À l’intérieur du chalet, Moonbin était dans la cuisine à la recherche des sacs de chips que les autres avaient apportés. Mais où étaient-ils ? Fouinant dans les nombreux placards, le chasseur trouvait tout et n’importe quoi, mais il n’y avait décidément aucune trace de chips. Les avait-il imaginés ? Bien sûr que non ! Qui organiserait une fête sans chips ?! Soupirant un bon coup, il se frotta les yeux en se demandant si l’alcool n’avait pas affaibli sa vision ; il faut dire qu’il avait beaucoup bu et qu’il se souvenait d’avoir presque tombé dans les escaliers menant au chalet un peu plus tôt. Peut-être devrait-il cesser de boire pour un moment, pensa-t-il alors qu’il se dirigeait vers l’évier pour y remplir un verre d’eau en espérant reprendre ses esprits. Prenant de grandes gorgées, il senti la fraîcheur de l’eau couler le long de son oesophage et l’éveilla légèrement. C’est à ce moment qu’il vit, sur le comptoir central de la pièce, des saladiers remplis de croustilles en tout genre. « Ssibal … »­ souffla-t-il en déposant maladroitement son verre. Elles étaient là tout ce temps ?! Et lui qui les cherchait comme un idiot depuis cinq minutes !

Empilant les saladiers les uns sur les autres, Moonbin se dirigea avec eux, d’un pas chancelant, jusqu’à la porte menant à l’extérieur qui brisa le lourd silence de l’endroit à son ouverture. Des rires, des cris et une musique beaucoup trop forte vinrent abîmer les tympans fragiles de l’homme qui avait une légère otite due à une baignade improvisée dans le lac cet après-midi là. « J’ai trouvé les chips tout le monde ! »­ S'enthousiasma-t-il tel un héros ayant sauvé le pays. Tendant en premier un saladier de pop corn à un des plus jeunes, Moonbin continua sa tournée en partageant deux autres saladiers contenant des chips au BBQ et l’autre des Cheetos. Finissant sa distribution, l’homme s’arrêta à sa place, là où Noëlle, sa petite amie, était installée.

Elle était belle, comme à son habitude. Ils se connaissaient depuis plusieurs années, grâce au travail, mais ce n’était que dernièrement qu’ils s’étaient mis en couple. Pour la première fois depuis la mort de Jungwan, Moonbin avait de nouveau l’impression d’aimer et d’être compris. Avec Noëlle, le monde était différent ; plus beau, plus coloré et surtout, plus facile à surmonter. Déposant sa main sur la cuisse de sa bien-aimée, il s’aventura lentement un peu plus haut et il approcha ses lèvres de son oreille pour lui susurrer quelques mots remplis de désirs : « Tu ne voudrais pas monter à la chambre avec moi pour qu’on puisse avoir un peu plus d’intimité..? »­ Descendant lentement sa tête vers la nuque de la jeune femme, le Coréen commença à l’embrasser et à la suçoter, suivant la courbe de son cou pour s’arrêter à la naissance de son sternum. « Je ne pense pas que notre absence les dérangera… »­ ajouta-t-il, lui volant un baiser sur ses lèvres.

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Comment en était-il arrivé là ? Étrangement, en regardant autour de lui, Rox ne comprenait pas trop ce qu’il faisait là. Ne devait-il pas aller à l’anniversaire de Stram avec Rouky et Oliver ?  Il avait bien une fête, mais ce n’était décidément pas celle de leur amie ; il manquait d’épouvante et ces gens autour d’eux étaient beaucoup trop âgés pour être ses amis… À moins qu’elle se soit fait des amis en prison ..?  Non, ce n’était pas ça. À ses côtés, Rouky était là et un paquet de saucisses véganes attendaient, sur une petite table en face de lui,  à être mangé. « Je crois pas que c’était une bonne idée d’être là ce soir… » souffla le rouquin à son meilleur ami. « Le voir, ça me fait mal... » ajouta-t-il, levant le regard en direction de son colocataire, assit plus loin en compagnie d’une jolie jeune femme dont il ne connaissait pas le prénom. Un soupire s’échappa de ses lèvres puis il s’accota la tête contre l’épaule de son ami. « Parfois, je pense juste à quitter l’appartement… Le lui laisser. Qu’il puisse être seul avec Gram. Toi et moi, on pourrait se trouver un endroit sympa où vivre. Dans une ferme peut-être..? » Des idées qu’il n’avait jamais osé dire à voix haute, pourtant cette fois, c’était si facile de tout lui avouer.  

Un dernier coup d'œil en direction d’Oliver qui, sans l’inviter, se leva et se dirigea vers le quai avec l’inconnue. Il ressenti un pincement dans sa poitrine, comme si on venait de lui arracher le cœur ; il quittait sans le lui dire. C’était stupide de se sentir blesser pour si peu, mais quelques mois encore, ces deux-là n’auraient jamais pu faire quoique ce soit sans être ensemble… Ils avaient tellement vécu ensemble et malgré tout l’affection que Rox pouvait avoir pour Rouky, celui-ci ne pourrait jamais comprendre ce qu’ils avaient vécu au Wyoming ou dans les cellules de Louis. « Tu … Veux une saucisse ? » Demanda Rox, cherchant à briser le mur de détresse qu’il était en train de se construire en se remémorant tous ces moments à deux qu’ils avaient dû traverser. « Y’a surement un pic que tu pourrais utiliser, attends. » Et voilà, sous un sac de guimauves, un pic de métal était caché, prêt à être utilisé. « Oh attends, prend le mien. » changea-t-il d’idée en voyant Dory de l’autre côté de l’ancien chien. « Je vais aller en chercher d’autres à l’intérieur. » À ces mots, Rox se leva et tendit le second pic à la blonde qu’il salua chaleureusement, voilant ses pensées dépressives derrière un sourire, comme à son habitude. « Ça fait trop longtemps qu’on s’est pas vu, il faudrait que je revienne à la piscine plus souvent.. ! Tu veux de la guimauve ? Tiens, j’ai un pic pour toi ! »

À ces mots, Rox quitta le feu et se dirigea vers les escaliers où un couple semblait prêt à s'éclipser pour un moment intime. « Génial … » souffla-t-il, tentant de les esquiver puisqu’ils n’avaient pas l’air de se préoccuper de ce qui les entourait. « Allez-y euh, faites votre truc… Je vais … euh… Attendre ici.  » Inconfort. Gêne. Jalousie. Envie. Qu’est-ce qu’il devait faire ..?

Pair : Rox il next Moonbin et Noëlle pour aller dans la cuisine et être aux premières loges pour leur mort
Impairs : Il est trop embarrassé d'être là et il revient au feu et ment à Rouky et Dory en leur disant qu'il a pas trouvé les pics

Dans tous les cas, Rox premier à être soupçonné mdr

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( Pando )

TW : Sexe et meurtre

« Allez-y euh, faites votre truc… Je vais … euh… Attendre ici.  » Quelqu’un avait parlé ? Ayant totalement oublié ce qui les entourait, Moonbin n’entendit qu’un bref murmure derrière lui alors qu’il continuait d’embrasser Noëlle, l’amenant vers la salle de bain qui se trouvait à être une des pièces à l’avant de la maison. Ce moment érotique, il ne le vivait qu’avec elle à ce moment précis et c’est pour cela qu’il retira son haut, dévoilant ses seins nus à qui le voulait, juste avant de pénétrer dans la dite pièce, faisant échouer le morceau de tissu en face de la porte. « T’es tellement belle. » lui dit-il en lui caressant la poitrine, prêt à retirer lui aussi ses vêtements. Les caresses s’enchaînèrent, les respirations s’accélèrent et alors que Moonbin lui prit les fesses pour la faire s’asseoir sur le comptoir, un bruit résonna d'une pièce plus loin, déconnectant le coréen pendant un bref instant de ce moment à deux. Ce devait être les chiens, pensa-t-il alors qu’il n’y en avait pourtant pas. Effaçant rapidement cet aléa de son esprit, le chasseur entreprit de nouvelles caresses et finit par se glisser en sa partenaire qu’il tira vers lui pour sentir la chaleur de son corps contre le sien. Ils ne purent retenir de forts gémissements, et cette vue aurait sans doute pu faire rougir quiconque en aurait été témoin, mais heureusement, personne n’était là… Du moins, c’est ce qu’ils pensaient…

En vérité, un inconnu était entré dans la demeure bien avant tout ça. Celui-ci avait été directement à l’étage, fouillant dans les bagages des visiteurs, jouant avec les sous-vêtements de certains, examinant les doudous, avec un sourire malsain, d’autres, puis, il avait ensuite commencé à examiner les pièces une à une. Moonbin aurait pu être la première victime, lui qui était entré presque au même moment que lui pour chercher les chips, mais celui-ci n’avait pas été à l’étage, lui évitant un face à face avec l’homme à la carrure imposante et au couteau bien aiguisé. Il aurait pu mourir… Mais quant est-il des règles après tout ? Ne jamais dire ''Je reviens tout de suite.'' Ne jamais boire ou se droguer. Pas de sexe. Oups, raté.

Et c'est ainsi, alors qu’ils s'apprêtaient à leur ébat sauvage, que l’attention de l’inconnu fut attirer par le bruit, et, faisant doucement grincer les marches du vieil escalier, celui-ci se rendit à la source du bruit, observant silencieusement les deux partenaires se faire mutuellement du bien un bref instant. Malheureusement, au moment où Moonbin réalisait qu’il se sentait observer, il était déjà trop tard. Sentant une douleur aiguë dans son dos au niveau de ses côtés, Moonbin n’émit aucun son alors qu’il sentait ses jambes prêtes à se dérober. Le souffle coupé par la douleur, celui-ci finit par se libérer du contact glacé de la lame qu’on venait de lui enfoncer dans le corps, perforant son foie par la même occasion. Cherchant tout de même à se défendre, le Coréen attrapa le porte brosses à dents en céramique et le frappa au visage juste avant de s’écrouler par terre, vomissant du sang. Pressant contre sa plaie de ses maigres forces, Moonbin entendait Noëlle qui cherchait à se défendre ; que pouvait-il faire de plus que de se noyer dans son propre sang ? « Lâche-la putain ! » lui ordonna-t-il entre deux respirations douloureuses. Il aurait voulu aider, mais voilà qu’il sentait ses forces l’abandonner et sa vision devenir de plus en plus floue dû aux larmes d’impuissances qui menaçaient de couler à tout moment ; le mieux qu’il pouvait faire, c'était de ramper vers la sortie et d’alerter les autres. Par sa seule volonté de protéger les autres, le jeune homme se dirigea à la force de ses bras en direction de la cuisine, en laissant derrière lui une tracée de sang le rendant facile à suivre. Malheureusement pour lui, il ne se rendit pas bien loin puisque l’inconnu lui planta à nouveau le couteau dans le dos, blessant cette fois-ci directement sa colonne vertébrale, le paralysant d’une douleur insupportable qui lui fit pousser son dernier cri.

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Peut-être que Rox aurait dû laisser de l’intimité au couple en abandonnant son idée, car après tout, il pouvait bien partager le pic avec Rouky, ce n’était pas comme si partager quelque chose avec son meilleur ami le dérangeait vraiment, mais il faut avouer que d’attendre pour manger risquait de l’agacer… Et que dire de la contamination avec la viande s’il ne mangeait pas ses saucisses véganes ? Hors de question. C’est donc suite à cette décision que le renard avait décidé de fouiller cette cuisine, se disant qu’il ne risquait pas de chercher bien longtemps s’il y en avait d’autres. Observant le comptoir, il pu rapidement conclure qu’ils n’étaient pas là malgré le désordre. Les tiroirs peut-être ? Commençant à les ouvrir un à un, il cherchait à occuper son esprit pour ne pas se concentrer sur les gémissements qu’il entendait quelques mètres plus loin ; non, mais sérieusement ? Pourquoi n’avaient-ils pas monté à l’étage ? C’était un peu gênant là, non ? Et alors qu’il avait fini par se dire qu’il n’était plus du tout à l’aise de les entendre et que de toute façon, il ne semblait pas avoir d’autres pics pour le feu, Rox entendit l’escalier grincer de plus en plus fort, signifiant qu’il y avait quelqu’un qui descendait. C’était étrange, pensa-t-il à ce moment, persuadé que tout le monde était à l’extérieur. Peut-être devrait-il lui dire de sortir pour ne pas déranger le couple ? Mais pour ça, Rox devait passer devant la salle de bain et étant donné le bruit qu’ils faisaient, il craignait fort que la porte ait été fermée. Fait chier. Et alors qu’il se tenait là, se demandant quoi faire, les gémissements changèrent soudainement de ton, se transformant en cris de panique qui figea le rouquin sur place un instant avant qu’il ne décide de se réfugier dans l’armoire en coin du comptoir qui était complètement vide.

C’était lâche; Il se trouvait lâche. Il était là, dans le noir, cherchant à contrôler sa respiration devenue bruyante et irrégulière à l’aide de ses mains, alors que quelque chose de terrible était en train de se produire près de lui. Pourquoi n’était-il pas parti pour vérifier que tout allait bien ? Peut-être que ce n’était pas si pire ? Mais pourquoi son estomac était-il aussi serré ? BOOM. Ça semblait s’agiter là-bas. Rox pouvait entendre Moonbin toussoter au loin alors que l’autre criait de plus belle. « Lâche-la putain ! » S’il avait besoin d’une quelconque validation concernant la situation, Rox venait de l’avoir. fuck fuck fuck. Se répétait-il alors qu’il entendit quelque chose frapper brusquement le bain. Il devait sortir et trouver de l’aide, il le savait au fond de lui, mais alors qu’il avait la paume posée devant lui pour pousser la porte de l’armoire pour en sortir, son corps le lui interdisait. Pourquoi était-il aussi trouillard ? Abandonnant finalement la porte, il posa ses doigts sur son visage, cherchant à refouler les larmes qui commençaient à couler le long de ses joues. Alors c’était ça ? Il allait les laisser mourir ..? N’allait-il pas les aider ? Non, impossible. Il n’était pas fort, ni courageux, il était juste un imposteur; un faux rayon de soleil, un faux sourire sur pattes qui faisait des cauchemars toutes les nuits depuis ses 15 ans. Pourquoi avait-il cru qu’être ici avec ses amis allaient rendre les choses différentes ? Après tout, rien n’allait depuis son enlèvement et bien même qu’il ait essayé de reprendre une vie normale, il voyait bien que ça ne fonctionnait pas… Et si ça se trouvait, c’était Louis qui avait décidé de mettre un terme à tout ça.

Les bruits de combat s’arrêtèrent finalement, puis, les lourds bruits de pas de l’inconnu se dissipèrent lentement pour finalement complètement disparaître. Il était en sécurité désormais, pensa-t-il alors qu’il préféra tout de même attendre quelques secondaires supplémentaires avant de sortir de sa cachette. L’atmosphère était lourde et une forte odeur de fer flottait dans l’air, symbolisant une grande perte de sang, Rox pouvait reconnaître cette senteur sans trop de difficulté grâce à ces horribles journées de chasse auxquelles il avait dû assister lorsqu’il vivait encore avec les Robertson. Marchant lentement, le jeune homme tendait l’oreille pour apercevoir un quelconque bruit pouvant l’alerter d’un danger imminent, mais il semblait être bel et bien seul avec les victimes qu’il trouva rapidement.

En premier lieu, il y avait Moonbin. L’homme respirait toujours, Rox en était persuadé malgré la longue trace de sang qu’il avait laissé derrière lui. Sans trop perdre de temps, le Disney se pencha vers lui pour faire pression sur la plaie pour bloquer l'hémorragie, puis il posa ses doigts au niveau de son cou pour vérifier son pouls qui ralentissait de secondes en secondes.  « Ça va aller, ça va aller… » lui répéta-t-il, cherchant davantage à se convaincre lui-même que l’asiatique. « Si seulement j’avais quelque chose pour te faire des points sutures… » Souffla-t-il en regardant autour de lui, comme si une trousse médicale allait apparaître par magie à sa demande. Malheureusement, son souhait ne fut pas exaucé et c’est d’une ultime respiration plaintive que l’homme quitta ce monde, faisant verser des larmes sur les joues du rouquin qui les essuya du revers de ses mains ensanglantées. Il aurait pu faire quelque chose s’il était arrivé plus tôt. « J’suis trop con, putain ! » hurla-t-il, prenant cette mort comme s’il avait été celui qui la lui avait infligée.

Il aurait pu rester plusieurs minutes à ses côtés, impuissant, s’il ne s’était pas souvenu que Noëlle était à quelques pas. Toujours silencieusement, à l’écoute de tout son suspect, Rox continua son chemin en direction de la salle de bain qui, à première vue avait été repeint d’un rouge vif des murs au plancher, le faisant fermer les yeux quelques instants. Il y avait trop de sang. Trop de sang et aucun son… Il était impossible que la jeune femme ait survécue à son agresseur, mais il s’obstina à ouvrir de nouveau les yeux pour tomber sur une vision d’horreur. Noëlle était méconnaissable et cette vision lui donna des hauts de cœur incontrôlables qu’il chercha à contrôler en mettant sa main devant sa bouche. « Oh my god, I can’t. » souffla-t-il, reculant pour ne plus rien voir ; cette violence était insupportable. Il allait vomir, tomber sans connaissance… Comment faisait-il pour encore tenir debout ? pensait-il en combattant les hauts de coeur qui continuait à apparaître à chaque fois qu’il se souvenait de l’état dans lequel la femme se trouvait.

Et alors qu’il venait soudainement de se souvenir de ceux qui se trouvaient à l’extérieur du chalet en cherchant à oublier cette vision d'horreur, Rox se dirigea en courant vers la porte arrière pour retrouver les gens autour du feu pour les avertir du danger qui se trouvait dans les alentours, mais lorsqu’il se retrouva désormais face à celui-ci, il  comprit que la situation avait évoluée beaucoup plus rapidement qu’il ne se l’était imaginé ; il n’y avait plus personne. « Rouky ! Rouky ! » Cria-t-il en pleurant. Aucune réponse ; son ami n’était plus là et une panique s’empara de lui. Et s’il était déjà mort ? « Rouky ! » Cria-t-il de nouveau, la voix tremblante, en l’attente d’une réponse qui se fit sans doute étouffer par la musique puisque son ami n’était qu’à quelques mètres de lui, en chemin pour le rejoindre. La respiration instable et les mains tremblantes, Rox observa les alentours, il continuait d’espérer entendre une quelconque réponse et c’est avec soulagement qu’il finit par apercevoir son visage à l’aide des flammes qui dansaient à ses côtés. « Rouky ! Il faut partir ! On peut pas rester ici !  Il faut aller chercher Oliver ! » Aucune explication ne venait à ses lèvres désormais rougies par le sang des victimes, ils devaient simplement partir.

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