à peine un embryon, ils avaient démontré qu’ils pouvaient être des « papas poules » en s’assurant que la mère s’alimente bien et en surveillant bien le développement de leur futur enfant en allant aux suivis avec la femme. Elle semblait gentille, mais comme elle était blonde, elle ressemblait un peu trop à la pétasse blonde de Paris, l’amie un peu trop collante du flamant rose… Évidement, Timon se montrait le plus courtois possible, après tout, l’ovule avait été fécondé de manière artificielle, donc il n’y avait pas de jalousie à avoir.

Et maintenant, ils avaient leur petit Charlie, un bébé bien en santé et vigoureux. En tenant le bébé pour la première fois, le blond s’était bien demandé s’ils allaient vraiment y arriver… Un être si fragile et si pur… Et s’il ne les aimait pas? Et s’ils rataient son éducation et qu’il devenait trafiquant de drogue? Tant de questions et de peurs empoignaient le cœur du suricate, qui savait comment élever un autre être pouvait être demandant… après tout, il s’était occupé de lionceaux! Mais là, c’était un bébé humain, une créature fragile et sans défenses. Heureusement, Laurence et Timon avaient reçu quelques leçons de bases pour s’occuper d’un poupon, sans parler des dizaines de bouquins qu’ils avaient achetés!

Après trois jours à l’hôpital, ils avaient pu enfin ramener Charlie à l’appartement, mais avant qu’on ne les laisse l’emmener, ils avaient du prouver qu’ils pouvaient s’occuper de lui. Faire des changements de couche sous supervision, ou encore donner le biberon. D’ailleurs, la mère avait accepté de donner un peu de lait maternel afin que l’enfant puisse bénéficier d’anticorps naturels. S’occuper d’un petit humain était bien plus compliquer que d’élever un lionceau, ça s’était plutôt évident avec tout les accessoires nécessaires pour un bébé!

Timon fut bien content qu’ils soient enfin chez eux, dans la tranquillité de leur appartement. Il avait bien cru que jamais les services sociaux ne les laisseraient ramener Charlie chez eux! Il ferma délicatement la porte afin de ne pas réveiller le petit qui se trouvait dans le porte-bébé que Laurence transportait. Quant au suricate, il déposa délicatement le sac à couches, contenant tout le nécessaire pour s’occuper d’un bébé pendant les déplacements.

- Je suis bien content d’avoir enfin quitté l’hôpital. C’est pas parce que j’ai mis la couche dans le mauvais sens une fois que je suis une méchante personne, non? Ces gens on l’air de se croire parfait…

Évidement, Timon chuchotait pour ne pas réveiller l’enfant. Ils étaient laissés à eux-mêmes, ce qui était légèrement angoissant, mais aussi source de soulagement. Si certaines assistantes sociales étaient sympathique, d’autres étaient des homophobes finies qui pensaient que les pères ne servaient à rien, sauf à ramener de l’argent… alors elles tiraient de sales têtes en voyant deux pères ensemble!

- On devrait le mettre dans son berceau où on le laisse là-dedans le temps qu’il se réveille?

Timon enleva le bonnet et descendit délicatement la fermeture éclair du petit manteau. Ils l’avaient sans doute un peu trop couvert pour la température extérieur, alors il ne fallait pas lui laisser tout ça à l’intérieur, il risquait d’avoir trop chaud et de ne pas être bien.


hors rp:



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Invité
Anonymous
Invité
Sam 11 Fév 2017 - 19:35
Ft. Timonichou ♥
Ça y était. Charlie était enfin là. Laurence n’en revenait pas. Il avait enfin un enfant à lui… Et Timon était le second parent. C’était comme si tout ses espérances depuis son arrivé à New-York étaient en train de se réaliser. C’était comme s’il avait lui aussi le droit à une marraine La bonne fée. Chaque jour lui semblait plus coloré que le précédant et non, ce n’était pas parce qu’il ne prenait plus ses médicaments. En fait, jamais il n’avait été aussi rigoureux de sa vie à ce sujet. Il avait passé de nombreuses journées à lire des guides pour être un bon parent et sur l’alimentation des bébés humains. Il s’était amuser à aller acheter tout le nécessaire pour la nouvelle créature qui allait partager leur vie et surtout, il avait prit un malin plaisir à re-peinturer la seconde chambre qui appartenait autrefois à Mary.

Il l’avait certes fait à contre cœur au départ, mais rapidement il réalisa que cela signifiait que l’arrivé de Charlie était proche et que cet enfant ne pourrait pas lui être enlevé. Alors que son compagnon ne souhaitait pas une chambre rose pour un petit garçon, Laurence se contenta de la peinturer d’un joli jaune et ajouta des petits nuages roses ici et là, donnant l’impression d’un couché de soleil.

Il se souvenait du moment où ils eurent enfin le petit Charlie à eux, Laurence ne réussit pas à détacher son regard sur ses grands yeux bleus clairs, qui rayonnaient la vie, avant de nombreuse secondes. Il déposa un baiser sur le crane de son fil et il cru sentir l’odeur de la lavande. Un bébé qui sentait la lavande... Et c’était le sien. Laurence était si heureux et excité du fait d’avoir son enfant.

Après trois jours de repos, Timon et lui purent finalement l’amener à la maison. Ce fut un grand soulagement pour les deux qui se sentirent à certaines occasions comme des bêtes de foire, fixés par les assistantes sociales qui semblaient chercher une quelconque faille pour le leur enlever. Ce fut bien les journées les plus angoissantes pour le flamant rose qui tentait du mieux qu’il pouvait de se contrôler. Tellement distrait par cette pression, Laurence s’était même retrouvé complètement épuisé après avoir prit une dose de médication de trop.

« Je suis bien content d’avoir enfin quitté l’hôpital. C’est pas parce que j’ai mis la couche dans le mauvais sens une fois que je suis une méchante personne, non? Ces gens on l’air de se croire parfait… »

Laurence leva le regard en direction de son chéri. C’est vrai, il l’avait fait, mais c’était quelque chose de plutôt cocasse. C’était bien le stéréotype de l’homme nouvellement père qui ne sait pas mettre une couche correctement. Il ria doucement.

« T’en fait pas… Tu es parfait. » Il s’avança pour lui donner un baiser du bout des lèvres.  « Moi j’ai bien fait tomber la tête d’un bébé en plastique, mais jamais ça n’arrivera avec Charlie… »


Évidemment, lorsque fut le temps, lors des cours, de s’occuper de bébés en plastiques, Laurence n’était pas celui le plus impliqué dans le rôle de simulation et il s’était contenté de prendre le faux bébé par une jambe et de le trimballer dans la pièce. Ce manque de sérieux lui servit de leçon lorsque la dite poupée se retrouva cognée contre la porte de la classe et que la tête ait décollée du corps. L’homme avait paniqué et avait cru que l’enseignante ne voudrait plus de lui dans la classe, mais elle resta très compréhensive et lui demanda cependant de rester concentré; une tâche qu’il exécuta avec brio par la suite.

Charlie dormait paisiblement dans le porte-bébé que Laurence transportait. Il était terriblement mignon et bien qu’il serrait sans doute plus confortable dans son berceau, Laurence ne pouvait s’imaginer le déplacer de peur de le réveiller. Ils devaient le laisser là.  

« Je crois qu’il serait plus confortable dans son berceau… »

Comme quoi Laurence était toujours aussi instable mentalement. Timon lui enleva son manteau ainsi que son petit bonnet, puis le brun se dirigea vers la chambre où il alluma une petite veilleuse qui projetait des étoiles aux plafonds. Avec la plus grande des précautions, il souleva son fils du porte bébé et le déposa dans le berceau. La petite chose gazouilla, bougea ses petits doigts boudinés, mais garda les paupières clauses : C’était une réussite.

Le père souffla doucement et regarda Timon.

« Si seulement les rénovations du bar avaient été aussi facile… »


by Epilucial



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Timon S. Merkat
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MON ARRIVÉE : 06/04/2013
MON VOYAGE : 2405
POINTS : 1127
Mer 15 Fév 2017 - 21:49



Quand un flamant et un suricate ramènent leur bébé à la maison

Et qu'ils se remémorent les derniers mois par la même occasion



Timon ne pu s’empêcher de sourire lorsque son amoureux rit. En même temps, mettre une couche à l’envers n’allait pas mettre en péril la vie d’un bébé! Au pire un inconfort, voir un débordement… mais rien de si dramatique! Mais bon, c’était des femmes qui leur avaient montré ce qu’ils devaient savoir et qui les avaient évalué, alors il ne fallait pas se surprendre qu’elles soient un peu hystérique pour des riens! Non mais le fait d’expulser un être vivant de leur utérus ne faisait pas d’elles les détentrices de la science infuse! Surtout que certaines d’entre elles n’étaient pas mères et n’avaient même pas de copain! Donc en quoi elles étaient si meilleures que le suricate et le flamant? Il y avait là une sorte de préjugé de la société qui voulait que les hommes ne soient bon à rien avec les bébés et que les femmes soient parfaites… n’importe quoi! Il y avait bien de sordides histoires prouvant que certaines mères n’avaient pas pour deux sous d’instinct maternel! Alors que eux, jamais ils ne feraient de mal à leur petit Charlie, c’était la chose la plus précieuse à leurs yeux!

Chassant ses sombres pensés, Timon repensa à l’épisode de la poupée en plastique qui avait perdu la tête avec un grand sourire. Laurence avait raison, jamais ça n’arrivera à leur fils, ils feraient bien attention et puis les humains ne perdent pas la tête au moindre choc! L’exercice de s’occuper d’un bébé en plastique avait quelque chose de si stupide… rien n’était comme ça! Un vrai bébé ça bouge, ça pleure et puis le poids et la sensation quand on le porte dans ses bras n’est pas du tout la même! Le suricate avait tout de même démontré le plus de sérieux possible, se prenant au jeu à un moment et en s’écriant « Il ne respire plus! » Alors qu’évidement, l’être de plastique n’avait jamais émis le moindre souffle!

Timon laissa son amoureux déposer délicatement Charlie dans son berceau. Pendant ce temps, il alluma le petit émetteur qu’il déposa sur la commode à côté du berceau. Tenant le récepteur permettant d’entendre ce qui se passait dans la chambre de Charlie, le blond entraina Laurence à l’extérieur de la pièce après un long moment d’observation de leur poupon. Il était si mignon à dormir paisiblement que le suricate n’avait pas voulu risquer de le réveiller en répondant tout de suite au brun!

Une fois hors de la chambre, Timon déposa le récepteur sur le comptoir en repensant à tout ce qu’ils avaient vécut au bar depuis qu’ils avaient accepté de le prendre en charge. Ça avait été une très dure et longue épreuve! C’était comme si rien ne fonctionnait au début! D’ailleurs, c’était une chance que ce n’était pas eux qui devaient payer les factures! Il avait fallu bien nettoyer et se débarrasser des débris, ensuite, il fut nécessaire qu’un électricien et un plombier viennent mettre à jour les différents réseaux. Il avait fallut éponger l’eau dans les toilettes au moins trois fois avant que les problèmes ne soient réglés. Le blond avait eu droit à une décharge électrique à un moment, avant que tout ne soit sécurisé. Personne n’a jamais compris l’idée de laisser un fil dénudé près d’un lavabo… heureusement le suricate se remis de cette mésaventure et tout ce qui n’était pas sécuritaire fut retiré.

- Le bar était en si mauvais état, je n’aurais jamais cru qu’il y aurait tant de travail à faire. Mais attention, je ne crois pas qu’élever un enfant soit aussi facile que seulement transporter et coucher Chalie d’un endroit à l’autre. Il faudra se lever la nuit pour lui donner son boire et changer sa couche.

Les nuits d’insomnies n’étaient pas inconnues à Timon, qui avait souvent bien mal dormit alors qu’ils devaient se casser la tête pour des tas de permis et de la paperasse… Combien de fois s’était-il réveillé au milieu de la nuit en se disant qu’ils n’auraient jamais du accepter? Presque autant de fois qu’il s’était cogné sur un doigt avec le marteau en essayant de réparer des planches tombantes!

- Je suis content que le bar soit enfin ouvert et que tout soit parfaitement fonctionnel. Jamais je n’aurais crus que ça serait aussi chaotique. Une chance que Charlie n’était pas encore né quand nous devions passer nos journées là-bas à surveiller que personne ne s’approche de la pièce étrange au sous-sol. Ça n’aurait pas été un environnement pour un bébé!



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Invité
Anonymous
Invité
Dim 12 Mar 2017 - 18:40
Ft. Timonichou ♥
Voir Charlie dormir était une petite victoire personnelle pour l’ancien flamant rose qui avait peur d’être un mauvais père et ce, même si c’était son idée au départ avoir un enfant. Il avait cru qu’il allait se débrouiller comme avec Mary, mais il avait eu tout faux : Un enfant et un bébé était deux choses bien différentes. L’une savait se laver seule, s’habiller et manger… Et de l’autre côté, il y avait le nourrisson incapable de parler pour leur dire que quelque chose clochait. C’était un défi de taille, mais jamais il n’allait baisser les bras. Il observa son fils dormir chaleureusement et il suivit son compagnon qui prit le babyphone. Laurence ferma délicatement la porte derrière lui et soupira doucement en s’asseyant sur une chaise de la salle à manger. Il observa Timon qui avait un air songeur. Laurence n’eut pas le temps de lui demander ce qui le tracassait puisque celui-ci lui parla du bar. Le brun sourit. Ce fameux bar !

À l’époque où Lucas s’était mit en tête de leur confier ce bar, Laurence fut, ironiquement, probablement le plus sain d’esprit en refusant net l’offrant. Le bar était dans un sale état. Les planches au sol étaient pourrîtes ou bien manquantes. Les toilettes complètement inondées et fragiles. L’ancien flamant rose porta une main à son front qu’il s’était ouvert à cause d’un lavabo. Ce bar était un véritable danger et il valait mieux qu’il soit détruit. Cette idée avait restée dans son esprit tout au long de leur inspection… Jusqu’à ce qu’ils tombent sur un truc étrange. Un genre de mur flou. Ils n’avaient toujours pas la moindre idée de ce que cela pouvait être, mais c’est à ce moment où Laurence conclut que c’était pour ce mur que Lucas avait voulu leur confier l’endroit. Ils devaient protéger la pièce dans laquelle il se trouvait et résoudre l’énigme. Évidemment, cela aurait été plus facile si Lucas leur avait expliqué, mais l’amoureux du rose était persuadé que c’était un petit plaisir sadique de les voir chercher. Ce raisonnement revint à plusieurs reprises au cours des jours suivants puisqu’ils n’eurent aucune nouvelle de l’homme mystérieux. « Mais attention, je ne crois pas qu’élever un enfant soit aussi facile que simplement transporter et coucher Charlie d’un endroit à l’autre. »

Laurence le regarda étonné. Timon n’était pas un peu défaitiste ? Bien sûr que s’occuper de Charlie allait s’avérer compliquer et pas seulement du point de vue du manque de sommeil ou de passer son bien-être avant le leur. Pour le brun, la partie la plus difficile allait être l’éducation : décider ce qu’il aura le droit ou non de faire. Avec Mally, cette partie avait été simple puisque tout deux avaient vécus dans le même univers et qu’ils étaient aussi cinglé l’un que l’autre… Et puis Mary avait eu la chance d’avoir été en partie éduquée par ses vrais parents. Là, c’était un nouveau bébé, innocent, ne connaissant ni le bien, ni le mal. Timon était quelqu’un de grognon parfois lorsque les choses étaient prises à la légère… Laurence sourit bêtement en pensant à la fois où il avait décidé de faire des anges d’eau dans leur ancien appartement. Le suricate s’était empressé de lui dire d’arrêter, ce qui avait plombé directement la bonne humeur du plus jeune. « Bien sûr et ne t’en fait pas, je m’en chargerai ! » Laurence était déterminé à montrer qu’un fou pouvait être un aussi bon père qu’un homme ordinaire et rien ne pourrait lui faire changer d’avis. «Je suis content que le bar soit enfin ouvert et que tout soit parfaitement fonctionnel. Jamais je n’aurais crus que ça serait aussi chaotique. » Laurence sourit à nouveau. Il faut l’avouer, Laurence n’avait pas aidé lors des rénovations en oubliant de renouveler ses prescriptions. Il s’était pointé au bar, complètement déboussolé avec un pot de peinture rose qu’il s’était empressé d’ouvrir avant même que les murs soient remit à neuf. Heureusement, devrait-on dire puisque sans cet incident, le bar aurait eu à la première dispute des deux propriétaires concernant les choix de couleur. Comme Timon n’était pas d’accord que ce bar se transforme en bar gay pour flamant rose, Laurence avait simplement haussé les épaules et avait taché volontairement le bar avec son pinceau couvert de peinture couleur Rose thé. La tache resta là malgré tout. « Je te l’avais dit dès le début qu’il ne fallait pas prendre le bar… Mais bon, y’a que les fous qui ne changent pas d’idée! » Glissa-t-il en riant de l’ironie de sa phrase. Timon souleva alors un point très important sans même sans rendre compte : Maintenant qu’ils avaient Charlie, qui allait s’occuper du bar ? « Timon… Comment on va faire maintenant avec Charlie ? Je ne veux pas abandonner le bar, mais je ne veux pas laisser un étranger surveiller notre fils parce que nous devons travailler tout les deux. » Déjà que Laurence devait souvent partir à l’étranger pour des contrats photos, il avait peur de délaisser sa famille… Mais s’il devait en plus travailler au bar… Quand allait-il pouvoir profiter d’avoir une famille ? Peut-être que toutes ces dernières décisions avaient été des erreurs…

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Timon S. Merkat
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POINTS : 1127
Jeu 16 Mar 2017 - 1:59



Quand un flamant et un suricate ramènent leur bébé à la maison

Et qu'ils se remémorent les derniers mois par la même occasion



Il était juste hors de question que Timon avoue que prendre le bar était une mauvaise idée! Pas parce qu’il était borné, mais parce qu’il ne le pensait pas! Il aimait cet endroit et ce qu’il représentait. C’était un lieu de réunion, un endroit où ils pouvaient être eux-mêmes! Enfin, sauf lors de grosses soirées où des habitants du monde des humains venaient se mêler à eux. Le suricate était si fier des progrès de leur établissement, il ne pouvait pas abandonner, même si c’était beaucoup de travail. Bon, ce n’était pas si pire non plus, il pouvait se la couler douce par moment.

Timon réfléchit donc à une solution, ils ne pouvaient pas abandonner le bar, tout comme ils ne pouvaient pas plus abandonner Charlie! Sans parler qu’ils devaient continuer à faire ce qu’ils aimaient, sinon, ils finiraient par s’entre-déchirés.

- Je crois que je vais diminuer mes heures comme exterminateur, j’en ai déjà discuté avec mon patron, je pourrais faire que des avant-midi, le bar n’a pas à être ouvert toute la journée, les gens peuvent sans doute attendre à 13h avant de venir demander de l’aide? Sinon, peut-être qu’on devrait trouver un peu d’aide pour s’occuper du bar? Ça pourrait être le moyen pour les gens qu’on héberge de payer leur loyer? Et puis rien ne nous oblige d’être tout les deux au bar en même temps!

Le blond pensait que ça pouvait fonctionner avec tout ça, pourquoi en serait-il autrement? Avec un peu de volonté, ils y arriveraient! Une autre idée lui vint :

- Et puis il y a des soirées mortes, quand Charlie sera un peu plus vieux, on pourra le trainer avec nous. Ça nous permettrait d’être en famille tout en s’occupant du bar. Y’a des jours comme les lundis et mardis où il n’y a que quelques habitués ou le groupe de soutient… ça permettrait à Charlie de socialiser un peu.


Timon état fermement convaincu qu’il était possible de rendre l’endroit sécuritaire pour leur petit. Évidement, pour l’instant, il était trop jeune, il avait besoin de calme pour dormir. Le suricate n’était pas totalement inconscient non plus! Plus tard, ils pourraient le trainer avec eux et commencer à lui apprendre plein de choses! Pour l’instant, c’était sans doute à eux d’apprendre comment s’occuper d’un nourrisson. Et puis à un moment, la tendance serait inversé et ce serait aux papas d’apprendre à leur fils les choses de la vie… la tolérance semblait un bon départ… puis viendrait un jour où Charlie sera assez grand pour comprendre et ils lui parleraient de leurs origines… mais ce ne serait que dans de nombreuses années!

Le suricate laissa Laurence réfléchir, allant s’installer à table avec un cahier qui lui servait de journal intime. Il n’y avait rien de vraiment secret là-dedans, mais le blond s’en servait pour résumer ce qui se passait d’important dans sa vie. Il se disait que comme ça, s’il se passait quelque chose de grave, comme l’inversion du sort l’ayant emmené à New-York, Charlie pourrait au moins comprendre un peu ce qui s’était passé. C’était au cas où ils ne pourraient pas eux-mêmes expliquer les choses de la vie.

C’est en souriant que Timon nota les développements de la journée :

« Tu es enfin à la maison! Jamais je n’aurais cru pouvoir être si heureux. Petit Charlie, j’espère que nous serons à la hauteur. Je ferais tout pour toi et Laurence. Nous sommes une famille et je ne laisserais rien nous séparer. Fais de beaux rêves mon petit ange. »

Fin du rp o/


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